Plage Coquine

Elle se tenait debout, immobile à environ deux mètres de nous, sa serviette plaquée devant elle, se réchauffant le visage après sa baignade. Elle regardait la mer et nous pouvions voir ses fesses nues légèrement tombantes mais très bien galbées.
« Caresser en 7 lettres… » demandais je à Virginie, allongée à mes côtés.
« Branler » me répondit elle doucement.
Cela fît tourner la tête de notre inconnue dans notre direction, un sourire aux lèvres… Cette femme blonde s’était approchée de nous une heure plus tôt alors que nous étions en train de consulter notre « cahier de vacances » érotique, allongés nus sur cette jolie plage naturiste près de St Malo. Elle nous avait alors demandé si nous pouvions lui surveiller ses affaires pendant sa baignade, nous précisant que dernièrement un inconnu lui avait dérobé sa petite culotte alors qu’elle avait déposé ses vêtements pour aller profiter de la fraîcheur de l’eau. Nous acceptâmes et elle commença à se dévêtir, pliant et empilant soigneusement ses vêtements sur le sable. Elle avait une soixantaine d’années, un corps menu et une peau assez claire mais avec un joli hâle sans aucune trace de maillot. Lorsqu’elle fût totalement nue je constatais qu’elle avait de très jolis seins de taille moyenne mais dont le maintien n’avait rien à envier aux femmes plus jeunes. Sa toison assez peu fournie était presque complètement grise et l’on pouvait deviner facilement le dessin de ses lèvres.
Elle était partie nager et nous avions repris notre lecture. Ma compagne a le même âge que moi et son corps épanoui respire la sensualité. Le temps a laissé de si de là son empreinte sur son galbe mais j’aime ses rondeurs et nous venons souvent à cette plage où nous avons découvert ensembles il y a cinq ans le plaisir de s’exposer nus au soleil. C’est une sensation très subtile et agréable que de sentir la brise marine venir caresser notre peau atténuant la douce morsure du soleil. Le sentiment de transgression est également très agréable, nous permettant de nous débarrasser un peu du carcan de notre éducation.

Et puis voir autour de nous tous ces corps tellement différents est un véritable ravissement pour le voyeur impénitent que je suis. Les dimensions généreuses de cette plage permettent de maintenir un espace suffisant entre chaque couple et il nous est parfois arrivé de nous laisser aller à quelques coquineries alors que nous lisions une revue pour adultes.
Un jour, c’est moi qui faisait la lecture d’un témoignage d’une femme qui avait eu une relation sexuelle avec un inconnu sur une plage et Virginie m’écoutait, ses jolis doigts courant sur ma peau. La sensation de nudité, les caresses de ma douce ainsi que le récit torride de cette revue avaient eu comme effet bien prévisible de déclencher en moi une magnifique érection. J’étais allongé à droite de ma compagne et j’avais relevé ma jambe afin de masquer cette queue tendue aux regards des couples voisins. Ma coquine écoutait le récit et les longs et jolis doigts de sa main droite étaient venus se refermer à la base de ma hampe pendant que j’essayais de poursuivre ma lecture comme si de rien était. Le témoignage devenait de plus en plus chaud et Virginie commença alors une très lente et très douce masturbation, ses doigts refermés en anneau remontant jusqu’à mon gland décalotté et gonflé de désir. Je jetais des regards furtifs autour de moi, nos voisins ne semblant pas se rendre compte du manège de la coquine. Parfois des couples remontaient de leur baignade, passant à côté de nous et Virginie arrêtait son lent mouvement de va-et-vient mais sans jamais lâcher ma queue tendue. Au bout de quelques minutes de cette caresse diabolique j’éjaculai et répandis ma semence en longues saccades sur mon ventre, Virginie arborant un sourire gourmand et victorieux. Quel très joli souvenir.

