Wassila Et Salim, Ou L'Histoire D'Un Cocufiage Voulu Et Accepté

Wassila et Salim, ou l’histoire d’un cocufiage voulu et accepté

En guise d’avertissement :
L’histoire qui suit m’a été racontée par sa protagoniste principale, une amie, qui désirait que l’histoire de son couple - assez exceptionnelle et symbolique - soit publiée, mais qui pensant ne pas avoir les aptitudes littéraires pour l’écrire, m’en avait confié la rédaction. Avant de lui donner la parole – j’ai décidé, pour plus de crédibilité, de la laisser parler elle – je vous décris, en une phrase, la femme : Wassila est un beau brin de femme, d’environ trente-cinq ans, assez grande, au physique plantureux, que la nature avait généreusement dotée en formes et en sensualité et dont regard coquin est une véritable invitation aux fantasmes les plus torrides.
Voila donc l’histoire, racontée par Wassila, des aventures du couple qu’elle forme, depuis environ huit années avec son mari Salim.
-----
« Je m’appelle Wassila ; j’ai trente-cinq ans, mariée, sans s. Je pense être physiquement assez agréable (mon mari, Salim, prétend même que je suis belle !) : un mètre soixante quinze, soixante kilogrammes, cheveux châtain-clairs, visage ovale, grands yeux couleur noisette, grande bouche lippue, petit nez droit, menton rond. Le reste de mon corps est, si j’en juge aux regards concupiscents des hommes que je croise, très attirant, pour ne pas dire bandant : des épaules larges et rondes ; un long cou gracieux, blanc, ferme et lisse ; une poitrine volumineuse, provocante (c’est mon mari qui l’affirme, car il semble qu’inconsciemment, j’ai une tendance naturelle à l’envoyer en avant, pour attirer l’attention sur elle) avec de gros seins ronds, doux et fermes ; un ventre plat ; une taille qu’on ne peut pas qualifier de guêpe, mais sans aucun bourrelets disgracieux ; des hanches larges, rondes et fermes ; un fessier proéminent (c’est avec ma bouche et mes cuisses, la partie de mon corps dont je suis la plus fière), haut perché, ferme qui a fait bander plus d’un homme ; de longues jambes bien pleines, superbement galbées, en harmonie avec des genoux ronds et brillants, annonçant des cuisses blanches et fermes qui sont un vrai piège à fantasmes pour les hommes (et même pour certaines femmes qui m’ont souvent draguée).


« Salim et moi sommes mariés depuis maintenant huit ans. Nous nous sommes rencontrés au cours d’une soirée entre amis et immédiatement quelque chose s’était passé entre nous. Il était grand, svelte, très brun, avec d’immenses yeux noirs. Dès notre première rencontre, il me paraissait déjà être quelqu’un de gentil (pas d’une gentillesse e ; sa gentillesse était naturelle et était un élément fondamental de sa personnalité) et aussi de très cultivé. Cela ne l’empêchait pas de paraître très viril et sensuel. Immédiatement j’avais flashé sur lui et ne le quittais pas d’une semelle au cours de la soirée.
« Je crois que je m’étais imposée à lui, sans même y avoir réfléchi et surtout sans lui avoir laissé le temps de réfléchir à la manière de se débarrasser de moi. Je crois que moi aussi, je lui avais plu dès la première rencontre : il me trouvait belle, et il ne s’était pas gêné pour me le répéter toute la soirée. Mais plus que cela, je sentais qu’il éprouvait du désir pour moi. Je voyais à ses yeux qu’il avait envie de moi et qu’il voulait me tirer. Mais de par sa bonne éducation, il n’avait pas voulu précipiter les choses, au risque, croyait-il, de me faire fuir.
« Le pauvre, il ne savait pas encore que dès que l’avais vu, j’avais que c’était lui l’homme de ma vie. Je venais d’avoir vingt-huit ans et je commençais sérieusement à penser au mariage. J’étais encore vierge, bien que j’avais déjà eu quelques flirts poussés, mais qui n’avaient jamais été au-delà des caresses sur les parties intimes, des cunnilingus parfois super jouissifs et des fellations avec, ou sans, éjaculations faciales et buccales. A vingt-huit ans, j’étais loin d’être une novice en amour, mais j’avais encore du respect pour les tabous sociaux et surtout pour la virginité, que je voulais absolument garder jusqu’à ma nuit de noce.
« Au cours de mes quelques aventures antérieures avec des garçons, il m’était bien arrivé de me faire caresser superficiellement la chatte par les sexes de mes partenaires.
