Inoubliable Première Fois

Voici l’histoire de ma première fois que je n'oublierais jamais.

J’avais 18 ans à l’époque et j’étais timide comme pas deux, je ne pouvais pas approcher d’une fille qui me plaisait sans me retrouver à ne même plus savoir parler.
Une amie avait prévu une soirée chez elle avec cinq autres connaissances. Nous étions tous du même âge et du même lycée sauf une. Il y avait 4 filles et 2 gars, dont moi. Nous avons commencé l’après-midi par des jeux de sociétés, tout ce qu’il y a de plus banal. Vers 20h, 20h30, l’une des filles s’en allait et nous allions manger.

Vers les environs des 23h30, trois d’entre nous, moi et deux autres filles, allèrent prendre un bain de minuit. Les deux filles voulaient à tout prix me couler, mais elles se retrouvaient à chaque fois la tête dans l’eau. C’est alors qu’elle m’est apparue. Etant tous en maillot de bain je pouvais l’admirer comme il me plaisait sans vraiment en avoir l’air. Elle n’était pas bien grande, blonde, avec une poitrine un peu petite mais qui me plaît tant chez les filles et je la trouvais tout simplement parfaite, elle s’appelait A***.
Comme à mon habitude, je ne pouvais rien dire, alors nous continuèrent nos délires : Les filles continuaient leurs tentatives de me couler tandis que j’allais de mon côté faire un câlin mouillé à la fille qui n’avait pas voulu plonger.

Nous allions dans les matelas qui avaient été installés dans le salon exprès et nous avons longtemps parlé de tout et de rien. Le hasard fit que je me retrouvais à côté de A. Les délires que nous nous faisions firent que je pu à plusieurs reprises la caresser tranquillement, m’amusant faire semblant de la plaindre.
Nous nous couchâmes vers 3h du matin, après un joyeux bazar.
Une petite demi-heure plus tard, je ne dormais pas complètement et dans un réflexe que je n’avais pas moi-même prévu, je l’enlaçais.
A se réveilla, se tourna vers moi et ouvrit les yeux doucement.


Elle me recula et me demande :

« Mais qu’est-ce que tu fais ?

-Heu… Je suis désolé, je ne l’ai pas fait exprès… Je dormais et puis mon bras s’est tout simplement mis autour de toi.

-Tu es sûr que ce n’est que cela ? J’ai bien vu que tu me regardais dans la piscine. »

Je rougis et me sentit alors mal d’avoir à m’expliquer là-dessus.

« Ben….. c'est-à-dire que…

-Tu me trouves belle ?

-………Oui

-Tu m’aimes ? »

C’est à ce moment que je ne pus plus répondre.
Je restais bouche ouverte, dans le noir, avec un petit clair de lune qui traversait la fenêtre et les autres qui dormaient juste à côté de nous.
A posa alors ses lèvres sur les miennes, et nous nous étreignîmes dans un long baiser

« Moi aussi je t’aime. »

Connaissant bien la maison de notre ami, A nous emmena jusqu’à une chambre, ou elle sait que personne ne passerait avant un bon bout de temps.
Nous nous allongeâmes sur le lit et nous nous déshabillâmes. Nous étions nus tout les deux, admirant chacun le corps de l’autre. C’est alors que je commençai à l’embrasser sur la bouche, sur le cou, puis je pris mon courage à deux mains et embrassa ses seins. Je les trouvais tout simplement parfait et je vis qu’elle semblait aimer ceci à ces tétons qui durcissaient au fur et à mesure et au fait qu’elle me chuchota à l’oreille « J’aime ça ».

Elle m’arrêta alors dans mes embrassades et me dit de la prendre tout en douceur, de nous faire désormais passer au stade de vrais homme et femme.
Je me mis alors sur elle délicatement, approchant mon sexe du sien. Toujours doucement, je rentrais en elle. Elle fit un petit cri lorsque je passais son hymen et je fis alors des va-et-vient un peu plus rapide. Elle gémissait tout doucement pour ne point que nous réveillions les autres qui était au rez-de-chaussée.
Après de longues minutes de ceci, elle me demanda de m’arrêter de la faire jouir de façon certaine.
Je sortis alors d’elle et mis ma tête au niveau de son sexe. Je m’étais décidé de la lécher. J’avais certain appréhensions au début, mais ceci n’était pas si désagréable que j’avais pu l’entendre dire, ni pour moi, ni pour elle.
Je titillais de ma langue son clitoris pendant deux trois minutes avant qu’elle ne jouisse dans un râle qu’elle tenta de contenir au maximum.

Je vins lui déposer un baiser et finir ce que j’avais commencé : je remis mon sexe dans le sien et fit des va-et-vient. Trois ou quatre minutes plus tard, je lâchais ma semence en elle et embrassa encore et encore sa poitrine.
Je vis alors que le temps avait tourné et que nous ferions peut-être mieux de partir nous recoucher avant que quelqu’un ne remarque notre absence.

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