Ma Tante Et Son Mari

Depuis qu’elle est mariée, ma tante Jane qui n’a que 2 ans de plus que moi (nous nous considérons comme de
sœurs) se plaint sans arrêt. Ou son mari la bourre trop ou pas assez, bref, je me demande pourquoi elle s’est
mariée directement sans l’essayer avant: c’était simple pourtant: une vie à deux pendant 5 ou 6 mois et elle
l’aurait épousé en sachant ce qu’il valait. J’en ai assez de ses jérémiades. Ou elle se laisse baiser comme il veut
ou elle le quitte. Mais voilà, il l’aime.
Hier, elle vient encore se plaindre que cette semaine il ne l’a baisée qu’une seule fois rapidement, sans lui
laisser le temps de jouir, elle me demande même de la masturber. Nous le faisions souvent avant quand nous
étions sans mec. Nous allions même plus loin toute les deux: nous baisions carrément. Cette fois il faut croire
qu’elle n’a même pas pu se branler seule, après le départ de son chéri.
Jane s’assoit au bord du fauteuil, soulève sa jupe sous laquelle elle est nue. En guise de masturbation elle veut
tout simplement que nous nous aimions encore. Je vais à son niveau pour l’embrasser: elle tend ses lèvres, la
langue déjà en attente. Elle ne s’en doute pas, mais elle me donne envie de recommencer au moins une fois
avec elle, et pourtant j’ai passé une bonne partie de la nuit avec une autre fille et son mec: J’aime bien le
triolisme, avoir à la fois une bite dans sa chatte et une moule dans sa bouche est pour moi le summum de
l’érotisme. J’avais eu ma dose d’orgasmes, surtout quand il me la mettait au cul, comme j’aime , avec la bouche
de ma copine sur mon clitoris, pendant qu’elle se branlait.
C’était il y a moins de 3 heures. Mais Jane n’attend que moi pour se faire reluire.
Je l’embrasse donc, ma langue contre la sienne. Elle devine au goût de ma salive que j’ai encore un peu de
sperme en moi.
- Tu es une véritable salope: tu viens de sucer un type et tu m’embrasse après.


- J’ai aussi ma vie, j’ai baisé avec une amie et son type: il m’a demande de le sucer à la fin pour le faire jouir
encore une dernière fois et j’avoue que je me suis régalée de son jus.
- Entre ta langue au fond de ma bouche que je goûte encore ce sperme.
Je fais ce qu’elle veux, j’arrive au niveau de sa glotte. Je ne sais pas si elle peut encore sentir le sperme. Je le lui
souhaite.
- Suces moi !
- Comme ça, de suite, d’habitude nous nous caressons avant pour être plus chaudes.
- Je suis chaude, j’ai envie de toi, vite suce moi la chatte.
Finalement son affaire de baise trop rapide avec son mari n’est que du pipo. Elle voulait simplement ma langue
pour la faire jouir.
Je la fait lever pour aller dans la chambre où je la met toute nue, comme au jour de sa naissance. Elle
m’embrasse reconnaissante. Nos langues jouent encore ensemble. Une idée de me traverse la tête:
- Est-ce que ton mari n’aimerai pas nous voir ensemble, couchées et nous suçant par exemple.
- Oui, il me le demande quelques fois.
- Alors dit lui de venir; nous baiserons avec lui.
- Je n’ose pas trop.
- Tu veux que je le lui demande, après tout il n’est pas mal, je me le payerai bien.
L’affaire est dans le sac, en attendant elle m’a chauffée: je mouille et j’ai envie d’elle. Nous sommes couchée, si
suis presque à plat ventre pour embrasser encore Jane, ma main va directement sur sa chatte. Je passe
rapidement un doigt pour savoir dans quel état elle est: comme moi, trempée. J’y mets la main entière, je
caresse aussitôt le clitoris, descend ma main dès sa première jouissance. Je vais essayer de la faire jouir d’une
autre façon que je ne connais que de cette nuit: j’entre d’abord deux doigts dans son vagin et petit à petit
j’entre toute ma main. Elle ne veut pas, quand j’ai mis le quatrième doigt. Elle ouvre ses jambes plus grand et
enfin j’ai toute ma main dans son ventre.
Je reste un peu immobile. Je sais que quand je commencerai elle ne
voudra plus que j’arrête: ça me l’a fait hier. J’entame des mouvements réguliers, pas rapides. Pour la première
fois depuis que nous baisons ensemble elle gémit de plus en plus fort:
- Que tu me fais du bien.
- Tu aimes quand je te nique ainsi, hein, salope.
- Oui, je suis salope. Encore, c’est bon.
- Je ne t’abandonnerai pas en court de route: jouis d’abord?
- Oui, c’est bon et je……….je……….jouis….
Je sors ma main, la lui donne à sucer, elle le fait avec plaisir. Elle peux ainsi avoir dans sa bouche toute la cyprine
de sa jouissance.
- C’est à moi de jouir maintenant, lèches moi.
- Attends une minute, le temps que je me remette de ce que tu m’a fait, ma nièce dégueulasse.
- Je suis ta nièce, c’est certain, et ce qui est certain est que nous baisons. Alors lèche moi bien.
Elle n’a aucune difficulté pour poser sa langue sur mon clitoris. Elle me lèche comme souvent avec beaucoup
d’habileté. Bien sur elle me fait jouir. Pourtant mon ventre a tendance à se révolter: j’ai trop baisé depuis cette
nuit.
Nous nous séparons sur la promesse qu’elle va demander à son mari de venir avec elle me baiser et me
partager.
Je n’ai pas de nouvelle pendant une semaine, et j’allais tout oublier quand Jane me téléphone pour savoir si elle
peut venir le lendemain avec son époux. Je le connais assez peu finalement sinon qu’il est bel homme, qu’à
mon avis il doit être drôlement monté. Elle a du me faire passer pour une n’importe quoi. Je vais lui montrer que
je suis belle, sexy, un peu collé monté: je m’habille comme pour aller à une cérémonie: robe longue, bijoux sur
les mains, autour du cou. Ainsi je suis présentable, par contre dessous il n’y a rien. Je veux qu’il me découvre
toute nue d’un seul coup, quand Jane me déshabillera devant son mari: Paul.
Quand ils sonnent je les fait un peu moisir avant d’ouvrir: ils forment une beau couple que je vais désunir pour la
nuit.