Mais j’avais toujours trouvé cela frustrant, du fait que j’étais toujours sur mes gardes pour qu’il n’y ait pas de pénétration, ni d’éjaculation (pour ne pas tomber enceinte). Certains de mes amants voulaient absolument jouir en moi en me proposant me sodomiser ; mais j’avais toujours refusé. Je voulais rester vierge ! De partout !
« Avec Salim, les choses se passèrent différemment. D’abord, dès le départ, je voyais que ses intentions étaient sérieuses : il était tombé amoureux de moi et voulait passer sa vie à mes côtés. Il me l’avait dit au bout de notre deuxième rencontre. Mais lui était du genre intellectuel libéré, pour qui les tabous sociaux étaient des inepties qu’il fallait dépasser. Il m’avait affirmé qu’un couple devait d’abord s’assurer qu’entre l’homme et la femme, il y avait une harmonie parfaite, y compris sur le plan sexuel. Il disait que pour ce qui nous concernait, je devais prendre le risque de faire l’amour avec lui pour nous assurer que nous étions bien faits l’un pour l’autre.
« J’avais hésité un moment avant de me laisser entraîner dans les délices de l’amour. La première fois que je m’étais offerte à lui, j’avais encore la crainte d’être déçue et de le décevoir. Je savais que lui avait déjà eu plusieurs maîtresses (il ne me l’avait jamais caché et il m’avait même avoué qu’au moment de notre rencontre, il avait comme maîtresse une femme mariée, qui lui donnait énormément de plaisir) et que de par mon inexpérience des relations complètes (avec pénétration), je risquais de ne pas lui donner tout le plaisir qu’il attendait d’une amante.
« Les choses s’étaient déroulées de manière idéale : Salim s’y était pris avec moi avec sa douceur et sa gentillesse naturelles. Le dépucelage fut un véritable plaisir, où même la douleur du déchirement de l’hymen avait été accompagnée de tellement de douceur et de plaisir, que j’aurais aimé être restée éternellement vierge, pour revivre tous les jours ce moment d’immense bonheur. Salim savait faire l’amour : il était du genre altruiste ; il se faisait un point d’honneur à d’abord me remplir de plaisir et de me faire avoir plusieurs orgasmes successifs, avant de se laisser aller lui-même à la jouissance.

« Et puis, il était si imaginatif ! Et pour lui et pour moi, il voulait que chaque fois, nous allions vers plus de liberté érotique. Il avait beaucoup lu sur l’érotisme et la philosophie épicurienne, sur le libertinage et sur le plaisir sexuel. Il en avait fait un point nodal dans sa manière de vivre. Il ne voulait, bien entendu pas devenir un adepte du marquis de Sade et se laisser entrainer dans des relations sado-masos, mais comme il avait en horreur les relations sexuelles classiques et ternes, il cherchait à faire de nos rencontres amoureuses, de véritables feux d’artifice. J’étais heureuse avec cet homme, qui à chacune de nos rencontres me faisait atteindre des sommets de plaisir que chaque fois je pensais être le summum, avant de goûter, la fois suivante, à quelque chose d’encore plus intense.
« Quand nous nous mariâmes, environ, une année après notre première rencontre, Salim et moi étions au comble du bonheur. Il disait avoir trouvé en moi, sa deuxième moitié d’orange, celle qui s’adaptait parfaitement à lui. Et moi, j’étais au paradis des amants ; j’avais trouvé mon Homme (avec un grand H) et surtout mon maître en amour. Et j’ai oublié de mentionner que physiquement, Salim était super bien monté : beaucoup mieux que tous les garçons que j’avais rencontrés auparavant.
« Les huit années de mariage furent pour nous, huit années de bonheur intense et de découvertes amoureuses. Nous avions décidé d’un commun accord de ne pas avoir d’s, jusqu’à l’âge de quarante ans, pour pouvoir vivre pleinement notre vie d’amants. Nous faisions l’amour parfois plusieurs fois par jour et, il me semble que nous avions atteint le Nirvana des amoureux, ce paradis de plénitude dans lequel nous plongions à chaque fois que nous faisions l’amour. Dans notre couple, je l’avoue volontiers, cela a toujours été Salim le moteur en matière d’érotisme. Il avait une telle sensibilité et une telle imagination qu’à chaque fois, il me surprenait avec une nouvelle idée, une nouvelle proposition parfois étonnante (et même choquante pour les esprits étroits) mais toujours d’un érotisme intense.

