Fadela, Ma Voisine Du Dessous Première Partie: Fadéla

Fadéla, ma voisine du dessous
Première partie : Fadéla

Mon aventure amoureuse avec Fadéla, ma voisine du dessous, commença curieusement. Je connaissais plus ou moins l’existence de cette femme que je n’avais encore jamais vue - ou que je n’avais jamais remarquée - par les cris de colère et de fureur que j’entendais pratiquement tous les jours dans l’appartement du dessous, à travers le parquet et les murs. J’entendais des voix de femmes et d’hommes se disputer sans discontinuer. Il me semblait qu’une voix dépassait toutes les autres, tant pas son intensité que par les paroles - souvent très méchantes – qu’elle prononçait. De plus cette voix était toujours présente. C’était, me semblait-il, le dénominateur commun des disputes. En mon for intérieur, je me disais que cette femme devait être une vraie mégère, qu’il serait dangereux et malvenu de fréquenter.
En fait j’étais vraiment à côté de la plaque. Je fis sa connaissance, un matin vers huit heures trente minutes, au moment où je m’apprêtais à sortir pour rejoindre mon lieu de travail. C’était ce moment que choisit Fadéla – je sus assez rapidement qu’il s’agissait de la dame des disputes - pour frapper vigoureusement à ma porte. J’ouvris pour tomber face-à-face avec celle que je prenais pour une mégère. C’était une femme grande, brune et mince d’environ trente-cinq ans, vêtue d’une djebba – fine robe d’intérieur en coton – qui lui arrivait à mi-mollet et qui mettait en valeur, ou plutôt qui suggérait - à chacun des mouvements qu’elle faisait - un corps superbe.
Elle était venue, me dit-elle, pour signaler une fuite d’eau dans la salle de bain, qui avait traversé le parterre de mon logement puis le plafond du sien et avait causé des dégâts importants chez elle. Avec les coupures d’eau presque quotidiennes, j’avais effectivement oublié de fermer le robinet de la baignoire et celle-ci, au retour de l’eau vers cinq heures du matin, s’était remplie à ras bord.

Malgré le siphon, insuffisant pour absorber tout le trop plein, elle avait fini par déborder. L’eau s’était vite répandue dans la salle de bain et le couloir. Je ne m’en étais rendu compte qu’en me levant vers sept heures trente, le matin. Je dus prendre une serpillière et un seau pour enlever toute l’eau qui s’était répandue. Mais c’était trop tard, elle avait déjà traversée le carrelage de ma salle de bain et s’était répandue sur le plafond de celle du dessous.
Dès que j’entendis les coups frappés sur la porte, je sus qu’il ne pouvait s’agir que de cela. J’avais donc préparé mentalement toute une série d’excuses pour me faire pardonner ma négligence et, en ouvrant la porte, je me trouvais en face d’une superbe plante. Je perdis alors toute mon assurance devant elle et me mis à bafouiller, dans un arabe approximatif, des mots d’excuse inaudibles et incompréhensibles.
Elle se mit à rire de bon cœur et me demanda de la laisser entrer pour examiner elle-même les dégâts. Je la fis entrer, sans même réfléchir à l’inconvenance de la situation : une femme mariée, seule dans un appartement, en compagnie d’un homme. Elle entra, promena, avec une curiosité bien féminine, son regard partout. Elle pénétra rapidement dans la salle de bain, puis visita, sans aucune gêne, la chambre à coucher, le salon et, bien entendu, la cuisine.
- Cela se voit que c’est un appartement de célibataire ! dit elle. Il y a un désordre indescriptible ; il te faudra une femme pour y mettre un peu d’ordre.
J’étais estomaqué devant tant de liberté et de sans gêne. Je ne m’en offusquai pourtant pas ; au contraire, je me mis à la regarder plus attentivement ; elle me plut immédiatement. D’abord physiquement ; elle était réellement agréable à regarder ; aussi bien son visage ovale, avec des traits fins, de grands yeux rieurs de couleur grise, une grande bouche entourée de belles lèvres charnues, un menton énergique, légèrement avancé, qui lui donnait un charme particulier. Ensuite elle avait un corps mince qui dégageait une très forte impression de souplesse (une véritable liane ! pensa-t-il, immédiatement), avec des rondeurs bien placées, que la djebba, mettait en évidence à chacun de ses mouvements.

Elle me plut aussi par son comportement : aucune gêne, aucune hypocrisie ; un langage direct, sans faux fuyants. Elle avait sur les lèvres un sourire permanent, un peu narquois et moqueur. Elle alla s’asseoir sur le grand divan du salon, sans même attendre que je le lui propose, et me demanda de lui ramener un verre d’eau. Un peu gêné par la tournure que prenaient les choses, et n’ayant que de l’eau du robinet, je lui proposai un jus ou une limonade à la place; elle refusa et se contenta d’un simple verre d’eau tiède, directement puisé au robinet. Ce jour là elle resta environ une demi heure; temps qui me parut interminable; j’espérais pourtant qu’elle resterait encore plus longtemps, le temps d’achever notre discussion et de mieux faire connaissance. D’un autre côté, je commençais à penser au scandale qui pouvait éclater, si la famille de la dame débarquait pour savoir pourquoi elle traînait autant.
