Une Expérience Nouvelle

Je m’appelle François j’ai vingt-deux ans et je suis étudiant dans une grande école et cette année nous devons partir à l’étranger avec un projet à mener dans un secteur différent de ce que nous apprenons depuis trois ans.
J’ai eu beaucoup de difficulté à me décider et surtout à trouver une structure qui accepte de me laisser partir à l’étranger pour conduire mon projet : apporter du matériel médical dans un dispensaire au Pérou et y passer 6 mois pour en assurer la mise en service. Malgré les difficultés, une association a accepté de m’aider dans ce projet.
Mes parents restent eux un peu inquiets de me voir partir 6 mois dans un dispensaire au Pérou même si ce n’est plus un pays à haut risque pour les étrangers. Mon voyage s’organise peu à peu avec deux autres personnes de l’association Thierry et Vincent. Nous avons tous les trois le même âge et croyons que ce projet sera le début d’une longue coopération avec le dispensaire péruvien. Mon départ se rapproche, je passe beaucoup de temps à tout préparer dans les moindres détails. Mes contacts sur place m’attendent aussi avec impatience et une certaine appréhension car ils me trouvent encore jeune pour mener à bien ce projet. Le jour de mon départ est arrivé, je pars pour l’aéroport et décolle pour Lima. De là, je prends un bus jusqu’à la ville la plus proche du dispensaire. Puis je finis à pied avec l’aide d’un guide.
Arrivé à la ville, mon guide local m’attend et me conduit jusqu’au dispensaire. Nous y arrivons après trois heures de marche à un rythme assez soutenu. Le dispensaire est tenu par quelques bénévoles venants d’Europe. Toutes ces personnes, une quinzaine au plus, vivent soit dans le dispensaire même, soit dans le village voisin avec les péruviens. Je suis installé dans une maison avec une famille pour me permettre de m’intégrer plus facilement dans la communauté. Sur place, je retrouve trois autres francophones (2 suisses et 1 belge). Ce sont aussi des étudiants qui comme moi sont venus pour ce projet et repartent dans trois jours pour l’Europe car leur mission est finie.

C’est moi qui prends le relais pour 6 mois.
Nous passons ces quelques jours à découvrir le dispensaire, le village et les alentours. Les villageois sont très accueillants : ils ont prévu une petite fête pour le départ de nos camarades. J’échange beaucoup avec eux sur ce qu’il faut absolument savoir faire pour aider au quotidien au dispensaire et aussi pour la mission humanitaire. Nous faisons connaissance les uns des autres. Les jours passent, les semaines, des liens forts se tissent entre nous, avec les péruviens et les autres bénévoles. Je suis logé dans une famille qui a trois s : un garçon de seize ans, deux filles de huit et onze ans. Pour ce village, c’est beaucoup car la plupart n’ont qu’un ou deux s. Cette famille occupe une petite maison avec peu de mobilier, et seulement deux pièces servant de chambres en plus de la pièce à vivre, centre de la maison. Une pièce pour les parents et une autre pour les s.
A mon arrivée dans leur maison, les parents m’ont installé avec leurs s, dans la même chambre. Les deux petites filles partageant un grand lit et leur fils dormant sur un lit plus petit. Je suis installé sur un matelas posé à même le sol. Ce n’est pas le grand luxe mais c’est suffisant pour les quelques mois à passer ici. Au début, je me suis senti très gêné par cette promiscuité et ce manque d’intimité entre tous.

Le chef du village s’invite un soir dans la famille chez qui je suis logé. Une longue discussion se déroule en dialecte sous mes yeux, j’attends qu’on m’explique ensuite ce qu’il se passe. En fait, nous approchons de la période à laquelle les jeunes gens du village qui atteigne l’âge de seize ans vont faire leur entrée dans le monde adulte. Il s’agit d’un rite de passage obligatoire dans la communauté depuis des siècles et qui se perpétue encore aujourd’hui. Ma famille d’accueil a demandé au chef que je participe aussi à ce rituel avec leur fils pour marquer mon intégration dans la famille et la communauté. Le chef est venu leur annoncé que le conseil du village a accepté leur demande : je participerai à leur rite avec leur fils.