Notre inconnue avait terminé sa baignade et se dirigeait vers nous alors que nous avions entamé la grille de mots croisés coquins de notre cahier de vacances si particulier. Elle déplia sa serviette en nous adressant un large sourire et se frictionna pour se réchauffer car l’eau de la Manche n’est pas très chaude même en plein été.
Je lisais les définitions de l’auteur et ma douce me proposait ses idées de réponse sans se soucier de notre voisine.
Au bout de quelques minutes, et après quelques jolis mots peu recommandés par notre académie Française, celle-ci nous demanda de quelle revue il s’agissait. Elle se mit à rire à la suite de ma réponse et nous dit que c’était une bonne idée que de partager cela en couple. Nous lui proposâmes alors de se joindre à nous. Elle accepta avec entrain, déplia sa serviette à nos pieds et s’assit face à nous en nous annonçant qu’elle se prénommait Michelle.
Assise en tailleur, j’avais une vue magnifique sur son sexe qui s’était entrouvert dans cette position et son regard se porta sur mon sexe qui avait commencé à prendre un certain volume. Nous continuâmes les mots croisés et ce fût un déchaînement entre les deux femmes, à qui donnerait la bonne réponse en premier. Cette situation m’excitait de plus en plus et j’arborais maintenant une belle érection que je tentais de dissimuler en fermant les cuisses. Michelle me dit que cela ne la dérangeait pas en adressant un clin d’œil complice à Virginie. Tout en la fixant du regard, cette dernière s’empara de mon sexe et demanda à Michelle si elle appréciait les dimensions de cette queue tendue.
La femme ne détachait pas son regard de ce sexe enserré par ces si jolis doigts et se mordillait doucement les lèvres pendant que ses mains caressaient nerveusement ses cuisses comme pour les empêcher de se jeter sur ma virilité. « Elle est magnifique » murmura t-elle tout doucement. Virginie lui attrapa alors le poignée et le dirigea vers mon sexe l’obligeant à refermer ses doigts autour de la tige tendue. Michelle resta ainsi de longues secondes immobile, le regard tétanisé sur cette verge chaude qu’elle enserrait.
J’avais posé la revue et je regardais Virginie qui arborait un sourire radieux et je pus lire dans son regard qu’elle m’offrait ce moment coquin en gage d’amour. J’étais assis là au beau milieu de cette plage qui était maintenant presque désertée, la queue tendue et tenue par deux mains différentes, le bruit du ressac en arrière plan.
Je me dis que la vie était vraiment belle… La main de Virginie se posa alors sur celle de Michelle et commença à la guider dans un très lent va-et-vient sur mon sexe puis alla chercher son autre main pour venir la plaquer sur son propre sexe soigneusement épilé. Michelle se retrouvait donc en train de branler un homme tout en caressant le sexe d’une autre femme. Virginie commençait à gémir et je regardais les doigts de cette inconnue aller et venir dans son intimité, luisant de sa mouille pendant qu’elle accélérait son mouvement sur ma queue. Virginie, se moquant maintenant totalement du risque d’être aperçue, bascula sur le côté, se pencha et prit mon sexe dans sa bouche qu’elle avala presque complètement, arrêtée uniquement dans son mouvement par la main de Michelle qui m’emprisonnait toujours. Je l’invitais du regard à rejoindre ma douce et elle se mit à quatre pattes, sa langue venant fureter sur mes bourses et la base de mon sexe pendant que Virginie pompait maintenant somptueusement. Je me libérais de la bouche si chaude de ma douce et présentais ma queue à Michelle qui commença alors à m’engloutir et la fellation qu’elle me prodiguât était très douce. Michelle s’appliquait comme si elle n’avait pas souvent l’occasion de pratiquer ainsi.
Les minutes qui suivirent furent divines et je regardais ces deux têtes blondes et brunes me sucer alternativement dans une douceur incroyable. Ne pouvant me retenir d’avantage, Michelle dit qu’elle voulait goûter ma semence et après encore quelques va-et-vient je me répandis dans sa bouche dans un grognement pendant que Virginie me dévorait les lèvres d’un baiser fougueux.
Au bout d’un moment passé à écouter les vagues qui venaient mourir sur la plage, Michelle se rhabilla puis prit congé de nous en nous remerciant pour ce délicieux moment et s’éloigna avec un petit geste de la main et en nous disant que nous formions un couple très mignon.
Le soleil était bas sur l’horizon mais la température était encore très douce et propice à de nouvelles coquineries…

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