Cousine Zoulikha Deuxième Partie : Les Amours Multiples De Zoulikha

Cousine Zoulikha

Les deux hommes qui venaient de nous rejoindre étaient tous les deux français et enseignants. Mais eux enseignaient à l’université, la biologie pour l’un et la physique pour l’autre. C’étaient des matières qui n’avaient pas encore été arabisées. Le professeur de biologie s’appelait Robert et avait l’accent chantant du Midi. Il venait de l’université de Montpellier. Il était assez grand, brun avec les cheveux bouclés. Il avait le corps massif d’un ancien joueur de rugby, qui avait un peu forci, parce qu’il avait arrêté la pratique du sport. Il devait avoir environ trente-cinq ans. Le professeur de physique, Guy, était tout aussi grand, mais plus mince, avec le teint blanc des hommes du nord. Il disait qu’il venait de l’université de Rennes en Bretagne, mais que c’était chti, originaire de Lille. Il portait une belle barbe soigneusement taillée ; il était vraiment beau.
Les deux hommes depuis qu’ils étaient entrés ne s’intéressaient qu’à Zoulikha. Marc venait d’entamer le dernier paquet de copies à corriger et Jacqueline avait été prendre une douche, puis s’était mise la cuisine, pour préparer le rôti que les nouveaux arrivants avaient apportés avec eux. Moi j’étais resté seul et voulait prendre Zoulikha par la main pour la ramener chez elle. Je recommençais à devenir jaloux. J’avais plus ou moins intériorisé Marc en tant que maître et amant ; j’avais aussi facilement acceptée son aventure homosexuelle avec Jacqueline. Mais avec deux autres hommes, c’en était trop ! Je voulais le lui dire, mais au regard noir qu’elle m’avait lancé, je compris que j’avais intérêt à garder mes sentiments pour moi.
Marc me regarda un moment et compris l’état psychologique dans lequel j’étais. Il me lança un sourire énigmatique, mais ne dit rien. Il replongea dans ses copies. Jacqueline rentra un moment dans le salon pour me demander si je ne voulais pas l’aider à la cuisine. Je n’avais jamais mis les pieds dans une cuisine, autrement que pour y prendre mes repas chez mes parents.

J’acceptais pourtant d’aider Jacquie, rien que pour échapper à la scène de Zoulikha se faisant tirer par les deux hommes.
- Tu sais, me dit Jacqueline, moi aussi je souffre de la voir prendre son pied avec quelqu’un d’autre que moi. Mais si je le lui interdis, d’une part elle sera malheureuse et s’éloignera de moi et d’autre part, rien au monde ne sera capable de l’arrêter de prendre son pied avec des hommes. Il vaut donc mieux la laisser faire et qu’elle reste avec nous. Tu sembles beaucoup l’aimer; ne fais donc pas d’imprudences avec elle. Elle a déjà fait l’amour avec ces deux là et elle a eu beaucoup de plaisir.
- Comment fait-elle pour aimer en même temps plusieurs hommes. J'ai vu tout à l’heure qu’elle avait de l’adoration pour Marc (comme toi, d’ailleurs !). Je peux comprendre qu’elle aime se faire tirer par lui ; d’autant qu’il a un zob monstrueux et qu’elle adore les gros zobs. Ces deux là sont, je le suppose, pas mieux membrés que moi ! Alors pourquoi ?
- D’abord tu te trompes car Robert est fort bien monté ; Guy, par contre l’est beaucoup moins. Ensuite si tu connaissais mieux ta cousine, tu aurais su que l’amour à plusieurs l’émoustille beaucoup plus que l’amour à deux. Et puis n’oublie pas que Zoulikha est une vraie nymphomane : une fille vraiment insatiable. Pour qu’un seul homme (ou une seule femme) la satisfasse pleinement, il lui faudrait être quelqu’un d’exceptionnel, avoir un sexe en acier, qui ne mollit jamais et qui est toujours prêt à aller à l’assaut de son cul !
Tout en discutant comme cela avec Jacquie qui préparait le dîner (sans mon aide bien entendu !) nous entendions venir du salon les cris de plaisir que poussait Zoulikha qui s’ébattait entre ses deux hommes. La curiosité (ou le voyeurisme) me poussait à aller voir ce qui se passait. J’interrogeai Jacquie du regard. Elle comprenait parfaitement ce qui se passait dans ma tête. Elle me sourit, me donna un baiser plein de tendresse, auquel je ne m’attendais pas, sachant son aversion pour les relations amoureuses avec les hommes, et me dit :
- Si, comme moi, tu es capable de mettre ta jalousie entre parenthèse, tu peux aller voir.
