Leçon De Baise

C’est ma profession qui m’oblige à enseigner un peu à n’importe qui. Je suis prof privé.
J’intervient quand un reste en rade. C’est un bon travail bien rémunéré, souvent de la main à
la main. Je me déplace chez les élèves, reste une heure ou deux, selon les cas. J’aime mieux passer
une heure pour accélérer les progrès d’ un gamin. Je n’aime pas trop les jeunes qui, je le sais par
expérience, savent tout sut tout.
Un de de mes amies, très bonne amie, même, tient à ce que je m’occupe de remonter le niveau de sa
fille de 18 ans. Je n’accepte que parce que le mère insiste beaucoup. Je crois que j’aurai dit non
en connaissant la suite.
La première rencontre avec mon élève Vanessa a lieur, chez elle, juste l’appartement au dessus du
mien, vers 17 heures. La mère ne revenant chez elle que vers 20 heures, nous avons le temps
d’avancer dans le retard.
Ce n’est pas que Vanessa soit différente des autres filles de son âge, elle aime ou n’aime pas
certaine personne: je crois qu’elle m’aime bien, tant mieux. Nous commençons à travailler aussitôt
mon arrivée. Après un heure nous nous arrêtons un instant pour souffler un peu. Vanessa commence à
me raconter sa vie: elle n’a pas de copain, juste une copine qu’elle aime bien, elle aime beaucoup
lire un peu tout ce qui lui tombe sous la main. Je sens qu’elle me cache quelque chose, sans trop
savoir dans quel domaine.
Quand ma amie arrive, sa fille en a terminé avec moi. Nous devons nous revoir le lendemain à la même
heure. Sa mère propose que sa fille vienne chez moi au lieu de l’inverse. Je suis d’accord, je
préfère ainsi.
Le lendemain à 17 heures, Vanessa entre chez moi avec ses manuels d’étude. Je l’installe dans mon
bureau à ma place, je reste assise juste à coté. J’ai bien pu voir qu’elle était habillée très court
un peu comme sa mère qui venait souvent chez moi.

Il me semble même qu’elle ne porte pas de sous
vêtements. Nous commençons pour nous arrêter une heure plus tard.
- Donc ti n’a pas de petit ami ?
- Oui et non.
- Tu en a un ou pas, c’est simple comme question.
- J’en avais un mais nous nous sommes quittés.
- Pourquoi ? Il ne te plaisait plus ?
- Si, mais il voulait aller trop loin.
- Tu sais les garçons cherchent toujours à aller très loin, c’est la nature.
- Il voulait que je ne fréquente plus ma copine.
- Il était jaloux de ta copine ?
- Oui, il ne voulait pas que nous allions chez moi le mercredi dans la journée pace que………
‘ Parce que quoi ? Vous aviez des contacts pas très normaux avec elle: vous faisiez des chose que la
morale réprouve.
- Je ne sais pas, nous étions bien ensemble quand nous nous caressions.
- Vous vous caressiez quoi
Je faisait l’idiote pour tout savoir.
- Ben nous nous donnions du plaisir ensemble.
- Je comprends , vous faisiez l’amour toute les deux et tu ne lui donnait rien à ton copain, même
pas une caresse sexuelle.
- Non; je préférais ma copine.
Drôle de fille, elle tient de sa mère avec qui nous avions vécu d’intense moment de plaisir presque
jusqu’à son mariage.
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Nous étions jeunes encore quand un jour nous avons échanger un baiser sur la bouche au cours d’une
promenade. D’un simple baiser nous sommes aller à baiser tout court. Nous allions chez elle,
également le mercredi après midi, pour réviser (c’est fou le nombre d’heures de révisions que nous
faisions): nous ne révisions que nos gammes sur nos corps. Au début nous nous passions les mains
entre les cuisses pour atteindre nos boutons, puis de fils en aiguille nous finissions en 69. Nous
aimions nous faire jouir longtemps.
Un jour elle a rencontré celui qui allait devenir son mari.
Nous nous sommes séparées parce que je
ne voulais pas que nous nous fassions l’amour en cachette de ce brave garçon. Nous sommes restées
les meilleurs amies du monde, la preuve, elle me confie sa fille. Je ne sais pas si elle se doute de
la vie cachée de cette dernière.
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Savoir que Vanessa a les même goûts que sa mère me laisse rêveuse, a tel point que je me vois faire
l’amour avec sa fille, après tout je n’ai que 44 ans, suis pas mal et aime toujours jouir. Il y a
plus de 20 ans entre nous deux, mais qu’est-ce que ça fait ?
