Premier Fantasme

Cette histoire, c'est une drôle d'idée qui m'est passée hier par la tête. Je suis en ce moment en vacances en famille, autant dire en manque de sexe, et sans possibilité de me soulager quand j'en ai envie... Même pas d'accès internet pour me faire un porno. L'horreur quoi! Dans ces cas-là, j'aime imaginer des histoires bien salaces, tard le soir, quand ENFIN je suis seul. Alors, puisque ce soir je suis particulièrement en manque et que mon imagination tourne à fond, j'ai pensé autant écrire ce qui me passe par la tête, déjà parce que je sais que ça va me faire triquer à mort et que la branlette sera bien meilleure après, et puis aussi parce qu'on sait jamais, ça peut amuser quelqu'un si je mets ça sur internet à mon retour...

Autant commencer par moi. J'ai 23 ans, je suis pas très grand et plutôt mince, brun aux yeux bleus, mignon il parait. Le genre qui a l'air sage et bien élevé, à qui les grands mères disent "ah si j'avais ton âge!", le genre qui devrait pouvoir se trouver une gentille petite femme et dont on attend avec impatience le mariage. Le gendre idéal et le futur père de famille bien comme il faut, en gros.
Mais voilà, j'ai un petit fantasme. Pas grand chose, rien de si bizarre quand on y pense! Je crève d'envie de me faire baiser par un homme. Pas "faire l'amour" ou une autre connerie de ce genre. Non non, baiser avec un gros B. Ca me ressemble pas du tout, je sais bien, moi qui suis si romantique avec les filles, qui aime apprendre à les connaître et bien prendre mon temps! Mais c'est comme ça, derrière tout ça, ce qui me fait salir mes draps le soir, c'est l'envie de me faire pilonner jusqu'à plus soif.

Ici, en bord de mer, c'est pas les tentations qui manquent. Dans le sud de l'Europe, j'en croise des tas chaque jours qui sont juste comme je les aime : bien bâtis, épaules larges, bronzés et poilus juste comme il faut. Pas des ours hein, mais pas des types imberbes comme il y en a partout en France.

Des hommes quoi! Ils sont là partout, comme s'ils me nargaient! Pas moyen d'y échapper, dès que je sors j'en croise de tous les côtés. Mois qui suis si difficile d'habitude, dès que je suis un tout petit peu en manque je me rends compte que presque n'importe quel homme me donne des envies de baise! Et coyez-moi, caché derrière mes lunettes de soleil bien opaques, je ne rate pas une occasion d'en reluquer un! J'en ai même repéré un, en particulier. Il est vendeur dans une petite boutique de fringue, juste en bas de la rue. Je suis certain qu'il est gay, non pas qu'il soit effeminé ou maniéré, non, mais je ne sais pas, je le sens. J'ai croisé son regard une fois, et depuis je ne peux plus passer dans la rue sans qu'on se dévisage. Je vois son sourire en coin, son T shirt serré mais pas moulant, qui dévoile juste ce qu'il faut de son torse, et son jean, qui lui fait un cul sexy à rendre jaloux n'importe quel homme!

Alors, dès que j'ai un moment seul comme maintenant, j'y peux rien, je vois la scène. Rien de bien compliqué, j'aime les histoires simples, mais plus que tout j'aime les détails... Je vous raconte?

Je suis dans une chambre, n'importe laquelle on s'en fout du décors. Ou plutôt dans une salle de bain, en train de me passer de l'eau sur le visage. Je me regarde dans le miroir : c'est le moment de savoir ce que je veux. Je suis le lapin blanc jusqu'au bout, ou je retourne à ma petite vie bien rangée. Je meurs d'envie d'y aller, mais les conséquences pourraient être terribles... Je vais sûrement aimer ça, je le sais. Trop même. Et si je deviens accroc? Je ne sais pas du tout dans quel état ça va me laisser.
L'envie d'y goûter est trop forte, je me retourne et ouvre la porte, décidé.

Il est là, debout face à moi. Il est juste comme il faut : sûr de lui, mignon mais pas trop beau (un homme trop beau ne baise que pour son plaisir, il sait qu'il n'a pas besoin d'être bon pour trouver avec qui tirer son coup). Il a un visage viril, les cheveux courts et bruns, les yeux noirs et les lèvres charnues, avec une machoire bien carrée et une petite barbe mal rasée.
Son torse est bronzé, ses pectoraux bombés juste ce qu'il faut, recouverts de petites boucles brunes. Cette merveilleuse toison se puirsuit vers le bas, accroche mon regard et descend entre les abdominaux jusqu'à mourir sur un maillot de bain blanc.