Tu peux même si l’occasion se présente, participer au jeu et prendre ta part de plaisir. Tu vas voir que moi aussi, dès que je n’entendrai plus aucun cri, aucun gémissements ou aucun de ces bruits bizarres que font les corps qui s’ébattent, et donc dès que tout le monde aura joui, j’irai prendre mon pied avec le corps plein de sperme de la magnifique Zoulikha. C’est à ces moments là qu’elle me donne le maximum de plaisir; et qu’elle en prend autant, sous mes caresses et mes baisers. Vas voir !
J’allai à pas de loup vers l’entrée du salon. Plus j’approchais, plus les cris de Zoulikha, les ahanements d’un des hommes et les gémissements de l’autre devenaient plus forts. On aurait dit un orchestre en folie ! La fille criait qu’elle aimait le gros zob qui lui défonçait la chatte et adorait celui qui l’enculait. Qu’elle adorait la double pénétration ! Qu’elle aimait sentir tous ses trous occupés par des zobs ! Qu’il lui manquait un zob dans sa bouche pour être complètement heureuse ! Elle appelait Marc pour qu’il vienne la baiser par la bouche ! Les deux hommes ne disaient rien : l’un des deux poussait des han de bucheron et l’autre haletait comme quelqu’un qui venait de terminer une course de fond, à laquelle il n’était pas physiquement préparé; sa respiration était tellement courte et rapide, que je m’attendais à ce qu’il s’.
Quand j’arrivais à l’entrée du salon je découvris une scène incroyable : Zoulikha était allongée sur Robert, sa chatte empalée sur son énorme pilon. Guy était derrière elle et l’enculait en même temps. C’était ce dernier qui ahanait comme un bûcheron à chaque coup de rein et Robert qui était à bout de souffle parce que c’était lui qui pilonnait la chatte de sa partenaire positionnée à une dizaine de centimètres au dessus de son énorme vit. Des trois, c’était lui qui fournissait le plus grand effort ; ce qui expliquait qu’il était au bord de l’apoplexie.
Mais ce qui était le plus extraordinaire dans la scène, c’était Marc qui était à deux pas derrière Guy et qui était entrain de se caresser le monstre qu’il avait entre les cuisses ; il s’apprêtait à enfiler le cul de Guy.
Il me faisait face et me vit entrer dans le salon. Cela ne l’arrêta pas; bien au contraire, il me fit le sourire du prédateur sur le point de sauter sur sa proie. Je le vis qui s’approchait jusqu’à quelques centimètres des fesses du Chti, qu’il se mit à caresser presque tendrement. Guy se retourna, lui fit un sourire d’encouragement (ou de soumission, je ne savais pas trop) et se remit à pilonner l’anus de Zoulikha. Marc cracha dans sa main droite et enduisit l’anus de Guy de salive. Il refit l’opération une deuxième fois, avant de mouiller son sexe de la même manière. Et en me regardant avec ses yeux bleus qui pour une fois brillaient de concupiscence, il enfila l’homme d’un coup sec. Guy poussa un petit cri de douleur, mais ne s’arrêta pas d’enculer la fille.
Marc y alla en force à grand coup de hanches, avec des va-et-vient qui allaient de l’entrée du cul de sa proie jusqu’à ce que les fesses de Guy lui interdisent d’aller plus au fond. Je voyais son immense membre entrer et sortir d’entre les fesses de Guy, dont les ahanements s’étaient transformés subitement en gémissements stridents; les même gémissements que ceux que poussaient maintenant Zoulikha, comme si elle avait senti un poids et une force supplémentaires derrière son dos.
- Marc pourquoi ce n’est pas ma bouche que tu baises ! Il me manque un zob dans ce trou là ! J’ai besoin d’un zob dans ma bouche !
Marc leva la tête, me regarda dans les yeux, me lança son sourire de prédateur et me dit :
- Qu’est-ce que tu attends ? Tu ne vois pas qu’il y a encore un trou de libre ! Va vite le remplir !
Je ne m’étais pas rendu compte que je bandais comme un âne devant la scène incroyable qui se présentait devant mes yeux de novice. Je vins me placer à côté de la tête de ma cousine qui venait juste de remarquer ma présence. Elle me fit un magnifique sourire ; le sourire d’une femme qui allait enfin recevoir le cadeau qui lui manquait. Elle tourna un peu la tête pour faire face à mon engin que je venais de sortir du pantalon et ouvrit très grande sa bouche pour le recevoir.