Nous reprenons le cours et elle rentre chez elle. Elle ne doit revenir que la semaine prochaine. Il
me tarde qu’elle revienne. Je suis excitée après son départ: il faut que je me soulage de suite: je
suis toute mouillée. Je vais dans la chambre, me met nue devant la glace pour examiner mon corps:
J’ai les seins qui tombent à peine, mon ventre est toujours plats, mes fesses me paraissent forts
agréable: bref je me trouve encore assez bien faite pour me faire faire l’amour, même par une fille
jeune. Je me couche, j’écarte mes jambes, je lève ma tête pour mieux vis ma main aller vers mon
sexe. Je pose mon autre main sur un sein que je caresse, surtout le téton; Enfin je touche avec
prudence mn clitoris. Enfin je le tortille juste un peu avant de le caresser. Il doit y avoir une
bonne quinzaine que je ne me suis pas masturbée: ce sera meilleur. Avant même de commencer mon
fantasme arrive; je me vois la tête entre ses jambes, la suçant longuement. Il me semble même que je
sens sa langue sur moi.
Cette semaine est l’une des plus longues que j’ai connu. Enfin Vanessa revient. Je me demande si
elle est aussi court vêtue que la dernière fois. C’est encore pire; sa jupe arrive un peu plus haut
que la mi cuisse, son t-shirt est plus serré.
Je lui dit qu’elle est magnifique et très sexy: elle
en rougit un peu, sans rien dire, elle s’installe à ma place, à mon bureau. Je vois ses jambes
bronzées qu’elle ne cache même pas: sa jupe est remontée vers son entrejambe. Elle croise les
jambes: elle a du répéter ce geste avant de venir. J’ai une vue presque directe sur sa chatte.
Nous faisons semblant de travailler un peu moins de 10 minutes. Je n’en peux plus, j’ai envie
d’elle. Je tente le coup, après tout c’est elle qui me cherche. Je n’ai pas le temps d’avancer ma
main vers sa cuisse qu’elle se met à parler
- Maman m’a expliqué pour vous deux.
- Qu’est-ce qu’elle t’a dit?
- Que avant son mariage, vous faisiez l’amour et qu’elle aimait bien le faire avec toi. Et roi tu
aimais ?
- Bien sur que l’aimais baiser avec elle: nous étions jeunes et quand elle a rencontré ton père je
oui ai demandé de ne plus nous faire l’amour.
-C’est-ce qu’elle m’a dit: elle te regrette toujours un peu.
- Moi aussi je le regrette, même si je n’ai lus jamais fait l’amour qu’avec d’autres filles ou
femmes. Ne crois pas que je suis vierge, c’est le même garçon qui nous la mise pour la première
fois: nous nous tenions les mains. Après nous avons fait l’amour plusieurs fois avec d’autre mais
pas ensemble.
- C’est vrai que c’est bon de se faire mettre par un garçon ?
- Oui, peut être pas la première fois, mais ensuite la jouissance arrive.
- Pourquoi tu préfère les filles ?
- Parce que c’est plus doux qu’un homme, surtout pour les caresses.
- Si tu veux, à conditions de ne rien dire à ma mère, nous pouvons nous caresser.
C’est moi qui voulait et c’est elle qui se donne.
Je la fait lever pour l’embrasser: elle se refuse sans arrêt. Il faut que je force pour qu’elle
accepte enfin ma langue. Je la serre contre moi, elle veux toujours se retirer comme si elle avait
peur, mais peur de quoi? Je ne sais pas: je l’embrasse comme son copain a du le lui faire mille
fois.
A moins que sa copine ne lui ai jamais posé sa bouche sur la sienne.
Elle a un moment de faiblesse: ma langue entre enfin dans la bouche. Je trouve enfin sa langue et
elle la bouge normalement, elle arrive même à me la mettre entre mes lèvres. Je lui tiens les fesses
que je caresse lentement en remontant sa mini jupe petit à petit pour bien découvrir qu’elle est nue
dessous. Je laisse ses fesses pour aller caresser ses seins. Elle ne renâcle pas longtemps. J’arrive
à lui enlever le t-shirt. Je trouve que ses seins ressemblent à ceux de sa mère. Après les avoir
soupesés je prends ses tétons pour les embrasser et les sucer. Elle m’embrasse dans le cou, comme le
faisait sa mère. J’ai beau lui demander de prendre ma poitrine, elle n’en fait rien. Je sens mes
seins près à exploser.
J’arrive à faire tomber sa jupe: elle apparait comme une déesse. Ma main ne peux s’empêcher d’aller
sur son bas ventre qu’elle protège encore. Tant pis, elle attendra. Devant elle je me déshabille:
elle me regarde, surtout les seins:
- Tu as une belle poitrine !!
- Merci. Toi aussi.
- Je suis encore jeune c’est pur ça, après quand je serais vielle, j’aurai des outres à la place.