- Ne t’en fais pas pour cela ; personne ne sait que je suis ici. Je leur ai simplement dit à ma belle sœur que j’allais chez Attika, une voisine et amie, pour l’aider à la cuisine.
Elle en profita pour me faire connaître sa technique pour sortir de chez elle, sans avoir rien à demander à personne.
- Il me suffit de provoquer la veille, une dispute de forte intensité et de profiter des fâcheries qui s’ensuivent, pour me donner la liberté de quitter la maison, au petit matin, sans avoir à demander la permission à quiconque et, bien entendu, sans que personne n’ait à protester.
Ma surprise ne s’arrêta pas là : avant de partir, elle me fit la confidence qu’elle s’intéressait à moi depuis que j’avais emménagé dans l’appartement du dessus et qu’elle avait toujours été curieuse de voir comment je vivais et qui je fréquentais ; si j’étais marié (elle sut rapidement que non !) si j’avais une ou des maîtresses. Elle m’avait même avoué qu’elle avait lu quelques uns des articles d’analyse politique que je faisais paraître assez régulièrement dans la presse.

- Je n’ai pas toujours tout compris ! En fait je ne m’intéresse pas beaucoup à la politique. Mais je suis assez fière de faire la connaissance d’un intellectuel courageux.
Au moment de sortir, elle m’embrassa sur la joue et me dit en m’envoyant une œillade coquine, qu’elle allait revenir le lendemain matin, pour rester avec moi un peu plus longtemps.
Je ne m’attendais absolument pas à cela. Je me mis à gamberger à toute vitesse. Je me posais toutes sortes de questions sur le type de relations que je pouvais bien avoir avec une femme mariée, mère de famille et voisine de surcroît. Je n’avais aucun scrupule à avoir comme maîtresse une femme mariée et mère de famille ; je pensais surtout au scandale que cela pouvait causer, si cela venait à s’apprendre ; scandale pour elle surtout, qui avait tout à perdre. Mais la joie et l’impatience finirent par l’emporter, effaçant les pensées sombres qui trottaient dans ma tête.
Je passais la soirée, à mon retour du travail, à préparer la rencontre du lendemain matin : je fis un peu de ménage - vaisselle, parterre et poussière- remplis le réfrigérateur de boissons, yaourts, fruits et fromages et, surtout, changeai les draps du lit. Le lendemain elle frappa à la porte, à la même heure que la veille. Ce matin aussi, elle était vêtue d’une djebba en coton, qui n’était différente de l’autre que par la couleur : celle d’aujourd’hui était orange avec des motifs à dominante bleue. Comme la veille, elle n’était pas maquillée et avait la même coiffure : une queue de cheval qui s’arrêtait entre ses omoplates.
Elle était belle et désirable ; et elle le savait ! Elle en jouait ! Elle pénétra dans l’appartement et se dirigea directement vers la chambre à coucher. Elle passa devant moi avec un dandinement provocant des hanches, qui mit immédiatement le feu à mon sang.
- Je ne peux pas rester longtemps ! dit-elle. J’ai dit à ma belle-sœur que j’allais chez Attika, pour l’aider à préparer des gâteaux et j’ai informé Attika, à qui je dis toujours tout, que je venais ici.
Au cas où la famille chercherait après moi ; elle n’aura qu’à me téléphoner pour m’avertir !
Je n’avais cure des explications qu’elle me donnait ; tout ce que je voulais pour le moment, c’était elle. Je courus presque derrière elle pour la rattr juste à l’entrée de la chambre à coucher. Le grand lit se trouvait juste à gauche en entrant. Je lui pris la main et l’obligeai à se retourner pour me regarder. Elle avait les yeux baissés et sur les lèvres, un sourire un peu timide, comme si elle n’était pas très fière de ce qu’elle était entrain de faire. Elle se reprit pourtant très vite, en me lançant subitement un regard provocateur et en approchant sa tête de la mienne pour quémander un baiser. Sa bouche était ouverte, ses lèvres tendues vers les miennes, mais elle avait fermé les yeux, comme pour ne pas voir ce qui allait fatalement se passer ou – plus prosaïquement pour mieux apprécier le baiser qu’elle allait recevoir. J’hésitais une fraction de seconde entre lui donner un premier baiser en douceur ou alors y aller franchement avec un baiser torride et mouillé.