La scène devint alors incroyablement érotique : une masse informe de cinq corps entremêlés; des cris et des gémissements; des respirations qui ressemblaient de plus en plus à celles d’asthmatiques en pleine crise ; des clapotis de zobs à l’intérieur de tunnels ruisselant de mouille; le bruit des bas-ventres cognant sur les fessiers des partenaires. Tout cela créait une ambiance fantastique et irréelle.
Moi je ne m’intéressais qu’à la bouche et à la gorge de Zoulikha, qui accueillaient mon bâton de la même manière qu’un vagin doux et visqueux l’aurait accueilli. Je la pilonnais en force comme les deux hommes qui étaient en elle la pilonnaient. Elle ne pouvait plus rien dire, mais ses yeux, maintenant remplis de larmes et son nez qui coulait à flots parlaient pour elle. Elle était aux anges ! Tous ses trous étaient occupés ! Le premier qui eut un orgasme, ce fut Robert qui avait failli s’évanouir tellement, il était éreinté par les efforts accomplis. Il hurla très fort et se relâcha totalement sur le divan. Son sexe sortit de la chatte de Zoulikha et se mit à ramollir. Guy aussi eut une forte éjaculation dans l’anus de sa partenaire et continua un temps à aller et venir en elle, en gémissant de plus en plus doucement.
Il sortit du cul de Zoulikha, qui se laissa tomber sur Robert, toujours allongé sous elle, en gardant sa bouche ouverte pour que je continue à la pilonner. Guy par contre ne pouvait plus bouger. Marc le tenait fermement par les hanches et accentuait la force de ses coups de boutoir. Il ne disait rien mais gémissait doucement, presque silencieusement. Je le vis qui bloqua subitement sa respiration et accrut le rythme des ses va-et-vient. Ses lèvres se tendirent, de la salive se mit à couler des commissures de sa bouche et il explosa (toujours en silence) dans le cul de Guy, qu’il remplit de sperme blanc, épais et chaud. Il continua à pilonner le cul de son partenaire puis, rassasié, se retira pour regarder son sperme ressortir du cul de Guy en une coulée continue, qui avait perdu sa couleur blanche d’origine, pour tourner à la couleur café au lait. Il jubilait au spectacle du foutre qui sortait de l’anus.
Moi je continuais encore quelques secondes à tirer la bouche de Zoulikha, avant de sentir arriver en force un flot de sperme. Une main vint s’emparer de mon sexe pour le sortir de la bouche de ma cousine et se mettre à le masturber. C’était Jacqueline qui ne voulait pas que mon sperme aille directement dans la gorge de Zoulikha. Elle le voulait sur son visage, son cou et sa poitrine pour pouvoir participer à la scène. Elle me branla avec énergie et savoir-faire, si bien qu’en une dizaine de secondes, je lançai un râle de mourant et lâchai, en un flot continu, tout le foutre qui était en moi. Il alla s’étaler sur le visage et le cou de Zoulikha, qui sortit sa langue pour en recevoir au moins un peu dans sa bouche.
Tous les hommes se levèrent pour aller se débarbouiller. Zoulikha et Jacquie restèrent sur le divan à s’embrasser, se lécher et se caresser. A mon retour de la salle de bain, je les vis qui en était à se bouffer mutuellement la chatte. C’était Jacqueline qui semblait prendre le plus de plaisir ; elle qui gigotait avec la plus grande énergie et qui frottait avec le plus de vigueur sa chatte sur la bouche de son amante. Elle léchait et avalait avec délectation tout le jus que sa langue ramenait de l’intérieur de la chatte de son amie ; y compris le reste de foutre de Robert. A chaque fois elle levait la tête d’entre les cuisses de Zoulikha, me jetait un regard coquin et avalait ostensiblement tout ce qu’elle avait dans la bouche. C’était sa manière à elle de me dire qu’elle aimait tout ce qui venait de son amante.
Elle replongeait immédiatement sa tête et recommençait l’opération. Je trouvais la scène superbement belle et érotique. Les deux femmes étaient belles; belles de manière différente, mais toutes aussi belles et sensuelles, l’une que l’autre. La masse que formaient leurs deux corps enlacés tête-bêche et soudés l’un à l’autre, était d’un érotisme torride. En les regardant je sentis mon membre se réveiller et se mettre à frémir. Je m’approchais pour pouvoir mieux profiter du spectacle. Je les regardais, avec les yeux brillants d’excitation, se manger mutuellement la chatte et en gémir de plaisir. Je me plaçais au pied du canapé, juste derrière Jacqueline qui était au dessus du corps de Zoulikha. Je voyais ses superbes fesses très fortement cambrées pour mieux recevoir la tête de son amante. Je voyais la bouche de cette dernière s’emparer des petites lèvres roses de Jacquie et les sucer goulûment. Je la voyais qui faisait entrer sa langue dans le vagin et essayer de la pousser très loin à l’intérieur, pour ramasser tout le jus qu’elle pouvait et la sortir du vagin pour l’avaler avec délectation. A chaque fois, elle faisait claquer sa langue et poussait un soupir de plaisir, avant de replonger à l’intérieur de la chatte de son amie.