« Depuis le début de notre relation, Salim et moi, lisions ensemble toutes sortes d’histoires érotiques : qu’elles soient éditées sous forme de romans érotiques, ou qu’elles soient l’objet d’une publication sur des sites internet spécialisés. Ils nous arrivaient même de visionner des vidéos érotiques ou même pornographiques. Nous n’apprécions pas toujours ce que nous lisions, ni voyons : rares étaient les histoires ou les films vraiment intéressants. La grande majorité n’était qu’une lourde compilation de positions qui n’ont rien de naturel, de gros sexes gonflés aux hormones et de pénétrations buccales, anales ou vaginales sans aucune beauté, ni élégance.
« Mais il nous arrivait parfois de tomber sur de véritables chefs-d’œuvre de subtilités érotiques, que nous lisions alors à haute voix (c’était lui qui lisait) ou regardions avec un réel plaisir, nus dans les bras l’un de l’autre. Nous sortions de la séance de lecture ou du visionnage du film dans un tel état d’excitation, que nous tentions de reproduire en vrai, ce que nous avions lu ou ce que nous avions vu. Inutile de vous décrire le plaisir que nous prenions !
« Ces derniers temps, Salim n’arrête pas de me répéter, sans pour autant insister, sa curiosité de savoir si je pouvais prendre du plaisir entre les bras d’un autre homme. A chaque fois, j’étais étonnée qu’une telle idée puisse lui traverser la tête. Je savais qu’il n’était était nullement jaloux ; il avait une grande confiance en lui et en ses capacités amoureuses ; et il savait que sexuellement j’étais à lui (j’ai hésité à dire, son esclave, mais je crois qu’il s’agit réellement de cela). C’était plutôt moi qui étais jalouse. J’avais toujours eu peur de le perdre et de le voir partir avec une autre, plus jeune et plus belle.
« En fait, au bout de quelques jours, je compris qu’il était réellement sérieux et qu’il venait de réfléchir à une étape supérieure de notre vie érotique : y intégrer un troisième acteur. Et cet acteur devait être d’abord un amant pour moi. Il avait envie de vivre la sensation de voir sa femme offerte à un autre homme et en tirer du plaisir. Au début j’en étais vraiment choquée. Probablement un reste de morale dominante, plus fortement ancrée en mo, que je le croyais. Et puis petit à petit, l’idée d’une aventure extra conjugale fit son chemin et vint se fixer dans un coin de mon cerveau.
« Je n’en étais pas encore à chercher volontairement l’aventure. Je n’en étais même pas à m’intéresser aux autres hommes, si ce n’était virtuellement à ceux de nos histoires et vidéos érotiques. Il se passa un temps assez long entre le moment où l’idée s’était insinuée dans mon esprit et celui où je passais à l’acte. En fait ce n’était même pas moi qui choisit de passer à l’acte; l’aventure m’avait été imposée par les circonstances.
« Depuis que j’ai terminé mes études, je travaillais comme assistante de direction au sein du rectorat de l’université d’Alger. J’occupais depuis une dizaine d’années, avant même de me marier, le poste d’assistante principale du recteur. Jusqu’à il y a trois mois, c’était toujours la même personne : un gentil monsieur qui nous avait toujours couvés, mes collègues et moi, mais qui avait atteint l’âge de la retraite. Il fut donc remplacé par Abdelkader, un professeur de littérature venu d’une autre université et qui était précédé par une réputation sulfureuse: c’était un coureur impénitent, bien que marié avec des s; un adepte de la promotion canapé; un homme qui profitait de son poste pour « tirer sur tout ce qui passe » selon la triviale formule populaire.
« Nous étions donc, mes collègues féminines et moi, passablement inquiètes de ce qui allait se passer. Le jour de l’installation du nouveau patron arriva. Le partant nous présenta toutes et tous individuellement à l’arrivant. Il me présenta en dernier, en insistant sur mes qualités professionnelles et humaines. Il partit rapidement et le nouveau patron rejoignit son immense bureau. Je ne fus nullement étonné de l’entendre m’appeler dans l’interphone.
- Madame, venez, j’ai à vous parler !
- Bien monsieur ! répondis-je, en collaboratrice disciplinée.
« Je pris un bloc-notes, frappai à la grande porte (je savais que c’était inutile de frapper, la porte étant feutrée, il n’y avait aucun risque que quelqu’un à l’intérieur entendît le moindre son) et entrai. Je le trouvais assis derrière son immense bureau, faisant semblant de lire un document. Il leva les yeux sur moi, me fit une espèce de sourire qui immédiatement me rappela le rictus d’un chat sur le point de sauter sur une souris.