J’optais finalement pour y aller franchement. Je pris ses lèvres entre les miennes en les enveloppant complètement. Je lançais ma langue à l’assaut de sa bouche pour forcer la barrière de ses dents, qui s’écartèrent immédiatement. Au jeu du baiser mouillé, Fadéla était championne. Elle avait une langue chaude et agile qui n’arrêtait pas de bouger à l’intérieur de sa bouche. Non seulement elle ne fuyait pas devant l’intrusion de la mienne, mais allait franchement à sa rencontre pour se colleter avec elle. Nos deux langues s’affrontaient en duel, chacune prenant un moment le dessus sur l’autre, avant que l’autre ne reprenne l’initiative et repousse l’attaque en pénétrant dans la bouche adverse.
Ce fut un baiser torride, qui dura une éternité et qui nous mena tous les deux au bord de l’. Nos salives se mélangeaient et chacun à son tour s’en abreuvait. Nos corps étaient collés l’un à l’autre. Fadéla frottait son ventre contre le bas de mon pantalon, comme pour tâter mon bas ventre et se rassurer quant à mon degré d’excitation. Elle sentit très vite l’énorme bosse que faisait mon sexe sur le devant de mon pantalon. Elle montra son contentement en attrapant ma langue entre ses lèvres et en essayant de la sortir de ma bouche. Je fis ce qu’elle voulait et tirai la langue qu’elle se mit à sucer et à titiller. Je ressentais une étrange sensation de langue aspirée dans un orifice chaud et humide que venait lécher une autre langue, agile comme une anguille. C’était délicieux et tellement érotique !
A bout de souffle nous arrêtâmes le baiser. Nos têtes se séparèrent et s’éloignèrent légèrement pour examiner son effet sur nous. Nous nous regardâmes et vîmes immédiatement le bonheur que l’un et l’autre avait tiré du baiser. Je la serrai très fort dans mes bras pour lui transmettre tout mon contentement et me mis à lui caresser la nuque sous sa queue de cheval. Elle posa sa tête contre mon épaule et se laissa caresser en ronronnant doucement. Son ventre continuait à se frotter contre le devant de mon pantalon, titillant mon sexe, qui commençait à se sentir à l’étroit.
Ma main quitta la nuque de ma belle pour aller caresser son dos, ses reins et s’attarder sur ses fesses. Mon Dieu ce que son fessier était ferme ! Je caressai et tâtai l’une et l’autre des fesses, appuyant au passage, mais sans trop insister sur la raie. Fadéla semblait aimer ce que je lui faisais: elle bougeait ses hanches lentement pour mieux ressentir mes caresses. J’étais au summum de l’excitation. J’avais envie de la soulever du sol et de la jeter sur le lit à proximité pour la tirer en force. Je voyais à ses yeux brillants qu’elle aussi voulait que je la baise tout de suite. Qu’elle en avait vraiment envie !
- J’ai envie de te prendre immédiatement ! Je suis incapable d’attendre plus longtemps ! On baise tout de suite et on fera l’amour plus tard, quand on sera moins excité ! Tu veux ?
- Oui ! Oui ! Baise-moi ! Montre-moi ton zob ! J’ai senti qu’il est immense ! Montre le moi !
Je m’éloignai un peu d’elle pour enlever le pantalon de pyjama que je portais et en sortir l’immense queue qui frétillait d’impatience.
- Ouah ! ça c’est un zob ! Absolument ce qu’il me faut ! Viens vite !
Je la soulevai du sol et la posai en travers du lit. Je soulevai le bas de sa robe pour dénuder ses jambes et ses cuisses et avoir accès à son paradis. Elle ne portait pas de bas. Ses jambes étaient superbement galbées. Ses genoux étaient ronds et brillants. Et ses cuisses luisaient et semblaient très fermes. Le tout était d’une couleur mâte, presque café au lait. Elle tenait ses jambes serrées, comme si un reste de pudeur lui commandait de se comporter ainsi. Je posai une main sur son genou gauche, le caressai un court instant ; puis je fis pénétrer ma main entre les genoux, la forçant ainsi à les écarter pour la laisser remonter jusqu’à son entrecuisse. Elle s’ouvrit insensiblement, au fur et à mesure que ma main avançait. Je découvris son entrecuisse, encore protégée par une petite culotte rouge. Je me plaçai entre ses jambes et me mit à caresser sa chatte à travers le tissu de sa culote.
Au contact de ma main, tout le corps de Fadéla se tendit. Elle souleva ses hanches pour donner plus de prise à ma main. Je caressai encore un moment la chatte à travers le tissu, puis introduisis un doigt pour écarter le bas de la culotte et dénuder la vulve. Celle-ci apparut devant mes yeux exorbités. Il n’y avait aucune trace de poils. Fadéla avait dû s’épiler très soigneusement la veille. «Rien que pour moi ! », pensai-je, ému. La chatte, de couleur sombre était fine et longue. Les grandes lèvres étaient très finement ourlées et formaient un triangle super sensuel. Avec un doigt, je forçais les grandes lèvres à s’ouvrir pour laisser apparaître de magnifiques petites lèvres rouge vif, luisantes de mouille et palpitantes de désir.
