Na Leslie Tr 72

Leslie à Paris – P72 - L’incontournable bois de Boulogne.

Projet d’un soir.
Depuis le temps que j’entends parler du fameux bois de Boulogne et des créatures qui le peuplent dès la tombée de la nuit, je fantasmais dessus et il me tenait à cœur d’aller y faire un tour pour voir et me rendre compte par moi-même.
C’est ainsi que profitant de mon amie Caroline, mon amie transexuelle, et lui ayant fait part de ma curiosité nous nous sommes rendues dans ce lieu afin, et comme le dit, Caro :
Tu connaitras et tu seras moins sotte après, mais ne t’inquiètes pas je vais être ton guide.
Après un bon dîner avec Caroline, en cette douce soirée de Juin, je suis heureuse de me faire guider par Caro pour faire un tour au bois, Caroline comme à son habitude ne porte qu'une robe légère, rien dessous, le sexe et l'anus épilés, pour ma part j’ai choisie de porter un short moulant sans rien et un petit débardeur laissant ma poitrine à tous moments accessible.
Arrivées aux abords du bois, vers minuit, Caro s’est très rapidement engouffrée avec sa voiture dans les petites rues traversantes, je ne sais pas où je suis mais je fais confiance à mon guide pour trouver l’endroit idéal pour un bon moment.

Virée au bois.
Dans un premier temps Caro tint à me donner un aperçu de cette fameuse faune et c’est d’une contre allée, près un grand bâtiment, que je découvre les premiers spécimens de la nuit. Après nous être arrêtés nous faisons un petit tour. A cet endroit, nous voyons, des hommes qui se masturbent en regardant le spectacle des femmes exhibitionnistes, nues se branlant ou se faisant doigter par leur homme, à l'intérieur des voitures. Nous avons sous les yeux un échantillon de sexes du plus petit au plus gros, du plus court au plus long. Les hommes présents ne prêtent aucune attention à nous, tout affairés à leur plaisir de voyeurs, Caro me prend par le bras et m’entraine vers un petit un parc, non loin de là, pour me faire découvrir le coin des homosexuels, nous regardons un instant le manège, des hommes pompent d’autres hommes et certains se font sodomiser dans le plus grand silence de la nuit, après un instant nous retournons à la voiture.


Une fois installées Caro me dit :
- Tu vois chérie, ce n’est qu’un petit aperçu, le meilleur arrive.
Puis elle redémarre pour s’enfoncer un peu plus dans le bois, à cet instant je me dis que non accompagnée je n’oserais pas m’aventurer dans cet endroit, mais avec Caro je suis confiante et soupçonne même que ce ne soit pas la première fois qu’elle vient ici. Alors qu’elle conduit, je vois alors Caroline déboutonner sa robe et ouvrir les deux pans sur sa nudité, laissant apparaitre son membre en semi-érection, puis elle me dit :
- Ainsi personne ne pourra se méprendre, bien que là où je t’emmène aucune méprise ne soit possible.
Puis quelques instants plus tard, Caro m’annonce :
- C’est maintenant que cela commence vraiment.

Après avoir arrêtée et garée la voiture sur le bord de la route, près d’une petite place, Caro me fit descendre de la voiture, elle verrouille les portières, me prend par le bras pour m’emmener vers cette petite place, Caro me fait savoir qu’ici on trouve des couples dont la femme soumise ou en manque se livre aux hommes présents, et que parfois, pour certains, l’aventure se termine en partouze chez l’un des couple.
Il y a plusieurs véhicules à notre arrivée, certains occupés par des couples et certains par des hommes seuls. En voyant Caro, la robe ouverte, certains hommes seuls descendant de leur voiture et viennent vers nous, mais Caro leur fis signe discrètement que ce n’est pas notre recherche du soir, voyant que Caro est transexuelle, sans poser de question les hommes s’effacèrent nous laissant libre dans notre rôle de voyeuses.
Dans une des voiture, une femme complètement nue se fait tringler par un noir au sexe monstrueux sous les yeux de son mari passif, tandis que deux hommes se masturbent contre la vitre du véhicule en regardant le spectacle, dans une autre une petite blonde se fait sodomiser par un bel étalon devant un homme d’âge mur qui pourrait être son père, rien de plus à cet endroit, mais Caro se penchant vers moi me dit à l’oreille :
- Ce n’est là que la partie visible, des exhibitions que tout le monde peux voir, maintenant nous allons vers la partie cachée.

