Sam - Mes Vacances D'Été 2009

Hi, tout le monde (ou presque)
Bah je peux vous dire que j'ai été hyper étonnée de voir que des gens avaient lu ce que j'avais raconté. Paraît qu'y en a même qui ont aimé. Incroyable, pas vrai! Bon bah, comme mes patrons m'ont laissée avec le chien pour tout le week-end, je vais squatter leur ordi et continuer. Sinon, ben vous me direz quand stopper.
Alors heu… où j'en étais. Ah oui, si je me souviens bien !
Donc, c'était quelques jours après avoir été au ciné porno. Passé le temps de la réflexion, cette satisfaction de vengeance envers Niba était retombée comme un soufflet. Ceci, pour la bonne raison que j'avais l'impression qu'il s'en fichait royalement. Je lui ai demandé s'il avait été présent dans la salle pendant que les 3 types s'occupaient de moi. Sa réponse ne m'avait pas réellement satisfaite car il m'avait rétorqué un ''va savoir…'' qui m'avait laissée songeuse. Le pire, c'est qu'il avait dit ça en souriant.
Ce qu'il peut être énervant, des fois…
Par contre, il avait tenu promesse. Non seulement j'avais eu le droit à un petit cadeau : une mini robe beige en polyester et Spandex. L'effet faisait très métallique. Au début, j'ai eu un peu de mal à aimer mais il y avait un joli drapé sur la poitrine et avec une large ceinture en cuir marron, ça faisait quand même chouette. Pour une fois, à part mes cuisses, on ne voyait que mon cou ! Evidemment, cela ne faisait pas assez sexy pour Niba ; aussi, il m'a fortement conseillé de la porter sans soutif. Comme la robe est très fluide, bah on voit tout de suite que je ne porte rien dessous. C'est tout Niba, ça !
Bon, je vais par râler parce qu'en plus, il m'a offert 3 nuits d'amour en moins de 10 jours. Hélas, car il y a un "hélas", comme d'habitude, il s'est contenté du bas. J'étais toujours en manque de caresses sur mes seins qui ne demandaient que cela. Me les caresser moi-même, bah c'était pas la même chose.
J'avais bien essayé d'aborder le sujet avec lui mais il m'avait laissé entendre que cela n'avait pas d'importance pour le moment.


Pas d'importance ? Tu parles ! A la fin, c'était vachement vexant pour moi.
Z'étaient pas bien mes seins ou quoi ?
Sinon, j'avais l'impression que mon sexe se faisait plus élastique ; je ressentais moins cette sensation de passage en force quand il me pénétrait. Evidemment, cela venait sûrement de moi car sa bite n'avait pas rétrécie !
Tiens, pour en revenir à cette séance de ciné mouvementée, il m'avait fallu plusieurs jours pour m'en remettre. En plus, je m'étais choppée des bleus !
Ces 3 cochons n'y étaient pas allés de main morte.
Ah oui, le lendemain, j'ai failli éclater de rire quand Safi s'en est aperçue et qu'elle m'a recommandé de faire attention à ne pas me cogner ainsi aux meubles.
Aux meubles…

