Panne Dans Le Parking Sous-Terrain

Me voici avec ma femme pour une sortie en au restaurant. Bordeaux la nuit dans la chaleur d’une nuit
d’été est très agréable.
Le repas se passe bien et nous sommes bien.
La suite logique de ce genre de sortie est une bonne douche pour une nuit d’amour sans limite.
Nous retournons chercher la voiture dans le parking sous-terrain et nous prenons la rampe pour
sortir du niveau où nous nous trouvons.
Là, en plein milieu de la rampe, une voiture arrêtée.
Je laisse la voiture partir en arrière doucement pour revenir sur le plateau du niveau que nous
venons de quitter.
La voiture garée, je vais voir ce qui se passe dans la voiture.
Une jeune femme sort et me demande de l’aide car sa voiture vient de caler.
Elle est toute penaude et toute mignonne aussi avec, en sortant de la voiture, un angle de sa
tunique m’offrant une belle vue sur son soutif et la courbure de ses seins.
Au lieu de penser au cul, je pense surtout à la sortir de l’embarras. Je lui propose de faire
redescendre la voiture pour pouvoir la sortir du lieu dangereux. Elle me demande de le faire car
elle a peur de racler les murs.
Sans problème, je monte en voiture et dit bonjour à une autre jeune femme assise sur le côté
conducteur toute aussi penaude.
Elle est aussi très mignonne avec une jupe très courte qui laisse apparaître de belles jambes fines.
Avant qu’un jojo déboule dans la rampe et créé un accident, je retire le frein à main et descend
doucement la voiture en marche arrière.
Sur le plateau, la voiture est mise sur le côté et ma femme me rejoint avec la conductrice.
Une rapide explication m’apprend que la voiture cale facilement et a toujours du mal à démarrer.
On attend donc que le moteur se repose un peu et j’ouvre le capot pour regarder ce que je peux voir.
N’y connaissant rien, c’est très vite fait et me voilà devant un moteur de vieille Clio.

La
conductrice me rejoint et se penche aussi pour regarder le moteur.
Sans retenu, elle m’offre un décolleté à arracher les yeux. Elle doit avoir un soutif à balconnets
avec des seins bien rebondis qui lui fait deux belles boules généreuses.
Ma femme me rejoint avec la passagère et me demande si je vois quelque chose.
Je me retourne et ouvre de grands yeux. Devant ce signe, elle regarde le moteur et voit très
rapidement les seins visibles de la conductrice.
Ma femme connaît très bien mon engouement pour les poitrines et elle hausse les épaules.
A ma grande surprise, elle me dit « Ouais ! joli moteur, ça donne envie d’être mécano ! »
Comprenant le sens détourné de cette phrase, je souris et lui répond : « Avec nous deux comme
mécano, ça te dit d’essayer ? »
Avant de répondre, la passagère à la mini-jupe nous demande avec espoir : « Vous vous y connaissez ?
»
Ma femme se redresse et lui répond que nous sommes assez pauvre en connaissance mais que son mari va
trouver la solution.
De mon côté, la conductrice a vu mon regard s’enfoncer dans son décolleté et elle me laisse faire en
me demandant si je vais pouvoir les aider.
Dans les minutes qui suivent, toutes les nanas poussent la voiture et je la démarre avec la seconde
enclencher.
La voiture fume tout ce qu’elle peut et je tiens le régime moteur tant bien que mal.
Après une manœuvre pour remettre la voiture dans le bon sens, soit vers la sortie, je reste en
voiture pour tenir le moteur avec un bon régime. Dès que je lève un peu le pied, le moteur s’étouffe
et commence à passer en panne. La conductrice ouvre la portière et se penche pour me demander si ça
va.
Encore une fois, elle m’offre ses seins à la vue mais elle semble s’en amuser.
Je lui dis que la voiture est à la limite de caler et que je préfère l’emmener vers la sortie au cas
où la panne recommence dans la rampe.

Ma femme et la passagère s’approchent et ma femme propose qu’on les accompagnent chez elles pour le
cas où la panne recommencerait.
Les filles se regardent et un simple hochement de tête signe l’accord.
Je monte la voiture sur les deux niveaux et tout le reste de la troupe monte avec ma femme.
Après le paiement du parking, la conductrice monte avec moi et me guide pour aller chez elles.
Elle m’apprend qu’elle vit avec sa coloc, Isabelle dans un appart à Eysine.
Elle se présente succinctement avec son prénom, son age et ce qu’elle fait dans la vie. J’apprend
que Caroline à 24 ans et qu’elle est assistante médical.. Sa coloc, Isabelle à le même âge et
travaille dans une jardinerie comme sous-responsable.
Je n’ose pas trop parler car elle m’impressionne cette petite nana.
Par contre, Caroline parle et s’avance rapidement sur des questions directes.
Elle me dit que ma femme est très belle, me remercie de les avoir sorties de la merde et finalement,
en plein milieu du parcours sur la rocade, elle me demande si j’ai aimé ses seins.