J’étais entrain de bander comme un bouc. Pourtant je venais de jouir dans la bouche de Zoulikha. Mais le spectacle que j’avais devant les yeux était tellement érotique, que mon sexe se réveilla tout seul et voulut prendre encore sa part de plaisir. Je le sortis du pantalon et me mis à le caresser. Zoulikha, en sortant sa tête d’entre les cuisses de son amante vit ce que j’étais entrain de faire. Elle me regarda, me sourit et dit :
- Qu’est-ce que tu attends pour l’enculer ? Je sais qu’elle va aimer parce que je suis là avec vous.
Je ne me fis pas répéter l’invitation. Je me mis derrière Jacquie, lui ouvrit les fesses (je la sentis qui se crispa un peu, mais se relâcha très vite, sous les caresses de Zoulikha), vit qu’elles étaient largement mouillées par la salive de son amie, posa le gland de mon sexe tuméfié sur l’anus ouvert et força l’entrée d’un coup brusque de mes reins. Autant sa chatte était étroite, élastique et moulante, autant son cul était largement ouvert. Mon sexe pénétra à l’intérieur sans aucun effort. Je me dis que c’était certainement là l’œuvre du pilon de Marc; il devait plus l’enculer que la baiser par devant. Je fis faire à mon sexe de longs allers-retours, depuis l’entrée jusqu’au fond, en accélérant de plus en plus le rythme. Je n’avais pas la même sensation d’une main qui me masturbait à l’intérieur du rectum, mais le fait qu’à chaque fois que je remontais mes hanches je découvrais la tête de ma cousine, qui avait arrêté son cunnilingus pour regarder mon sexe entrer et sortir du cul de son amante, m’excitait au plus haut point.
Je me dis que j’allais éjaculer dans le cul de Jacquie, mais que j’obligerai Zoulikha à rester à sa place pour avaler le sperme mélangé aux sécrétions anales, qui sortirait du cul de son amie. Et ce fuit bien ainsi que les choses se passèrent. Je jouis au bout de quelques minutes de va-et-vient et éjaculai ce qui me restait comme foutre dans le corps. Une partie en ressortit immédiatement, expulsée par les va-et-vient de mon zob. Je sortis du cul de Jacquie en maintenant ses hanches fermement entre mes mains pour qu’elles restent en place. Je vis le reste de mon sperme sortir et aller droit dans la bouche de Zoulikha. Elle avala le tout avec délectation et avec le même claquement de langue et le même soupir de plaisir qu’avait eu Jacquie avec son jus à elle.
Zoulikha reprit le cunnilingus qu’elle avait arrêté pour se délecter de la sodomisation de son amie. Elle fit tant et si bien que Jacquie retira sa tête d’entre les cuisses de son amante et se mit à pousser des gémissements de plaisir de plus en plus sonores. Tous les hommes étaient là au pied du canapé pour mater le spectacle. Robert avait ressorti son immense engin et s’était mis à se masturber. La tête de Zoulikha allait de plus en plus vite sur la chatte de Jacquie. Cette dernière ne pouvait plus se contrôler ; ses gémissements se transformèrent en sifflements et sa respiration devint haletante. Elle hurla qu’elle était entrain de jouir et déchargea tout le jus qui lui restait directement dans la bouche de Zoulikha qui s’empressa de tout avaler. Ereintée, elles se relâchèrent toutes les deux, restèrent encore un moment l’une sur l’autre, puis se séparèrent et s’assirent côte à côte sur le canapé, en s’enlaçant tendrement.
Robert continuait à se branler devant les filles, tendant son immense pilon à Zoulikha pour qu’elle continue la branlette. Elle le prit dans sa main droite, mais au lieu de continuer à le branler, elle se mit à s’amuser avec: elle jouait à recouvrir le gland en forme de grosse tête de champignon, avec le prépuce tendu. Quand elle y arrivait, elle relâchait le prépuce et admirait la sortie du gland de sa cachette.