Ma relation avec Niba durait depuis plusieurs mois et je me demandais encore comment sa femme ne s'en apercevait pas. Bon, d'accord, il s'arrangeait toujours pour qu'elle soit absente, mais quand même. Non, non, elle continuait à être hyper sympa avec moi. Même son clebs Ork m'aimait bien quoique parfois, ce qu'il pouvait être casse-pieds ! Il était d'un collant, c'est dingue ! A chaque fois que Niba me faisait l'amour, cet idiot de chien attendait derrière ma porte en gémissant et en grattant. Et si après, j'avais le malheur de sortir pour prendre une douche, il me tournait autour, essayant d'arracher ma serviette de toilette. D'accord, je n'étais pas écœurée qu'il me lèche les jambes mais quand il se mettait à fourrer sa truffe sous ma serviette, ce qu'il pouvait m'agacer. Un jour, je l'ai dit à Safi et elle a éclaté de rire en me répondant qu'il m'aimait bien et qu'il voulait seulement jouer.
C'est vrai que depuis que je le gardais, on était devenu de bons copains.
J'avais toujours un peu peur de ce monstre mais j'aimais bien me promener dans la campagne avec lui. Jamais il ne m'a grogné dessus. Et puis, quand j'étais seule à la maison, rien que sa présence me rassurait. Si y avait eu un imbécile pour venir piquer à la maison et bah il aurait eu une sacrée surprise…
D'ailleurs, cela m'a fait chier quand il a fallu qu'on le fasse garder.
C'était pendant l'été de l'année dernière. Ils m'ont dit qu'on allait passer quelques temps chez des amis à eux dans le sud de la France. Ces gens avaient une maison pas loin du cap d'Agde. Enfin, plus vers Vias et ils la prêtaient à mes patrons.
Mais bon, comme ils m'emmenaient, j'allais pas dire non. Heureusement que Safi m'a amenée acheter des maillots de bain car sinon, j'aurais bien été embêtée. Quoique non, car d'après Niba, y avait plein de gens qui faisaient du naturisme dans des plages privées.
Mais, voir tous ces papys et ces mamys à poil… brrrr!
Au début, c'était sympa car les premiers jours, on était toujours ensemble. On a fait de belles ballades. Bon a part le village, sa grande église et son marché couvert… Ah oui, y avait aussi un parc d'attraction mais moi les manèges, non merci ! Heureusement il y avait un tas de petites plages de sable mais super larges séparées par des digues bizarres. Et puis, des forets et des pinèdes. Bref, la nature quoi.
Bon, mais moi, j'aurais bien voulu m'isoler un peu avec Niba. je ne vais pas faire la dégoutée car je m'amusais bien quand même. Je prenais même des couleurs.
Ca faisait rire Safi qui me disait que j'allais finir par ressembler à une négresse. C'est vrai que ma peau fonçait un peu, malgré l'écran total.
Puis ils ont commencé à sortir tous les deux et là, j'étais vénère. Je me retrouvais seule sauf le soir pour manger. En plus, je les entendais baiser à côté et moi, j'en étais réduite à me caresser. Dur !
Je commençais à manquer.

L'espoir revint quand un midi, Niba me dit qu'on allait se promener et faire de la bronzette du côté de la pinède de Vias plage. J'étais aux anges car Safi ne venait apparemment pas avec nous.
J'ai préparé mes affaires et c'est Niba qui a choisi mon maillot de bain 2 pièces : un tout petit rikiki avec des bandes blanches et bleues. Y avait un joli balconnet qui mettait ma poitrine en valeur et le bas s'attachait par 2 cordons sur les côtés.

J'étais la reine du bal ! J'allais avoir mon Niba pour moi toute seule.
On s'est arrêté tous les 2 pour manger un truc léger et après, il a garé sa voiture au bord de la pinède, pas loin du canal. On a pris mes affaires mais lui, il n'a même pas pris une serviette ! Bon, après tout… On y allait pas pour faire du tourisme…
On s'est quand même bien promené une bonne heure sous les pins, histoire que le soleil se calme un peu. Puis, il m'a emmenée vers une sorte de petite plage avec des genres de dunes en sable. Quand on est arrivé, je n'avait pas vraiment envie de me baigner aussi, on s'est recule vers les dunes. J'avais un peu peur de la réaction de Niba mais il m'a dit que ce n'était pas grave et que j'allais me faire bronzer. Bon, après tout, le principal, c'est qu'il était avec moi. Y avait personne dans le coin aussi j'avais ma petite idée pour nous occuper…
Bah, que dalle ! On est à peine arrivé que cette peau de vache m'annonce qu'il va faire un tour dans le coin. Moi, je commence à faire la tronche mais il m'apprend que je suis là pour tester le ''coup de la serviette".
Quel coup de la serviette ?
Il n'a pas voulu m'en dire plus mais il m'a assuré, en me donnant 2 foutus magazines, que, là encore, je devais profiter de ce qui se présenterait.
Avant de me larguer comme une conne, il m'a promis qu'il ne serait pas loin et que je ne devais pas avoir peur. Il veillait sur moi.
La dernière chose qu'il m'a balancé, c'est un "Allez, petite, ne me déçois surtout pas".
Je ne comprenais rien à ce qu'il me disait. Mais j'ai pas eu le temps d'en savoir plus que déjà, il avait disparu derrière les herbes hautes.
Hé bah, sympa comme balade en amoureux !
J'ai enlevé mon short, mon débardeur et j'ai étalé ma serviette. Le "coup de la serviette" ; n'importe quoi !
Mais qu'est-ce qu'il foutait ! Ca faisait bien une demie heure que j'étais là à poireauter en attendant que monsieur daigne revenir. En plus les magazines étaient à chier.

