Cousins

Le jour de l’anniversaire de notre maman, mon frère et moi avions décidé d’organiser une petite fête entre amis. Ayant invité un nombre non négligeable de convives, un petit coup de main était le bienvenu et c’est mon cousin, âgé de 17ans qui se proposa de nous aider dans notre entreprise. Il nous rejoignit donc chez moi pour finaliser notre surprise. Mon frère avait pas mal de matériel à préparer de son côté (chaises, tables, vaisselle, …). Il me laissa seule avec mon cousin avec la liste des choses que nous avions à faire. Premièrement, se débarrasser de quelques vieilleries. Mon cousin se propose de conduire jusqu’à la déchèterie. OK c’est parti. Je l’accompagne, on discute de choses et d’autres, on décharge nos vieilleries et on rentre. Déjà à ce moment là, je ne reconnais plus le petit garçon que je tenais dans mes bras il y a encore quelques années. Il a bien grandi … c’est un sportif accompli, bien bâti et beau comme un dieu grec. Il conduit comme un sauvage… et j’ai la drôle de sensation qu’il essaie de m’impressionner. Je trouve ça mignon puis me dit que étant un peu en manque d’attention, je me fais simplement des films.
De retour à la maison, il m’aide comme si de rien n’était. Puis l’heure approchant, m’invite à aller me changer. Il termine les préparatifs pendant que je me douche et me change. Je descends environ 15min après. J’ai troqué mon vieux jeans et mon débardeur suggestif pour une mini jupe à carreaux, des bas noirs et un bustier noir beaucoup plus suggestif. J’ai 27ans, des cheveux courts et roux à la « mylène ». Je ne suis pas bien grande et j’ai ce que les hommes qualifient souvent de jolies formes. Il me regarde de la tête au bien et m’avoue qu’il ne se doutait pas que je serais si vite changée. Je reconnais que je ne me suis pas vraiment prise la tête vestimentairement parlant vu que je n’avais pas eu l’occasion de faire les boutiques ces temps-ci. Du coup, j’avais misé sur le trio classique : jupe, bustier et bottes noires, trio que j’affectionne particulièrement.

Un peu gêné, il sourit et me ravit en me disant que ca me va très bien et que je suis vraiment très jolie. J’en rougis presque. Mon compagnon n’est pas avare de compliments et il faut bien l’avouer, ca fait toujours plaisir. J’esquisse un « merci » tout aussi gêné sans le regarder. La surprise se passe et il m’accompagne dans tous mes faits et gestes en m’affublant d’un petit surnom qu’il ne m’avait jamais donné. Et « ptit chou » par ci et « ptit chou » par là… Je suis de plus en plus mal à l’aise. Je ne comprends rien et je commence à me sentir attirée par ce beau garçon qui me fait maladroitement la cours. Je veux m’asseoir mais c’est sa chaise. Ce n’est pas grave pour lui. Il s’assied et me fait signe de m’installer sur ses genoux… Je m’installe d’abord à califourchon sur une de ses cuisses musclées. Mais j’ai la désagréable impression d’être lourde. Je change alors pour poser mes fesses sur son sexe, mon dos plaqué contre son torse. S’il n’y avait pas ce monde autour de nous, je crois que je collerais mes lèvres aux siennes… J’essaie de bouger le moins possible. Malgré cela, je sens son sexe gonflé sous moi. Mes cuisses se serrent comme pour réprimer mes envies et un petit filet d’excitation que je sens venir tacher mon boxer en dentelle noire. Ses bras m’enlacent et je sens que mes joues commencent à s’empourprer, mon ventre à me démanger et ma poitrine à se raidir. Il faut que je me lève. Quelqu’un va remarquer notre manège, ce n’est pas possible… Je prends les clés de ma voiture. Je dois m’éclipser, me calmer. Il m’emboite le pas.
- Tu crois que ca va aller ? Tu n’as pas trop bu ?
Je réponds que non et que ca va aller mais il insiste et refuse de me laisser partir seule. Il monte dans la voiture et nous roulons jusqu’à chez moi. Une fois sur le pas de la porte, il me lance « je te sens tristoune, tu peux m’en parler si tu veux ». Je réponds « Non, ca va, j’ai la pèche, ca va ». J’ouvre la porte et me retournant pour la fermer, je sens qu’il m’enlace.
« Tu sais, tu es vraiment superbe ce soir. Je ne t’avais jamais regardé comme ça». Je ne sais plus quoi faire. J’ai envie de l’embrasser mais je sais que c’est dingue, qu’il ne faut pas, … Fait-on toujours ce qui est bien ? Il faut croire que non… La porte se ferme, les lèvres se frôlent, les mains se cherchent et se perdent dans les méandres d’une peau chaude et humide d’envie. J’ai envie qu’il me touche de partout, qu’il mette ses doigts en moi, qu’il m’embrasse la nuque, les lèvres, qu’il me caresse les seins, qu’il me déshabille vite et qu’il me fasse l’amour. Pendant que je dévore ses lèvres avec fougue, je me demande si je suis la première fille qu’il embrasse, qu’il touche. Il est un peu maladroit mais va apprendre vite. Son corps et ses jolies mains musclées et douces font tout oublier de ces hésitations. Donne moi tes jolies mains mon cœur je vais te montrer où les poser, ce que tu peux titiller, là où tu peux les enfouir. Je sens que je jouis avec ses doigts en moi et je sens aussi qu’il perd pied. Je saisi rapidement son beau sexe tendu par tant d’excitation. Je le sens fébrile. Vite sinon je n’aurais pas la joie de l’avoir en moi. J’ôte mes bas et l’assied dans l’escalier, son sexe tendu pointe vers le mien qui le chevauche. J’attends quelques secondes mais je n’y tiens plus non plus, mon envie et la gravité me font m’empaler sur sa jolie verge. Deux va-et-vient et c’est fini. Il a jouit et moi aussi. Je reste un instant lovée contre lui, puis me lève.
« Ils doivent nous attendre … »
Nous retournons à la fête …

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