- Tu vois, dit-elle en me regardant, j’adore regarder un gros zob comme celui-ci ou comme celui de Marc – des zobs non circoncis – entrain de bander. J’adore voir apparaître lentement le gland de dessous sa capuche et devenir de plus en plus gros, brillant et menaçant ! Il n’y a rien pour moi de plus érotique ! Arrête de bander ! dit-elle à Robert. Laisse-le se reposer et ramène-le-moi pour le réveiller ! Je te promets une superbe fellation, comme récompense !
Il devait être maintenant près de vingt et une heures. Je ne savais pas quoi dire à Zoulikha pour la faire sortir de l’appartement et la ramener chez elle. Il n’était pas question qu’elle découche. Sa mère ne l’accepterait pas.
- Il faut partir, lui dis-je presque timidement, m’attendant à un refus catégorique de sa part.
- Attends de voir Robert bander pour admirer la beauté du réveil du monstre ! Je lui fais une belle fellation et nous partirons. On dira à maman qu’on a été voir un spectacle au Théâtre de Verdure.
Et les choses se passèrent exactement comme cela. Elle fit bander Robert, admira le gland qui sortait lentement du prépuce et qui prenait des proportions immenses, lui fit une fellation d’enfer, avala une partie du sperme éjaculé, en donna le reste à Jacqueline qui en profita pour la tripoter encore un peu, et se débarbouilla rapidement. Elle embrassa tendrement tout le monde, se remit à genoux devant Marc pour lui embrasser le sexe, puis me prit par la main pour quitter l’appartement. Nous arrivâmes chez mon oncle aux environs de vingt trois heures. Mon oncle dormait déjà; sa femme nous attendait avec sa tête des mauvais jours. Elle engueula sa fille en lui disant qu’elle aurait dû au moins avertir qu’elle allait au théâtre avec son énergumène de cousin (elle me regardait avec un air méchant, comme si c’était moi la cause de tout) et l’envoya se coucher.
Elle ne me proposa même pas de passer la nuit chez eux. Ce fut Farida, qui elle non plus ne dormait pas, qui vint à mon aide en disant à sa maman qu’il était tard et que la Cité Universitaire n’acceptait pas d’accueillir les étudiants au-delà d’une certaine heure (ce qui était vrai, mais il était encore temps, vu que l’heure limite était minuit). La maman fit contre mauvaise fortune bon cœur et accepta que je passe la nuit chez eux. Moi je voulais surtout parler avec Zoulikha à tête reposée. Au cours du trajet de retour, Zoulikha resta silencieuse et refusa totalement de parler avec moi. Elle voulait rester dans son bonheur de la soirée. Elle refusait obstinément que quoi que ce soit vint lui rappeler les dures réalités de la vie. Elle était heureuse et c’était cela seul qui comptait pour elle. Je me forçai donc au silence. Je me promettais de lui parler le lendemain matin pour tirer au clair certaines choses. Je voulais absolument éclairer ma lanterne sur ses sentiments vis-à-vis de moi.
J’étais amoureux fou de cette fille et je me refusais à la partager. L’aventure de la journée, je l’avais presque effacée de ma tête. C’était comme si elle était arrivée à quelqu’un d’autre. J’avais même oublié que j’y avais participé et que j’y avais même pris beaucoup de plaisir. Ce fut Farida qui s’occupa gentiment de moi cette nuit là. Elle prépara mon lit, réchauffa le repas et me servit à manger dans la cuisine. Je la voyais tourner autour de moi en me lançant des regards curieux; comme si elle voulait me demander quelque chose d’important pour elle.
- Tu veux savoir la vérité sur ce soir, n’est-ce pas ? Zoulikha te racontera certainement mieux que moi.
- Tu es tombé dans son piège ?
- Qu’est-ce que tu veux dire ? Tu penses que ta sœur m’aurait tendu un piège dans lequel je serais tombé ? Quel piège ?
- Ses amis français ! Ce sont des gens qui ont un comportement anormal et qui l’ont entraînée dans leur monde. Il ne faudrait pas que toi aussi, par amour pour Zoulikha, tu tombes dans leurs rets. Tu n’es pas du même monde ! Tu en souffriras beaucoup !
- Il n’est pas question que je tombe dans leurs rets. Je suis assez grand pour connaître mes intérêts. Ce que je veux c’est sortir ta sœur des mains de Marc et de sa femme.
