3-J'Aime Les Hommes

UNE TOUTE PREMIÈRE FOIS

chapitre trois

Après avoir vu Jérôme se faire mettre par le boulanger, je n'avais qu'une hâte, c'était de retrouver le vieux pour ma seconde leçon. Mais il n'était pas dans les toilettes du centre commercial. J'avais bien vu ses copains (ceux qui nous avaient salué la veille) mais aucune trace de lui. Je fis mine de pisser en espérant qu'il s'en vienne. Ce fut les autres vieux qui rentrèrent dans les toilettes.
Ils avaient le sourire aux lèvres et même l'un d'eux bavait d'envie. Ils m'entourèrent de très près, sortirent leur queue et commencèrent à se masturber. Je pris peur. Je me voyais déjà obligé de leur faire une fellation comme je l'avais fait au vieux la veille. Certains bandaient, d'autres avaient plus de difficulté. Aucun d'entre eux n'était aussi bien outillé que mon vieux de la veille. Je commençais à me faire à l'idée de les sucer quand la porte des toilettes s'ouvrit brusquement.
Comme des engins rétractables, les queues disparurent dans les pantalons. C'était le gardien de sécurité. Les vieux se bousculèrent presque à qui sortirait le premier.

Le gardien était un colosse noir qui devait comme le vieux de la veille faire des poids et haltères. Je sentis ses yeux et son sourire sardonique peser sur mes épaules. Je continuais à faire mine de pisser. Il ne bougea pas puis me demanda en riant si j'avais des problèmes de prostate. Il lui semblait que j'avais eu tout le temps de faire mon affaire à moins que j'étais là pour autre chose. Il se pencha par dessus mon épaule. Puis sa torche électrique dans une main, il la frotta sur la raie de mes fesses. Instantanément ma queue pointa vers le haut. Il m'accusa alors de faire du racolage et exigea que je le suive au bureau de sécurité.
Les vieux nous suivirent des yeux avec un regard dépité. Il referma la porte à clé derrière nous, alla s'asseoir à son bureau et me commanda d'approcher. Je dus me mettre à genoux sous le bureau.

Il dégrafa son pantalon et je vis apparaître sa grosse queue brune qui même molle faisait peur.
J'étais puceau de la veille mais au moins j'avais appris à faire une fellation. Je luis pris la queue entre les mains. Elle était tellement longue que je pouvais l'enserrer de mes deux mains l'une à côté de l'autre. Je commençais par lui lécher le gland avec le bout de ma langue. Je sentis une réaction immédiate : son gourdin durçit et se redressa comme un cheval cabré, découvrant son gros sac de couilles. Chacune d'entre elles avait la grosseur d'un pruneau. Je les pris dans ma bouche comme m'avait fait le vieux. Puis je bavais dessus, ce qui fit pousser des cris de jouissance au gardien. Je m'imaginais alors les vieux derrière la porte en train de se zigonner, ce qui eut pour effet de me faire mouiller moi-même.
Le noir me fit changer de position. Il me fit coucher à plat dos sur le bureau avec la tête dans le vide. Puis il introduisit sa queue dans ma bouche. Il la rentra tellement profondément que j'eus des hauts le coeur jusqu'à ce que je me mette à respirer par le nez. Heureusement son excitation était telle que je n'eus pas à rester longtemps dans cette position. Son foutre sortit tel un geyser dans le fond de ma gorge. Par contre il m'obligea à rester dans la position tant que sa queue n'eut pas repris sa taille normale.
Tout en se reculottant, il m'annonça que j'aurais une taxe à payer chaque fois que j'utiliserais les toilettes du centre. J'avais la main sur la porte lorsqu'il précisa que la taxe pourrait augmenter avec le temps. Son index de la main gauche fit des va-et vient entre deux doigts de sa main droite. J'eus un haut le coeur.
Je sortis avec l'idée que je devais sur le champ aller suivre ma seconde leçon. Au moins le vieux saurait m'introduire à ce genre de pratique.

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