- Mon prédécesseur ne tarit pas d’éloges sur vous ! J’espère que j’en aurais autant pour vous ! Je suis probablement plus exigeant que lui et j’exige que tout se passe de façon idéale dans le travail. J’aime le travail bien fait et refuse catégoriquement ce qui est bâclé. J’espère que vous comprenez ce que je dis et que vous y adhérez !
- Parfaitement, monsieur ! lui répondis-je, sans me démonter. Je pense connaître mon travail sur le bout des doigts et je l’aime assez pour le faire parfaitement. Je vous ramène une boisson ?
- Un café sera parfait !
« La machine à café, réservée au recteur avait toujours été installée dans son bureau, probablement pour ne pas la mettre entre toutes les mains : les capsules coûtaient cher et étaient parfois introuvables. Abdelkader connaissait certainement cette caractéristique. S’il voulait un café, c’était certainement pour que je reste dans son bureau le plus longtemps possible. Et de fait, tout le temps que j’avais le dos tourné, je sentais son lourd regard qui pesait sur moi. Il est vrai que j’étais habillée d’une longue robe en tissu très léger, qui dessinait mes formes à chacun des mouvements que je faisais. Je sentais que son regard ne quittait pas mon postérieur proéminent et je savais que si je me retournais brusquement je pourrais lire sur ses yeux le désir de me tirer, là immédiatement.
« Je restai longtemps dans la position, le laissant imaginer toutes les cochonneries qu’il voulait. Je lui remis son café, qu’il prenait sans sucre, et m’apprêtai à quitter le bureau.
- Tu es belle ! dit-il, en me regardant droit dans les yeux, comme pour tester ma réaction.
- Merci du compliment, monsieur !faisant celle qui n’avait pas remarqué le tutoiement.
- Tu me plais ! J’ai envie de toi !
- Mais monsieur ! Je suis mariée et ne m’offre pas comme cela à n’importe qui !
- Je ne suis pas n’importe qui ! Je suis le recteur ! Je crois que tout le monde sort du bureau à seize heures ! Quand tous seront partis, tu viendras me rendre une petite visite !
- Mais, ça ne va pas !
« Je quittais le bureau sans plus attendre et rejoignis ma place. Ma collègue qui partageait le bureau avec moi, tenta de savoir ce que me voulait le nouveau patron. Je lui répondis qu’il s’agissait de problèmes professionnels. Elle n’insista pas. Moi par contre, je n’arrêtais pas de réfléchir : dois-je déposer immédiatement ma démission ? Dois-je écrire un rapport au ministère pour me plaindre de harcèlement sexuel ? Dois-je en parler à mon mari ? Pendant toute la matinée, j’en étais encore à me poser des questions.
« Abdelkader quitta le bureau vers treize heure, pour nous dit-il à voix haute, aller déjeuner avec des collègues. Il ne devait revenir, ajouta-t-il, que vers seize heures et qu’il aimerait bien que j’attende qu’il revienne avant de partir. Il avait un courrier à me dicter. Avant de sortir, il m’envoya une œillade triomphante, comme s’il savait déjà que j’allais l’attendre et m’offrir à lui. En fait il avait raison : si je devais partir, je l’aurais fait immédiatement après sa proposition. Comme j’étais restée, cela ne pouvait signifier qu’une seule chose : j’avais accepté.
« Et de fait, j’avais accepté de devenir la maîtresse de mon patron. J’avais repensé au désir de Salim de m’offrir à un autre homme, pour pouvoir lui-même prendre du plaisir. Abdelkader était bien de sa personne. Il avait la peau très brune des gens du Sud ; il était grand, mince (presque maigre) avec une charpente osseuse impressionnante. Ses yeux étaient noirs et regardaient fixement ses interlocuteurs ; un regard qui mettait mal à l’aise par son intensité. Il avait un nez long, un peu crochu, comme celui d’un oiseau prédateur. Et sa bouche faisait penser à celle d’un carnassier avide de chair.
« Je me disais que ce devait être un amant brutal, sûr de lui et surtout égoïste. Un amant qui ne pense qu’à son seul plaisir. J’étais vraiment loin de la réalité ! C’était le macho type, l’homme pour qui tout était dû ! J’appelai Salim pour lui annoncer que je rentrerai un peu tard ; qu’une affaire urgente me retenait et que je lui raconterai tout en rentrant. Il me répondit que cela tombait bien, parce que lui aussi ne rentrerait pas avant vingt heures.
