Premiere Relation Lesbienne

La vendeuse m’avait fait monter à l’étage au-dessus de la boutique, quand elle ouvrit la porte, je vis que c’était chez elle, son appartement. Je devenais de plus en plus nerveuse, je savais ce qu’elle voulait et que le chantage auquel elle me soumettait pouvait durer longtemps, car elle pouvait me dénoncer à tout moment.
- Va te déshabiller petite cochonne ! m’ordonna la vendeuse Donja. Va dans ma chambre, dernière porte à droite dans le couloir… et prépare ton minou.
- Oui… me contentai-je de répondre en me dirigeant vers la chambre.
- Oui maîtresse on dit petite insolente !
-Oui…maîtresse….
La chambre était belle, avec un lit en fer forgé noir, la fenêtre était voilée par des rideaux fins mauves qui ne laissaient personne voir l’intérieur de la pièce. Je me mise nue et m’allongeais sur le lit. J’entendis Donja se rapprocher de la chambre, je me mis vite à me caresser le clito, mais je n’eus pas à me toucher longtemps car je mouillais déjà abondamment. Ma fente ouverte dévoilait mon clito gonflé et brillant de mouille. Je poussais de petit gémissements involontaires et Donja apparut à l’encadrement de la porte. Elle se déshabillait elle aussi. Elle s’allongea sur le lit en n’arrêtant pas de me répéter que j’étais une sale cochonne.
- Tu es une sale cochonne et maintenant tu es aussi mon esclave grosse pute… Non mais regarde moi ton sexe il est déjà tout gluant ! dit Donja. Tu te fais du bien, hein ? C’est à moi que tu dois faire du bien… Lèche-moi la chatte !
 Oui maîtresse, dis-je en me couchant à ses pieds, la bouche à 3 centimètres de son clito.
Elle m’appuya sur la tête et je collais ma langue sur son clito humide. Elle mouilla vite et elle jouit sur mon visage.
 Tu lèches bien sale pute, je suis sûre que tu as déjà gouinée d’autres femmes… A quatre pattes cochonnes.
Je me mis à quatre pattes et je me laissais toucher par cette femme. Elle me tira les tétons en ricanant, puis elle enfila un gode ceinture et se mit derrière moi.

Je frissonnais car je n’avais jamais été pénétrée par un faux sexe. Je sentis le faux gland caresser mon clito, je gémissais de plaisir. Elle me pénétra d’un coup. Une douleur me traversa car le gode était gros et ma chatte étroite. Je gémissais de douleur pendant un moment, mais ça n’arrêta pas Donja et elle faisait des vas et vient avec force dans mon vagin trempé. Je finis par onduler du bassin tellement j’appréciais ce sexe en moi. Elle me pinçait les tétons et me fouettait les seins. Mes seins se balançaient dans le vide. Je sentais la mouille couler sur mes cuisses. Ça me faisait penser à mon petit-copain quand il me prend en levrette. Huum ! J’adore !! Je gémissais comme une cochonne. Donja me bourrait avec son gode ceinture, puis elle s’arrêta un moment. Soudain je sentis ses doigts tartiner ma rondelle avec du gel lubrifiant. J’eus peur parce que même mon petit copain ne me prend jamais par ce trou. J’ai peur de la douleur. Je serrais les fesses mais un coup violent de faux gode dans mon vagin remplis de mouille, me fit me décontracter et je sentis un objet froid me pénétrer mon petit anus. Je me tortillais pour y échapper mais Donja me tenait fermement et je laissais la douleur m’envahir.
- Aaahh… Ouiii, j’aime t’enfoncer des trucs dans ton derrière sale cochonne !! dit Donja.
- J’ai mal Donja !
- Ta gueule salope ! Je veux savourer la pénétration dans ton anus lubrifié ce faux pénis… Waouhh !!! C’est dingue… Ton anus avale parfaitement ce pénis énorme ! Alala mais ta rondelle est belle toute dilatée.
Je commençais à sentir le plaisir monter en moi et je finis par jouir en sentant les vas et vient du pénis dans mon anus. Donja avait mis un œuf vibrant dans mon vagin et maintenant elle me regardait souffrir de plaisir. Je me tortillais sur le lit, mes doigts jouant avec mon clito et je gémissais de plaisir.
- Huuum… Haan… C’est… C’est trop… bon ! Haaan… Huuum…. Oooh ! C’est bon !! Je viens, je me sens couler… Ma mouille coule. S’il te plait arrête l’œuf il me fait trop couler… ma chatte… la pauvre ! gémissais-je.
- Je le savais que tu étais une cochonne !! Vas y supplie-moi d’arrêter car on est là pour un bon moment salope !!