- Pense à aujourd’hui. J’ai envie de toi, de te faire l’amour, de te faire jouir: tu ressemble
beaucoup à ta mère au même âge.
Je reviens poser mes lèvres sur les siennes: sa langue vient à la rencontre de la mienne. Je pose ma
main à nouveau sur son pubis, elle me laisse faire, et quand je veux commencer à la caresser, elle
écarte un peu. les jambes. Je peux enfin accéder à son sexe: je peux caresser à peine son clitoris;
je peux lui faire écarter les cuisses pur avoir un doigt sur son bouton; je vais et viens dessus
jusqu’a moment où elle se laisse aller dans une jouissance qui ne me parait pas très convaincante.
Je l’entraine dans la chambre: je me suis encore branlé il y a quelques heures avant. Les draps sont
défaits. Je la pousse sur le lit, lui fait écarter complètement ses jambes: je n’ai qu’une envie, la
faire jouir avec ma bouche: je me demande si elle a déjà jouit ainsi. Quand je pose ma tête entre
ses jambes elle en semble étonnées. Ma langue se loge d’abord sur son minon, juste à l’entrée. Ma
langue va à l’intérieur. Elle n’est pas vierge, heureusement.. Je reste en elle un bon moment à
entrer est sortir. Enfin elle a une réaction, elle pose sa main sur ma tête. Je lui lèche les lèvres
en venant sr son bouton. Je le prend totalement dans ma bouche, je le lèche gentiment: elle a enfin
la réaction que j’attendais: elle jouit disons normalement. Je la fait coucher normalement:
- C’était bon ce que tu m’a fait, je ne l’avais pas encore conne, cette caresse.
- Ta copine n’y connais rien, sinon voue le feriez déjà depuis longtemps. Même un garçon est capable
de te le faire et tu jouirai.
- Avec toi, c’est bien, tu sais donner du plaisir aux filles.
- Et toi tu saurai m’en donner ?
- Je ne sais pas.
- Alors essaie maintenant.
Elle pose sa main sur ma chatte, cherche un moment mon bouton. Une fois trouvé, c’est simple, elle
me masturbe normalement. Autrement dit avec sa copine, les reflations n’étaient que superficielles.
Je jouis enfin, elle veux enlever sa main: pas questions je veux qu’elle me doigte. Elle est très
maladroite/ Je lui demande de mettre deux doigts dans mon vagin, elle ne sait pas comment faire, je
la guide pour la faire aller et venir. Là enfin elle sens que je jouis. Je la force à mettre encore
deux doigts dans mon anus. Là elle y arrive assez facilement, je n’ai pas besoin de la forcer elle
sait maintenant comment faire. Elle est étonnée de sentir mon anus se fermer et s’ouvrir quand je
jouis.
Je veux lui faire découvrir le fin du fin: un 69. Elle rechigne toujours à poser sa bouche sur mon
sexe mouillé, comme est le sien. Elle ne fait que suivre ce que je lui fait: j’ai ma langue sur son
anus, elle pose la sienne au même endroit, je l’enfonce un peu dans son cl, elle m’en fait autant.
La seule chose qu’elle réussi sans mon aide et de me lécher le bouton. A ce moment j’ai fini de le
lui sucer, je lui met un doigt ans le cul. Elle l’accepte aves plaisir, je l’enfonce le plus
possible et le fait aller et venir: elle jouit.
Je lui demande si elle veux que je la baise avec mon gode: elle parait étonnée que je possède cet
instrument dont je me sert assez souvent quand j’ai un besoins de bite dans mon con. Elle est sur le
dos, écarte d’elle-même ses jambes/ Je ne cherche pas longtemps l’entrée de son vagin, en plus elle
est tellement mouillée que je me demande si elle va sentir la chose. Je le rentre à fond: elle
sursaute quand elle l’a en elle. Je la pistonne sans arrêt: elle gémit
- Que c’est bon. Tu me le fait mieux que mon copain.
( Achète en un ou demande le à, ta mère elle doit bien en avoir.
- Je n’oserai jamais lui demander.
_ Je le ferai pour toi, elle t’en achètera un, mais il faudra que tu sois avec elle pour choisir:
c’est comme une paire de chaussure, il faut l’essayer avant.
- Je verrai bien, en attendant recommence à me baiser.
- Non, baise moi avant.
Elle se met à mes cotés, prend le gode, qu’elle examine avant de me le mettre facilement: elle a
pris la bonne leçon, elle me le ma=et comme une vrai bite, ses mouvements font oublier que j’ai une
copie dans ma chatte. Elle me fait jouir plusieurs fois.
Enfin nous cessons; sa mère ne va pas tarder.
Nous baiserons le prochaine fois encore mieux. Elle m’a promis d’apprendre à sa copine tout ce
qu’elle sait.

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