La Secrétaire


J’ai 39 ans et suis dirigeant d’une entreprise qui emplois environ 60 personnes. Ma
secrétaire personnelle doit dans quelques semaines partir en retraite.
Pour la remplacer, j’ai pensé à une personne que j’ai embauché il y a un an,
Catherine, une secrétaire expérimentée et très agréable. J’en parle avec mes trois
collaborateurs, afin de connaître leur avis sur cette personne.

Ma surprise est grande quand j’entends les avis de chacun.
Michel me dit que cette personne a un mauvais caractère, que le matin elle est très
souvent en retard.
Gilles, lui me dit que c’est une femme qui a tendance à faire du rentre dedans, que
même des bruits courent sur elle, sur le fait que c’est une fille facile, qui couche
un peu avec tous les mecs.
Nathalie, quant à elle, est directe, sans pitié à l’encontre de Catherine, je ne te le
conseille pas, elle est juste bonne à être une petite secrétaire de base.

Bon, bon, bon, avec tous ces avis, pas facile de prendre une décision, mais
connaissant Nathalie, ces insinuations ne sont pas anodines. Je décide donc de
promouvoir Catherine au poste de secrétaire de direction.

Les premiers temps tout allait très bien, bonne tenue, agréable et bon travail étaient
de mise. Mais je me suis rendu compte d’un certain laissé allé dans le travail, mais
aussi sur la tenue. Je décide donc de la convoquer.

-Je vous ai convoqué, parce que j’ai constaté un certain changement dans votre travail
et votre manière d’être. Y a-t-il un problème dont vous voudriez me parler Catherine ?
-Non, monsieur, ça va, je ne vois pas ce que vous voulez dire.
- Bon, alors je vais être plus direct. Votre tenue actuelle ne me convient pas tout à
fait, vous êtes secrétaire de direction, et à ce titre j’estime que vous devez être
correctement habillée, le jean tous les jours, NON.

De plus, votre travail ne va pas
également, trop d’erreur dans les courriers, oubli de ceci, oubli de cela. J’ai besoin
d’une personne sur qui compter. Si comme vous me dites, tout va bien alors vous ne
vous plaisez plus ici peut-être ?
- Non monsieur, je vous assure ça va bien.
-Alors comment expliquer mes remarques, problèmes personnels.
-Euh et bien, enfin ce que je veux dire….. je dois être fatiguée.
-Bon écoutez, je veux bien passer pour cette fois, mais dans le travail je suis
exigent. Soit vous vous reprenez, soit nous arrêtons là notre collaboration.
-Bien monsieur.
Et elle repart travailler. Les jours passent, la tenue s’est un peu améliorée, mais
elle continue ces erreurs dans le travail.
Je reconvoque Catherine.
-Dites, vous vous moquez de moi, nous avons failli perdre un client à cause d’une de
vos erreurs. Je vais être obligé de vous licencier. Mes collaborateurs sont très
remontés contre vous.
-Non, monsieur, je suis vraiment désolée, il n’y aura plus de problèmes à partir de
maintenant.
-Bon, je vous laisse une dernière chance.

Trois semaines plus tard, Nathalie débarque dans mon bureau en colère.
-Regarde ce que ta secrétaire a fait comme connerie.
Elle me tend un dossier. Dossier important, qui suite à une erreur de ma secrétaire,
nous fait obligation de régler une forte amende.
Là, je rentre également dans une colère monstre.
-Cette fois ci, ce n’est plus possible, va me la chercher.
Nathalie revient avec Catherine.
-Dites Catherine, vous vous moquez du monde là. Je vous ai convoqué deux fois pour
vous prévenir de faire attention, et là nous devons régler une amende à cause de votre
erreur. Cette fois ci je me vois contraint de me séparer de vous. Ce n’est pas la
peine de revenir demain.

Catherine reste bouche bée et se met à pleurer. Sur cet entre fait, Nathalie dit.

-Effectivement ce n’est plus possible, vous êtes trop soupe au lait pour rester dans
la société. Je suis entièrement d’accord sur le fait que nous devons nous séparer de
vous. Mais nous pouvons peut-être vous laisser terminer la semaine.
-Bon va pour la fin de semaine dis-je.

Le lendemain, Catherine arrive au bureau habillée très élégamment, comme à ces débuts.
M’apporte mon café.
-Monsieur, je suis vraiment désolée de ce qui s’est passé, mais j’ai vraiment besoin
de travailler. Je ferais ce que vous voulez, mais ne me licenciez pas.
-Le sujet est clos Catherine, je vous ai laissé votre chance.

Elle repart à son bureau. Suite à cela, je téléphone à Nathalie pour lui expliquer. Ma
chère Nathalie étant une femme magnifique et compréhensive, elle me suggère une
possibilité. Après réflexion, je me dis que pourquoi pas. Je convoque ma secrétaire à
18h00.

-Bon, après réflexion, si vous voulez rester chez nous, voilà ce que je veux. Je veux
que vous soyez à ma disposition. C'est-à-dire que je vous veux habillée tous les jours
comme aujourd’hui, que vous soyez à mes petits soins, j’ai besoin d’une secrétaire
soumise, soumise à mes désirs, soumise à mes caprices.
-Mais vous me demandez de…, ça va pas non, je ne suis pas une chose.

Je me lève, lui prend sa chevelure brutalement.

-Déjà tu te calmes, compris, ensuite je te propose de garder ton job.
Puis mes lèvres viennent se coller aux lèvres de Catherine qui ne me repousse pas,
bien au contraire, sa bouche s’ouvre et nos lèvres se rencontrent.

Après ce petit intermède, nous discutons et je fais comprendre à ma secrétaire que
compte tenu de sa situation personnelle et du marché du travail, il était certainement
préférable pour elle de rester en poste chez nous.

-Mais dit donc, d’où tu sais tous ça sur moi, me dit Catherine.

-Peu importe, ce n’est pas ton problème. Je sais que ton deuxième mec t’a plaqué, que
tu n’as pas tes s en charge, que tu as du mal à terminer les fins de mois et que
tu règles une pension alimentaire pour tes s. Moi je te propose de garder ton
job, bien payer, ce qui t’évite bien des soucis, par contre du doit être à ma
disposition. Au choix.

Catherine me regarde droit dans les yeux, avec un regard insistant. Ma main se lève et
vient gifler la joue de ma secrétaire. Sans lui laisser le temps de réagir, je lui dis
:

-Tu te prends pour qui à me regarder comme ça ? n’y pense même pas. A partir de
maintenant tu es à ma botte, donc jamais tu me fixe le regard et d’ailleurs à partir
de maintenant je t’appellerais « chienne ou chiennasse », allez va terminer ton
courrier, je dois le signer ce soir.

Sans broncher, les larmes aux yeux elle sort terminer son travail.

A SUIVRE

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