Un Réveillon Inoubliable !

Voilà, nous sommes le 2 janvier 2021. Une nouvelle année commence. Une nouvelle année où ma chérie, Virginie, vient de me raconter sur l’oreiller l’un de ses plus fameux réveillons du 31, passé à une époque où nous étions séparés.
Mais, pour commencer, je me dois de resi les choses pour plus de clarté et de compréhension dans le déroulé des évènements. Je vais donc faire un bref rappel de notre vie commune, en partie.

Virginie et moi, donc, nous nous sommes rencontrés très jeunes, au lycée. J’ai été son premier. Elle a été ma première et cela le restera ainsi. Nous avons connu, comme tous les couples certainement, des hauts et des bas, mais nous, en nous séparant pendant plusieurs années, et bien plus que cela. Je vous raconterais dans un prochain récit, même si certain d’entres vous ont mémoire de certains de ces événements.

Fondamentalement, nous ne sommes pas libertins mais Virginie adore beaucoup le sexe, presque autant que moi pour ne pas dire plus. Nous vivions le parfait amour. Nous étions éperdument amoureux l’un de l’autre et tout ce qui nous entourait n’avait aucune importance. Jusqu’au jour où.

De fil en aiguille, nous avons fait l’amour dans sa chambre, dans la mienne, dans des endroits parfois plus insolites, métro, train, bus, prairies, bois, jardins publics… La liste est longue, toujours en pleine discrétion. Evidemment, n’allez pas vous imaginer l’impossible en plein Paris dans une rame bondée. Là encore, je vous ferais un récit.

Puis Virginie a rencontré Phil au cours d’une escapade à Compiègne où elle et moi nous nous étions rendus pour visiter le château. Une drôle d’histoire qui prit une importance inégalée à l’époque. Nous étions encore fraichement étudiants, à peine plus.

Mais avant, l’histoire commença avec Nono puis Dom, le chauffeur de bus. C’était le temps où la belle me trompa pour la première fois, non pour me blesser ou par désamour mais parce qu’elle aimait trop le sexe.

Je ne pourrais que trop conseiller le lecteur à lire ou à relire mes récits déjà publiés sur le site pour mieux comprendre comment la belle en est arrivée là.

Puis il y a eu ce que j’ai appelé son premier gang-bang. En fait, une relation épisodique qu’elle a eut avec les trois garçons de sa classe, en 2ème année de BTS. Les garçons avaient senti que cette fille-là, sous ses airs de sainte nitouche, était en fait très TRES chaude et ils ne s’étaient pas trompés : ils sont venus chez elle un mercredi après-midi en mai-juin. La suite vous la connaissez. C’était la première fois que je savais ma belle souillée de partout, ce qui avait déjà sacrément mis notre couple en péril. Dans le lot, un des garçons se distingua : Olivier, avec qui Virginie eut pendant près d’un an une relation plus ou moins suivi, en parallèle à notre relation elle et moi. Au final, nous fîmes un premier trio tous les trois, dans notre appartement de la rue du Midi, à Vincennes. Bref, c’est dans ce contexte que nous avons évolué jusqu’au jour où séparation oblige, je quittais définitivement l’appartement suite à une énième aventure de Virginie, que je n’avais pas approuvé cette fois-là. Je suis donc parti en laissant Virginie toute seule et cela pendant plusieurs années, avant de nous retrouver de nouveau.


C’est hier même que Virginie me raconta donc ce fameux réveillon du 31. Réveillon qu’elle avait passé un an ou deux après notre séparation. Après que je sois parti, la belle trouva consolation auprès de ses copines mais surtout auprès de quelques hommes qui souvent ont été des hommes de passage pour des histoires qui ne durait rarement que quelques semaines ou quelques mois. C’est ainsi que la belle fut invitée par des « potes » pour le soir du 31. Virginie les vit venir gros comme une maison, acquiesçant tout de même à l’invitation en précisant « Ok, mais si je viens, c’est en tout bien tout honneur ». Paul, l’un des organisateurs confirma et précisa qu’évidemment, ils resteront sages comme une image.
La belle n’était pas dupe et c’est pour cela qu’elle accepta. Paul et les autres (ils étaient 5 garçons !) savaient également ce qu’ils faisaient. La belle se retrouva au final dans un appartement avec ces hommes, tous âgés entre 20 et 28 ans.

Dans l’appartement, il y avait musique et fête et repas festif. Paul le maitre de maison avait organisé un buffet. L’appartement était chic et de grand standing, avec sol en parquet de chêne et moulures crénelées aux plafonds. Un immeuble de type haussmannien sauf que cela n’était pas à Paris mais en proche banlieue dans un département voisin. Les hommes voulaient se faire sucer rapidement et, à chaque fois que l’occasion se présentait, ils taquinaient la belle par des invitations du genre : « tu sais, si tu as envie, je suis là… » en faisant des allusions à leur sexe. Les autres riaient, rigolaient et buvaient un peu.