- Tu n’y arriveras pas ! Ce sera toi qui la rejoindras dans son monde ! Et comme tu l’aimes, tu en souffriras beaucoup ! Zoulikha est entrain de préparer son départ d’Algérie ! A la fin de l’année, qu’elle décroche ou non le baccalauréat français, elle partira avec le couple Marc et Jacqueline. C’est elle qui me l’a dit ! Et je suis sûre qu’elle le fera.
- Tu es folle, elle ne va pas faire ça ! Je l’en empêcherai ! Elle restera avec moi et deviendra ma femme !
- Rêve toujours !
Et Farida partit en courant dans sa chambre, les larmes aux yeux. J’étais abasourdi ! Je ne comprenais pas ce qui se passait. Je ne savais pas encore qu’elle était tombée follement amoureuse de moi et qu’elle souffrait de me voir aussi aveuglé par mon amour pour sa sœur. Je ne tins absolument aucun compte de l’avertissement de Farida. Je rencontrais Zoulikha le lendemain matin au réveil. Elle était fraîche comme la rosée du matin : elle avait pris un bain et sentait bon. Je tendis les bras pour l’enlacer et elle se laissa faire en me donnant un baiser super coquin sur le cou. Puis elle prit son petit déjeuner et partit au lycée sans accepter de discuter avec moi.
- Plus tard. Après demain, si tu veux nous retournerons chez Marc et Jacquie ! Retrouvons nous chez eux à quatorze heures !
Elle ne me laissa même pas le temps de protester ; de lui dire mon refus de recommencer l’aventure de la veille. Elle partit en vitesse, me laissant pensif et malheureux. Je passais les deux journées qui suivirent en pensant à tout ce que je devais faire pour interdire à ma belle de continuer ses séances de baise à plusieurs. J’avais même imaginé un moment d’en parler avec sa mère. Je rejetais immédiatement cette idée, sachant qu’elle créerait plus de problèmes qu’elle n’en résoudrait. De toutes les façons, pensais-je, ce serait la meilleure manière de la perdre définitivement.
Le surlendemain donc, je me suis retrouvé devant la porte d’entrée de l’appartement de Marc. J’hésitai longtemps à sonner. Puis je me décidai subitement à le faire,me retrouvant face à face avec Jacquie. Elle était dans la même tenue que la dernière fois : nue sous une nuisette de soie noire. Elle m’embrassa tendrement sur la bouche (elle y avait même mis la langue, cette fois-ci, montrant que je commençais à faire partie de sa vie amoureuse). Elle me prit par la main pour m’amener au salon. Je découvris, ce que je craignais de découvrir : Zoulikha, aussi nue qu’un ver, à genoux devant Marc, avec son éternelle robe de chambre ouverte, entrain de se faire tirer par la bouche. Il y allait sans précaution, en poussant un petit cri à peine audible à chaque coup de rein.
Elle ne remarqua pas ma présence, trop occupée qu’elle était à subir les coups de boutoir du monstrueux sexe de Marc. Il me semblait qu’elle pleurait de douleur : ses yeux étaient remplis de larmes, qui coulaient en abondance sur ses joues. De la salive sortait de son nez, poussée par les coups de piston de l’énorme sexe qui allait et venait dans sa bouche et sa gorge. Je la voyais qui luttait désespérément pour ne pas . De temps en temps, elle n’y tenait plus et poussait de toutes ses forces les hanches de son amant, qui faisait sortit le monstre quelques secondes pour le remettre encore plus profondément et avec plus de violence. Je voulais intervenir pour faire cesser la ; je regardais Jacquie, qui me fis signe, en souriant, de ne rien faire. Elle ne semblait pas inquiète ; elle connaissait la résistance de son amie.
J’observais le visage de Marc et vit qu’il était entrain de changer de physionomie. Il avait la bouche ouverte et gémissait de plus en plus fort. Il n’arrivait pas à contenir la salive qui dégoulinait de sa lèvre inférieure. Ses mains s’agrippaient de plus en plus fortement aux cheveux de la fille qu’il tirait sauvagement. Je le sentais au bord de l’explosion. Celle-ci arriva soudain comme un coup de tonnerre : il poussa un cri rauque, presque douloureux tant l’intensité de sa jouissance était forte, et se mit à éjaculer par jets successifs, des quantités incroyables d’un sperme blanc, épais, visqueux et brûlant, qui allèrent arroser tout le corps nu de Zoulikha.