Après le départ du chef, les parents envoient leurs trois s se coucher et me gardent avec eux pour m’expliquer en quoi consistera ce rite et ma participation. Il ne concerne que les garçons du village qui vont devoir passer une semaine isolés dans la montagne et se débrouiller seuls pour y vivre sans aide et appui des adultes plus âgés. Ils doivent chacun ramener ensuite au village un témoignage de cette semaine et de leur vie dans la montagne. De retour au village, une fête est donnée et à l’issue de laquelle, les jeunes garçons sont considérés comme des hommes et non plus comme des s. La coutume veut que le père ou un autre homme adulte de la famille soit présent à la cérémonie rituelle. Ma famille d’accueil devant partir chez un lointain parent très âgé, ont demandé au conseil du village que ce soit moi qui accompagne leur fils dans cette cérémonie. Le conseil ayant accepté, je ne peux qu’accepter à mon tour cette marque d’amitié et de confiance. Cela ne me semble pas insurmontable comme mission.
Dès le lendemain, quatre jeunes garçons partent pour la montagne et y passeront une semaine. Les conditions sont difficiles, mais chacun d’eux ne pense qu’à réussir ce passage pour l’honneur de sa famille. Je regarde tout cela avec un peu de curiosité et parce que je me rends compte que depuis quatre mois, je connais peu de choses de la vie quotidienne de mes amis péruviens.
Les garçons doivent d’abord trouver un lieu pour la nuit et de quoi manger. Ils font deux groupes. Le premier trouve un coin à l’abri des rafales de vent et installe un camp de fortune. Le second dans lequel se trouve mon protégé, part à la recherche de nourriture : gibier, poisson, baies… Cela leur permet de découvrir et de se repérer dans cette montagne. Ils posent des collets de fortune et également tentent de prendre du poisson dans la rivière que nous avons trouvée. Après quelques heures, ils réussissent à prendre deux poissons et un lièvre s’est pris au piège dans un de leurs collets.
Ils retournent vers l’autre groupe qui a fini d’installer un abri de fortune. Ils mangent, discutent et vont se reposer.
Le lendemain, ils reprennent leur exploration et trouvent les uns et les autres de quoi symboliser ces jours en montagne et à ramener au village. Les jours passent lentement et déjà voici l’ultime jour dans cette aventure. Ils remettent en état le coin où ils se sont abrités pendant cette semaine. Ils redescendent ensuite vers le village. Leurs liens se sont resserrés et à leur arrivée, ils sont accueillis comme des s prodigues.
La fête a été organisée par les villageois. Ils sont conduits tous les quatre dans une maison où des femmes du village vont les préparer pour la cérémonie finale. Ils se lavent, s’habillent avec les habits rituels. Ils doivent être torse nu, vêtu du pagne traditionnel, et leurs corps recouverts de peintures rituelles. Les femmes entrent alors en action et les préparent. A la fin de la soirée, ils sont enfin prêts pour la cérémonie. Ils nous rejoignent sur la place du village où nous sommes tous vêtus du costume traditionnel : torse nu et pagne pour les hommes, petit haut sur les seins et pagne pour les femmes.
Tout le village est rassemblé y compris les bénévoles du dispensaire. La cérémonie se déroule sans aucune anicroche. Les garçons sont alignés devant le chef du village et il prononce un discours en dialecte. Des hommes adultes et beaucoup plus âgés s’approchent de chacun des jeunes. Chacun récupère l’objet qu’ils ont ramené de leur séjour dans la montagne et le jette dans les flammes du grand feu autour duquel nous sommes tous rassemblés pour symboliser la fin de la vie d’.
Les femmes poussent alors des cris de joie. Les quatre jeunes garçons sont conduits à l’intérieur d’une nouvelle maison, plus spacieuse mais ne comportant qu’une seule pièce. Elle n’est pas du tout éclairée et ne comporte aucune fenêtre. Nous voulons savoir ce qui va se passer pour les quatre garçons mais nous n’avons pas de réponse si ce n’est que désormais ils sont entrés dans le monde des adultes, des hommes.
Une bénévole plus âgée que moi, ici depuis plusieurs années s’adresse à moi et me dit que ces garçons connaîtront les plaisirs de l’amour cette nuit avec des jeunes filles de leur âge du village voisin. La suite de ce rituel ne peut se passer en présence d’étrangers et nous devons nous éclipser. Les villageois rentrent chez eux et les bénévoles vont vers le dispensaire où ils sont logés.
Cette bénévole s’attarde et reste un moment à discuter avec moi sur le chemin qui me ramène là où je loge. Je prends le temps de mieux la regarder au clair de lune. Elle doit avoir presque trente ans. Le costume traditionnel lui sied joliment et laisse largement voir ses formes. Je me sen attiré par elle. Nous approchons de la maison, et nous y entrons : elle veut voir où je loge et comment je suis installé. Je lui ouvre la porte, elle entre et nous faisons une rapide visite.
Nous entrons dans la chambre où je dors. La pièce est assez sombre malgré le clair de lune. Il se fait déjà très tard et elle me demande si elle peut dormir ici. Elle prendrait le lit et moi je resterai sur mon matelas. N’osant lui dire non, je lui dis que c’est d’accord. Elle me demande si cela ne gène pas ma famille d’accueil. Je lui réponds qu’ils sont partis pour plusieurs jours et qu’ils ne devraient rentrer que d’ici deux jours. Seul leur fils qui a suivi le rituel pourrait revenir plus tôt. Elle me remercie pour cet accueil et s’allonge sur le lit. Je me couche sur mon matelas. Nous nous endormons chacun de notre côté.