Comme seules distractions, j'avais aperçu au loin, 2 couples qui se baladaient (eux!) et un vieux pépère qui promenait son chien.
Bon, me restait plus qu'à profiter du soleil. Je réduis au maximum les bonnets de mon soutif afin que le soleil ne rate aucune parcelle de ma peau.
J'étais pénarde, y avait pas un chat dans le coin.

J'ai dû m'assoupir car quand j'ai ouvert un œil derrière mes lunettes de soleil, je me suis rendue compte qu'il y avait un jeune type d'une vingtaine d'année qui s'était installé non loin de moi.
Zut, y avait pas assez de place dans ce coin ? Fallait justement qu'il s'installe à deux pas de moi, ce naze.
J'abaissais juste ce qu'il faut mes lunettes et je risquais un regard vers lui. Il avait le teint basané et vu son visage, il devait être d'origine algérienne ou dans le coin de là-bas, en tous cas.
Au début, il ne paraissait pas s'occuper de moi, aussi je replongeai mon nez dans un des magazines. Pourtant, au bout d'un moment, je me suis rendue compte qu'il m'observait avec la plus grande attention.
D'accord, j'étais la seule nana présente ici ; mais quand même. D'accord, d'accord, ça faisait du bien d'être matée ; je l'avoue.
Passée ce petit plaisir, j'ai commencé à être un peu inquiète car Niba ne revenait toujours pas et le gars me regardait avec intensité.
Mais bon, comme le mec se contentait de sourire, cela m'a rassurée. Au bout d'un moment, il faisait partie de mon paysage.
Mais curieuse comme je suis, j'ai fini par me redresser, histoire de mieux le voir. C'est à ce moment qu'il a retiré son T-shirt. Hé bé, il n'était pas bien gros mais il était sacrément bien musclé.
Il a dû se rendre compte que je le détaillais car il m'a souri en me faisant un petit signe de la main. J'ai piqué mon fard et j'ai replongé mon nez dans le magazine sans pouvoir lire une ligne car je sentais son regard posé sur moi.
Bah dis donc, je lui faisais de l'effet à ce gus. Ma foi, pas désagréable comme sensation.
Peut-être 10 ou 15 minutes après, les rayons du soleil ont commencé à me rôtir le dos. J'avais oublié de me mettre de la crème solaire. Pour le coup, j'allais être griller comme un steak !
Me saisissant du flacon, j'ai commencé à m'enduire le cou, les bras et le bas du dos. J'étais allongée sur le ventre et malgré mes efforts, je n'arrivais pas à me mettre de la crème entre mes omoplates.
Alors que je me démenais, j'ai senti une présence près de moi. Je tournai la tête. Le gars avait étalé sa serviette de bain à côté de la mienne. Il me dit gentiment : "Tu permets".
Encore surprise par son arrivée, je l'ai laissé me prendre le flacon des mains tandis qu'il me proposait ses services.
Encouragé apparemment par mon silence qui valait accord pour lui, il se renversa de la crème et posa sa main sur mon dos.
Je me suis mise immédiatement à frissonner à cause de la fraicheur de la crème sur ma peau brûlante. Tandis qu'il m'étalait lentement la crème sur le bas de mon dos, il me posa les questions habituelles : "t'es du coin ? En vacances ? Bla, bla, bla…".
A dire vrai, je ne l'écoutais même pas ! J'avais replié mes bras et enfoui ma tête dans le creux de ma serviette.
Merde, qu'est-ce que ça faisait comme bien, ce petit coup de frais !
Pendant que le type s'appliquait, j'ai tourné discrètement la tête de côté et j'ai soudain découvert une bosse bien visible dans son slip de bain. Apparemment, ce garçon prenait du plaisir à me rendre service.
C'était flatteur et très agréable. Aussi, pour l'encourager et un peu par jeu, je me suis risquée à lui demander de m'enduire le haut de mon dos ; là où je n'avais pu le faire.
Le type se reversa de la crème et je sentis bientôt ses mains remonter de mes reins vers mes épaules.
Sa cuisse touchait la mienne et cette proximité a encore augmenté mon trouble.
Soudain, à mon grand regret, il s'est arrêté et m'a dit gentiment : "Attends, bouge pas. Je retire sinon je vais tâcher".
Joignant les actes à la parole, je sentis qu'il dégrafait l'attache de mon soutif et dénouait la rosette dans mon cou.
Avant même que je n'aie pu émettre le ''Hé, te gênes pas !" de circonstance, les cordons retombaient de part et d'autre sur ma serviette. Aussitôt après; ses mains me massèrent le dos de bas en haut. Parfois, elles se rejoignaient sur mon cou et… je dois dire que c'était divin !
Le cochon, il savait y faire et plus ça durait, plus je me sentais toute chose.

