Mon Dressage Par Simon 2

Mes commissures de lèvres me faisaient mal tellement maître Simon m’avait buriné avec sa bite. J’étais poisseuse alors il m’ordonna d’aller me laver, toujours à quatre pattes. Il me donnait des fessés, me traitait de salope. Ses amis allaient bientôt arrivés et j’allais comprendre ma douleur. Je regrettais de ne pas avoir obéi expressément à Lyvii’. Ma cousine. Elle était ma dominatrice, ma maîtresse. Elle me fait jouir. Je suis son esclave et j’aime ça. Avec maître Simon aussi j’avais aimé mais j’avais eu aussi très mal. On avait baisé pendant trois heures. Ça avait été trois heures de préparation pour recevoir ses amis. J’avais peur, j’avais envie qu’il ait pitié de moi. Mais je me doutais que ça ne faisait que commencer. J’étais à quatre pattes, le collier me maintenant le cou droit me faisait mal à force. J’avais osé m’en plaindre, les coups de cravache avaient fusés, mes fesses étaient endolories. On était dans le salon. IL était assis, ma laisse entre ses mains, je devais lui baiser les pieds, les lui lécher. Je trouvais ça si humiliant.
Soudain on frappa à la porte. Mon cœur se mit à battre plus fort. Je serrais les fesses tellement fort sur le moment que le Plug dans mon anus me fit mal. Simon me traîna à la porte d’entrée et ouvrit. Deux arabes entrèrent. Je levais la tête vers eux. Ils avaient un regard lubrique. Leur pantalon avait déjà une bosse proéminente au niveau du sexe et je croyais au début qu’ils bandaient, mais en fait leur pénis était seulement gros et mon vagin allait souffrir. En même temps je mouillais. J’avais envie de sentir des bites en moi. Simon m’avait bien préparée. Après que je leur ai baisé les pieds, on allait tous dans la chambre. Les mains me caressaient les fesses et les seins. Ils s’étaient assis et déshabillés. Quand je vis leurs bites je pris peur et ma chatte coula encore davantage. Je les masturbait, puis le premier arabe me retourna violemment sur le lit, et commença à s’occuper de moi pendant que l’autre faisait le tour du lit pour me faire avaler sa bite.

J’avais peine à la lécher mais je parvins quand même à l’enfoncer en entier dans ma bouche. Il me laboura la bouche pendant de longues minutes. Son collègue s’occupait de mes seins. Il les fouettait de sa main :
- T’aimes cochonne ?
- Huuummm, était tout ce que je pouvais répondre.
- OOhhhhh….aaahhhh…..Ouiii, salope, salope de blanche, pute… tu suces comme une bonne pute que t’es, me disait Rachid.

Fakir avait la bite toute dressée, dure et surtout énorme, je le masturbais de façon irrégulière car j’avais la bite de Rachid dans la bouche. Elle était grosse, si grosse. J’avais peur et en même temps j’étais excitée. Simon regardait la scène en se masturbant. Des larmes me coulaient des yeux, j’étais un jouet entre leurs mains. Je savais que j’avais désobéie à Lyvii’ et que je méritais cette punition. Cette situation me faisait penser aux harems orientaux où les femmes ont le seul droit de faire du bien à leurs maris et d’écarter les jambes quand ils le demandent. Mes lèvres du bas étaient fermées, pour l’instant ils ne me tripotaient pas la chatte. Ma chatte était toute lisse, je résistais à peine à me toucher. Je sentais que mon clito était en feux, il devait être tout gluant. Je sentais mes lèvres qui se gonflaient. Il me tardait de voir la taille de mon bouton de rose, de sentir la salive et la langue des Arabes me chatouiller encore plus le sexe. Pour l’instant, je goûtais le gland de l’un et ma main astiquait la bite de l’autre. Dix minutes plus tard, ils me renversèrent sur le lit brutalement. Je poussais de gémissements de peur et d’excitation sans qu’ils ne m’aient réellement touchée. Je constatais que Simon m’avait bien dressée mais que j’allais l’être plus encore par ses deux Arabes. J’avais un regard soumis. Rachid commença à caresser mes lèvres vaginales. Je frémissais. Fakir, lui s’occupaient de mon 85C. Il tirait sur mes tétons, les pinçaient, et les faisaient rouler entre ses doigts. Je gémissais de plus en plus. C’était un vrai supplice, j’ondulais du bassin seule sous leur regard cochon de pervers.
Pour eux j’étais une esclave. J’avais envie de tout faire pour ne pas être punie plus encore, parce que j’avais soudain très envie de retrouver Lyvii’, de m’excuser et de me faire ramoner la chatte par ses doigts, par son gode ceinture. Plus jamais je ne lui refuserais qu’elle me pénètre avec un gode énorme. Rachid, écarta mes lèvres et sourit. Elles étaient gluantes de mouilles. Mon clito était déjà bien gonflé sans que leur langue ni leur doigt ne s’en soient occupés.
- Regarde Fakir ! Elle mouille déjà comme une cochonne ! T’es vraiment une bonne pute toi ! T’as envie qu’on te fasse jouir ?! demandait Rachid
- Haaan, ooooohhhhh, s’il vous plaît… S’il vous plaît…. Ma chatte… est en feu…oohhh, aaaahhhh, gémissais-je.
- Espèce de salope, t’as pas répondu à la question de mon pot ! cracha Fakir en tirant encore plus sur mes tétons. Répond-lui !
- OOOhh… Oui, j’ai envie qu’on me fasse jouir, dis-je en ondulant du bassin.
- T’as pas bien répondu ! On dit maître Rachid et maître Fakir !! Ok ?! dit Rachid.
- Oui, maître Rachid, j’ai envie que vous me fassiez jouir maître Rachid. Pitié… Haaann, je suis une salope ! dis-je en caressant du bout des doigts les glands de Rachid et Fakir.
- Salope, nos bites dans ta bouche t’ont pas suffis, espèce de sale cochonne !

