Hélène (Episode 2) : Baisée À L'Insu De Son Plein Gré

Le lendemain, j'avais une meilleure mine (mais ça n'allait pas durer longtemps). Je descendis pour le petit déjeuner; ils avaient déjà pris le leur. Ma mère me servie mon café au lait quand 2 coups de klaxon retentirent. C'était le camion du boucher qui passait, comme tous les dimanches matin. Ma mère sortit rapidement de la maison pour acheter la viande du midi.

Luc qui jusque là n'avait parlé que de la météo d'un air détaché, se rapprocha de moi et changea brusquement de ton :
- Alors ma petite salope, toujours le feu au cul !
Interloquée, je ne répondis pas.
- Entre le boucher et les commérages avec les voisines, ta mère en a pour 20 minutes minimum ! Suffisamment pour s'envoyer en l'air, non ?
- Non, mais ça va pas la... AIE ! (en vrai, j'ai crié plus longtemps que ça)
Il venait de me saisir par la tignasse, m'obligeant à me relever. Mais aussitôt debout il me poussa en avant, me courbant sur la table. Tentant de résister, mon bol de café au lait valsa. Son contenu se renversa sur la table tandis qu'il finit sa course par terre, en plusieurs morceaux. Mon verre de jus d'orange fit de même, accompagné de la corbeille de pain et d'une petite cuillère ! (oui, je sais, on s'en fout de la petite cuillère)

Bref quand mon corps entra en contact avec la table, mon peignoir (seul tissu recouvrant ma peau) absorba un mélange de café au lait et de jus d'orange à moitié tiède, tandis que, dans mon dos, de sa main libre, Luc relevait déjà mon bas de peignoir, dégageant mes fesses. Ses paroles étaient toujours humiliantes et grossières. J'étais abasourdie par cette soudaine violence, je n'avais même pas eu le temps de réagir.

A la différence de la veille je n'étais pas du tout excitée et je serrais les fesses, faute de pouvoir me relever, pour ne pas qu'il me prenne. Mais là n'était pas son intention, et une vigoureuse claque sur mes fesses me le fit comprendre. D'autres s'enchaînèrent et je reçu la première vrai correction de ma vie (y'a toujours une première fois, et en général, on l'oublie pas : là, je confirme).



D'abord il frappa à main nue, alternativement, sur chacune de mes fesses. Puis, après une courte pause qui lui permis d'enlever son ceinturon, je sentis le cuir venir lacérer ma peau déjà endolorie. Les coups n'étaient pas très précis et mes cuisses comme mes reins n'étaient pas à l'abri.

La sensation de douleur s'amplifiait, mais bizarrement je ne criais pas, ne tentait même pas vraiment de résister. J'étais ce qu'il me disait que j'étais : "une salope, une chienne, une chose". La honte me submergeait tandis que je sentais, au delà la douleur, une excitation malsaine m'envahir.
Voyant que je ne gigotais plus, il arrêta de me frapper, me fit asseoir sur la chaise, sortit son sexe au garde à vous, m'attrapa par les cheveux et me força à l'engloutir. Ma bouche allait et venait sur ce morceau de chair odorant, au rythme de ses va et vient. Je ne le suçais pas, il me baisait. Il ne tarda pas à jouir, son sperme envahissant ma bouche. Il me força à avaler et à le sucer jusqu'à ce que son membre mollisse.

Il me lâcha enfin, et d'un ton tout naturel, comme si rien de tout ça ne s'était passé, il me dit très gentiment: "Pourrais-tu nettoyer tout ce bazar avant que ta mère revienne, je vais me doucher"

Comme une automate je m’accroupis pour ramasser les morceaux de verre cassés. Mon peignoir s'écarta entre mes jambes, laissant l'odeur de mon sexe humide remontée à mes narines. Une bouffée de chaleur m'envahit soudain. Mon sexe me démangeait. Il fallait que je me touche, que ma cavité soit emplie, que je jouisse, vite. Tout en nettoyant je me frottais la chatte, serrant et desserrant les cuisses. Je cherchais désespérément un objet à m'enfoncer dans le con. Ne trouvant rien d'autre que le manche trop petit de la petite cuillère qui trainait (Ah vous voyez on y revient), je me dépêchais de nettoyer pour rejoindre ma chambre. Cette attente me faisait plus souffrir que la correction que je venais de recevoir. Mes fesses endolories, je ne les sentais presque plus, mon sexe brulant d'impatience, si !