« Quand Abdelkader revint au bureau, qui entretemps s’était vidé (ma collègue m’avait proposée de me remplacer; elle était célibataire et n’avait pas de contraintes; je refusai poliment) il me trouva assise derrière mon bureau. Il me fit de loin signe de le suivre dans son bureau directorial. Ce que je fis, un peu hésitante, mais déjà soumise. Il arriva devant le grand meuble, se retourna, tendit les bras pour me prendre par la taille. Je me laissai faire, sans lui montrer quoi que ce soit da mes sentiments. Il commença par palper ma poitrine qui avait l’air de l’attirer. Il s’y prit brutalement, tirant de moi un petit cri de douleur que j’étouffais immédiatement, pour ne pas avoir à lui donner le plaisir de contenter son côté sadique et brutal.
« Et puis, sans plus attendre, il me retourna, m’obligea à me pencher sur le bureau et releva le bas de ma robe pour le déposer en boule sur le bas de mon dos. Je restai ainsi en culotte, le cul en l’air. Il rabaissa la culotte m’obligeant à relever une jambe pour la faire sortir en partie, la laissant pendouiller sur l’autre jambe. Il me fit relever les fesses plus haut, sortit son sexe et me l’enfonça brutalement dans le vagin. Sans aucune préparation ! Je poussai un hurlement de douleur que je ne pus pas , tant j’avais mal.
- Tu peux hurler petite salope ! Personne ne peut t’entendre ! J’aime faire mal aux putes comme toi ! Comment tu trouves la trique qui est entrain de te posséder ? Dis-moi qu’elle te plait ! Dis-moi qu’elle te plait ! Je t’ordonne de me dire qu’elle te plait !
- …. (je refusais de lui répondre)
- Ah bon, tu t’entête ! Tu veux me résister ! Eh bien tu vas voir, comment je vais te corriger !
« Et il se mit à me tirer, comme cela en force, sans aucune précaution, ajoutant à ses coups de boutoirs sa main droite qui me m’écrasait le sein droit. Je ne sus absolument pas ce qui se passa alors : je sentis brusquement le désir m’envahir ; ma chatte se mit à couler comme une fontaine et le plaisir s’empara de moi. Je voulais résister, mais ma volonté avait brusquement disparu ; seul restait ce besoin de jouir. Rien ne comptait plus : je sentais le sexe - long, fin et dur comme de la pierre - qui limait les parois de mon vagin et qui me procurait du plaisir ; un plaisir différent de celui que j’avais avec mon mari ; un plaisir fait de douleur physique. Un type de plaisir que je me croyais incapable de ressentir et que Abdelkader me donnait en me traitant comme une chienne. Sa chienne !
« J’étais heureuse d’être une chienne ! Je ne sais combien de temps avait duré la séance, mais dans ma tête, elle dura une éternité. Le pire, c’est que ce fut moi qui eus le premier orgasme. Un immense orgasme qui me fit hurler de plaisir et décharger des litres entiers de jus. Abdelkader continua encore un moment à me limer le vagin, en poussant de han de bûcheron à chaque coup de boutoir, puis il eut lui aussi un énorme râle de jouissance et déchargea tout son foutre, abondant, épais et brûlant, en une longue giclée qui dura une éternité. Apaisé, il relâcha sa prise sur moi et sortit de ma chatte. Il s’éloigna un peu, me prit par les épaules et me retourna brutalement pour que le regarde droit dans les yeux.
- Tu as aimé salope ! Ne me dis surtout pas le contraire ! Tu as joui comme une chienne ! Dis-moi que tu as joui comme une chienne ! Dis-le ! Dis-le !
Comme je ne disais rien, il m’envoya une gifle retentissante, pour bien me montrer qui était le maître.
- Dis-le ! Dis que tu as joui comme une chienne !
- Oui ! J’ai joui comme une chienne !
- C’est qui ton maître ?
- C’est toi !
« Il aimait vraiment cette situation ! Il était le maître et moi l’esclave. Cela l’excitait tellement qu’il se remit à bander comme un bouc. Je voyais son sexe grandir rapidement et atteindre une dimension étonnante. Il avait gardé son pantalon, qu’il avait descendu légèrement sur ses hanches. Je regardais fascinée, son gourdin s’allonger, durcir et palpiter de désir. Il devait avoir près de trente centimètres, et même s’il était fin, il respirait la force et virilité. Il m’attrapa par les cheveux et m’obligea à m’agenouiller devant lui.
- Suce-moi, salope ! Je veux jouir dans ta bouche de pute ! tu as une bouche de pute, faite pour sucer ! Alors suce-moi !