Dans la fraction de temps suivante, j’ai dû changer de couleur vers le rouge cramoisi car Caroline
se mit à rire de bon cœur.
Elle me demande aussitôt si elle est trop directe. Je rigole de sa question et lui dit simplement
que c’est un bonheur de l’avoir parce que si elle attendait que j’aille aussi vite, nous n’aurions
pas assez d’essence.
Sans se démonter, elle me redemande si ça poitrine m’a plu.
Je lui affirme qu’elle est très belle et Caroline me répond directement : « Je me demande si votre
femme accepterait de faire l’amour avec moi. »
Je me pose la question si c’est un plan de ma femme pour me tester ou si je ne suis pas dans un film
porno où les femmes sont faciles et toujours avec le diable au corps.
Caroline me pose la question : « Est-ce que vous laisseriez votre femme faire l’amour avec une autre
? »
Je lui répond que je ne sais pas si elle accepterait, par contre, pour moi, ce serait un plaisir de
voir et participer à ce genre d’activité.

Intérieurement et avec la gaule que je me promenais depuis quelques minutes, j’avais très envie que
le scénario continu dans le même axe.
Caroline continu de plus belle ses questions sexuelles : « Isabelle est vierge et ça me ferait
plaisir que ce soit vous qui la défloriez ! »
Je lui demande si elle est toujours aussi directe et elle me dit qu’elle est directe mais qu’elle se
surprend elle-même pour ce soir.
Devant cette fille extra comme dans mes rêves les plus chauds, je prend un peu plus d’assurance et
je lui demande sa taille de poitrine.
« 90C » me répond-elle et je continu avec une question sur le type de sous-vêtements qu’elle porte.
Sans s’arrêter dans le délire de la soirée, elle me répond qu’elle à une culotte assortie à son
soutif avec de la dentelle sur le devant qui laisse voir sa toison.
A son tour, elle me demande si ma femme met des strings et si elle a bon goût.
En riant, je lui dit qu’elle est avec moi, donc elle a bon goût.
Caroline reste stoïque devant cette réponse et avant qu’elle ne repose sa question, je lui dis
qu’elle a très bon goût.
Avant qu’elle ne relance le questionnaire, je lui demande si elle est lesbienne ou bi-sexuelle.
Caroline réfléchit longtemps avant de répondre « Bi-sexuelle ce soir ».
Je demande si elle et Isabelle ont bon goût et elle me répond aussitôt que c’est une question
personnelle et que ça dépend de chacun.
Caroline m’indique la sortie à prendre et j’hésite à lui demander de me montrer ses seins.
Au point où j’en suis, je tente dès que nous nous engageons sur une voie non éclairée par les
lampadaires.
Elle me regarde pendant un petit moment avant de faire glisser sur ses épaules l’ensemble manteau,
tunique et soutif.
Dans un dernier geste, elle dégage ses seins qui sautillent du fourreau avant de retomber
lourdement.
Deux magnifiques seins avec ses pointent durcies par le froid ou le désir.

Elle se tourne vers moi et me demande de rester quand même concentré sur la route.
Elle est tellement appétissante que j’en ai l’eau à la bouche.
Je lui dis que ça donne envie de les lécher tellement ils sont beaux.
Sans se départir de sa franche expression, elle me répond que la soirée n’est pas finie.
Je lâche le volant et avance ma main droite vers son sein gauche.
Elle me laisse le prendre, le caresser et le soupeser.
Elle me demande si j’apprécie et avant même que je réponde, m’indique de tourner à droite au
prochain carrefour.
Reprenant le volant, elle en profite pour s’habiller et ranger sa jolie poitrine.
Caroline me demande si ma femme a d’aussi beaux seins et je lui dis que la taille est à peu près
équivalente.
Après deux autres tournant, nous arrivons en bas d’une petite résidence arborée.
Au moment de me garer, je lui demande si Isabelle est aussi belle.
Caroline ne me répond pas et sort de la voiture en me laissant sur sa fin.
« Oh putain ! Quelle soirée ! » Je reste un moment dans la voiture des filles et j’écoute le moteur
tourner avec un régime établi sans trop de problème.
La portière s’ouvre et Caroline me demande si ça va. Je lui explique que j’écoute le moteur pour
voir si il fonctionne.
Ma femme et Isabelle nous rejoignent et tout le monde est dirigé vers l’entrée 34B.
Ma femme se colle à moi et me sert la main par petit coup dans l’ascenseur.
Arrivé à l’étage, les filles partent devant et ma femme me fait ralentir la marche doucement. Elle
me glisse à l’oreille « Je crois que je suis amoureuse de ces nanas. T’en penses quoi ? »
Rapidement, mon cerveau cherche la bonne réponse et je dis dans un même chuchotement « Caroline m’a
montré ses seins, je te veux avec elles. »
Les yeux de ma femme s’ouvrent tout rond mais elle n’a pas le temps de me répondre car nous arrivons
à la porte de l’appart qui s’ouvre.