Virginie répliqua allégrement :
- « Non ! non ! pas avant minuit ! pas avant la nouvelle année ! »
Ce à quoi un des compagnons répliqua :
- « C’est bon ! Vous avez entendu les gars ? Elle va nous sucer. On a juste à attendre minuit ! »

Les mecs se délectaient de cette nouvelle qu’ils attendaient tous avec impatience. Mieux que cela, ils espéraient passer une soirée inoubliable dans le respect de chacun et dans la convivialité. Mais que diable Virginie s’est-elle engouffrée là-dedans ! La belle décidemment avait bien l’intention de franchir un pas de plus et de ne rien se refuser. On était loin de la toute jeune fille timide qui, il n’y a pas si longtemps, attendait amoureusement son chéri à la sortie de la fac. La petite fleur bleue, qu’elle gardait toujours en elle cependant, disparaissait pour laisser place à une femme prête à subir les assauts de tous ces hommes. Des hommes, de tout âge, qui participèrent à son éducation comme Nono, Phil, Olivier et bien d’autres avaient participé avant eux. Le résultat ? c’est qu’à minuit, au douzième coup de l’horloge, les hommes se déshabillèrent et s’alignèrent devant elle, sur le grand canapé, d’abord assis puis debout.


La belle suça donc un à un, les uns après les autres, les cinq compagnons de jeu qu’elle appelait « son harem ». Elle les suça en se déplaçant de la gauche vers la droite, vers un cortège de queues dressés qui se demandaient qu’à satisfaire la plus belle et la plus tendre des princesses de céans.

La suite ? Virginie me la raconta avec la même nonchalance, ce matin du 1er janvier 2021 sur l’oreiller après avoir fait l’amour tous les deux en amoureux transis et toujours fougueux :

- « Ils m’ont glissé dans le canapé. L’un est venu se glisser entre mes jambes pour me lécher. Un autre en profita pour venir se mettre au-dessus de-moi. Il avait placé son sexe devant ma bouche ! »
- « Et qu’as-tu fait ? » demandais-je alors à Virginie.
- « Je l’ai sucé, pardi, il ne me laissait pas le choix ! »
- « La salope ! » répliquais-je subitement, puis en me ressaisissant : « excuse-moi pour ce mot ».
- « Oh ça n’me dérange pas. Je sais que tu ne penses pas à mal »

Virginie avait le don de relativiser les choses. Pour elle, rien n’était grave. La vie est belle, toujours joyeuse, toujours vivante, à rire et vouloir rire toujours et toujours. Je retrouvais à l’évidence, une femme remarquable, une femme que j’avais toujours aimée, avec son sourire, ses fossettes si charmantes qu’elles me faisaient chavirer le cœur de jour comme de nuit comme à tous les instants de ma vie.

- « Et après que s’est-il passé ? » lui demandais-je.
- « Tu me jure que tu ne vas pas te fâcher ? »
- « Aucun problème. Il y a prescription maintenant. De plus, c’était à l’époque où nous n’étions plus ensemble » ajoutais-je.
- « Oui » répondit Virginie.

Dans le final, Virginie m’expliqua que le jeune homme qui était entre ses cuisses la lécha et la doigta de façon magistrale et qu’elle fut obligée même d’arrêter de sucer celui qui était devant elle tant elle eut pris du plaisir. Le gars, qui était debout dans le canapé devant elle la laissa jouir puis se ressaisit de Virginie par les cheveux en empalant de nouveau sa queue dans la bouche de ma chérie.
Il baisait littéralement la bouche de la belle qui se laissa faire comme si elle avait toujours eu envie de cela. Les autres gars regardaient la scène en se branlant. Le gars qui lui léchait le minou lui donna un plaisir fou. Soudain, il se mit à déchirer l’emballage d’un préservatif et le déroula sur son sexe. Ayant bien lubrifié ma chérie de sa mouille naturelle, il la pénétra d’un seul coup :

- « On avait dit pas de pénétration ! » rétorqua la belle en se dégageant de la queue qu’elle suçait et en regardant le type entre ses cuisses la besogner.
- « Oui, je sais. Mais c’est trop fort. Je tiens plus. J’ai trop envie là » répondit le gars.

Virginie laissa faire. Après tout, il avait pris le soin de mettre un préservatif. L’autre gars, qui était encore devant elle la reprit par les cheveux et lui enfourna de nouveau sa queue dans la bouche. Deux autres s’approchèrent et placèrent leur queue dans les mains de Virginie. La belle les branla tous les deux, tous en continuant à sucer le premier. Entre ses jambes, on se relaya pour mieux la baiser. La soirée se déroula jusqu’à épuisement des uns et des autres.
Une aventure que la belle n’oublia pas. Bonne année à vous tous.

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