« Totalement vaincue, je me mis à lui faire consciencieusement une fellation qui tira de lui des gémissements de plaisir continus. Au jeu de la fellation, j’étais championne : Salim m’avait appris comment faire jouir un homme avec la bouche. Je mis en œuvre toute la science que j’avais acquise. La longueur de sexe de Abdelkader me gênait un peu, car il voulait pénétrer au-delà de la glotte et je n’aimais pas la sensation que cela me donnait. J’avais envie de vomir. Je trouvais très vite la solution en saisissant le sexe au niveau des couilles pour rétrécir la distance qu’il pouvait parcourir dans ma bouche.
« Il protesta un moment, puis me laissa faire. En utilisant ma langue pour titiller et enrouler le gland, je tirai de mon amant des petits cris de plaisir. Il ne tarda pas à sentir monter l’orgasme, et tira encore plus fort sur mes cheveux pour me signifier d’accélérer le rythme des va-et-vient de ma bouche sur son sexe. Ce que je fis. Quelques secondes suffirent à le faire éjaculer ce qui lui restait comme sperme dans ma bouche et sur le visage. Il sortit son sexe, totalement ramolli de ma bouche, me prit par le menton pour me relever la tête et admira son œuvre, avec son sourire de carnassier: du sperme sur le visage, sur un œil et qui dégoulinait de ma bouche.
- J’adore ce spectacle ! me dit-il, avec un petit rire sarcastique. Je veux que tu avales ! Que tu avales tout le sperme qui est sur toi ! Ne dis surtout pas non, si tu veux éviter une bonne correction !
« Ce n’était pas la peur d’une nouvelle correction qui me fit obéir. En fait j’avais toujours aimé le goût du sperme, et avaler celui de Abdelkader était pour moi un plaisir. Mais comme je ne voulais pas lui donner ce plaisir, je faisais celle qui détestait ce qu’elle faisait. Je ramassai donc avec mes doigts le foutre que j’avais sur le visage et le portai à ma bouche pour le lécher et l’avaler. Je regardai de temps en temps mon amant et je le voyais sourire avec satisfaction. Je voyais même son sexe qui frémissait comme s’il voulait encore se réveiller.
« Il me tendit la main pour me relever, me palpa encore une fois brutalement les seins et me dit plein de satisfaction :
- Tu as maintenant un nouveau maître ! Tu dois lui obéir au doigt et à l’œil ! Demain je t’enculerai !
- Non ! Pas ça ! Je déteste la sodomie !
- Et bien avec moi tu vas aimer. Tu verras comme il te possèdera en force et comme il ira très loin dans ton cul (il me montrait son sexe qui continuait à frémir). Et maintenant tu peux partir. Je vais me doucher avant d’entrer chez moi. Il ne faut pas que ma femme se doute que j’ai baisé une petite pute !
« Je me retournai pour partir, avec un sentiment mitigé de plaisir et de honte. Il me rattrapa, souleva le bas de ma robe et me caressa les fesses. Il m’obligea à me pencher vers l’avant, me caressa les fesses (je n’avais pas remis ma culotte) et brusquement m’enfonça un doigt profondément dans l’anus. Il le fit tourner un petit moment à l’intérieur du rectum, puis le retira. Il le regarda un instant puis le porta à ses narines pour le sentir. Il eut à nouveau son sourire de carnassier et le porta à sa bouche pour le sucer.
- J’adore l’odeur de ton cul ! Demain je vais me régaler !
« Je rentrais à la maison vers dix huit heures. Je me demandais si j’allais tout raconter à Salim. Il n’était pas encore rentré. Je me décidais donc à préparer le dîner en l’attendant et en réfléchissant à ce qui venait de se passer. Quand il rentra vers vingt heures, il m’embrassa tendrement comme à son habitude. Il s’éloigna un peu de moi en me tenant à bout de bras :
- Il y a quelque chose de bizarre en toi, ce soir ! C’est quoi ? Il y a sur ton corps, une odeur que je ne connais pas !
- Allons d’abord dîner ! Je t’expliquerais après dans la chambre !
Nous dînâmes en silence, moi ruminant ce que j’allais bien lui dire, lui réfléchissant à différentes hypothèses. Il mangea très vite contrairement à ses habitudes, m’obligeant à faire de même. Il se leva, me prit par la main et m’entraîna dans la chambre. Il s’allongea sur le lit, tout habillé et me tira avec force pour que je m’allonge à ses côtés.
- Allez dis-moi vite ce qui s’est passé dans la journée ! Pourquoi tu as dû faire des heures supplémentaires ! J’ai l’impression qu’il s’est passé quelque chose d’extraordinaire !