Me tenant toujours le bras nous pénétrons dans le bois, nous faisons quelque pas dans une petite allée étroite, deux cent mètres environ, et nous voila dans une clairière, dans la pénombre il m’est possible de distinguer des ombres auprès des arbres bordant cette clairière, Caroline, toujours la robe grande ouverte, me tourne vers elle et me plaque contre elle, puis m’embrasse à pleine bouche, profitant de cet instant pour ouvrir mon short et sortir mon sexe, les ombres dans les sous-bois bougent attentives au spectacle que nous offrons, Caro me murmure dans l’oreille :
- Bienvenue dans le bois de Boulogne, ma belle, royaume de la transsexualité.

Au cœur du bois.
Les deux ombres sortent de la pénombre et se dirigent vers nous, la première une transexuelle brune d’environ 30 ans, très belle et entièrement nue, la poitrine arrogante et siliconée, laissant son sexe libre de mâle ballotté au gré de ses pas, et une autre svelte aux petits seins nus, ayant conservée sa petite jupe en cuir.
Cette deuxième transexuelle, qui est métisse est très belle, un peu athlétique, mais son corps est parfait.
Voyant que nous sommes comme elles, des transexuelles, nos deux nouvelles compagnes nous entrainent vers le sous-bois au même endroit où elles se cachaient peu de temps avant. Nos deux amies se sont accroupies et ont commencées sans se poser de questions à nous sucer le sexe, très vite je me suis mise à bander entre les lèvres de ma métisse, cette vicieuse s’est y faire et sans poser de question elle se relève et me tourne le dos en s’appuyant contre un arbre pour m’offrir ses reins.
Je me présente derrière elle et lui relevant sa jupe en cuir je découvre qu'elle porte rien dessous laissant libre le chemin de ses reins. Elle enduit sa raie et mon sexe de gel et me présente sa croupe appuyée à l’arbre, je positionne mon gland sue son trou et l'encule sans aucune résistance, je veux lui branler le membre en même temps, alors je passe une main devant pour lui attr le sexe et comprenant mon attention et afin de me faciliter la tâche, elle creuse les reins, enfonçant un peu plus sur mon sexe en elle, j’att son membre et commence à la branler tout en l’enculant.
Patricia possède un membre gigantesque, long et très gros, un vrai pieu pour casser les petits culs et je me dis qu’avec un tel engin, Patricia ne doit pas assouvir tous les jours ses désirs.

Caroline de son côté, appuyée elle aussi contre un arbre, se fait défoncer l’anneau par la brune en de longs et puissants coups de reins, tirant de la gorge de Caro des petits cris qui ne laissent pas les ombres nous entourant insensibles, car je remarque qu’autour de nous les ombres se rapprochant à petits pas de nous.
Je demande à ma métisse son prénom et avec un charmant accent sud américain elle me dit :
- Moi c’est Patricia, je suis colombienne et j’ai 22 ans et ma copine c’est Bruna, une brésilienne de 30 ans, mais continues de m'enculer et je vais prendre ta copine après, elle a l’air d’aimer ça.
Je suis en train d'enculer une belle transexuelle métisse dans les sous-bois et j'y prends du plaisir.
Caroline est maintenant en levrette se faisant toujours défoncer par la belle Bruna.
Les ombres sont à nos côtés maintenant, quatre transexuelles nous observant avec attention, et l’une d’elle dit :
- Patricia, est-il est possible de participer, vos copines nous paraissent charmantes et peu farouches.
- Si vous voulez les filles, répondit Patricia, mais pas d’embrouilles.
Les quatre transexuelles se séparent, deux vont vers Caro et les deux viennent près de nous.
Patricia se dégage de moi et se retourne vers moi en s’appuyant le dos contre l’arbre, elle m’attire contre elle et pose ses lèvres sur les miennes rajoutant sa langue qui se mêle à la mienne, elle soulève mon débardeur pour découvrir ma poitrine me le laissant autour du cou comme une écharpe, puis passe ses mains dans mon short ouvert pour prendre mes fesses à pleine main.
Tout en me caressant les fesses, elle m’embrasse dans le cou et je sens son souffle me parcourir le cou, des frissons m’envahissent, je suis bien, Patricia me dit à l’oreille :
- Comment t’appelles-tu, ma chérie.