Elle mit du temps à reprendre son souffle et fit signe à Jacquie de venir la prendre dans ses bras. Celle-ci accourut, se mit à genoux en face d’elle et l’enlaça tendrement en lui susurrant des mots doux et en la léchant avec avidité. Zoulikha avait du mal à parler, mais avait son superbe sourire de fille fière d’avoir accompli une performance. Les deux filles restèrent ainsi longtemps à se bécoter et se caresser, toujours à genoux sur le carrelage du salon. Marc avait refermé les pans de sa robe de chambre et était reparti vers son bureau où il était entrain de préparer les cours de la semaine. Il me fit signe de la tête de m’occuper des filles. C’était comme si, il me récompensait d’avoir été sage pendant qu’il défonçait la bouche et la gorge de ma cousine.
Je ne reconnaissais pas tous les sentiments qui me traversaient et qui s’entrechoquaient en moi : il y avait de la honte; c’est sûr ! Il y avait un soupçon de révolte, vite submergé par le désir ! Il y avait l’amour que je portais à Zoulikha et qui me commandait d’intervenir pour faire cesser la mascarade ! Il y avait aussi ce besoin de garder l’espoir de voir un jour Zoulikha revenir vers moi ; et moi seul. Mais je crois que, sans me l’avouer, il y avait ce besoin de partager le plaisir de Zoulikha en participant à ses aventures érotiques.
Ce fut ce dernier sentiment qui, sur l’instant l’emportait. Je m’approchais des deux filles et demandait à ma cousine, en lui susurrant à l’oreille, ce qu’elle voulait que je fasse.
- Baise-là ! fit-elle en s’éloignant légèrement de Jacqueline et en appliquant une forte pression sur ses épaules pour qu’elle les abaisse et qu’elle se mette en position de levrette.
Je me déshabillais rapidement et restai complètement nu, comme Zoulikha et comme Jacquie qui avait jeté sa nuisette à l’autre bout de la pièce. Je me plaçais derrière elle, relevai ses hanches le plus haut possible, mis le gland de mon sexe entre ses grandes lèvres et, d’une franche poussée, me retrouvai dans le merveilleux vagin, chaud, élastique et moulant. La même impression de chaleur, de douceur et de bien être, que deux jours auparavant, me reprit. Avec la même sensation d’être masturbé à l’intérieur du vagin. Je me laissai aller au plaisir, sans même m’occuper de celui de Jacquie. Je savais qu’elle n’appréciait pas d’être baisée par un homme. J’avais simplement oublié que Zoulikha était encore là, toujours à genoux toute nue devant nous. Elle caressait les magnifiques seins oblongs de son amie, tout en l’embrassant tendrement sur la bouche et le visage.
Je sentais le corps de Jacquie vibrer sous moi. Même si je n’en étais pas la cause, cette sensation du corps de ma maîtresse qui vibrait sous moi, me fit bander encore plus. Je l’entendais pousser de tous petits cris de plaisir. Je la tirais de plus en plus fort, en ajoutant de la tendresse, pensant que comme cela, elle finira par aimer ce que je lui faisais. En parallèle de Zoulikha qui l’embrassait et la caressait, je me mis à promener mes lèvres sur son dos nu, entre ses omoplates, sur son cou, léchant au passage les petites gouttes de sueur qui perlaient à la base de son cou. Mes mains prirent la pace de celles de Zoulikha sur la poitrine de Jacquie. Je me mis à lui caresser très doucement les seins; surtout ses tétons aussi durs et aussi doux que du marbre. Je la sentais qui réagissait lentement. Elle bougeait ses hanches, comme si elle voulait sentir mieux la force du sexe qui la possédait. Comme si elle voulait que je la tire plus fort.
Je me mis à la tirer en force, tout en la caressant et l’embrassant avec douceur. Je vis Zoulikha qui se retirait légèrement et qui me laissait seule avec son amie. Je pense que Jacquie n’avait pas remarqué l’éloignement de quelques centimètres de son amante ; elle continuait à bouger ses hanches et à les pousser en arrière pour que je la pénètre plus fort. Ses petits cris avaient maintenant pris de l’ampleur et devenaient de plus en plus sonores. Je continuais ainsi, jusqu’au moment où je la sentis se crisper, pousser encore plus fort ses hanches vers moi et hurler qu’elle allait jouir.
- Chérie je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouir !
Elle disait cela, à Zoulikha, comme si un miracle venait de se produire : Jacquie qui jouissait sous les coups de boutoir d’un homme ! Et cet homme c’était moi ! J’étais aussi fier qu’un coq ! Je ne l’avais pas encore vu et entendu jouir comme cela; même pas avec Zoulikha. Et là elle criait son plaisir. Je regardais dans la direction de Marc et vit qu’il souriait, mais qu’il avait un regard interrogateur. Comme s’il n’en croyait pas ses yeux et ses oreilles.