Il me voit le regarder avec gourmandise. Il suit mon regard sur son maillot. Je ne peux m'empêcher de me mordre la lèvre en voyant la bosse dessinée à travers. Il semble pret à faire sauter les coutures! Faut dire qu'un maillot aussi moulant, ça devrait être interdit! Il me dit d'approcher. Entendre sa voix rend la chose réelle tout d'un coup, et j'ai un réflèxe de recul. Je n'ose pas. Alors, sans doute parce qu'il sait bien ce que je veux au fond, il descend doucement son maillot de bain et me montre ce que je meurs d'envie de voir.

Elle est parfaite. Assez large pour en être fier, mais pas trop pour ne pas rendre ma première fois trop difficile. Les poils sont entretenus, le manche solide, les veines saillantes et surtout ce gland! Bien rose et rond, turgescent, pret à exploser tant il est gonflé! Sa bite est superbe, et surtout elle a ce petit détail en plus qui me fait triquer à mort : elle est bien droite, sauf vers le gland où elle se tord peu vers le bas. C'est une véritable incitation à la pipe! Bien plus efficace que tout ce que lui pourrait dire ou faire, c'est comme si sa bite me disait d'elle-même d'un ton autoritaire "à genoux et suce!".

Je n'y tiens plus. Je m'approche, me met dans la position voulue, là, à genoux, face à lui. Tout près, bien plus que la décence ne l'autorise en tout cas. Je sens son odeur de transpiration dans les poils. Ah ce que j'aime ça! Je sors ma langue et effleure le bout du gland. Le goût est un peu salé. Je prends la bête en bouche et me laisse aller à mes envies. Je le suce comme un bonbon, une friandise interdite pour adulte désobéissant. Je sens qu'un verrou a sauté en moi, et putain ça me plait! Ma langue travaille cette bite qui m'a tant fait envie, je me surprends à faire de mon mieux pour lui plaire! Je la ressort pour la regarder à nouveau.
Dieu qu'elle est belle! Je la branle d'une main, de l'autre je caresse frénétiquement la mienne. Je remonte son prépuce et joue à faire tourner ma langue dessous, tout autour du gland. Mon homme gémit et me complimente sur mes talents. Je suis une bonne suceuse, dit-il. Merci, mais j'ai bien l'intention d'apprendre à faire mieux! Je le pousse en arrière sur le lit et m'avance, toujours sur les genoux. Cette position un peu animale me plait! Je grimpe le rejoindre sur les draps et me remets à l'oeuvre.

Je le reprend à pleine bouche et commence des mouvements de va et viens en le branlant en même temps. Il semble aimer ça, et au bout de quelques instants il passe ses mains derrière ma tête et m'impose son rythme. D'abord lentement, en bougeant ses hanches dans un mouvement sensuel, digne des danses les plus salaces. Puis, ca va de plus en plus vite. De plus en plus saccadé. Voilà qu'il me baise litteralement la bouche! Son gland garde ce merveilleux goût dont je suis déjà accroc, et chaque passage sur ma langue me fait saliver un peu plus. Soudain, il se retire! Il me dit qu'il ne veut pas tout gâcher si vite. Il m'att comme si je ne pesais rien et me retourne. Toujours à quatre pattes, il se met derrière moi et se lèche les lèvres.

Il me palpe les fesses. Il faut dire que si j'ai bien une partie de mon corps dont je peux être fier, c'est celle-là! Elles sont bien bombées et bien fermes, à croire que j'étais fait pour me faire baiser! Il joue avec, les écarte et les pétrit. Il m'enlève mon maillot de bain et fait courir son doigt le long de ma raie. Puis, doucement, il approche son pouce mouillé de salive de mon petit trou. Il presse sur l'entrée, et l'insère délicatement. La sensation est délicieuse, je laisse échapper un soupir chargé de plaisir. Il fait quelques mouvements tout en douceur, puis le remplace par son index. Il est plus long et ça me plait bien. Putain, ça y est, à peine j'y ai goûté que je me mets à avoir mes préférences! Il fait des mouvements en rond, pour m'écarter l'entrée, et rapidement fait passer un deuxième doigt, puis un troisième.


"Et ben dis-moi, ça rentre tout seul! T'en avais vraiment envie hein? Tu vas pas être déçu..."

Il profite du moment pour me claquer la fesse droite, non sans laisser échapper un éclat de rire. Je n'y prète pas attention, tout ce qui compte c'est qu'il reprenne son délicieux traitement à l'aide de ses doigts. "Jeux de main, jeux de vilains" il parait? Et bien ce soir j'ai très envie d'être vilain on dirait...