Fakir introduisit deux doigts dans ma chatte. Il me limait avec ses deux doigts, j’ondulais de plaisirs. J’étais leur bonne pute soumise. Fakir étala ma mouille sur tout mon sexe, et sur mon clito avant de le prendre entre ses doigts et de le faire rouler… Haaan, ouiiii, c’était tellement bon…. Encore, encore !!
Ils me retournèrent violemment et me mire en position levrette. Rachid m’enfourna sa bite énorme. Elle me fit un peu mal, mais ma mouille était trop abondante pour me faire trop souffrir. Il me burina la chatte comme un fou. J’adorais ça. J’avais les bras le long du corps, la croupe bien cambrée, offerte. Je bavais. Ma salive coulait sur mes joues.
Fakir me releva par les cheveux et me força la bouche de sa bite. Rachid déversa son sperme en moi. Fakir m’inonda le visage. Ils ne me laissèrent pas souffler. Rachid m’astiqua violemment le clito avec ses doigts, je sentis la jouissance monter. Haaan… Ouiiiiii…..OOOhhhhh…. C’est trop bon… Encore…. J’avais l’impression de ne voir que de la bite partout. Ils rigolèrent de me voir ainsi offerte et bonne salope. Soudain, je sentis que ma chatte ne leur suffisait plus. La queue de Fakir remplaça le Plug dans mon cul. Ma mouille coulait tellement qu’elle avait permis de lubrifier mon anus. Je poussais un cri de douleur, mais en même temps c’était jouissif. Rachid était dans ma chatte. J’étais prise en sandwich. Simon s’astiquait la queue qu’il vint me faire sucer en gorge profonde. Je me laissais faire. J’étais couverte de sperme, de mouille. J’aimais ça.
- T’es bonne, t’es une salope de blanche qui ne mérite que… que nos bites, dit Fakir en me fourrant encore et encore l’anus. Ta rondelle est assez serrée et c’est super bon espèce de pute !
- OOOhh ouiii, je suis… une… je suis… une pute blanche… pour vous maître Fakir. Votre… bite… haaann, c’est trop bon… maître Rachid… c’est trop jouissif… Haaan… Oooooohhh…… AAAAAAhh…. Plus fort….ouiii
- Espèce de salope, t’es trop bonne…

J’étais dans un état second, je bavais mon plaisir de soumise, ma chatte coulait. Les vas et viens de Rachid me défonçaient. Fakir était un grand baiseur. C’était si bon toutes ces bites… Ensuite ils me laissèrent là sur le lit, sale de spermes et de mouilles. Après leur départ Simon me ramena chez ma maîtresse Lyvii’. Je tombais à ses pieds et je lui jurais de lui obéir.
- Tu as compris la leçon espèce de trainée ? me demanda Lyvii’
- Oui maîtresse. Tu es la seule que j’aime. Je t’obéirais.
- Tu as eu mal ?
- Oui beaucoup et j’ai aussi beaucoup eu de plaisir avec leurs bonnes bites, dis-je à genoux devant elle.
- Je m’en doute, tu n’es qu’une salope.
Je vois que ta chatte est lice maintenant. On va pouvoir faire l’amour.
- Oh maîtresse Lyvii’ tout ce que tu veux. Ma chatte est à toi, mes seins, ma bouche sont pour te donner du plaisir. Je veux que tu me fasses jouir, dis-je avide de me faire fouetter les seins par Lyvii’
- Alors monte sur le lit espèce de salope… Ta chatte va couler crois-moi…

La suite au prochain post ;)

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