Je fis pénétrer un doigt, sans trop forcer, rien que pour tester la douceur et l’humidité du lieu. C’était divin ! Chaud, doux et totalement mouillé ! Il se dégageait de la chatte de ma belle une odeur enivrante de musc ; Une odeur aphrodisiaque ! Il fallait absolument que je fourre mon nez et ma bouche dans le jardin de Fadéla ! Je lui dis que j’allais lui embrasser sa chatte. Elle eut l’air surprise. Comme si c’était la première fois qu’elle recevait une telle proposition ! Comme si jamais sa chatte n’avait été embrassée et sucée ! Elle releva la tête et me lança un regard curieux, en suivant le mouvement de ma tête et de ma bouche sur sa chatte. Je commençai à poser mes lèvres sur ses grandes lèvres pour un léger baiser d’introduction. Avec deux doigts j’écartai les grandes lèvres pour prendre possession de ses petites lèvres et de son clitoris que je léchai et suçai avec force.
Fadéla trouva la chose agréable et se mit à pousser de tous petits gémissements tout en relevant ses hanches et en me tenant la tête pour mieux accroître le contact de ma bouche et de sa chatte et pour me faire savoir que c’était délicieux et qu’il ne fallait pas que je m’arrête. J’enlevai quelques secondes ma tête d’entre les cuisses de ma partenaire, pour lui arracher sa petite culotte et me replonger complètement à l’intérieur sans qu’aucun obstacle ne vint s’opposer au cunnilingus d’enfer que je m’apprêtais à lui offrir. Je lui fis relever très hauts les jambes qu’elle plia et reposa de part et d’autre de sa poitrine. Je suçai et léchai les petites lèvres en prenant de temps en temps possession du petit clitoris durci par le désir, que je mordillai et suçai, en tirant des petits cris de plaisir de Fadéla, qui appuyai de plus en plus sur ma tête et relevai ses hanches par de petits mouvements brusques et saccadés. Ma langue essayait d’aller au plus profond de son vagin et y ramasser toute la cyprine qu’elle pouvait avaler. Le goût légèrement salé et acidulé de son jus était merveilleux !
Fadéla commençait à manquer d’air ; sa respiration devenait de plus en plus rapide et saccadée. Ses petits cris se transformaient en râles rauques qui provenaient de ses entrailles les plus profondes. Elle releva encore plus haut ses hanches et s’immobilisa dans cette position, sentant arriver un énorme orgasme. Il arriva tel un torrent en furie. Elle poussa un long cri en déchargeant des litres de cyprine dans ma bouche. Ses mains poussèrent encore plus fort sur ma tête, m’obligeant à tout avaler. Au bout d’un temps qui me parut une éternité, elle s’effondra sur le lit, la bouche grande ouverte, pour reprendre sa respiration. Elle desserra son étreinte sur ma tête, me permettant de reprendre moi-même ma respiration. Je vins m’allonger près d’elle pour la regarder reprendre son souffle. Elle ouvrit les yeux et me fit un petit sourire timide, comme si elle avait eu honte de ce qui s’était passé.
- Ne me dis pas que tu n’as jamais pratiqué le cunnilingus ! Ni avec ton mari, ni avec un amant !
- Jamais ! D’ailleurs, je n’ai jamais eu d’amant ! Tu es le premier !
- Tu as aimé ?
- Oui ! répondit-elle, en baissant les yeux. C’était merveilleux !
J’étais réellement étonné. J’étais à mille lieues de me douter, en tenant compte du sans-gêne dont elle avait preuve jusque là, qu’elle n’avait jamais trompé son mari. Ni eut des expériences érotiques auparavant. Elle m’apprit qu’elle avait toujours été fidèle à son mari, qu’elle avait beaucoup aimé.
- Je crois même que je l’ai toujours adoré. Ce n’est que ces derniers temps que l’envie de le tromper est entrée dans ma tête. Je suis tellement malheureuse et en colère contre lui ! Il n’a pas arrêté de me mentir !
- Et avec lui, ne me dis pas que vous vous contentez d’un coït rapide, la nuit dans le noir ? A la missionnaire !
- Absolument ! Depuis que nous nous sommes mariés, il y a maintenant huit ans, nous n’avons jamais eu d’intimité réelle. Nous vivons avec toute la famille dans le trois pièces en dessous du tien. Dis-moi où on aurait pu avoir assez de temps libre pour faire l’amour, comme toi tu le fais ! Et puis, il y a plein de choses qu’il n’est absolument pas question de faire. Comme ce que tu viens de me faire.
- Te sucer la chatte ?
- Oui cela et bien d’autre chose dont j’entends parler mais que je ne pourrais jamais faire.
- Et avec moi, tu es prête à le faire ? Promet-moi que tu ne me refuseras rien de ce que je te proposerai de faire ! Au moins une fois. Si après cette première fois, tu n’aimes pas, tu me le dis et je ne recommencerai pas. Promets !
- Oui, je promets !