- Je l’ai fait !
- Tu as fait quoi ?
- Je t’ai fait cocu !
- Quoi ???????
- Oui aujourd’hui, j’ai enfin trouvé l’occasion de te tromper. En réalité, j’ai même été obligé de te tromper. Je ne voulais pas le faire, tout en voulant le faire…tout en ayant peur de le faire ! Enfin tu comprends !
- Non je ne comprends rien, sauf qu’enfin, tu me fais porter une paire de cornes ! Allez raconte; ne me fait pas languir !
« Et je lui ai raconté l’histoire dans sa totalité, y compris tout le plaisir que j’ai pris à le tromper. Tout en lui parlant, je regardais ses yeux pour y lire ses sentiments. J’avais peur qu’il ne prenne très mal ce qui s’était passé ; surtout le plaisir que j’y avais pris. Je voyais son regard s’illuminer au fur et à mesure que je lui décrivais par le détail, tout ce que Abdelkader m’avait fait et m’avait fait faire. A la fin du récit, il avait sur les lèvres un sourire de béatitude, comme si j’avais fait quelque chose d’extraordinaire pour lui prouver tout mon amour.
- Tu as été géniale ! J’aurais tant aimé assister à la scène ! Promet-moi que la prochaine fois tu amèneras ton amant à la maison pour que je te regarde jouir avec un autre homme que moi !
- Non pas celui-là, c’est un vrai pervers ! Il n’est heureux que dans la douleur de ses maîtresses. Et ses maîtresses, il les force à se donner à lui, sinon il les vire du boulot. Ce n’est pas très fair-play ; c’est même dégueulasse. A partir de demain, je vais demander ma mutation à un autre service, pour ne pas rester avec lui !
- Pas avant qu’il ne t’encule ! l’entendis-je dire.
- Tu veux vraiment que j’aille jusque là. Tu sais que je n’aime pas la sodomisation. Je l’accepte de toi, parce que je t’aime. Mais pas d’un autre ! Surtout pas de ce salaud !
- Si rien que cette fois ! Je veux savoir ce que tu ressentiras réellement ! Tu as peut-être trouvé l’état qui te convient le mieux en érotisme : la soumission totale à un maître pervers et brutal. Moi j’ai trouvé le mien, c’est d’être cocu et de rêver assister à mon cocufiage. Je ne serais vraiment bien, que quand je pourrais t’offrir moi-même à un autre homme; que je choisirais pour toi !
« Le lendemain, je repartis donc au travail, décidée à laisser faire Abdelkader. Et effectivement, en fin d’après-midi, après le départ de tous les fonctionnaires, je me retrouvais dans le bureau du patron. Dans la même robe que la veille, mais cette fois-ci, sans porter ni culotte, ni soutien gorge. Comme la veille, Abdelkader y alla brutalement ; il me fit me pencher contre le bureau, releva le dessous de ma robe, dénuda mon cul, sortit son sexe, long et dur comme une pierre, écarta mes fesses, posa son gland à l’entrée de l’anus et me défonça le cul, sans ménagement. Je criai de douleur, sans que cela ne l’émeuve le moins du monde.
« Bien au contraire, mes cris de douleur, l’excitèrent encore plus et augmentèrent la force de ses coups de boutoir. Je l’entendais qui ahanait à chacune des pénétrations et je sentais arriver son orgasme. Moi-même je ne ressentais rien, si ce n’est une douleur lancinante sur mon anus et dans le boyau. Il poussa un long râle de jouissance et déversa tout son sperme en une longue rasade, qui s’échappa à l’extérieur, expulsée par les allers-retours de son sexe.
« Quand il s’arrêta, il s’aperçut que je n’avais pas aimé et que je n’avais fait que subir une sodomisation qui ne m’avait rien apporté. Cela le mit en fureur.
- Ah bon, tu n’as pas aimé que je t’encule ! Et bien je vais te faire faire quelque chose que tu aimeras encore moins ! A genoux salope ! Et suce-moi l’engin ! Oui comme cela plein de merde et de sperme ! Fais vite, sinon tu recevras la correction de ta vie !
« Ce n’est certainement pas la peur de la correction qui m’avait obligée à faire ce qu’il me demandait (je crois que j’aurais été en mesure de lui tenir tête physiquement, si je l’avais réellement voulu, d’autant plus que j’aurais pu alerter les gardiens et le personnel de sécurité, ce qui aurait pu donner lieu à un scandale, qui aurait mis fin à sa carrière de recteur d’université). Ce qui m’avait fait accepter de le sucer comme cela, c’était la curiosité du geste, sa nouveauté pour moi et surtout ce que j’aurai à raconter à Salim. Je suçais donc presque avec volupté, le sexe un peu ramolli et plein de sécrétions et avalais tout ce qui s’y trouvait. Je le fis si bien, que Abdelkader se remit à bander et pris la décision de me baiser par la bouche.
