Maison Bourgeoise (Partie 2)

De petits groupes se sont formés. Le salon se vide peu à peu. David vient nous voir.

"Tout le monde est arrivé, la soirée ne vas pas tarder à commencer."

Voyant qu'Alice et moi même sommes un peu à l'écart, il nous propose avec 2 autres couples, dont il
s'agit aussi de la première venue de nous faire visiter sa demeure. C'est l'occasion de lier
connaissance. David nous explique que toutes les pièces de la maison sont accessibles exceptés une,
son bureau, fermé à clé. Nous avons donc le droit de "visiter" chaque recoin de la bâtisse, et il
semble y en avoir! Alice est visiblement plus à l'aise que moi. Nous traversons chaque pièce au rez
de chaussée. Des petits groupes discutent ça et là. On rigole, on parle fort, dans une autre grande
pièce, un fond musicale raisonne. Deux femmes entament une danse très érotiques. la soirée commence
en effet.

Nous montons à l'étage. David suppose alors qu'il ne doit pas y avoir grand monde, ses invités étant
arrivé tard ce jour là. A défaut d'un long couloir, nous découvrons en fait que l'étage est plutôt
labyrinthique. David passe de pièce en pièce. Alors qu'il ouvre une porte, il tombe sur un couple en
pleine action. Il chuchote alors la raison de sa présence, puis après l'accord des participants, nous
entrons dans la pièce. Une femme est allongée, les yeux bandées, un homme la baise brutalement,
pendant qu'un autre, son mari probablement, est confortablement installé dans un fauteuil, et
regarde la scène, en sirotant un verre.

Nous arrivons finalement dans les dernières pièces de la maison. celles ci ne sont ouvertes, nous
explique-t-il, que lors de ses soirées de débauche. Il y a un "donjon" et je découvre ce qu'est un
glory hole. Nous repartons, les trois couples, amusés par ce spectacle.

Alice est dans tous ses états, je le vois bien.

Avant de redescendre, j'att Alice par le bras,
et l'enlace. Nous nous embrassons. Elle me mets la main au paquet, et sourit.

"Tu ne vas pas tenir longtemps!"

trahit par mon érection! Elle me connaît. Je suis trop excité, et je me suis réservé pour ce moment
là.

"Fais moi une petite gâterie alors puisque je vais jouir vite!"
"Ho moi, je ne vais rien te faire! Mais fais moi confiance, je vais te trouver une bouche pour ça!"

Elle a le regard vitreux, elle serait aussi au bord de l'orgasme intellectuel, que ça ne
m'étonnerait pas. J'ai du mal à déglutir, l'excitation me tord le ventre, et me tends la queue. Nous
redescendons. Les groupes s'éparpille. Alice m'entraîne dans la pièce où la musique fuse. Alice aime
la musique, elle aime danser. Je sais que cette danse est pour moi. Je m'installe dans un canapé, et
je la regarde danser. Plusieurs couples dansent aussi, des femmes seules, des hommes à l'affut. Les
couples ne semblent pas exister. Qui est avec qui...

Alice ferme les yeux, elle se place au milieu de la pièce et profite que je la regarde. Un couple
s'assoit à côté de moi sur le canapé, et commence à se caresser. je commence par les ignorer, mais
au bout de quelques minutes, je me rends compte que la femme suce l'homme, le sexe à peine sortit du
pantalon. Elle s'arrête un instant croisant mon regard, sort le sexe de sa bouche, et me sourit.
C'est peut être une invitation.. à me faire sucer? à sucer moi aussi? Je réponds avec un sourire
gêné, elle reprends sa besogne, l'homme grogne, les yeux dans le vague. Je me retourne alors vers
Alice, collé serré à une femme, très belle. Les cheveux noirs et courts, de belles formes, un tout
petit peu ronde. Elle lui parle à l'oreille, les deux femmes se retournent vers moi. Elles
s'approchent.