Absorbée par le traitement du jeune gars, je n'ai même pas entendu l'autre s'approcher de moi. Ce n'est que lorsqu'il s'est assis à mes côtés, que j'ai réalisé.
Je me suis redressée de stupeur et les 2 gars ont pu se rincer l'œil, vu que mon soutif m'avait lâchement abandonné.
Avec un sourire enjôleur, mon garçon de plage me complimenta sur mes formes et me présenta le nouvel arrivant.
"N'aie pas peur, c'est mon cousin Habib. Moi, je suis Ahmed. Et toi ?".
Machinalement, je lui ai dit mon prénom, enfin mon diminutif.
Ils ont paru surpris mais sans insister. Faut dire qu'ils devaient s'en foutre royalement de mon prénom !
Sans se démonter, Ahmed dit à son cousin qu'il tombait à pic et qu'il allait pouvoir l'aider car, après tout, il n'avait que 2 mains.
Sur le coup, je n'ai pas compris tout de suite mais quand le dénommé Habib a versé de la crème solaire derrière mes cuisses et s'est mis à l'étaler dessus… pas besoin de dessin!
<Et puis merde< : me suis dit ; tout en me réinstallant sur ma serviette.
J'avoue que ce n'était pas désagréable de sentir ces 4 mains sur ma peau.
M'ayant bien tartinée, Ahmed me pria de me retourner. J'ai hésité mais l'autre insista gentiment.
Au point où j'en étais…
Je me suis retournée. Oh, j'ai bien tenté de protéger mes seins avec mon soutif mais Ahmed me l'a pris des mains en disant que : "Sans, c'est plus pratique"…
Une fois encore, j'eus le droit à des compliments, accompagnés de sourires enjôleurs (mais étaient-ils sincères…). L'instant d'après, ils ne disaient plus rien, se contentant de me regarder. Heureusement que mes lunettes de soleil me protégeaient car j'ignore comment j'aurais pu soutenir leur regard gourmand.