« J’ai déjà parlé de la longueur de son sexe et de sa tendance à vouloir aller au delà de la glotte. Et bien cette fois-ci, je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher. C’était pas moi qui le suçais, c’était lui qui me baisait. Il y allait comme à son habitude, en force sans se soucier, ni de la douleur, ni de l’envie de vomir qu’il procurait. Il y allait dans de longs allers-retours depuis l’entrée de la bouche jusqu’au fond de la gorge, en faisant à chaque fois une longue pose au fond, comme pour m’obliger à vomir. Je souffrais beaucoup, surtout quand, il restait trop longtemps au fond de ma gorge ; mais comme je ne voulais pas lui donner le plaisir de me voir vomir, je tins bon jusqu’à ce qu’il jouisse. J’avais la gorge qui me faisait mal, les yeux qui pleuraient et le nez qui coulait à flots. Quand il sortit da ma bouche et qu’il vit que j’avais tout avalé, il en fut content et ne put s’empêcher d’exulter :
- Je suis ton maître tout puissant ! Je fais de toi ce que je veux ! Je te dis à quatre pattes, et toi tu obéis ! Je te dis suce ta merde, et toi tu obéis ! Tu n’es rien d’autre que ma chienne !
« Je voulais lui répondre que je l’emmerdais et qu’à partir de demain, il ne me reverra plus. Que je ferais une demande de mutation, qu’il sera obligé de signer, sinon je l’accuse d’agression sexuelle et de viol. Avec la réputation qu’il traîne, un tel scandale lui sera fatal. Mais la douleur dans ma gorge, consécutive à l’irritation de mes cordes vocales, m’empêcha de parler. Je me promettais de le lui dire en face le lendemain matin à la première heure. Pour l’instant, j’étais pressée de retrouver Salim et de lui raconter ce qui venait de se passer et de mon intention d’arrêter ma relation d’esclave à maître avec ce malade de Abdelkrim.
« Je le trouvais qui m’attendait gentiment, allongé sur le canapé du salon, lisant son journal. En m’apercevant, il jeta son journal et me fit signe de venir le rejoindre. J’allais vers lui, tellement heureuse de le retrouver et tellement contente de retrouver mon homme : le seul ! le vrai ! Il m’embrassa tendrement et me fit raconter les évènements de la journée, en me serrant dans ses bras, pour me faire comprendre combien, il était fier de moi. Et combien, il aimait les cornes que je lui faisais porter. Il était d’accord pour que je quitte mon poste auprès du recteur. Mais me répéta toutefois, qu’il voulait toujours être le témoin d’une scène d’amour torride entre moi et un amant, qui se passerait ici même, à la maison. Il pensait même avoir trouvé l’homme idoine pour cela : un homme, taillé comme un athlète, jeune et beau comme un Apollon et surtout très viril.
- Je ne veux pas en parler maintenant ! lui rétorquai-je. Je veux la preuve que tu m’aimes toujours. Hier tu m’as laissée dormir, sans me faire l’amour. Et même aujourd’hui, tu vas me laisser comme cela, complètement frustrée par ce qui s’est passé avec ce cochon de recteur. Allez viens me faire l’amour et me faire jouir tendrement, pas comme cette bête !
« Et Salim me fit l’amour longuement, tendrement et me fit jouir intensément. J’ai vraiment aimé sa manière en même douce et forte de me faire grimper aux rideaux. Je me suis dit que mon mari était en fait le meilleur des amants possibles. Sauf que lui, voulait tenter cette expérience d’un autre homme sur moi et je savais que tôt ou tard, cela arrivera.
----
Voila donc l’histoire telle qu’elle m’a été racontée et que je pense avoir transcrite fidèlement. Mais il se passe quelque chose de bizarre en moi depuis que j’ai pris connaissance des dessous érotiques du couple formé par Wassila et Salim. Wassila, mon amie, et Salim son mari que je ne connaissais pas, m’étaient subitement apparus sous un visage différent : celui d’un couple vivant un amour libre, à l’abri de tous les tabous sociaux et moraux et étant heureux de leur comportement. Je me disais même que je serais heureux d’être cet amant qui rendrait Salim cocu et heureux de l’être !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!