Avec ma femme, nous entrons dans un logement typiquement féminin avec plein de petites décos qui lui
donnent l’aspect d’un petit centre de revitalisation.
Isabelle et Caroline retirent leurs manteaux et les rangent dans le placard de l’entrée. Caroline
prend nos manteaux et je la vois distinctement regarder ma femme avec insistance.
Isabelle nous offre un apéritif pour nous remercier de les avoir sorties de ce parking.
Isabelle et Caroline prennent une boisson à base de Rhum et je les accompagne. Ma femme préfère un
vin cuit pour éviter d’avoir mal au crâne.
Isabelle s’assoit en face de nous et il ne faut pas grand chose pour que nous voyons sa culotte.
Caroline est sur une petite chaise de cuisine à côté.
Dans la conversation, je demande si chaque soirée à Bordeaux fini comme ça pour elles.
Isabelle répond que c’est la première fois que la voiture fait ça et que nous sommes de vrais
sauveurs comme elle a dit à ma femme.
Je demande si elles n’ont pas peur d’être agressées avec les tenues sexy et elles rigolent. Caroline
va dans son sac à main et en sort une petite bombe qu’elle met sur la table en nous disant que la
lacrymo, ça a tendance à calmer les connards qui auraient idée de leurs faire du mal.
Ma femme demande à Isabelle si ça ne la dérange pas que les mecs bavent sur sa mini-jupe.
Isabelle rigole et lui répond que ça les regarde.
Caroline, toujours aussi directe, dit à ma femme qu’elle devrait mettre une mini jupe aussi pour
allumer son mari.
Laurence ,ma femme, me regarde en répondant que je suis déjà assez chaud pour éviter d’en ajouter.
Le regard que nous échangeons à ce moment est chargé en réponses à toutes les questions que nous
pourrions nous poser en tête à tête. Ma femme demande aux filles si elles ont une mini-jupe à lui
passer pour essayer.
Sans aucune hésitation, Isabelle demande à Laurence sa taille et va avec ma femme dans le fond du
couloir avant de disparaître dans une pièce.
Caroline me regarde avec une étincelle dans le regard qui la rend assez lubrique.
Elle boit son Rhum en me regardant fixement. Je résiste à son regard et je n’arrive pas à lui
parler. Qu’est-ce que je pourrais dire à cette nana à qui j’ai caresser les seins il y a à peine 15
minutes ?
Isabelle revient du fond du couloir et entre dans les WC.
Caroline se lève et me dit qu’elle va se rafraîchir.
Je reste tout seul dans cet appart occupé par des filles en phase de transformation. Je me pose
mille et une question sur la suite des évènements.
Ma femme apparaît avec les jambes nues jusqu’à son bassin couvert d’une toute petite jupe légère.
Elle est surprise de ne trouver que moi et en profite pour me chuchoter à l’oreille « Je ne sais pas
si c’est l’apéro mais je bouillonne ! ».
En lui posant la main sur sa cuisse nue, je lui répond « A te voir comme ça, je bouillonne aussi. ».
Ma mains est proche du haut de sa cuisse et elle me demande « C’est vrai que Caroline t’a montré ses
seins ? »
Sans aucune peur que ma femme soit jalouse, je lui avoue que j’ai même eu un sein de Caro dans la
main.
La réaction de ma femme me surprend un peu quand elle me répond « Vainard ! Si j’avais été là,
j’aurais fait pareille ! »
Surpris, je lui demande « Sans déc’, tu aurais fait ça ? »
Elle sourit et m’avoue « Pendant toute la route, j’avais envie de mettre ma main sur la cuisse
d’Isabelle. Je ne sais pas ce qui m’arrive mais j’ai le ventre en feu ».
Caroline revient de la salle de bain et rien n’a changé en elle.
Pendant que Isabelle passe à son tour dans la salle de bain après les WC, Caroline regarde ma femme
avec du désir plein le regard.
Elle ne se cache pas pour dévorer ma moitié du regard et ses yeux se promènent souvent sur les
cuisses lisses de ma femme.
Pour ajouter à cette ambiance torride, je dis à Caroline « Si jamais tu mets une mini, tu risques
d’attr un rhume ! Déjà que le décolleté est voué aux courants d’air ».
Caroline me regarde dans les yeux et me répond comme un affront « J’ai pas de culotte. Si je met une
mini, je crains que tu ne tienne pas le coup ! »
Isabelle arrive sur ces entre-faits et demande à la volée : « Et toi Laurence, tu as une culotte ? »
Ma femme répond que oui et Isabelle att un bord de la jupette et la soulève un peu.
Le « un peu » se transforme rapidement à complètement et ma femme sert les cuisses d’instinct.
Je regarde, comme tout le monde, la culotte de ma femme et me rend très vite compte qu’il est
possible de voir le dessin de la toison sombre à travers le tulle léger la couvrant.