Chacun des garçons avait posé les mains sur mon corps sans rencontrer de résistance de ma part. Je me rendais bien compte qu'ils n'en revenaient pas de leur chance. Celui qui semblait le plus jeune, Ahmed, appliquait la crème sur mon ventre tandis que l'autre, Habib, promenait lentement sa main sur le haut de mes cuisses.
Au bout d'un moment, je les ai surpris qui se concertaient rapidement du regard et après s'être assurés que nous ne pouvions pas être vus, ils passèrent à l'offensive.
La main de Ahmed quitta mon ventre pour saisir un sein et, tout en le soupesant, le caressa lentement. Son autre main se glissa sous la ceinture de mon mini slip et atteignit mon sexe. Sans doute surpris de ne toucher aucun poil, il adressa quelques mots en arabe à son cousin en riant. L'instant d'après, je sentis un doigt violer mon vagin. L'émotion que je ressentais depuis qu'ils avaient commencé à m'enduire de crème, avait considérablement humidifié ma chatte. Ahmed s'en rendit compte et, avec un petit rire, en fit la remarque en français à Habib. Ce dernier saisit aussitôt les 2 cordons qui fermaient mon bas de maillot et les dénoua. Puis, tout aussi rapidement, il prit mon slip et tira d'un coup sec.
Quand Habib écarta brusquement mes cuisses, je me suis retrouvée le sexe à l'air. Je n'ai pas eu trop le temps de jouer les vierges effarouchées, car déjà Ahmed ajoutait un deuxième doigt dans ma fente et se mit à les faire tourner dans ma chatte.
Il m'était impossible de ne pas entendre le léger clapotis ; il était nettement perceptible. Je mouillais comme une dingue.
Son cousin tenait mes seins et jouait avec mes pointes, douloureuses à force d'être tournées et étirées. Ils faisaient des commentaires sans doute grivois dans leur langue.
Après un certain temps, ils s'échangèrent les rôles. Habib me branlait la chatte avec 2 doigts tandis que son cousin caressait mon clitoris saillant.
Je haletais de plus en plus fort et je sentais les vagues de jouissance qui montaient en moi.
Jouissance qui s'interrompit immédiatement quand des bruits de voix nous parvinrent, venant dans notre direction.
Les deux garçons réagirent à la vitesse de l'éclair. Pendant que Habib ramassait mes affaires, son cousin Ahmed m'enveloppa dans ma serviette.
Puis, me soulevant quasiment de terre, ils me portèrent en direction d'un petit chemin.
Le soulagement succédant à la peur d'être surpris, nous nous sommes esclaffés de rire et pendant que nous avancions, nous plaisantions innocemment comme des gosses.
Notre évasion nous mena jusqu'à une petite cabane dans la pinède derrière la plage. Les 2 garçons devaient la connaître car ils se saisirent d'une clé, cachée sous une pierre.

Lorsque la porte fut refermée, le silence s'installa entre nous, lourd de signification. Je pensais leur demander d'arrêter car je craignais que Niba ne soit pas dans les parages. Mais quand Ahmed a tiré sur ma serviette et que je me suis retrouvée nue devant eux, je suis restée sans réaction.
Il me prit par les épaules et me fit mettre à genoux. Je ne résistai pas car je savais bien ce qu'ils espéraient de moi.
Alors, j'ai fait glisser leurs slips, l'un après l'autre. Leurs deux queues se balançaient doucement devant mon visage. Fines et assez longues, elles étaient brunes et les glands cramoisis exhalaient une odeur douçâtre.
Ahmed m'agrippa les cheveux et poussa mon visage vers sa bite. Je la pris entre mes lèvres et, tout en salivant, j'entrepris de caresser le gland avec ma langue.
Mon Niba allait être fière de moi, me suis-je brièvement dit, un rien sarcastique.
Puis, je répétai l'opération avec la queue de l'autre mec. Durant de longues minutes, je passai ainsi d'une verge à l'autre. Lorsque je les sentais sur le point de gicler dans ma bouche ; je les abandonnais.
Ce petit jeu dura jusqu'à ce que Habib étale ma serviette par terre et me fasse coucher sur le dos.
Puis, écartant mes cuisses de force, il s'allongea sur moi. Mais quand il me pénétra, il était tellement excité qu'il déchargea presque aussitôt. Ahmed prit rapidement sa place dans ma chatte pleine du sperme de son cousin. Sa longue queue, dure comme du bois, me baisa sans ménagement. Malgré le plancher qui me faisait mal au dos, je gémissais de plaisir. Bien qu'il marmonnait des mots que je ne comprenais pas, ceux-ci m'excitait et je l'encourageais à aller plus profond, plus vite. L'orgasme me surprit et je ne pus me retenir de hurler en sentant la chaude décharge au fond de mon ventre.
Nous restâmes de longues minutes allongés. Puis Habib dit quelques mots en arabe à son cousin. Ce dernier se retira de moi et se leva.
Il m'aida à en faire de même et me tendit mes vêtements.
Alors que nous sortions de la cabane, il me donna rendez vous à la même heure et au même endroit, le lendemain. Ils ne me laissèrent même pas le temps de leur expliquer que je ne pourrai pas me libérer car ils partirent en courant

