La Ferme D'Esclaves 5

La ferme d'esclaves 5
Une minute plus tard, une soumise chargée d’aller ouvrir et revêtue d’une tenue plus correcte pour exécuter cette tâche, arrive tête baissée pour me dire « Mon Maître, il y a la gendarmerie qui veux vous voir, le chef dit qu’il est envoyé par Mr Jacky P…. » « Jacky ? M’envoie les flics maintenant ? Mais pourquoi ? ». Je me presse d’aller dans le grand hall d’entrée pour trouver tout un escadron d’une vingtaine de CRS, casqués avec matraques. « Mais que ce passe t-il, quelle est cette intrusion ? » dis-je à celui qui paraissait être le chef « nous avons eu un appel du préfet, grand ami du propriétaire de ces lieux un certain Mr P…. Jacky. Mr le Préfet nous a dit que ce Mr P….. Avait besoin de notre intervention pour mâter des rebelles, alors nous voila ! » Ha ! Je commençais à comprendre, je savais que Jacky avait de grosses relations mais à ce point là ! Je comprenais aussi de quel genre de rebelles les CRS devaient mâter. « Ah oui je vois et bien allez dans l’ancienne écurie, et dans la grange à l’étage et vous comprendrez ce qu’il faut faire » dis-je d’une voie ironique.
Les CRS allèrent en rang par deux et d’un pas militaire sans chercher d’autres explications en direction du bâtiment en question. Puis apparu un homme entouré de 2 gendarmes, l’un d’eux lui dit : « Si Mr le Préfet veut bien entrer », l’homme s’avança et qu’elle ne fut pas ma surprise d’avoir en face de moi l’un des dix invités de la veille (voir La ferme d'esclaves 1). « Mais c’est vous Mr le Préfet ? Ben ça alors ! » « Bonjour, mon cher ami ! Comme je n’ai pas gagné hier au jeu, voyons comment l’appeler, disons au jeu de la ‘quille qui va droit dans le mur’ (voir La ferme d'esclaves 3) je me suis dit que je reviendrai mais j’ai ramené la ‘cavalerie maison’ avec moi, histoire de les dérouiller un peu nos super-flics, vous n’y voyez aucun inconvénient, j’espère, cher ami ? ». « Heu non, non je… bon ben pas de souci ! » Répondis-je, mais en fait, il ne me laissait pas le choix ! J’invitais donc le préfet à venir jusqu’à l’écurie et nous assistâmes à une scène particulièrement bizarre :
Les CRS étaient tous au ‘garde à vous’ alignés par deux environ devant chaque esclave attachée aux anneaux scellés.

Ils ne bougeaient pas. On devinait juste une grosse bosse au niveau du haut de leur pantalon pour chacun d’eux. On pouvait distinguer des yeux brillant d’envie sous la visière du leur casque. Le préfet ordonna d’une voix forte « Allez, faite voir un peu de quoi est capable une compagnie de CRS, mettez-vous à l’aise et baisez bien toutes ces femelles, c’est un ordre ! » « Il parait, d’après Jacky, qu’il en a aussi en haut alors investissez les lieux et pas de quartier, baise à volonté ! » finit-il par dire en déboutonnant son pantalon et en allant se jeter sur l’esclave la plus proche, il sortit sa grosse queue droite comme une matraque au « garde à vous ».
Des CRS grimpèrent l’escalier donnant l’assaut dans la grange, d’autre s’occupèrent des quelques esclaves attachées. Vu qu’à cette heure matinale de la journée, il y avait plus de CRS que de soumises dans ce bâtiment, il était aisé de compter environ 3 militaires pour une soumise en moyenne. Elles avaient pratiquement toutes au bout de quelques minutes, au moins une bite dans la bouche et une dans le cul. Et pour certaines prises à la fois dans la chatte et dans le cul avec aussi une bite dans la bouche. Les CRS avaient pour la plupart gardé leur uniforme, seuls les pantalons et caleçons étaient baissés. Mais quelle orgie ! Certain n’avaient même pas pris le temps d’enlever leur casque une fois que le préfet avait donné l’ordre de baiser ! Je montais à l’étage laissant le préfet et ses hommes enculer, baiser, se faire sucer par les esclaves qui prenaient apparemment leur pied en mélangeant cris de douleurs et de plaisirs. Arrivé à la grange, les 5 femelles qui étaient encore en cage furent littéralement prises d’assaut. Il y en avait une qui avait été sortie de sa cage, elle se tenait en empoignant les barreaux les bras écartés, elle était couché et suspendu à l’horizontal, deux militaires lui tenait chacun une jambe écarté, son visage et son corps regardant le sol à un mètre de celui-ci, pendant qu’un troisième lui baisait le cul profondément en de violents coups de reins avec des va et vient d’une rare brutalité, ça ressemblait plus à un viol qu’à une simple baise tellement l’esclave criait mais en fait je compris vite qu’elle hurlait de plaisir.
Plus loin, je vis Jourdanne (voir précédent épisode) qui avait enchaîné une esclave par les poignets, il l’avait suspendu et lui faisait faire de la balançoire dans le vide, quand elle était aux points les plus hauts elle était réceptionnée par une queue de CRS. Elle faisait donc malgré elle, les va et vient. Quand tout à coup un des deux militaires trouva trop long ce jeu de balance, il stoppa net l’élan pour baiser la chienne attachée en un coït viril. L’autre se fit tailler une pipe sans ménagement. Je redescendis à l’écurie pour voir comment évoluaient les choses. Et je vis une belle scène collégiale d’uro. Les esclaves étaient toutes souillées de spermes toutes épuisées, agenouillée, et toujours enchaînées. Seule leur tête regardait les dominants qui étaient en train de leur pisser dessus. Elles avaient la bouche ouvertes et avalaient ce qu’elle pouvaient avaler De longs jets d’urine coulaient sur leur cheveux, descendaient sur leur seins et mouillait tout leur corps pour inonder le matelas mousse qui leur servait de litière. Le préfet se soulagea longuement aussi en traitant de tous les noms la soumise qui avait dans sa bouche un mélange de sperme et de pisse.
Une fois tous les militaires soulagés, le préfet me remercia et ils quittèrent les lieux laissant derrière eux des esclaves qui je pense se souviendront de leur venue. La suite de mon récit vous racontera le deuxième jour…

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