Il me demande si ça me plait. Plutôt deux fois qu'une oui! Je le laisse jouer avec mon cul, et je savoure la sensation. Il me demande, l'air joueur, de quoi j'aurais envie maintenant.
"Ta bite!".
"Hmmmm... Oui d'accord, mais comment ça? Tu voudrais la sucer encore un peu...? Nan parce que si ce que je fait là te plait pas trop, j'arrête tu sais..."
"Arrête de t'amuser avec moi et mets-la moi dans le cul!"
"Arf je ne sais pas trop... Je ne suis pas sûr que ça te plaise... Peut-être que si tu me le demandais mieux..."
"Ne me fais plus languir, j'en crève d'envie! Enfonce-moi ta queue!"
"Très bien ma petite salope, tu l'auras voulu!"

Il empoigne alors son manche de la main droite et le dirige vers mon anus déjà bien ouvert, qui ne demande que ça. Je sens son gland bien dur qui force sur l'entrée, trop étroite pour lui. Avec un gémissement, le gland disparait dans mon cul. Je laisse échapper un petit cri. Pas si facile le départ! Il fait une pause, me caresse le bas du dos un instant, puis recommence à peser sur son membre. L'insertion reprend, centimètre par centimètre. Je sens ce membre étranger qui me perfore le cul. La douleur est bien là, mais l'excitation est si intense, et la préparation a été si bonne que je n'y prète pas attention. J'ai trop attendu ce moment pour en perdre la moindre goutte! Lentement, je sens sa bite qui me pénètre le bas ventre et je savoure chaque parcelle de sa peau, chaque relief veineux. Puis viennent les poils qui me titillent les fesses et enfin, lorsque je sens ses couilles contre ma peau qui frémit, alors je sais qu'il est en moi, totalement.

Il fait une pause et reste immobile. Il guette ma réaction, écoute ma respiration. Moi, je suis subjugué par cette incroyable sensation. Mes yeux étaient restés ouverts tout le temps de l'insertion, mais à présent ils sont fermés, pour que je puisse me concentrer sur mon cul. Je sens que mon petit trou n'a plus rien de si petit justement! Il est dilaté, tendu même autour de ce membre qui me remplit. Je sens toute mon anatomie qui enserre cette bite, épouse ses contours comme si j'avais été fait à sa mesure. Pas le temps de m'attarder là dessus plus que cela, voilà que mon homme se retire aussi sûrement qu'il est entré. Il ressort totalement. Je ressens alors un vide incroyable, comme si on m'avait fait entrevoir un secret défendu merveilleux pour mieux m'en priver ensuite!

"Qu'est-ce que tu fais, remets-l.."

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase. Les mots se transforment en lourd gémissement tandis que mon homme enfonce d'un coup sec sa bite entière dans mon cul! J'ai les yeux exorbités, mais je ne sais pas si c'est par la surprise ou par le plaisir. Il ressort et recommence la même manoeuvre, encore plus vigoureusement. Plus de doute possible, même sans la surprise, ça me fait le même effet!

"C'est ça que tu voulais, hein?"
"Oh que ouiiiii!"
"Je le savais bien."

Il ponctue chaque fin de phrase par un nouveau coup de rein, et m'arrache à chaque fois un gémissement plus profond.

"Je les connais moi les types dans ton genre. Bien propres sur eux en dehors, mais en dedans, des putes affamées de bite! Je vais t'en donner moi, tu vas voir! Ton cul va rester ouvert et suintant pendant des heures! Tu vas prendre ce que tu es venu chercher, espèce de salope!"
"Oh oui défonce moi bien fort comme une chienne!"
"Je vais te peter les pattes arrière moi tu vas pas être déçu!"

Chaque insulte me surexcite. En plus d'aimer la bite, je découvre que j'aime aussi le sexe animal, presque bestial et que pour finir j'aime me faire traiter comme un garage à pine! Encore une illusion sur moi-même de détruite ce soir, je devrais être humilié et couvert de honte mais au lieu de me gêner ça démultiplie mon plaisir! Pendant ce temps, mon homme a changé de rythme. Il reste à présent en moi, ne prend plus le temps de ressortir entre 2 mouvements et entame des mouvements plus rapides. D'une main large et impérieuse, il me soulève l'avant du torse sans arrêter de me baiser puis, une fois qu'il m'a redressé, me bloque ainsi avec son bras droit qu'il passe autour de mon cou. Il force alors le passage de mes lèvre avec son pouce gauche, et me dit à l'oreille:

"Regarde-toi petite pute à foutre!"