Je revins sur mes pas vers l'endroit où Niba m'avait laissée. Je n'eus pas à aller jusqu'au bout car je vis Niba arriver vers moi.
Je lui expliquai mon aventure, persuadée qu'il en avait été le témoin, sachant que c'était ce qu'il désirait.
Il me répondit qu'il n'avait pu revenir à temps et qu'il regrettait de ne pas avoir vu sa petite pute se faire baiser. J'étais quand même assez surprise qu'il m'ait laissé seule avec ces 2 gars. Afin de le rendre jaloux, je lui racontai tout en détails en précisant qu'ils m'avaient invitée à revenir demain. Je m'attendais à ce que Niba me dise un ''Pas question !'', un rien jaloux.
Rien ! Il s'est contenté de me répondre que c'était une excellente idée mais que cette fois-ci, il resterait à proximité.
J'en fus pour mes frais et, je l'avoue, un peu furieuse. D'ailleurs, je lui répondis immédiatement que je n'irai pas. Il se mit tout de suite en colère et me menaça. J'avais intérêt à me rendre à ce rendez-vous ou j'allais m'en prendre une. Il me cria que ce n'était pas à moi de décider de ce que je devais faire. J'étais sa petite pute et je devais obéir, sinon…
Vexée, je fis la gueule toute la soirée au grand dam de sa femme qui ne comprenait pas mon attitude.
Pourtant, dès le lendemain matin, alors que Safi dormait encore, il lui laissa un mot sur la table de la cuisine sur lequel il lui faisait croire qu'on allait manger un morceau dehors et qu'ensuite, il allait me conduire à la plage avant de faire quelques courses.
On visita le coin en voiture et vers midi, on s'arrêta dans un petit restaurant. Au cours du repas, il me força quasiment à boire les 3/4 de la bouteille de Rosé. Le vin plus le soleil sur ma tête (on s'était installé en terrasse), hé ben ça a fait des dégâts…
Quand on est enfin parti, j'avais la tête à l'envers !
En route, Niba m'a demandé méchamment de retirer mon débardeur, mon short et de lui remettre la chainette que je portais autour de mes hanches. D'après lui, c'était du superflu. Il m'arrêta au bout du chemin qui menait à la cabane. Comme j'étais hésitante, il m'a littéralement éjectée de sa voiture puis, me mettant une claque aux fesses, il m'a ordonné d'aller me faire baiser comme une salope que j'étais. Sa salope.
Il me promit qu'il allait me suivre à distance pour vérifier.

Tout en marchant, je me retournai parfois ; histoire d'être sûr qu'il me suivait. Bien, il était loin mais il était là.
Enfin, j'aperçus les 2 garçons sagement assis devant la cabane. Quand ils me virent arriver, ils furent vraiment surpris car ils n'y croyaient pas.
Je fus vite entourée de marques d'amitiés et de baisers. Ils étaient hyper contents de me voir.
Je n'eus même pas le temps de souffler qu'Ahmed ouvrait la cabane et Habib me poussait à l'intérieur. A peine entrée, j'eus un mouvement de recul : 2 autre types étaient là. Des gamins ! Enfin, en tous cas ils étaient
certainement plus jeunes que moi.
Affolée, je me suis retrouvée entourée de 4 arabes qui scrutaient avec avidité les formes que j'exposais sous mon petit deux-pièces.
Tandis que quelqu'un refermait la porte, des mains commencèrent à se poser sur moi et en un instant, je me suis retrouvée devant eux, nue comme au jour de ma naissance ! J'avoue que je n'en menais pas large. La situation dérapait salement.
Les deux nouveaux étaient excités comme des matous en rut et particulièrement intéressés par mon sexe dépourvu de toute pilosité. Ils allaient même jusqu'à le toucher avec hésitation.
C'était bizarre, j'étais effrayée mais aussi, peu à peu, allumée par leur regard lubrique. La cabane était remplie de désirs… et c'était moi l'objet de ce désir. De quoi être excitée, non ?
Ils tournaient autour de moi lentement en me passant des mains. Puis, rapidement, ils retirèrent leur fringues en ricanant et, bites tendues, ils m'enveloppèrent de toutes parts. Je sentais leurs queues dures se frotter contre mon corps. Ils s'adressaient des remarques sûrement vulgaires en arabe. A l'intérieur de la cabane, l'air est devenue très rapidement électrique et je pouvais sentir leur fébrilité. D'ailleurs, ils commençaient à poser leurs mains sur moi d'une manière moins innocente, plus appuyée, sur les seins, mes fesses, ma fente.
Soudain, Ahmed me prit par l'épaule et m'obligea à me coucher sur un vieux matelas qu'ils avaient dû amener avec eux.
Il s'allongea à mes côtés, puis m'attira au-dessus de lui. Surprise, mon corps a basculé sur le sien. Apeurée, j'ai voulu me débattre mais il me bloqua les poignets. Quelqu'un, derrière, m'écarta rudement les cuisses et une main se posa sur mon entrejambe écarté. J'ai voulu me retourner mais l'un des gamins m'a agrippé les cheveux. La douleur m'a paralysée et j'ai senti des larmes couler sur mes joues.
Le gamin, lui, s'en fichait complètement ; il m'a dit méchamment :<Suce ma bite, sale pute!<. Tandis qu'il m'insultait, il dirigea son sexe vers mes lèvres. Comme j'hésitais, il tira plus fort sur mes cheveux et je fus bien obligée de le prendre en bouche.
Quand il s'est rendu compte que je le suçais convenablement, il a relâché la pression sur mes cheveux. Puis, prenant ma tête à 2 mains, il lui a imprimée un mouvement de va-et-vient.