Je l’embrassai tendrement, un peu pour la déculpabiliser, beaucoup pour lui faire sentir qu’il n’y avait chez moi aucune espèce de jugement de valeur. Je lui dis que je la trouvais merveilleuse et qu’elle était super bandante. Je lui dis qu’il fallait maintenant passer aux choses sérieuses ; faire profiter mon manche de sa superbe chatte.
- Regarde-le comme il est impatient ! Il veut te posséder ! Comment veux-tu que je te prenne ? En douceur ou en force ?
- En douceur ! Je veux sentir ton gros sexe me posséder progressivement ! Occuper tout mon vagin ! Frotter contre la paroi ! Me faire sentir sa force et sa douceur ! Mon mari lui, me prend toujours en force et vite. Je n’ai jamais eu le temps d’apprécier ses coups de reins, ni le va-et-vient de son sexe à l’intérieur de ma chatte. A peine commençai-je à être excitée et à mouiller, qu’il éjacule et se retire. Il s’endort tout de suite après. Je veux jouir par ton gros sexe ! Je veux le regarder entrer et sortir ! Je veux le voir me posséder, devenir mon maître ! J’en rêve depuis toujours !
Je me positionnai entre les jambes de ma belle que je lui fis écarter, relever et plier pour les faire reposer de part et d’autre de sa poitrine. Je posais le bout du gland entre ses grandes lèvres et lui fit faire une série d’allers-retours superficiels sur la fente. Rien que pour l’habi à sa présence. Je regardais Fadéla dans les yeux pour voir l’effet de mes caresses. Elle souriait en regardant le sexe se promener sur sa chatte. Elle tendit la main pour le saisir. Je la laissai faire. Elle le prit, le tâta un moment, me regarda pour mendier un encouragement, et se mit à lui faire faire des allers-retours sur sa fente à un rythme plus rapide que le mien. Elle commençait à gémir. Des tous petits gémissements ; presque des sifflements. De la salive commençait à couler de sa bouche. Elle ne semblait même pas s’en rendre compte, tant elle était à son plaisir de jouer avec l’énorme manche. Elle le tirait maintenant pour qu’il pénètre à l’intérieur. Elle ne parlait pas. Probablement une habitude qu’elle avait prise avec son mari, avec lequel les séances de jambes en l’air semblaient avoir été surtout des corvées.
Elle me regardait avec un air suppliant, comme pour me prier de prendre les choses en mains, de la pénétrer et de la faire grimper aux rideaux. Je lui fis enlever la main de sur mon sexe, la pris par les hanches et me mis à la pénétrer doucement jusqu’au fond ; jusqu’à ce que mes couilles viennent heurter ses grandes lèvres. Je fis refaire à l’engin le chemin du retour, toujours lentement ; je le fis sortir totalement du vagin, pour permettre à Fadéla d’admirer la scène qui lui faisait vivre un de ses fantasmes de jeune fille et de femme : regarder le spectacle d’un gros zob entrant et sortant de sa chatte. Elle regardait avec des yeux brillant de plaisir et de désir. Ses petits gémissements prirent de l’ampleur et devinrent de plus en plus rauques. Ses hanches se mirent à bouger ; ses mains s’accrochèrent à ma taille, qu’elle tirait avec force pour que je pénètre encore plus profond en elle. Elle voulait maintenant que j’aille de plus en plus vite et de plus en plus profond.
Elle ne parlait toujours pas. Ne disais pas ce qu’elle voulait que je lui fasse. Elle parlait avec ses bras qui tiraient très fort sur ma taille ; elle parlait avec ses yeux qui se voilaient de plus en plus ; elle parlait avec ses gémissements et ses sifflements qui augmentaient en intensité ; elle parlait aussi avec sa tête qu’elle balançait à un rythme de plus en plus infernal. Elle qui voulait que je la tire avec douceur, exigeait maintenant de moi que j’emploie toute ma force et surtout la force du sexe qui était en elle. Je ne me fis pas prier et me mis à la pilonner brutalement, en accompagnant chaque coup d’un ahanement de boxeur cognant contre un sac de sable. Pour corser le tout, je me mis à faire faire à mes hanches un mouvement circulaire pour lui faire sentir encore plus la force de mon sexe. Le Vagin de ma belle était si accueillant, chaud, visqueux et moulant. C’était le nid parfait pour mon gourdin. Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme et que l’éjaculation allait arriver très vite, parce que je ne pouvais plus la contrôler longtemps. Or je ne voulais absolument pas jouir avant Fadéla. Je voulais lui faire connaître autre chose que les petits coïts décevants qu’elle avait avec son mari.
J’arrêtais un moment le mouvement de va-et-vient en restant quelques secondes immobile au fond de son vagin. Je la sentais déçue que je ne continue pas à la pilonner en force. Je repris le mouvement de va-et-vient, un peu plus lentement. Je voulais gagner un peu de temps pour introduire mon doigt dans son anus et lui faire connaître une sensation encore plus forte, dont j’étais sûr qu’elle la ferait jouir plus vite et plus fort. Elle se crispa au moment où mon doigt entra complètement dans son rectum (elle essaya même de l’expulser) puis trouva la sensation de ses deux trous bouchés tellement merveilleuse que ses gémissements reprirent de plus belle et de plus en plus fort. Elle semblait surtout aimer les moments où mon engin dans son vagin, croisait mon doigt dans son cul et que les deux se frottaient l’un à l’autre. Sa tête reprit et accéléra ses balancements et sa bouche laissait passer maintenant des litres entiers de salive.