- Je crois que notre ami est vraiment à la hauteur ! dit-il en s’adressant aux deux filles. Continuez à l’initier comme cela et bientôt il deviendra lui aussi un maître !
J’étais encore plus fier de moi en entendant ce que Marc venait de dire. Je crois que toutes les bonnes résolutions que je j’avais prises pour sortir Zoulikha des griffes du couple, venaient de fondre comme neige au soleil. Il ne restait en moi que cette fierté imbécile et prétentieuse du mâle se croyant capable de donner du plaisir à n’importe quelle femme. C’était à ce moment là que je venais de perdre Zoulikha pour toujours. Je devins presque un membre permanent du groupe. Incapable de réfléchir autrement que par le cerveau de Marc et sa philosophie de l’amour et du plaisir. Dans cette philosophie, il ne devait y avoir aucun esprit de possession. Tout le monde appartenait à tout le monde et personne n’appartenait à personne.
L’amour d’un homme pour une femme unique, ou d’une femme pour un homme unique était l’antithèse de l’amour vrai. Celui-ci ne pouvait être que collectif. Une femme appartenait à tout le groupe. Et un homme aussi. Il n’y avait que le maître qui était au dessus du lot. Parce que lui savait ! Il était un initié ! Et surtout, c’était lui qui avait le plus grand sexe et qui était capable de satisfaire tout un harem dans la même nuit !
Je m’étais mis à croire à ces foutaises et m’associais au groupe dans toutes les aventures érotiques qui se déroulaient toutes dans l’appartement du couple Marc et Jacqueline. En plus de Zoulikha et Jacquie, d’autres femmes, la plupart appartenant au corps de l’enseignement secondaire et supérieur (algériennes et étrangères) étaient venues agrandir le clan. Pendant près d’une année, je voyais Zoulikha se faire tirer par des tas d’hommes et de femmes et prendre du plaisir. Moi-même je ne participais directement à ses partouzes que rarement. Je m’étais accoquiné avec Jacquie qui m’avait présenté d’autres femmes (de vraiment belles et d’autres qui l’étaient moins mais qui avaient de magnifiques coups de reins !) avec lesquelles je prenais vraiment mon pied.
Et puis un jour, Zoulikha vint m’annoncera qu’elle était enceinte et qu’elle allait partir en France avec Marc et Jacquie, pour accoucher là-bas. Elle devait présenter son baccalauréat algérien dans la semaine qui suivait, puis le baccalauréat français dans la foulée. Elle avait comme idée de s’inscrire dans une université française (grâce à son bac français) et y décrocher un diplôme quelconque, qui lui permettrait de gagner sa vie. Entretemps elle vivra chez le couple qui prendra soin d’elle.
La seule question que je me posais à ce moment, c’était qui était le père ? Elle répondit qu’elle n’en savait rien et que de toutes les façons, cela n’avait aucune importance : le père aurait pu être n’importe lequel des hommes avec lesquels elle avait fait l’amour. Le vrai père ce sera Marc, qui le reconnaîtra et le déclarera à la mairie comme étant son fils (ou sa fille).
Comme attendu, elle n’eut ni le bac algérien, ni le bac français. Elle n’avait fourni aucun effort pour cela. Mais elle partit bel et bien avec le couple qui venait de terminer leur contrat avec le ministère de l’enseignement et devait rejoindre leurs postes d’origine. C’était dans l’académie de Bordeaux. Je ne revis plus Zoulikha pendant des années. Ce ne fut qu’une dizaine d’années plus tard, qu’elle vint rendre visite à sa maman (son papa était mort entre-temps et elle n’avait même pas assisté à son enterrement !). Elle me trouva à la maison en compagnie de Farida, qui était devenue mon épouse. Elle était accompagnée par son fils, qui venait d’avoir neuf ans. Il était blond comme elle, mais avait les yeux bleus acier de Marc ! Je ne me posais plus la question de savoir qui était le père. Elle m’embrassa avec tendresse, me dit qu’elle était devenu professeur de physique chimie dans un lycée (elle avait repassé son bac et avait poursuivi des études supérieures). Elle vivait toujours avec Marc (Jacquie était repartie en Polynésie et y avait trouvée une nouvelle maîtresse, dont elle était tombée follement amoureuse). Marc continuait sa vie de maître es érotisme et Zoulikha continuait sa folle vie de nymphomane. Elle m’affirma que tant qu’elle prendra du plaisir elle continuera dans cette voie ! Et je crois que c’est vraiment cela la vie qu’elle veut vivre ! Et qu’elle vivra jusqu’à sa mort !

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