J'étais en train de lécher le gamin quand un autre s'est mis à jouer avec ma chatte.
Puis, je sentis Ahmed remuer sous moi, et l'instant d'après, il empala sa bite toute dure dans ma chatte. Une fois bien calée, il se saisit de mes fesses pour les écarter largement.
La pensée du spectacle que j'offrais aux 2 autres types qui nous observaient tout en encourageant leur copain à me limer, m'excita de plus en plus.
Ahmed se mit à remuer en moi et à chaque coup, je me suis mise à gémir. Plus il tapait dans mon vagin, plus mes gémissements se faisaient bruyants.
J'entendais les 3 autres excités en train de crier à leur pote de me baiser encore plus fort : <Fais la jouir, cette pute. On veut l'entendre gueuler !<
Loin de me choquer, leurs encouragements me faisaient perdre le peu de raison qui me restait.
Abandonnant parfois la queue du type que je suçais, je suppliais Ahmed de me baiser plus fort, à fond. Plus les autres me traitaient de tous les noms orduriers, plus je me comportais comme ils le réclamaient. J'employais des mots qui m'auraient fait rougir en temps normal. Même Niba ne m'avait jamais entendu les dire.
Lui qui voulait que je sois sa pute, hé bien j'étais celle de ces 4 arabes.
J'étais complètement barrée !

Brusquement, j'ai senti un doigt mouillé titiller ma raie. Mais Ahmed me baisait tellement fort que je ne protestai pas, même quand, après quelques minutes de masturbation, quelqu'un introduisit, non sans difficulté, un doigt dans l'anus.
Je me mis à râler mais Ahmed s'arrangea pour m'immobiliser avec ses bras. Couchée contre son corps, j'avais les fesses totalement exposées.
Le type qui me sodomisait, le faisait lentement. De temps en temps, il crachait sur mon trou pour le lubrifier. Au bout de quelques minutes, j'ai commencé à ressentir un plaisir spécial, nouveau. Cela devenait de moins en moins désagréable. Il faut dire que je sentais en même temps en moi, la queue de Ahmed.
Ce fût presque, avec regrets, que je sentis le doigt ressortir de mon cul.
Immédiatement après, je me suis mise à pousser un énorme cri.
L'un de ces salauds venait de forcer le barrage de mes reins avec autre chose qu'un doigt.
Je n'eus même pas à me poser la question quant à l'origine de ce que j'avais maintenant dans le cul car bientôt, j'entendis des voix crier qu'il fallait m'enculer bien profond.
J'étais, pour la première fois de ma vie, prise par deux mecs et ceci, devant les deux autres qui s'étaient placés littéralement devant mon nez pour se masturber.
La douleur fit peu à peu place au plaisir. Tous ces mecs étaient quasiment des inconnus et, étrangement, cela m'excitait encore plus. Et puis, sachant que Niba devait mater, cela augmentait mon plaisir.
Complètement désinhibée, j'accompagnais notre triple jouissance de cris et de commentaires sur le bien que ces 2 queux me faisaient.
Moi qui redoutait la sodomie que Niba m'avait un jour promise, je me surprenais à aimer être enculée. Dire que je croyais que ce serait hyper douloureux. Et bien pas plus que cela!
Mes deux partenaires furent immédiatement remplacés dans mes trous béants et lubrifiés par le sperme des premiers.
Je n'en pouvais plus et il me semblait que j'allais mourir de plaisir car je n'avais jamais rien ressenti de pareil.
Ils me baisèrent ainsi, je ne sais plus combien de temps. Lorsqu'ils me quittèrent, j'étais épuisée, cassée et, couchée sur le matelas, je vis avec inquiétude quelques temps après, la porte de la cabane s'ouvrir.
C'était Niba.
Il me regarda fixement, le visage empourpré et m'expliqua qu'il avait regardé toute la scène par une fente dans une planche du mur arrière de la cabane.
Loin de m'engueuler, il m'avoua qu'il s'était branlé plusieurs fois en me regardant pendant que ces 4 types me prenaient de la sorte. Il était ravi parce que je lui avait obéi. Il me dit que la prochaine fois, c'est moi qui allait devoir provoquer les mecs. Il voulait être sûr que je sois capable de manipuler les gens.
Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il me disait. J'avais mal partout et j'avais terriblement sommeil.