Je vois mon reflet dans le miroir de l'armoire à côté du lit. Je suis là, à poil, avec un homme dont je ne connais même pas le prénom mais qui me défonce le cul de toute la longueur de sa bite avec un regard sauvage, presque effrayant et qui me fouille la bouche avec son gros doigt. Le pire de tout, c'est mon propre regard. J'ai les yeux vitreux, comme un en transe. On lit le plaisir sur mon visage, le vice dans ma position et l'envie dans mes mouvements du bassin!
C'est officiel à présent, j'aime plus que tout me faire enculer. Même le mot me plait, lui qui est si sale dans certaine bouche, il semble merveilleux à mon oreille, plein de promesses!

"Voilà ce que tu es maintenant, ce pour quoi tu as été fait! Tu es accroc à la bite, et si je décidais que j'en avais assez de toi tu partirais aussi vite chercher un autre homme pour te donner ta dose, pas vrai?"

Je lâche un gémissement d'approbation, tout en admirant son mouvement de bassin et en accompagnant le mouvement en me déhanchant autant que possible.

"Je sais bien. Mais rassure-toi, j'en ai pas fini avec toi. On va beaucoup s'amuser ensemble, tu le sais? Je vais te baiser encore et encore, et quand je le déciderai, j'inviterai des amis à venir te défoncer comme tu le mérites. Parce qu'une bonne pute comme toi, ça se partage! Ca se fait tourner! T'es pas d'accord?"

Je dégage ma bouche et lui répond :

"Tout ce que tu veux, mais ne t'arrête pas!"

Il me repousse alors contre le lit, appuie avec sa main contre mon dos pour me maintenir plaqué, le visage contre les draps. Il accélère alors encore le mouvement, et, avec la régularité d'un métronome, me baise comme je le voulais depuis le départ. Chaque mouvement est ponctué par ses bruits rauques et gutturaux, comme un bucheron qui travaille un tronc particulièrement difficile. Mes gémissements sont étouffés par le lit et se transforment en un long bruit de plaisir quasi continu. J'aggripe les draps et y enfonce mes doigts pour ne pas perdre pieds. J'entend le bruit de sucion que fait mon cul trempé lorsque mon incroyable baiseur retire un peu sa bite pour mieux se réenfoncer au plus profond de moi. Je me déhanche comme un forcené, mon homme accélère la cadence une dernière fois et me met un ultime et puissant coup de rein, en lâchant un gémissement viril. Je sens son flot de sperme qui jaillit dans mon cul, et il se laisse tomber sur moi non sans m'insulter une dernière fois.

Il reste en moi un petit moment, le temps de reprendre son souffle. Puis, il se retire et sans un mot se dirige vers la salle de bain. Livré à moi-même, je me redresse et tente de rassembler mes esprits. J'ai aimé me faire enculer plus que je ne saurais le dire, mais je bande encore bien plus dur que jamais. Je me branle alors, et l'orgasme ne tarde pas à venir. Un orgasme bien plus fort que tous ceux que j'ai connu auparavant, plus long et plus puissant. Satisfait, je me décide à toucher mon cul, pour voir dans quel état je l'ai mis. Il est tout distendu, et surtout il en suinte un liquide épais et gluant.

Lorsque mon homme sort de la douche, il me trouve là, allongé sur le lit, les cuisses écartées, en train de lécher avec gourmandise le sperme qui coule de mon anus ravagé et que je porte à ma bouche avec mes doigts. Il sourit, laisse tomber sa serviette, révélant ainsi sa bite encore en érection et me dit en s'approchant :

"Tu n'en as jamais assez toi, hein?".





Voilà, fin de mon histoire. J'espère qu'elle vous a plu, moi en tout cas ça m'a bien fait bander de l'écrire. J'ai fait quelques pauses, pour prendre le temps de goûter le jus dans lequel baignait mon gland... Je dois avouer que j'en aime bien le goût! Bref, je vais aller me faire du bien, me branler et peut-être me doigter un peu si l'envie m'en prend. Rassurez-vous, je me connais, d'ici peu je serai encore en quête d'un peu d'excitation et peut-être alors que j'aurai envie d'écrire une suite à cette histoire ou bien un autre fantasme. N'hésitez pas à me dire si cette histoire vous a plu, si vous vous êtes fait du bien en la lisant, je veux des détails, surtout si c'est salace! Si ça me plait, ça me motivera sûrement pour vous en donner d'autres.
A bientôt.



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