Caroline dit à ma femme « T’imagines si je faisais pareille avec ton mari ! »
Laurence, rouge et immobile lui répond « Ouais, ce serait sûrement sympa à voir non ! »
Isabelle s’agenouille près de ma femme et glisse sa main du genou vers le haut de la cuisse en
passant à l’intérieur des jambes.
La main de Isabelle bouge très doucement et Caroline à tout le temps pour relever sa jupe longue,
style gitane.
Je regarde Caroline dévoiler ses jambes et j’entend distinctement la respiration de ma femme devenir
rauque.
Les genoux de Caroline sont écartés et le tissu continu de monter.
Quand Caroline arrive à la limite de sa toison, Laurence lui demande de retirer directement la jupe.
Caroline, aussi rouge que ma femme et moi, se redresse et baisse d’un coup sa longue jupe qui ne
tient à la taille que par un lot d’élastiques.
Isabelle en a profiter pour remonter jusqu’à la limite de la culotte de ma femme et je remarque que
ma Laurence s’est ouverte comme un fleur. Les genoux écartés, elle offre à la vue sa culotte.
Caroline demande à Laurence si elle veut lui toucher les seins et ma femme, dans un soupir, lui
répond par l’affirmative
Caroline s’approche et se penche pour offrir son décolleté à Laurence.
Devant mes yeux et ceux de ma femme, les seins libérés de Caroline flottent et se balancent
librement.
D’après mes connaissances, c’est la première fois qu’une femme s’offre de telle sorte à ma femme et
son regard en sueur prouve que c’est réellement le cas.
Sans rien demander, Caroline commence à ouvrir le chemisier de Laurence.
A chaque bouton, mon excitation devient extrême et j’éjacule dans mon caleçon sans aucune apport de
caresse.
Ma femme ferme les yeux et pousse un gémissement de plaisir quand Isabelle commence à lui frotter la
culotte le long de son sexe.
Le chemisier de ma femme s’ouvre et je me penche pour ouvrir le soutif de ma femme. Dans le même
geste, je retire les manches de ma femme qui m’aide avec des gestes désordonnés.
Caroline att les seins de ma femme dans les mains et demande à ce qu’elle fasse autant pour
elle.
Laurence, un peu gauche, glisse ses mains dans le décolleté de Caroline et porte les rondeurs
gourmandes.
Caroline demande à ma femme d’en prendre un dans la bouche.
Isabelle ne perd pas de temps et commence à soulever le bord de la culotte.
Je regarde les filles s’occuper ensemble et je n’en perd pas une miette.
Ma femme à la merci de deux lesbiennes est extrêmement excitant et j’avance ma main vers
l’entrejambe de Caroline.
Etant toute proche, c’est sans grand geste que ma main se retrouve posée sur la fente trempée de
Caroline.
Caroline se redresse un peu et retire son haut pour se retrouver nue devant ma femme et moi.
Au moment même où ma main touche le sexe de Caroline, elle pousse un petit cri et fait un geste vers
le bas pour forcer son sexe sur ma main.
Ma femme s’avance et ouvre la bouche en tendant la langue pour lécher timidement le téton dressé.
Caroline l’invite à prendre tout le téton.
Isabelle, quand à elle, c’est glissée entre les cuisses de ma femme et libère complètement le sexe
de ma femme qui devient libre à la vue.
Alors que Laurence tête le téton de Caroline avec de plus en plus d’engouement, Isabelle commence à
s’affairer sur son sexe.
Caroline et Laurence gémissent doucement en rythme et je continue de glisser ma main sur la chatte
douce de Caroline.
De temps en temps, mes doigts s’enfoncent avant de revenir jouer avec le clito que j’écrase comme ma
femme m’a appris à le faire quand je la masturbe.
Caroline demande à ma femme de me regarder la masturber et de venir avec moi.
Caroline écarte les cuisses devant ma femme et elle lui offre sa touffe avec ma main glissant entre
ses lèvres.
Occupé à caresser le sexe gourmand de Caroline, je ne m’aperçois pas tout de suite que Isabelle se
masturbe tout en caressant ma femme.
Une de ses mains s’agite en rythme sous la fine jupette pendant que sa tête est posée sur la cuisse
de ma femme et regarde son autre main fouiller les lèvres ouvertes de ma dulcinée.
Ma femme est dans un autre monde et quand Caroline dit quelque chose, c’est dans un voile noyé de
plaisir que Laurence accepte les ordres et les exécute.
Caroline me demande de couvrir les seins de ma femme avec son jus.
Par deux fois, mes doigts entrent dans la chatte de Caroline et je couvre les tétons de ma femme
avec la ciprine poisseuse.
Sans lui avoir ordonné, ma femme à attrapé les seins de Caroline qu’elle lèche et tête sans retenu.
Caroline demande à Laurence de se lécher les tétons.
Pour le première fois, je vois ma femme, qui a une poitrine généreuse, ronde, galbée s’attr les
seins et s’attr les tétons.