Une fois rhabillée, nous partîmes vers la voiture, presque tendrement enlacés. J'étais cassée mais heureuse que mon homme me témoigne de l'amour.
Une fois dans la voiture, Niba écarta mon slip et examina ma chatte. Une coulée de sperme sortait de ma fente et il regarda, fasciné, ce témoignage odorant de ma nouvelle lubricité.
<Je suis fière de toi, ma petite. Encore un ou deux petits efforts et tu seras parfaite<. Ce fût la dernière réflexion qu'il me fit avant d'arriver chez ses amis.
Il m'a fallu plusieurs jours pour admettre, à tête reposée, que Niba m'avait poussée (bon, je n'ai guère résisté…) à devenir une sacrée cochonne. Je dus admettre aussi que j'aimais ça. Mais pour Niba, je n'étais pas encore prête à faire tout ce qu'il me demanderait. Et quand je dis tout… je me suis laissée faire jusqu'à aller au-delà du correctement ''normal''. Si la directrice de mon ancienne pension me voyait…
Mais bon, ceci est une autre histoire comme dirait l'autre…
Quant à Niba, nous sommes restés sur place encore quelques jours et ce salaud a préféré baiser sa femme que moi. Cela valait bien la peine de se faire casser le c… !
Remarquez, j'avais le dos en compote et des bleus sur les cuisses. J'ai dû déployer des trésors d'imagination pour convaincre Safi que je ne pouvais plus m'exposer au soleil.
Après les vacances, quand nous sommes retournés à la maison, j'ai repensé à ce qui s'était passé dans la cabane. J'étais vraiment troublée car malgré la peur ou à cause d'elle, j'avais ressenti une étrange sensation. Pendant plusieurs jours, j'ai refusé de l'admettre jusqu'à ce que je revive la même chose (enfin presque). Plus tard, je dus reconnaître que le fait d'être traitée comme, bon disons-le, un objet sexuel me procurait une jouissance intense. Mon attirance pour la soumission s'est développée de plus en plus, jusqu'à me laisser pousser les cheveux pour qu'on me les agrippe tout en me baisant. Tout geste qui me forçait, comme par exemple me serrer le cou devant ou derrière ; m'attacher, user de mon corps avec une violence contenue ; toutes ces sensations me faisaient (et me font) jouir intensément. Même si par la suite, j'ai moi-même développé cette attitude de domination envers mes partenaires (enfin surtout une catégorie). Mais avant cela, il m'a fallu du temps pour être éduqué.

Bon, bah voilà, c'était ça, mes vacances de l'année dernière. L'aventure sans le tourisme, en quelques sorte. Si vous voulez que je vous raconte encore, dîtes-le moi.
Bye. Sam

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