Un baiser rapide sur nos lèvres avec Jane, une bise sur les joues avec Paul, celui avec qui je baiserai tout à
l’heure et il me tarde d’avoir son mandrin dans mon ventre: chose rare puisque je préfère les femmes;
Nous nous installons pour boire une bouteille de champagne. Je leur demande comment ils ont baisé. Gênée
Jane me répond en levrette et lui me dit qu’il la lui a mise au cul.
Au moins c’est clair: Jane ne venait chez moi que pour satisfaire son besoins de lesbianisme. Elle aurait pu le
dire au lieu de raconter n’importe quoi.
- Jane, veux tu me déshabiller, j’ai envie de toi.
- J’arrive, mais Paul pourrai m’aider !
- Pas question c’est toi seule que je veux, il n’a qu’à regarder.
Mon plan marche à merveille: je suis toute nue devant Paul qui je le vois commence à bander.
- Jane, suce moi un peu.
- Paul…….
- Pour Paul on verra quand tu m’aura faite jouir. Je m’assied sur le divan; les jambes bien ouvertes pour que Paul
puisse voir ma chatte en entier. Enfin Jane vient poser sa bouche sur mon clitoris. Il me semble qu’elle me suce
mieux que les autres fois.
- Paul pouvez vous déshabiller avec votre femme, ce serait mieux non.
- Je vais le faire, mais on pourrai se tutoyer.
- Bien sur. Tu pourrai la mettre toute nue et l’enculer par exemple, ça m’exciterais beaucoup.
Je me demande si je n’en fais pas un peu trop. Je plus fort est qu’il m’obéit. Je vais pouvoir en faire ce que je
veux. Je le vois enfin nu: il est comme je le rêvais: une bite hors norme qu’il entre facilement dans le cul de sa
femme. Il ne faut pas que je le laisse aller trop loin: je tiens à récupérer son sperme.
- Paul, cesse d’enculer Jane, elle aime ce que je lui ai fait la dernière fois: entre toute ta main dans son con, elle
jouira fortement, elle ne te l’a pas dit ?
- Non, elle me cache des choses.
- Fais comme je te dis.
Il sort sa bite, reste derrière Jane, et lentement lui entre sa main dans ce con dilaté.
Comme ma dernière fois elle
jouit comme une cinglée. Emporté par son plaisir elle m’oublie en route. Je vais près d’eux pour prendre cette
bite que je convoite depuis un moment. Je me glisse sous Jane pour arriver à prendre dans ma bouche ce bâton.
Je le lèche un peu: son, odeur me plaint beaucoup, même s’il sort du cul de Jane. Je l’avale le plus possible et je
commence mes travaux de sape: je veux le faire jouir rapidement. J’ai la bouche pleine de cette bite. J’arrive à le
faire jouir: je reçois une bonne dose de sperme. Je l’avale lentement.
Enfin je suis la maitresse du jeux. Je prends Jane contre moi, la couche sur le dos, me mets sur elle en 69. Je
prend sa chatte dans ma bouche: elle me lèche déjà l’entrée de mon con. Je me laisse faire avec délice, j’aime
qu’une fille me suce à cet endroit. Les hommes me ratent toujours. Comme je suis dessus, je fais signe à Paul
qui comprend aussitôt que je le veux dans le cul. Il mouille bien l’entrée de l’anus, aidé par la cyprine de Jane. Il
est bien monté, mais j’ai l’habitude de ce genre de bite d’âne. En plus il est très attentif pour ne pas me faire
mal. Je le sens à peine passer le cap de l’entrée de l’anus. Il me la met très profond, toute le longueur de sa
queue. J’envie Jane de pouvoir se faire mettre dans le cul avec une telle queue. Je commence à jouir sans fin. Je
sens sa bite bien mieux quand je jouis, à cause des spasmes des orgasmes. Quand il jouit à son tour, il me
semble qu’il déverse un torrent de semence.
Quand il sort de mon cul la langue de Jane est là pour récupérer le sperme. Elle ne m’en donne même pas une
goutte.
Nous arrêtons, fatiguées mais heureux de ce premier trio que nous recommencerons régulièrement d’après ce
qu’en dit Paul, mon nouvel amant.

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