Enfin je pu abandonner la cuisine qui avait retrouvée un état acceptable.
Je montais les marches 4 à 4 pour rejoindre ma chambre tellement j'étais excitée. Luc sortait juste de la salle de bain, nu, le sexe de nouveau dur. Dans le couloir étroit nous nous croisâmes. Je ne voyais que ce sexe dressé. Je ne sentais que la démangeaison de ma chatte frustrée. N'écoutant que mon instinct animal, je laissais tomber mon peignoir au sol devant lui et dis: "prends-moi".

Nue, offerte, il me dévisageait en silence (cette fois c'était lui qui était interloqué ! un partout et sexe au centre !). A ce moment la porte d'entrée claqua (fin de la première mi-temps ?). Ma mère rentrait. Il me dit : "Habille toi et rejoins moi dans la grange".

J'allais dans ma chambre pour m'habiller. Une jupe et un tee shirt rapidement enfilés sans sous vêtement, me permirent de sortir en moins de deux. J'avais le feu au cul (il n'avait finalement pas tort). J'airais baisé avec n'importe quel mec. Je savais qu'en m'offrant ainsi à Luc, je me jetais dans la gueule du loup. Mais il m'avait mise dans un état second et une seule chose m'en ferais sortir : Baiser. ! J'évitais de passer devant ma mère qui parlait avec Luc dans la cuisine.

La grange, désaffectée, était suffisamment loin de la maison. Elle contenait tout un tas de vieilleries qui auraient méritées la décharge. Je n'eu pas à attendre longtemps. Il entra, referma la lourde porte derrière lui, me regarda en souriant : "A poil salope"

Il aurait pu me demander n'importe quoi sur n'importe quel ton. J'étais prête à tout pour avoir sa bite en moi. Il dégagea un vieux matelas de laine éventré et poussiéreux, le disposa au milieu de la grange. J'étais déjà nue. Je m’installai sur le matelas, allongée sur le dos, les genoux repliés et les cuisses écartées. Je m'offrais comme une pute. Il s'approcha, enleva chaussures, pantalon et slip, se laissa tomber devant ma chatte. Il ne s'embarrassa pas de préliminaire et me planta son engin entre les cuisses sans délai.
Pour la première fois de ma vie, j'ai jouit en moins d'une minute, puis de nouveau quelques minutes après.


Il jouit à son tour. Sitôt après, Il se rhabillât sans dire un mot. Moi je restais nue sur le matelas, vidée (enfin, remplie aussi, j'vous fais pas un dessin!). Avant de quitter la grange, il me balança quelques mots : "t'es vraiment une bonne salope. On va bien s'amuser tous les deux"

Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, immobile, me laissant envahir par le remord, la honte, les larmes. Pourtant je savais qu'il recommencerait, que je ne ferais rien pour l'en empêcher, qu'une fois excitée je serais prête à tout. Et de nouveau ma main s'insinua entre mes cuisses, calmant mes larmes et mes remords dans un nouvel orgasme.

Je me suis traînée tout le reste de la journée, épuisée, à ne rien faire, ne pensant qu'à une seule chose. Comment se passerait mon prochain tête à tête avec Luc ? Quand aurait-il lieu ?

Ma mère me trouvait bizarre et avait peur que je sois malade. Si elle savait !

Note de l'auteur : vous avez aimé... ou pas ! Laissez un message à mon adresse. Réponse assurée !

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