La Cabine D'Essayage

J’étais en route vers les magasins lorsque Martin, un ami que je trouve terriblement séduisant, m’appelle pour avoir de mes nouvelles. Je lui dis que je vais dans une boutique de lingerie pour voir si je peux trouver quelque chose d’intéressant à ajouter à ma collection. Il propose à la blague que ça serait rigolo de faire des coquineries dans une cabine d’essayage. Je souris à sa proposition, sachant très bien qu’il ne le ferait pas. Je lui dis d’un ton sarcastique qu’il n’a qu’à venir me rejoindre. Il rit de bon cœur et me dit à plus tard. Je pèse sur le bouton pour terminer l’appel, en me disant qu’il n’oserait pas.

J’arrive à la boutique en question. C’est une journée où il n’y a presque pas de clientes, et ça m’arrange, puisque j’aime fouiner tranquillement et en paix. Je vois beaucoup de belles lingeries en dentelles. J’aime ces détails féminins qui épousent mon corps. Je choisis 4-5 morceaux et je me dirige vers une vendeuse, qui m’assigne une cabine, avant de s’occuper d’une cliente qui semble exigeante.

J’entre dans la cabine, j’enlève tranquillement mes vêtements, à commencer par mon chandail, mes jeans, mon soutien-gorge noir (en dentelle noire, vous l’aurez deviné). Je ne garde que ma culotte noire. Je suis à essayer mon premier morceau, un beau soutien-gorge rouge, en satin, avec une magnifique boucle sur le devant, cachant avec féminité mes seins. Je me regarde dans le miroir sous plusieurs angles. J’aime beaucoup ce que je vois.

Alors que je m’apprête à l’enlever, je sens le rideau de ma cabine bouger. J’arrête quelques secondes, me demandant si c’est moi qui l’ai fait bouger sans faire exprès. J’entends la vendeuse, toujours occupée avec sa cliente, qui pose mille et une questions sur un morceau en particulier. Pauvre vendeuse, murmurais-je.

Alors que je reprends mes esprits et m’apprête à continuer mon essayage, je sens quelque chose m’effleurer le dos. Je sursaute et, en me retournant, je vois quelqu’un passer à travers le rideau et me plaquer sur le mur.

Prise par surprise, aucun son ne sort de ma bouche. La personne met sa main sur ma bouche et me murmure : c’est moi…

Je lève les yeux et je vois Martin, devant moi. Son regard me subjugue littéralement. Surprise, je reste figée. Il se met alors à m’embrasser avec fougue. Son désir m’électrise le corps. J’entends toujours en sourdine la vendeuse, qui n’a aucune idée de ce qu’il se passe. L’excitation monte alors d’un cran et je laisse Martin prendre le contrôle. Je suis toujours plaquée au mur, à l’embrasser langoureusement, alors qu’il glisse ses mains sur mes seins. Il détache la boucle qui couvre mes mamelons, pour ensuite descendre sa bouche pour les embrasser. Mes mains dépeignent ses cheveux et je ferme les yeux. Je tente de taire mes petits gémissements du mieux que je peux. Il défait le soutien-gorge, pour libérer mes seins de son emprise. Alors qu’il les masse doucement, il m’embrasse à nouveau. Mon ventre se colle au sien, sentant une très belle érection.

Je le sens sourire, puis il glisse sa main dans ma culotte, qui commence déjà à être humectée par mon excitation. Ma voix tremble légèrement au creux de son oreille. Il chatouille mon clitoris en feu alors qu’il m’embrasse à nouveau. Il tient à tout prix que je garde le silence…

Il continue à me caresser quelques instants, puis, soudainement, il tourne mon corps, dos à lui. Il me prend par surprise en enlevant d’un trait ma culotte, mettant mes fesses à nue. Il penche mon dos vers le miroir, je le vois, le regard ténébreux. Il est tellement séduisant quand il est allumé. Il glisse son sexe bien dur en moi, en donnant un léger coup. Je me retiens à nouveau d’émettre un cri. Je le sens très bien en moi, je sens sa chaleur. Il sent mon excitation. Alors il poursuit son rythme, en tenant fermement mon bassin. Mes mains se collent au miroir, alors que je le regarde me prendre avec avidité. C’est tellement bon que je me peux contenir ma jouissance, mais en silence. Martin ralentit la cadence, il me sourit d’un air taquin. Je le regarde, subjuguée.

Je me retourne vers lui, je l’embrasse avec passion. Pour ensuite descendre ma bouche, en m’agenouillant au sol. J’embrasse son sexe, encore tout dur. Ma langue chaude enroule son gland avec gourmandise. Il murmure un léger gémissement. Nous entendons toujours la vendeuse discuter avec la cliente. Alors je continue, en engloutissant son sexe au fond de ma bouche, en exerçant une petite succion, suivi d’un va-et-vient. Je sens ses mains tenir mes cheveux. Je continue, encore, et ma langue enroule le gland lorsque je remonte ma bouche. Il adore ça, je le sens jouir dans ma bouche. Prise par surprise, j’avale son sperme avec gourmandise. Il a bien mérité ce cadeau.

Je me relève, il m’embrasse doucement, puis me dit qu’il doit quitter avant que la vendeuse s’aperçoive de sa présence. Il rattache son jeans, et quitte rapidement. Je reprends mes esprits quelques instants, ébahie par ce qu’il vient d’arriver. Je me rhabille, je regarde les morceaux que je devais essayer, je les laisse sur place, ne prenant que le soutien-gorge rouge.

Je me dirige à la caisse. La vendeuse quitte momentanément sa cliente pour me servir. Elle me demande si je suis satisfaite de mes essayages. Mes joues s’enflamment en disant : « Oui, très satisfaite ». Je paie mon achat et en retournant à mon véhicule, je vois Martin pas très loin, avec un large sourire. Je lui retourne son sourire, avec un beau petit clin d’œil.