Pour moi aussi c’était le paradis ! Mon sexe était sur le point d’éclater ! J’accélérai le rythme de mes deux pénétrations et je sentis ma belle tendre tous ses muscles. Son regard devint complètement hagard et ses lèvres se serrèrent tellement qu’elles se vidèrent de tout leur sang. Et soudain, l’orgasme arriva, très bruyant, très fort et très long. Elle déchargea en criant et déversa une tonne de cyprine, que les va-et-vient continus de mon sexe rejetaient à l’extérieur, sur le drap du lit.
Ce fut identique pour moi. Car une fraction de seconde après elle, je sentis arriver, du fond de mes tripes, une jouissance paroxystique. Je commençai par lâcher une première bordée d’un sperme blanc, épais et brûlant au fond du vagin de ma belle. Il alla se mélanger à tout le jus secrété par la chatte de Fadéla. Une grande partie ressortit à l’extérieur sous les coups de boutoir de mon engin. Une deuxième, une troisième, une quatrième, et peut être même, une cinquième giclée de sperme vinrent inonder le vagin de ma mie et finirent en grande partie par s’étaler sur le drap sous les fesses de ma partenaire. Nous étions aux anges. Nous mîmes longtemps à reprendre notre souffle et à retrouver un semblant de forme. Je sortis de la chatte de Fadéla et vins m’allonger à ses côtés en travers du lit.
- Dis-moi que tu as adoré ! lui dis-je, un peu anxieux de sa réponse.
Son sourire radieux (même si elle avait baissé hypocritement les yeux pour ne pas avoir à me regarder en face) m’avait donné la réponse, avant que sa bouche ne me le confirme.
- C’était bon !
- Rien que bon ? Pas plus que cela ? Je suis déçu !
- Très bon ! Oui, c’était merveilleux ! J’en redemande ! finit-elle par avouer d’une voix forte ; comme si elle avouait l’inavouable ; une chose honteuse. Je n’ai jamais joui comme cela ! Je crois même que je n’ai jamais réellement joui ! Ni avec mon mari, ni en me masturbant pour éteindre le feu qui de temps en temps m’étreint le bas ventre et le bout des seins! Tu sais j’ai honte de ce que j’ai fait ! Tromper mon mari d’abord et prendre autant de plaisir ensuite ! Je culpabilise un peu.
- Il n’y a vraiment pas de quoi ! Il n’y a rien de plus important dans la vie que de prendre du plaisir. Les hommes et les femmes sont formatés pour le bonheur physique ; pour la jouissance sexuelle. Alors si ton mari ne te donne aucun plaisir au lit, il ne faut pas culpabiliser de le prendre ailleurs. Et puis, il faut dire que tu es un vrai bon coup ! Je ne comprends pas pourquoi tu n’as pas connu jusqu’ici de plaisir physique; avant et après ton mariage.
Fadéla se mit alors à me raconter sa vie. Comment elle s’était retrouvée mariée avec un homme qui ne lui apportait pas de bonheur. Avant de se marier, elle travaillait comme infirmière au service ophtalmologique de l’hôpital Mustapha Bacha d’Alger. C’était là qu’elle avait fait la connaissance de Ali, son futur mari, qui accompagnait sa maman, venue pour une opération de la cataracte; il l’avait rapidement séduite parce qu’il était beau, qu’il parlait bien et qu’il avait un bon travail dans une entreprise publique de promotion immobilière. Il lui avait fait croire qu’il allait rapidement disposer d’un appartement et qu’ils y vivraient seuls avec les nombreux s qu’ils auront. Elle avait accepté de l’épouser et de vivre, quelque temps, avec sa belle famille, en attendant « son logement à elle ».
Elle déchanta très vite. Mais il était trop tard, puisqu’elle tomba enceinte, tout aussi vite. Elle quitta son travail un peu avant d’accoucher de son premier et, depuis, vivait presque recluse, au milieu de cette grande famille, où il ne se passait pas un jour sans qu’une dispute monumentale n’éclatât : entre elle et sa belle mère ; entre elle et sa belle sœur ; entre elle et son mari ; c’étaient ces disputes que j’entendais pratiquement tous les jours à travers les murs et le plafond.
- Avec le temps et les déceptions, avec la malvie et la promiscuité, avec un mari qui avait fini par m’avouer qu’il n’avait absolument aucune intention de trouver un logement et de vivre seuls avec ses s et moi, j’ai fini par devenir neurasthénique et par détester tout le monde. Même mes s (un garçon de sept ans et une fille de cinq) qui avaient été un temps le centre de ma vie, ont fini par me devenir indifférents ; comme s’ils étaient responsables du fait que j’ai fini par accepter cette vie minable. Il m’arrive même d’avoir des idées de divorce et d’abandon des s.