Jamais je n’avais eu l’idée de lui demander de faire ça mais je pris aussitôt la décision de lui
demander lors de notre prochain tournoi de sexe.
Ma femme gémit de plus en plus et Caroline lui demande si elle aime ça.
Entre deux léchages, ma femme répond que oui.
A ce moment, Caroline me retire la main et s’avance en mettant une jambe sur le canapé à côté des
hanches de Laurence.
Elle lui demande : « Lèche moi et fait moi jouir ».
Choqué et bloqué dans un premier temps, ma femme attrapa les fesses de Caroline et se pencha pour
enfouir sa tête en haut des cuisses de Caroline.
Pour ne rien rater, je me lève et vais derrière Caroline.
En me penchant sous Caroline, je vois distinctement la bouche de ma femme sur le haut du sexe de
Caroline.
Je regarde aussi la chatte ouverte et rose de Caroline. Ses lèvres sont écartées et l’entrée du
vagin m’attire.
Pour aider ma femme, je pose mes mains sur le haut des cuisses de Caroline et j’écarte la vulve en
appuyant sur la peau.
Je regarde Laurence ouvrir la bouche et tendre la langue entre les lèvres ouvertes.
N’y tenant plus, je me redresse et rejoins ma femme sur ce sexe magnifique.
Très rapidement, Caroline commence à pousser des cris et je sens ses jambes trembler.
Ma femme aussi entre dans le chant et Isabelle ne tarde pas à rejoindre toute la fanfare.
En m’écartant, je me rend compte que Caroline s’appui sur les épaules de ma femme et que les trois
filles sont parties dans un orgasme commun.
Je suis le spectateur de cette scène torride qui vaut tous les films de cul du monde.
Je regarde Isabelle avec sa main sur sa chatte rasée et la tête entre les cuisses de ma femme.
N’y tenant plus, je vais vers Isabelle et glisse mes mains sous son tee-shirt.
Je suis derrière Isabelle et je lui att les seins dans son soutif.
Elle se laisse faire et je lève le tee-shirt avant de dégrafer le soutif.
L’orgasme général se termine et Caroline s’agenouille pour embrasser ma femme à pleine bouche.
Pendant ce temps, je libère complètement Isabelle de ses vêtements et elle me laisse lui peloter ses
seins chauds.
Caroline et ma femme me regarde caresser les seins d’Isabelle qui continue doucement à se masturber.
Ma femme soupir lourdement et retire sa culotte pour être nue comme Caroline.
Caroline lui dit qu’elle lèche admirablement bien et se tourne vers moi pour me féliciter aussi.
Je lui retourne le compliment en lui disant qu’elle a un sexe très bon et très doux.
Isabelle prend la parole et lève la tête vers moi : « Ta femme est un vrai délice petit veinard ! »
Laurence pousse encore un soupir et arrive à dire : « C’est merveilleux ! Jamais je n’aurais imaginé
que ce soit aussi merveilleux avec une femme. »
Caroline me regarde avec un geste rapide du regard vers Isabelle, toujours assise par terre avec une
jambe relevée et sa chatte tondue visible sous la mini-jupe n’ayant, comme utilité, à peine le rôle
de ceinture.
La perversité de Caroline rejoint la mienne et je veux utiliser ma femme comme objet de plaisir avec
ces deux nanas.
Je demande à Laurence de venir téter les seins d’Isabelle que je lui donne.
Ma femme, sans aucune hésitation, se met à genoux en face d’Isabelle et se penche pour attr un
téton d’Isabelle alors que je porte les seins pour lui donner.
Je regarde ma femme ouvrir la bouche et englober le téton entier d’Isabelle qui se met à émettre un
petit gémissement de plaisir.
Caroline, toujours sur le canapé, regarde Isabelle fermer les yeux et apprécier la caresse.
Je vois la main de Caroline descendre vers son sexe. Elle écarte doucement les cuisses et commence à
se caresser le clito.
Isabelle att les seins de ma femme et les caresses à son tour. La position de ma femme donne à
sa poitrine la forme de deux grosses poches pleines pendues au plafond. C’est cette position que je
préfère car j’adore les seins quand ils ont cette forme généreuse.
Ma femme ferme les yeux et lèche les deux tétons que je lui tend.
Doucement, je laisse Isabelle s’allonger sur le dos à même le tapis et je demande à ma femme de la
lécher.
Laurence fait glisser ses baisers vers le ventre d’Isabelle et arrive vers le sexe offert par
Isabelle qui écarte les cuisses sans aucune pudeur.
Ma femme est une gourmande et je la vois ouvrir la bouche et tendre la langue avant de poser son
visage sur la vulve d’Isabelle offerte. Isabelle pousse un cri de plaisir au moment même où ma femme
commande à lui lécher le sexe.
Caroline se lève à ce moment et se place derrière ma femme.
Laurence est assise sur ses genoux et on ne voit que son dos et ses fesses posées sur ses pieds.
