L'Ami Qui Assure 2

Dimanche matin
Le soleil brille, annonciateur d’une belle journée. La maison est silencieuse. Je me réveille doucement et vais me plonger dans la piscine et commence à faire des longueurs. Je n’ai pas dormi de la nuit. Je ne comprends pas ce qui me pousse à accepter d’être l’objet de leur plaisir, à devenir leur serviteur alors que tant de personne aurait fui. Je suis inquiet de la suite trouvant que mon ami prend trop d’ascendant sur Karine. En fait je suis jaloux, Jaloux de voir celle que je vénère, aimer Paul. Je comprends qu’elle se donne à lui, j’admets plus difficilement le fait qu’elle s’en amourache.
Je devine que si je me rebelle, Karine le prendra très mal et me quittera…
Absorbé et perdu dans mes pensées, je n’ai pas entendu arriver Paul, qui se jette à l’eau en plongeant. Il s’approche de moi et vient se coller dans mon dos, s’agrippant à mes épaules.
- « Ne penses pas trop, Jean. Tu penses trop » J’étais sous le choc. Paul semblait lire en moi comme dans un livre. Je sentais son sexe contre moi, cela me perturbait et me paralysait
- « Jean, regardes les choses en face. Tu aimes ta femme. Moi aussi mais pas de la même façon. Elle t’aime car tu lui permets d’être elle-même. Moi, je ne pourrais jamais lui apporter cela. Toi, tu ne la fais plus vibrer sexuellement. Moi si, et je le fais avec amour, car j’aime Karine, et ce depuis que je l’ai vu la première fois. Nous allons vivre ton fantasme, notre désir jusqu’au bout. Je vous aime tous les deux. Nous allons faire ménage à trois.
Nous irons ensemble en vacances…je ne viens pas emménager chez vous à cause de mon travail, mais, j y serais souvent. C’est moi le chef de cette famille. Tu peux toujours dire non et réfléchir. Tu sais que Karine ne le supportera pas bien….ni moi, car je t’aime aussi à ma façon ».
J’étais perturbé, anéanti. Je ne savais plus où j’en étais. Je savais que Paul avait raison. J’étais effrayé par le quand dira t on.

Savoir que Paul agirait comme son mari, me perturbais…et pourtant mon sexe trahissait un émoi autre.
Paul se frottait de plus en plus contre moi. Je ne pouvais plus ignorer la protubérance entre mes fesses, ni son souffle chaud dans mon cou.
- « Dis moi que tu me veux en toi, dis moi que tu veux que je reste »
Paul me poussait contre le bord de la piscine. Son sexe se faisait de plus en plus intrusif. Mon cœur battait la chamade. Je lâchais prise avec la raison. Sans plus réfléchir, comme si mon destin était scellé, je lui demandais de me prendre dans un murmure. Il me demanda de le dire à voix haute. Je m’exécutais.
- « Non dis le plus fort » m’ordonna Paul
- « Je veux que tu me pénètres, je veux devenir ta deuxième femme. Je veux que tu restes. Sois mon Maître »
- « C’est bien, ma petite. Maintenant, guides moi en toi »
Je saisis son sexe bandé et l’approcha de mon œillet. Paul poussait pendant que j’écartais au maximum mes fesses.
Il gagnait centimètre par centimètre, sur de sa conquête, de sa victoire.
Lorsque ses couilles tapèrent mes fesses, il s’immobilisa pour me laisser le temps de reprendre mon souffle. La douleur était forte mais progressivement laissait place à une langueur inqualifiable. Il commença à remuer lentement, puis de plus en plus vite.
J’ai senti sa jouissance, ce sexe qui se gonfle avant d’éjaculer. Paul se déversa en long spasme. Il se retira doucement me fit me retourner et m’embrassa sur la bouche. Mettant fin à l’étreinte, Karine applaudit à la fenêtre de la chambre.
- « Vous étiez superbes mes chéris, j’arrive ».
Karine, toute en beauté s’installa sur un fauteuil. Elle nous félicita de la performance mais voulait être récompensée aussi.
Elle me montra la clé de la cage de chasteté.
- « Enlèves ta cage, et tournes toi, Penches toi bien en avant. Hum ton trou est bien élargi, plein de sperme. Je vais pouvoir promener mes doigts sur ta prostate et tu vas couler.

Je m’appuyais le torse sur la table, les jambes écartées. Mon sexe en érection au bord de la table pointait vers le sol.
Karine enfila deux doigts. Le sperme de Paul servant de lubrifiant, elle me faisait un doux massage de ma prostate.
Paul, le sexe en berne pour le moment, avait enfouit sa tête entre les jambes de notre femme commune. Il s’appliquait avec succès, à en croire les soupirs d’aise de Karine.
J’avertis Karine que j’allais me vider. Le milking procure ce sentiment étrange d’avoir l’impression de se vider du sperme sans jouir. Votre sexe coule mais sans avoir d’orgasme. Les derniers événements sans jouir avaient générés une production importante de sperme que Karine recueillait dans un verre à pied.
Karine jouit fort peu de temps après. Je me redressais pour mieux la voir, l’admirer.
Karine reput tendit le verre. « Nous allons tous en boire pour sceller notre union ». Elle trempa ses lèvres. Paul en fit autant me tendant le verre à finir qui contenait encore plus des ¾ du liquide.
La messe était dite...enfin presque... à suivre...

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