- Leslie, je lui réponds.
- Leslie, tu me plais, je veux te garder pour moi, mais je ne peux rien empêcher si tu le désires, ce sont toutes des copines et cela ne me pose aucun problème, tu vois près de ta copine avec Bruna il y a Adrianna, c’est la grande brune, et Diana, la petite blonde, toute les deux du brésil et là je te présente Marcella, qui est argentine, et Sophia qui est vénézuélienne.
Nos corps sont l’un contre l’autre, nos petites poitrines sont en contact, tout comme nos ventres plats, nos sexes bandés se touchent, je me laisse aller dans les bras de Patricia, je sens son énorme sexe battre contre ma cuisse, et le laisse caresser par cette créature des bois, j’en profite pour regarder ses copines.
Adrianna est une grande brune de 30 ans, au corps pulpeux et aux seins lourds, campée près de Caro et de Bruna, le paréo ouvert, elle regarde en se branlant le membre, qui est long et fin, attendant certainement le moment propice de rentrer en action, Diana, est une petite blonde presque frêle dans son corps d’adolescente, que l’on découvre sous une robe grande ouverte, doit avoir tout juste 20 ans, elle mignonne comme tout avec sa petite poitrine à peine formée et son sexe court mais large qui détonne avec sa fine silhouette, tout en regardant Caroline se faire prendre, elle s’agenouille pour sucer Adrianna qui ne demande pas mieux que de se laisser faire.
Près de nous Sophia est mignonne dans sa nudité intégrale, 20 ans aussi elle est petite et mince, elle possède des seins lourds et généreux et un très beau sexe d’un gros calibre, presque à nous toucher elle est prête à intervenir et Marcella elle, est la plus mince de toute et la plus jeune aussi, 18 ans tout juste, timide mais avec un petit air vicieux qui donne envie de la câliner, pratiquement sans poitrine, elle possède un mignon petit sexe, et se tient un peu à l’écart, dans son manteau grand ouvert elle se branle tout en nous regardant.

Patricia de desserre pas son étreinte et me serre fort contre elle, comme si elle avait peur que je m’échappe de ses bras, Caro pousse un cri lorsque Diana lui enfonce son large sexe entre les reins, tandis que Bruna s’offre à sa copine Adrianna.
Patricia profite de cet instant pour m’enlever mon short, laissant ainsi mes fesses nues aux regards de ses deux copines, Sophia se glisse derrière moi, emprisonne ma poitrine de ses deux mains et se colle contre moi, je sens son sexe raide se coller à ma raie, Patricia collée au tronc de l’arbre me prend la tête à deux mains et me guide la tête vers son sexe dressé que je prends aussitôt dans ma bouche. Ce mouvement a pour effet de me faire cambrer les reins m’offrant ainsi aux désirs de Sophia, celle-ci trop heureuse de me voir ainsi offerte s’enfonce en moi en me coupant le souffle de surprise, son sexe m’ouvre en deux et tandis qu’elle s’active en moi, je suce Patricia avec difficulté, mais avec ardeur.

Pendant ce temps, Caroline toujours à quatre pattes, livrée à la lubricité de trois transexuelles, car après Diana c’est maintenant Adrianna qui lui comble les reins, puis les événements s’accélèrent, elles prennent l’anneau de Caro un moment, puis se font sucer avant de revenir enculer Caro, ainsi de suite à tour de rôle.
Après avoir jouis toutes les trois, elles fument ensemble une cigarette laissant Caro se relever et reprendre ses esprits.
Patricia me dit alors :
- Je vais me faire sucer par ta copine, juste avant de l'enculer, elle a l'air d'aimer être enculée, mais avant reprends moi.
Sophia se retire le temps de changer de position, Patricia se remet contre l’arbre pour se faire une nouvelle fois se faire enculer, une fois que je suis ancrée dans les reins de ma belle métisse, Sophia me reprend la rondelle.
Marcella reste toujours à l’écart et se branle en observant. N’en pouvant au bord de la jouissance je m’enfonce au plus profond des reins de Patricia et lui remplit le fondement, émettant un grand râle de soulagement, ce qui à pour effet de faire jouir Sophia en moi.
Patricia me dit :
- Bon, à ta copine maintenant.
- Ne lui fait pas mal Patricia, lui dis-je à l’oreille.
- Ne t’inquiète pas ma chérie, me dit Patricia.
Patricia et Sophia se dirige vers le groupe de Caro, me laissant seule avec Marcella, je m’approche d’elle et passant mes bras en dessous de son manteau je la prends dans mes bras et l’attire contre moi, les bouts de ses petits seins se dressent au contact de nos corps, sa peau est douce et Marcelle tremble, alors je lui demande :
- Tu es mignonne, mais timide,
- Tu sais Leslie, me di-elle, je suis nouvelle ici et je ne pratique que les pipes car personne encore n’a visitée mon petit trou, et j’ai un peu peur de me faire enculer par le premier venu, et mes copines ne veulent pas me dépuceler l’anneau.
- Tu veux que je t’aide.
- Oh oui, me dit-elle, maintenant.
- Oui si tu le veux.
Elle me prend la main et m’entraine un peu à l’écart, dans un endroit plus sombre, se m’est à genoux devant moi et me suce avec soin, afin de me redonner de la vigueur, sa petite bouche est douce et Marcella est une professionnelle de la fellation, car très vite je retrouve de la vigueur et je bande.
Heureuse de l’effet produit, Marcella se redresse et se courbe devant moi en s’appuyant des deux mains sur un tronc d’arbre couché, elle écarte les jambes en faisant passée les pans de son manteau dans son dos, dévoilant son petit cul vierge aux hanches étroites.
- Prépares moi bien, me dit-elle en tremblant.
Je suis derrière elle et elle me tend un tube de gel, je lui enduis la raie et le trou avec douceur et en dépose une noix sur mon gland, puis avec mon sexe dressé je parcoure sa raie avec mon gland, m’arrêtant de temps à autre sur le bord plissé de son œillet, elle gémit et se cambre.