Caroline, avec mon aide, forçons ma femme à se mettre à quatre pattes avec les genoux écartés.
Le sexe de ma femme est brillant avec l’excitation qui l’emporte et le jus qui la lubrifie.
Caroline écarte avec une infinie douceur les lèvres pour voir l’entrée du vagin gonflé de désir.
Ma femme se laisse faire, occupée à lécher Isabelle.
Je dis à Caroline de m’offrir sa croupe pour que je puisse me glisser en elle.
Elle me demande de lécher ma femme avec elle avant et, pour me donner l’exemple, elle passe sa
langue tendue sur toute la longueur de la raie de ma femme, jusqu’à l’anus.
Je décide de me mettre à poil et Caroline me regarde faire.
Au moment où je sors mon sexe raide et gonflé, elle ouvre des yeux tout rond et semble réfléchir.
Elle redonne un coup de langue au sexe de ma femme et me demande de lui montrer comment ça fait
quand je lui entre en elle.
Je lui demande si elle veut me voir lui faire l’amour mais elle veut juste voir le sexe de me femme
m’avaler une à deux fois.
Je me place debout juste derrière ma femme et Caroline derrière moi. J’imagine Caroline voir mes
fesses et mes testicules pendre sous mon sexe dressé.
Je me baisse et prend mon sexe pour le placer juste devant le sexe de ma femme.
Doucement, mon sexe glisse entre les grandes lèvres et j’entre dans ma femme avec douceur.
Je m’enfonce jusqu’à la garde et je sens ma femme reculer sa croupe pour me faire venir jusqu’au
fond de son ventre.
Je me concentre pour ne pas éjaculer tellement cette chaleur m’enveloppant le sexe est bon.
Pendant ce geste, ma femme pousse un long gémissement et j’entend Caroline dire un truc du genre «
Ouahhhh, génial ! »
Je sors toujours aussi doucement mon sexe de celui de ma femme jusqu’à ce que mon gland soit juste à
l’orée des lèvres.
Je ne peux pas continuer sinon je suis sûr que la prochaine caresse sur mon gland va déclencher une
éjaculation directe.
Je me recule et dis à Caroline que je risque d’exploser si je recommence.
A ma grande surprise, Caroline m’att le sexe et l’enfonce directement dans la bouche.
C’en est trop et j’ai à peine le temps de sentir les caresses de la langue de Caroline que sa bouche
est inondée par mon sperme.
Je frisonne pendant l’orgasme qui m’envahi et je prend plaisir à être dans cette bouche vorace.
Après un petit instant où Caroline me pompe et m’avale, elle me libère et tourne sa tête vers le
sexe de ma femme pour lui glisser la langue sur sa vulve.
Caroline est une vraie déjantée et elle passe son temps à me sucer et lécher ma femme à tour de
rôle.
Après un bon moment à ce rythme, elle chope les seins de Laurence et lui masse en lui disant « Ton
mec est super bon, j’adore son goût et le tiens aussi. C’est une super soirée ! »
Isabelle, toujours allongée sur le dos pendant que Laurence lui lèche le sexe, ajoute entre deux
gémissements « Ahhh, j’adore… »
Sans attendre, je laisse Caroline se mettre à quatre pattes derrière ma femme pour lui manger le
minou et je me place à genoux derrière Caroline.
Mon sexe trouve sans aucun problème la chatte ouverte et glissante de la jeunette et je m’enfonce en
elle d’un coup alors que Caroline colle ses fesses contre moi.
Caroline pousse un râle long de plaisir et elle arrive à peine à dire « Oui, défonce moi ! »
Pendant presque une demi-heure, le quatuor garde cette position et je prend plaisir à regarder ma
femme coincée entre les deux nanas.
Je caresse les seins pendant de Caroline et je m’agite au fond de son ventre à bon rythme.
Tout le monde pousse de petits gémissements de plaisir et je sens que je vais encore éclabousser de
sperme.
Avant de me laisser partir dans le ventre de Caroline, je lui demande si je peux éjaculer en elle.
Sans rien dire, elle se retire et me laisse le sexe à l’air. Elle se redresse et m’att la tige
qu’elle enfonce dans sa bouche pour recommencer à me pomper.
Je regarde Caroline m’avaler et ses cheveux chatains sont collés par la sueur.
Elle est tellement excitée qu’elle se place la main sur le sexe pour se caresser. Je regarde ses
seins s’agiter et balancer.
Je place mes mains à plat pour que ses pointes frottent sur ma paume.
La caresse de ses tétons et la voracité de Caroline m’emporte et j’inonde pour la deuxième fois la
bouche de la gourmande.
Jamais ma femme n’a accepté de m’avaler de la sorte et je prend un réel plaisir à éjaculer dans la
bouche de cette nana.
Pendant ce temps, les gémissements d’Isabelle deviennent de plus en plus fort et même ma femme en
est touchée car elle la rejoint.