Plus tard dans la nuit, je suis réveillé par des picotements sur mes jambes. Je pense d’abord à des fourmis ou d’autres insectes mais ces picotements cessent et reprennent sur mes bras. Je me réveille et aperçoit son visage au dessus du mien. Elle me fait signe de ne rien dire. Ses mains parcourent mes jambes en remontant vers l’aine. Elle m’embrasse avec passion en se collant à moi. Je veux me redresser sur le matelas mais elle m’en empêche. De ses mains, elle défait les attaches du pagne et me l’enlève. Elle me sourit et me regarde. Je suis là allongé, entièrement nu, le sexe commençant à grossir et durcir. Il fait encore assez chaud, de la sueur perle sur nos deux corps. Elle se relève, me dit de ne pas bouger et revient quelques minutes plus tard avec un linge mouillé et de l’eau dans une bassine. Elle se rapproche à nouveau de moi et entreprend de me laver les bras et le torse pour m’enlever cette sueur. Elle fait cela avec lenteur et douceur. Chaque geste m’électrise et me fait frissonner, tous mes sens sont en éveil. Claire termine de me laver.
Elle enlève aussitôt ses habits. Elle s’allonge entièrement nue à côté de moi et m’embrasse, me caresse ainsi de longues minutes. Cela me fait encore plus d’effet. Mon sexe est devenu très raide, il est un peu décalotté et sur le dessus, un liquide transparent commence à perler. Elle le regarde, avide, les yeux pétillants d’envie. Elle prend une de mes mains et la guide aussi vers sa toison fine et brune. C’est humide et doux. Elle m’embrasse. Je la regarde. Je n’ose lui avouer que pour moi ce sera ma première fois. Nous roulons l’un sur l’autre sur le matelas et les nattes qui recourent le sol. Je me retrouve au-dessus d’elle. Je l’embrasse et descends le long de sa poitrine en y déposant des petits baisers et des petits coups de langue. Cela éveille ses sens aussi. Je m’enhardis et ramène mon corps le long du sien jusqu’à ce que ma bouche soit au niveau de sa toison. De ma langue, j’explore son corps, son anatomie, son intimité. Un liquide chaud coule le long de son sexe, de ma bouche : je lèche, je suce…puis au bout de quelques instants, elle se cambre, gémit un râle de plaisir. Elle a son premier orgasme de cette nuit d’amour. Pendant tout ce temps, j’ai senti mon sexe grossir un peu plus. Elle me sourit et me repousse sur le côté.
Elle m’embrasse fougueusement et descend lentement en léchant mon torse, mes tétons (elle les mordille légèrement), mon ventre et enfin le haut de mon sexe. Enfin, elle le découvre sous ses yeux, de très près, rasé, sans poils. D’une main elle le caresse avec douceur et de crainte de me voir éjaculer trop vite ; de l’autre, elle masse mes testicules et les frotte. Je suis dans un autre monde tellement c’est bon. Rapidement, je ne peux me retenir et lui annonce que je vais éjaculer. Elle redouble alors ses gestes, ces caresses ; maintenant mon sexe pointe tout droit vers le ciel. Alors dans un cri de jouissance, j’éjacule. Plusieurs jets de sperme sont expulsés de mon sexe vers le haut à l’air libre, mon sperme retombe alors sur mon bas ventre et le haut de mon sexe. Elle est heureuse de son effet sur moi, et vient de ses mains étaler mon sperme sur mon corps. Elle veut ensuite me lécher le sexe pour m’enlever le sperme qui y a coulé.
Ces léchouilles me font encore plus d’effet et rapidement, je suis à nouveau en érection. Elle est étonnée de me voir si en forme, me dit que là elle veut me sentir entrer en elle. Elle s’allonge et m’attire à elle, en elle. Doucement, je pénètre en elle, c’est chaud et humide à la fois. Elle goûte à chaque seconde le plaisir que cela lui procure. Mon sexe chaud et dur en elle. Puis je commence doucement des va-et-vient en elle ressortant presque mon sexe à chaque fois. Quel plaisir pour tous les deux. Nous continuons ainsi plusieurs minutes (qui me paraissent des heures) jusqu’à ce que ne pouvant plus me retenir, j’éjacule en elle, lâchant un cri de plaisir. Mon sperme se déverse en elle, le liquide chaud se répand en elle atteignant les parois de son vagin. Ceci lui procure un plaisir immense, déclenchant un orgasme. Nous nous embrassons et restons allongés enlacés, et passons une nuit torride.
Le lendemain, elle m’annonce la fin de sa mission ici au dispensaire et donc elle repartira en Europe à la fin de la semaine.
Quelques semaines plus tard, j’arrive au terme de ma mission de 6 mois. Je repars pour Paris. A mon arrivée, elle m’attend à l’aéroport. Je lui dis bonjour simplement et elle propose d’aller prendre un café dans un bar de l’aéroport. Je lui raconte mes dernières semaines au dispensaire, son absence qui a attristé les villageois et les bénévoles. Elle me raconte ensuite son retour à Paris. Nous terminons de prendre nos cafés et puis elle m’invite à passer la voir à l’occasion dans son nouvel appartement. Nos retrouvailles sont un véritable plaisir partagé. Quelques temps plus tard, j’ai fini mes études et trouvé du travail dans une ONG.
Nous vivons ensemble et parcourons le monde au gré de nos missions communes.

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