Perdu À Cause D'Une Tempête Suite

Sentant la panique ceindre en moi, elle fut rassurante « Ne t'inquiète pas mon petit, ce sera comme un jeu » Et finissant de m'asperger d'eau froide, elle me releva et m'ordonna d'attendre. « Je vais chercher mon matériel médical, ne bouge pas ». Les pieds dans l'eau, l'air ambiant pas si chaud, je sentais mon sexe se rétrécir. Je n'osais regarder. Je devais être ridicule. Et plus le temps passait, plus le froid me gagnait, plus mon sexe rétrécissait. Plus je me sentais ridicule. Elle revient vêtue d'une blouse blanche et d'une petite trousse médicale.


« Approche – Non mais quel gros bêta. Essuie tes pieds, tu vas mouiller tout le sol. Tu as quel âge. Il faut vraiment tout te dire. » Penaud, je m'essuyais alors les pieds. J'avais de plus en plus l'impression d'être un petit garçon. « C'est bon maintenant, approche petit, monte sur la balance - très bien – Colle toi au mur à coté de la toise– Oh tu es un grand garçon » C'est la première fois qu'elle utilisait le terme grand à mon endroit. Je ressentais une joie incroyable. Mais se jouant de moi « Viens près de moi mon petit bout je vais écouter ton coeur » Je redevenais tout penaud.


Le Stéthoscope était tout froid. Le sol aussi. « Tout va bien de ce coté-ci mon petit, je vais maintenant examiner ton zizi. Oh mais il est tout petit mon pauvre chéri. Les autres doivent se moquer de toi. Tu as peut être un problème. On va prendre tes mensurations. Tu veux bien ? » Et embarrassé, j'acquiesçais.


A l'aide d'un mètre de couturière, elle mesura mon sexe sous toutes les coutures. Honteux et excité à la fois mais fatigué par le bain, je n'avais aucun début d'érection. Elle ne s'en priva pas pour me faire la remarque « C'est bizarre. Normalement les garçons de ton age ont leur zizi qui devient tout dur lorsqu'on le tripote. Toi il reste tout mou et tout petit. Pourtant quand je te nettoyais entre les fesses, ton petit zizi était tout dur. » tout en continuant à me branler doucement « Ce n'est pas grave, tu sais, si tu préfères par les fesses » mes yeux devaient lui dire le contraire – jamais je n'avais vécu de telles expériences « tu ne le sais peut être pas encore mon petit chéri mais je sens ta petite nouille qui se durcit dans ma main » J'étais humilié et la laissait faire.




Elle entreprit alors une palpation de mes testicules. « Elles sont mignonnes, elles sont toutes petites. Tu as vu mon chéri, en appuyant dessus elles remontent comme si tu n'en avais pas. Mais ton petit morceau est de plus en plus dur. Tu aimes ça être un garçon sans testicules ? » J'étais perdu. Plus elle m'humiliait et plus j'étais excité, pris à mon propre piège. « Bon arrêtons de jouer mon petit, il faut que je mesure tes petites noisettes. » Elle prit alors un pied à coulisse, me les mesura et en me faisant assoir parterre, posa mes testicules dans une balance. Elle consigna le tout sur sa fiche.


Puis toujours assis, elle m'ausculta les yeux, la gorge et les oreilles. Comme elle était penchée, je m'aperçus qu'elle n'avait rien sous sa blouse. Je voyais sa poitrine plantureuse et malgré le froid, mon érection repris de plus belle. Elle ne manqua pas de le remarquer « Alors mon petit, on regarde mes seins et ça te fait tout chaud dans ton petit zizi – Tu es vraiment mignon » Elle me fit un bisou sur le front. Bizarrement je me sentais de moins en moins humilié, je sentais que j'aimais de plus en plus être la proie de cette femme. « Je vais aussi nettoyer tes égratignures, tu vas voir mon petit ça ne pique pas, c'est du rouge »


Et elle désinfecta toutes mes égratignures avec du mercure au chrome, d'abord la tête dans sa poitrine « tu es vraiment chou avec ton rouge partout et ton petit zizi tout dur de vilain petit garnement ». Elle me fit ensuite mettre en travers de ses cuisses et quand elle eut fini « Mets toi à quatre pattes, il faut que je vérifie si ta petite nouille crachouille. Ne t'inquiète pas. On va faire comme avec les vaches, je vais te traire. Tu es d'accord mon petit zizi ? » Je bandais comme jamais. Elle m'aida à changer de position, installa une bassine sous moi. « Je vais mettre des gants pour que ce soit bien propre »


Elle commença alors à me toucher avec ses gants en latex.
« Allez mon petit, fait crachouiller ta petite nouille » Elle me tripotait les testicules. La sensation du latex, je sentais que ça montait mais mes petites couilles venaient d'être vidées il y a trop peu. Elle accélérait. Mon bassin ondulait de plus en plus rapidement sous ses va et vient. « C'est bien mon petit, continue, regarde mes seins, allez fait monter la sève de tes mini noisettes. » Elle me branlait de plus en plus fort. Je sentais que ça venait.


Je commençais à crier. « Oui petit zizi, crie comme une fillette si tu veux, laisse toi aller » Je criais, ses seins , mon bassin qui se trémoussait sous sa main, sa main qui me branlait, mes petites couilles tripotées, mon cerveau submergé de plaisir. Et soudain son doigt dans mon cul, je jouissais en criant comme une fillette. Je me vidais à petit jet, exténué. « C'est bien mon petit chéri, je sais que c'est dur pour toi avec tes petites choses » me disait-elle en finissant de me branler doucement.


Elle me fit relever « Viens mon petit, on va rincer tout ça » Et encore à l'eau froide, elle me rinça mon sexe et mes testicules qui immédiatement reprirent une taille ridicule. Elle les regardait avec un sourire très amusé. Elle prit ensuite la bassine et versa le contenu dans un bécher. « heureusement que pour l'analyse, il faut peu de crachouille » me dit elle ironiquement.


Le zizi rétréci à l'air, ses moqueries, j'en avais les larmes aux yeux. « Oh mais non mon petit, il ne faut pas pleurer. Viens, je vais t'expliquer ce qui t'arrive. La visite médicale a été très fructueuse. Tu comprend ce que ça veut dire fructueuse ? Oui – c'est bien mon chéri sèche ces larmes. » Elle m'avait pris la main. Je me sentais mieux avec sa main chaude dans la mienne.

à suivre...


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