- Tu as bien raison de te révolter. Tu as un bon métier et tu peux être économiquement indépendante. Tu peux donc divorcer (ou forcer ton mari au divorce en abandonnant le foyer) et refaire ta vie avec tes s.
- Impossible : d’une part mes parents ne voudront jamais que je revienne à la maison avec mes s ; d’autre part mon mari pourra me laisser partir seule, mais jamais avec les s. Un vrai dilemme. Il ne me reste donc que la solution de lui faire porter des cornes et de prendre du plaisir le plus longtemps possible avec toi. Si tu veux de moi !
- Bien sur que je veux de toi ! Ne crois pas que je vais te lâcher facilement ! D’ailleurs, regarde comme je veux de toi !
Je lui montrai mon sexe qui avait repris de la vigueur et qui avait envie de faire son nid quelque part. Elle le regarda avec un sourire gourmand. Elle tendit la main pour le caresser.
- J’ai envie de l’embrasser. Je peux ?
- Et comment que tu peux ! Tu vas même faire mieux que cela : tu vas le sucer !
- Mais je ne sais pas comment on fait ! Et puis je ne veux pas avaler de sperme ! C’est dégueulasse !
- Qui t’a mis en tête de telles bêtises. Fais-le d’abord une fois et si tu trouves que c’est vraiment dégueulasse, alors on ne le refera plus. Il ne faut jamais dire non, sans avoir essayé.
Je la fis mettre à genoux par terre à côté du lit et m’assis sur le rebord du lit, le sexe brandi comme un mât de dau. Je lui pris la tête et la fit avancer vers l’engin en le dirigeant vers sa bouche. Je sentis une résistance ; elle avait peur de ce qui allait se passer. J’appuyais plus fortement sur la nuque pour l’obliger à s’avancer en lui intimant l’ordre d’embraser le gland et toute la hampe. Elle le fit avec précaution. Les baisers étaient furtifs. J’exigeais qu’elle recommençât avec plus d’enthousiasme. Elle recommença effectivement en appuyant un peu plus fortement ses lèvres. Je lui dis de refaire encore une fois, puis encore une fois. Elle se prit au jeu et finit par remplir mon sexe de baisers de plus en plus chauds et mouillés et de plus en plus appuyés.
- Lèche-le ! ordonnai-je.
Elle obéit sans broncher. Elle sortit sa langue et se mit à lécher mon membre depuis le gland jusqu’aux couilles et retour. Elle vit rapidement le plaisir que je prenais et recommença plusieurs fois, en relevant à chaque fois la tête pour voir comment j’accueillais ses coups de langue. Elle semblait très fière du résultat. Mais je voulais maintenant qu’elle ouvre la bouche et qu’elle laisse l’engin y pénétrer pour y faire son nid. Je le lui dis. Elle releva la tête, me regarda et vit à mon regard que j’étais très sérieux. Que je voulais jouir dans sa bouche. Elle hésita une seconde, puis écarta ses lèvres et ses dents. Elle tenait toujours l’engin dans sa main. Elle avança la tête et fit pénétrer le gland entre ses lèvres. Ses dents n’étaient pas totalement écartées. Elles ne permirent pas au gland d’entrer complètement dans la bouche. Je lui demandai de plus les écarter. Elle le fit et je pus enfin connaître la chaleur et l’humidité de sa bouche. Elle me faisait un peu mal avec ses dents qui raclaient la hampe de mon sexe. Je le lui dis. Elle les écarta un peu plus. Je pus alors faire pénétrer une grande partie de la hampe jusqu’au fond de sa bouche.
Elle n’avait encore jamais connu cette sensation, à la fois douce et désagréable, d’un corps étranger qui prend possession de sa bouche et qui cherche à faire son chemin jusqu’au fond de la gorge. Elle étouffait un peu parce qu’elle ne savait pas encore comment s’octroyer des moments de repos pour respirer, en profitant des allers-retours du sexe. Elle faillit même vomir. Mais Fadéla était courageuse et ne voulait pas me décevoir. Elle supporta donc les premiers désagréments de la fellation et en suivant les indications que je lui donnais, elle finit par s’y prendre comme une professionnelle. C’était maintenant elle qui menait le bal : elle tenait le manche dans une main qu’elle faisait aller et venir sur lui en l’accompagnant dans sa course à l’intérieur de la bouche jusque dans la gorge.