Patricia à rejoins Caro, suivie de Sophia, maintenant les transexuelles du bois excitées comme des puces sont entre elles, Adrianna suce Bruna, pendant que Diana l’encule, Caro accueille Patricia et commence donc à l’embrasser à pleine bouche, je n’ai jamais vue Caro dans un tel état, Patricia lui prend la tête à deux mains et lui montre le chemin de son membre, courbée en deux Caro se retrouve avec le monstrueux sexe de Patricia dressé devant la bouche et prêt à être sucée.
Patricia la saisie alors par les cheveux, et lui baise la bouche s'enfonçant doucement entre les lèvres de Caro.
Pendant ce temps Sophia se positionne derrière Caro et investit son fondement sans difficulté suite aux nombreuses visites précédentes.
Sophia s'applique à sodomiser Caroline en douceur, prenant son temps et allant le plus profondément possible, Caroline qui a déjà été enculée par trois membres différents n’éprouve aucune difficulté à recevoir le membre épais de Sophia dans le cul, puis Patricia se sentant prête, demande à Sophia de se retirer et de lui faire la place, les deux transexuelle échangent les places et Caro se retrouve avec le sexe de Sophia dans la bouche.
Caroline la bouche pleine du membre de Sophia, se cambre pour offrir son petit cul à Patricia afin que celle-ci puisse l'enculer, Caro préparer par les sodomies précédentes des vicieuses transexuelles est prête à accueillir le monstrueux sexe de Patricia.
Patricia se place derrière Caroline et la pénètre d'un coup de la moitié de son monstrueux membre, Caro crie sous cette pénétration, un cri de douleur et de plaisir mêlé, Patricia commence alors une lente progression vers le fond des entrailles de Caro, celle-ci a le sentiment d’être ouverte en deux, la bouche prise par le sexe de Sophia, seuls de petits gémissements fusent de sa bouche, peu de temps après Caro est remplie pas le membre de Patricia, qui fait une courte pause ancrée au fond de ses reins.

De mon côté, je sens Marcella prête, son anus frémit à chaque passage de mon gland dessus, je me positionne bien au centre de son œillet et opère une légère poussée, je ne peux m’introduire en elle tellement elle est serrée, je recommence à pousser la tenant fermement par les hanche et je sens sons anneau légèrement céder sous la pression, Marcella halète et la sueur couvre son corps, son envie d’être posséder et de se faire casser le cul pour une première fois doit être forte, car elle me dit :
- Vas-y, j’ai trop envie, ne me fais pas plus attendre.
Alors que mon gland a juste entrouvert son anneau, je pousse une nouvelle fois mon sexe en elle, l’anneau cède et je rentre le gland, puis continue sans m’arrêter la poussée rentrant mon membre en Marcella.
Elle m’enserre le membre de son conduit étroit qui résiste à cette intromission nouvelle, Marcella se laisse aller et ses chairs se détendent, je suis au fond d’elle et elle gémit de plaisir.
Je reste ainsi ancrée en elle, puis je commence à aller et venir lui tirant des cris qui remplissent le silence du bois. J’encule Marcella pendant un temps infini, et finie par jouir en elle.
Après des vas et viens de plus profond, Patricia jouit dans le cul de Caroline.
Après que Patricia se soit retirée du cul de Caroline, celle-ci lui dit :
- Ton monstrueux membre m'a donné du plaisir, et je pense que ce n’est pas tous les jours que t’encule.
- Non, répondis franchement Patricia, mais tu es une merveilleuse amante, reviens me voir quand tu veux.
Nous somme s arrivées avec Marcella à cet instant, et Marcella en profite pour déclarer à ses copines :
- Je suis maintenant une petite enculée comme vous grâce à Leslie, mais si vous le désirez vous pouvez maintenant m’élargir le trou, mais pas toi Patricia, pas tout de suite.
Voyant Marcella heureuse, toutes s’embrassèrent, puis après un moment passé ensemble dans la pénombre du sous bois, nous nous sommes dit au revoir, et nos amantes du bois nous ont dit :
- Revenez quand vous voulez les filles, vous êtes trop sympas.

A suivre……

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