Caroline me relâche et me dit « Vite, glisse toi dans Isabelle et fais la jouir avec ton engin ».
Ensemble, nous allons vers Isabelle et Laurence.
Caroline redresse ma femme pour l’embrasser sur la bouche.
Ma femme a le visage tout rouge et luisant du mélange de salive et de cyprine mélangé.
Elle embrasse à pleine bouche Caroline. Pendant ce temps, je me met au dessus de Isabelle mais elle
a une réaction de peur.
Ma femme prend la parole et dit à Isabelle « Laisse toi faire… tu verras, c’est super bon ! »
Caroline va s’en perdre de temps se placer au dessus du visage d’Isabelle et lui présente sa chatte
ouverte.
J’imagine la vue que doit avoir Isabelle sur la chatte de Caroline mais Isabelle ne le prend pas
bien et se dégage pour s’asseoir à côté de ma femme.
Je regarde les trois nanas nues avec leurs poitrines soulevées par les respirations haletantes.
Elles sont tout simplement superbes. Toutes les trois ont des seins lourds et un peu tombant.
Isabelle à des petits tétons alors que ma femme et Caroline ont des tétons larges.
Le sexe rasé d’Isabelle fait étrange à côté de ceux poilus de ma femme et de Caroline.
La toison fine de Caroline fait contraste avec la toison brune de ma femme.
Caroline demande à Isabelle ce qui coince et Isabelle lui dit qu’elle n’est pas prête pour ça.
Laurence l’embrasse sur la joue et lui dit « Il n’y a aucun risque et aucune douleur tu sais ! »
Caroline, l’esprit toujours aussi pervers demande à ma femme d’écarter les cuisses et de montrer à
Isabelle comment ça fait d’être pénétrée.
Ma femme, avec une absence complète de pudeur que je ne lui reconnais pas, s’assoit sur le bord du
canapé et écarte les cuisses pour offrir à la vue son sexe.
Caroline me regarde et je m’avance, toujours le sexe raide.
A genoux entre les cuisses de ma femme, elle att mon sexe et le dirige en face de son sexe.
Isabelle regarde sans en perdre une miette et, au moment où ma femme commence à approcher mon gland
de ses lèvres, Caroline demande à Isabelle de prendre le sexe et de l’enfoncer dans Laurence.
Isabelle, hésitante au début, prend finalement du bout des doigts mon sexe et l’engage entre les
lèvres de ma femme.
Laurence ferme les yeux et gémit pendant que je me glisse doucement en elle.
Je vois Caroline rejoindre la main d’Isabelle sur mon sexe et je commence à faire de lentes allées
et venues dans le ventre de mon épouse.
Isabelle et Caroline caresses nos sexes en passant sur nos toisons, le clito, mes bourses pendant
que ma femme prend un plaisir hors limite.
Laurence caresse malhabilement les seins des filles tellement les caresses groupées sont
perturbatrices pour son esprit.
Caroline n’y tient plus et elle se met debout sur le canapé pour offrir dans une posture acrobatique
sa chatte à ma femme.
Isabelle continue ses caresses et ma femme att la chatte de caroline pour lui lécher.
Je tend la main entre les jambes d’Isabelle et lui demande de me donner sa chatte à lécher.
Mes doigts trouvent sans problème ses lèvres écartées et commence à lui appuyer sur le clito.
Isabelle me demande de faire doucement et elle garde mon sexe dans la main pendant qu’elle s’assoit
comme ma femme avec les cuisses écartées.
Je la suis et me place entre ses jambes.
Elle place mon sexe devant le sien et me regarde entrer tout doucement en elle.
La première pénétration n’est pas profonde mais elle bascule son bassin et, rapidement, je me glisse
au fond de son ventre.
A chaque fois que j’entre en elle, elle pousse un profond soupir. Ses seins se lève au rythme de sa
respiration et je lui caresse.
Rapidement, elle m’att les fesses et me force à faire des gestes plus brusques pour entrer en
elle avec force.
Alors que ma femme et Caroline sont passées dans un fougueux 69 sur le tapis, Isabelle est devenu la
prolongation de mon sexe.
Tout le monde repart dans les gémissements et isabelle se découvre un goût prononcé pour la
pénétration.
J’éprouve un terrible plaisir à faire l’amour avec cette fille et je la trouve vraiment
extraordinaire avec tout son corps secoué par mes mouvements.
Je n’arrive pas à éjaculer et j’ai le temps de pénétrer Isabelle sans peur d’arriver à la fin avant
elle.
Isabelle perd tous ses repères et part dans un orgasme énorme qui la submerge. Elle râle, cri et
j’ai du mal à trouver comment faire durer ce plaisir qui l’inonde.
Je la porte en lui prenant les fesses et elle sert ses jambes autour de ma taille pour me garder en
elle.
Nous nous embrassons à pleine bouche et elle retrouve son calme petit à petit.
J’en profite pour lui embrasser les seins.