De temps en temps, elle levait son visage vers moi pour vérifier que je prenais du plaisir. Je voyais ses yeux qui larmoyaient, ses narines qui coulaient et de la bave qui sortait des deux côtés de sa bouche. Le spectacle de cette femme qui s’escrimait ainsi sur mon engin était super excitant. Je sentais que je n’allais pas tarder à jouir. Je sentais le besoin de prendre les choses en main, de la prendre par sa queue de cheval et de lui enfoncer le membre jusqu’à la glotte et même plus loin. Je sentais l’envie de la baiser par la bouche comme je l’avais fait avec sa chatte : brutalement. Je m’abstins pourtant de le faire, me disant qu’elle n’était pas encore prête pour cet extrême. Ce sera pour demain ou un autre jour.
Pour le moment je laissai faire Fadéla qui continuait imperturbablement à pomper, attendant le moment où je jouirai dans sa bouche. Je lui fis accélérer le mouvement de sa tête et de sa main sur mon sexe de manière à faire arriver la jouissance plus rapidement. Elle sentit, à ma crispation et au râle de mourant que je poussai, que j’allais éjaculer. Elle essaya de retirer sa tête pour éviter que je le fasse dans sa bouche mais je lui maintins le crâne de manière à ce qu’elle ne puisse pas s’enfuir. Je voulais éjaculer au moins une partie dans sa bouche pour qu’elle puisse goûter au sperme et décider en connaissance de cause de continuer ou de refuser l’éjaculation buccale. La première giclée arriva très forte. Elle se répandit dans le fond de sa bouche. Elle eut une première réaction de rejet, tant la viscosité et le goût du liquide lui paraissait bizarre. Je l’en empêchais en laissant mon sexe enfoncé dans sa bouche. Elle fut obligée d’avaler une grande partie du foutre pour ne pas . Je sortis alors mon sexe de sa bouche et me mis à le masturber pour éjaculer le reste du sperme sur son visage et sur son cou. Je ne savais pas ce qu’elle avait ressenti réellement de cette première fellation. Le regard qu’elle me lança à la fin de l’opération était un regard de fierté d’avoir réussi quelque chose d’important.
- Tu as aimé ?
- Pas au début ! Mais je crois que j’ai bien appris à sucer ! N’est-ce pas ?
- Tu es très douée ! Est-ce que tu as aimé avaler mon sperme ? Comment as-tu trouvé son goût ? Dis-moi la vérité !
- J’aime assez son goût, mais pas sa viscosité ! Je pense que je m’y ferai vite. J’adorerai toujours tout ce qui vient de toi !
Je lui pris la main et lui fis essuyer avec le sperme qu’elle avait sur le visage et le cou. Je lui dis que j’aimerai la voir le lécher et l’avaler en me regardant. Elle hésita un petit moment, puis fit ce que je lui demandai. Elle passa sa main partout où il y avait encore des traces de sperme et la porta à sa bouche pour lécher et avaler. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Ils étaient malicieux et moqueurs. Ils semblaient me dire : « Tu vois, tu n’as qu’à ordonner et moi j’obéis ! Tu veux que je boive ton sperme ! Je le fais sans hésitation ! Tu veux que j’aime ton sperme ! Alors j’aime ton sperme ! »
Merveilleuse Fadéla ! Femme superbe que le destin avait mise sur mon chemin pour me rendre heureux et pour que je lui donne la part de bonheur que jusque là la vie lui avait refusée. Je lui dis qu’elle avait été créée rien que pour moi. Et que moi j’étais sur terre rien que pour la rendre heureuse. Elle était heureuse d’entendre ces mots, qui étaient réellement sincères. Elle voulait connaître l’amour et pensait qu’elle l’avait enfin rencontré, juste à côté de chez elle. C’est le moment que choisit Attika, son amie et sa complice, pour l’appeler et lui annoncer qu’un avis de recherche avait été lancé par sa belle-sœur. Elle lui avait répondu qu’elle était entrain de descendre pour rentrer à la maison. Fadéla, n’eut que le temps de se débarbouiller et de filer en vitesse, en me donnant rendez-vous pour le lendemain.
Nous nous revîmes ainsi pratiquement tous les matins pendant deux mois. Je n’allais au travail qu’à partir de midi (mais je restais tard le soir pour combler les heures non travaillées du matin). J’étais mon propre patron ; je pouvais donc me permettre de choisir mes horaires de travail. Avec Fadéla nous passâmes des matinées torrides à jouir comme des bêtes, à pratiquer l’amour vraiment libre et sans tabous. Un ange gardien, Attika, protégeait nos amours. Fadéla, sous ma conduite, se libéra très vite de ses inhibitions culturelles : elle accepta tout de moi, y compris mon côté sexuellement pervers. La seule chose que, jusque là, je n’étais pas arrivé à lui faire, c’était de la sodomiser. Malgré toute mon insistance elle refusa toujours de se faire enculer. Elle mêlait toutes sortes d’arguments : moraux, religieux et même médicaux. En fait il s’agissait d’un atavisme social et d’un tabou, qu’elle avait beaucoup de mal à dépasser. Cela dura ainsi jusqu’à l’intervention heureuse de Attika, qui deux mois après ma rencontre avec Fadéla, vint prendre sa place entre nous. Et quelle place !

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