Elle me dit qu’elle est encore toute trempée et nous continuons nos mouvements de balancier.
Je m’assois à mon tour sur le canapé et elle s’assoit sur mes genoux face à moi.
C’est elle qui gère les allers et venues avec une grande douceur.
Nous regardons ensemble la tête de ma femme posée sur le tapis avec les fesses de Caroline s’agitant
au dessus d’elle.
Isabelle me demande « C’est la première fois pour elle ? »
Je rigole en lui disant que c’est effectivement la première fois que ma femme fait l’amour avec une
autre. Je lui dit aussi que c’est la première fois que je fais l’amour avec une autre femme que la
mienne.
Isabelle, entre deux pénétrations, me répond : « Et bien, pour moi, c’est la première fois qu’un
homme entre en moi et je crois que, ce soir, c’est la première fois pour plein de choses ».
Dans un silence entre-coupé par les gémissements des filles, Isabelle reprend et me dit « J’adore ta
femme…Elle est très belle. »
Je regarde ma femme à terre avec les jambes écartées et la tête de Caroline entre. Je vois un de ses
seins sur le côté former une boule sans apercevoir le téton caché par le ventre de Caroline.
Je vois aussi un sein de Caroline pendre sur le côté du ventre de ma femme.
Je dis à Isabelle « Vous êtes trois nanas superbes avec des poitrines qui me font rêver… j’adore ! »
Isabelle se prend un sein et me le donne. Je lui embrasse le téton en lui léchant la chair blanche
et douce de son sein.
Ca donne de l’entrain à Isabelle qui force le mouvement en elle en basculant le bassin.
En regardant les filles dans leur 69 bouillant, je demande à Isabelle ce que nous pourrions faire
avec elles.
Isabelle me propose de les aider chacun d’un côté.
Je lui propose de pénétrer Caroline pendant qu’elle rejoindrait ma femme pour lécher les sexes
ensembles.
Elle me regarde et me dit « T’es un vrai pervers toi ! »
Sur le coup, je me demande si je n’ai pas été trop loin dans le délire et commence à regretter mais
Isabelle me dit « Tu pourrais nous lécher toutes les trois avant de nous prendre à tour de rôle… »
Surpris, je lui répond « Et c’est moi le pervers ! »
Isabelle balance son bassin pour me faire glisser un peu plus loin en elle et elle décide : « Allez,
on va lécher Caro ! ».
Mon sexe sort avec regret de la chatte d’Isabelle et nous allons sur le tapis du côté des fesses de
Caroline.
Isabelle lui prend les fesses et lui soulève en écartant.
Nous voyons la bouche de ma femme avec la langue tendue sur les chaires roses du clito de Caroline.
Isabelle se penche et lèche la partie charnue de la vulve de Caro.
Pendant quelques minutes, nous léchons à tour de rôle la chatte de Caro pour rejoindre Laurence à
cette tâche.
Après un moment, je laisse les filles jouer ensemble et je tourne autour des nanas.
Je caresses les seins de chacune des filles en léchant les tétons que j’arrive à attr.
Pour finir, je rejoins la tête de Caroline et lèche ma femme avec elle.
Le temps s’est arrêté et il est plus de 2h du matin quand tout le monde décide de faire une pause
bien méritée.
Tout le monde est nu et je ne peux m’empêcher de peloter chaque fille qui passe à ma portée.
Je dépose des baisers sur chaque sein, chaque bouche, chaque fesse, chaque épaule à la moindre
occasion.
Les filles nous proposent de nous garder pour la nuit et nous finissons dans un lit double, tous nus
et tous serrés les uns contre les autres.
Le sommeil nous attrapa très rapidement et le réveil fut long à venir.

Depuis ce jour, nous gardons de très bonnes relations avec Caroline et Isabelle et nous nous voyons
régulièrement pour des jeux amoureux qui n’a pas perdu de sa puissance.
Ma femme est décoincée depuis ce jour et me propose des scénarii qui nous pousse dans des orgasmes
très puissants.
Isabelle et Caroline vivent toujours ensemble et nous accueillent avec un plaisir qui est toujours
aussi partagé.

Cette rencontre date de l’état 2009 et j’ai fait le maximum pour vous faire vivre cette aventure qui
est digne d’un film porno.
Je me demande, des fois, si je n’ai pas rêver et si je ne suis pas dans un petit monde purement
masculin où les femmes sont des objets de plaisir. Seulement, la réalité est toute autre car ce sont
les femmes qui dirigent et je ne suis que l’objet de leur plaisir. De plus, ma petite contribution à
leur plaisir est assez rarement grâce à ma petite trique mais plutôt grâce aux caresses.
La vie amoureuse avec ma femme et ces deux nanas m’ont appris un nombre pharaonique de petites
choses pour donner du plaisir à une femme.
Je crois que je vais monter un cabinet de sexologie féminine pour libérer les femmes du carcan de
principes imposés par les médias… Je vais me faire des couilles en or ! lol

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