"Bonjour, je suis Sabrina"
"euh.. Bonjour?"
"Alice voudrait que je te suce, tu viens?"

Alice affiche un grand sourire, et un air de défi.


"je vais chercher à boire, je vous rejoints."
"Viens, on va dans un endroit plus tranquille." me confie Sabrina qui me tire du canapé. Je la suis,
elle me tient le bras. elle prends le couloir au bout de la salle, et s'arrête à la première porte,
une espèce de petit boudoir. Elle se retourne, et cherche du regard.

"C'est bon, elle nous a vu."

Nous entrons dans le petit boudoir sombre. Personne. tant mieux, je n'aurais pas de difficultés à
bander alors... ou peut être pas. Sabrina me fait assoir sur une espèce de banquette, et
s'agenouille sur un coussin, disposé à cet effet là surement. Je baisse mon pantalon, et elle
att mon sexe, qu'elle engouffre de manière très sonore. Elle salive beaucoup, on dirait qu'elle
prends son pied. Alice nous rejoints, et s'installe à côté de moi. Trois verres et une bouteille.

"Comment tu as fait pour la convaincre?" arrivais-je à articuler entre deux mouvements de sussion.
"Pourquoi la convaincre? Je lui ai demandé si elle avait envie de sucer le grand nigaud qui me
regardait dans le canapé, et elle a dit oui."

Sabrina pouffa, mon sexe dans la bouche. Elle le retire pour lancer à Alice:

"Mais j'ai bien l'intention de profiter de ton corps aussi ma belle."

Alice se colla contre moi, rouge pivoine. Elle venait de prendre conscience qu'elle aussi allait
donner de sa personne. Nous commençâmes à nous embrasser. je ne fut pas long à jouir, Sabrina, garda
mon sexe dans sa bouche, et aspira tout le liquide qui s'en échappait. Trop précoce, sans doute.
Quel pied!

"La soirée ne fait que commencer mon amour!"

Alice prit mon sexe dans sa bouche et fit quelques aller-retours, puis elle se leva, et se colla
contre Sabrina. Elle avait de gros seins, libres sous sa robe. Des rondeurs, et beaucoup de charme!
Elle embrassait ma femme, qui savourait l'instant, en glissant la langue dans la bouche encore
poisseuse du jus de son homme.
Un frisson parcouru le dos d'Alice. Je crois que c'était la première
fois qu'elle était aussi proche d'un corps de femme.

Un autre couple était entré dans la pièce, et savourait le spectacle, assis sur la banquette d'en
face. La femme se mit dos à son homme, qui avait passé une main entre ses jambes. Elle releva l'une
d'elle pour faciliter l'accès, et la main releva sa jupe rouge sombre, et s'y glissa, pour tâtonner
dans l'intimité de sa moitié. je me levais, pantalon aux chevilles, et servait du champagne mes deux
amantes. La porte est restée ouverte. Des petits groupes passent en riant. Sabrina a posé ses fesses
au bord de la banquette et a relevé sa robe. Alice l'embrasse partout, frénétiquement. Elle est comme
possédée. Sabrina ne porte pas de culotte, elle écarte les jambes, et interpelle Alice.

"Vas y doucement, fais durer le moment."

Sabrina att son sac à main, et en saisit un paquet de cigarettes. Elle en allume une, boit une
gorgée de champagne, et jette sa tête en arrière en soupirant. Elle guide Alice qui se prends au
jeu. Elle lappe, des petits coups de langue, elle alterne, caresse, accélère, ralentit, la pénètre
d'un doigt. Elle est accroupis, les yeux plissés, concentrée. Je me place derrière elle, et lui
embrasse le cou. Elle gémit elle aussi.

L'homme derrière moi m'interpelle.

"Est-ce ma femme vous plaît, monsieur?"
"euh... oui bien sur"

C'est une belle femme, c'est vrai: teinture couleur aubergine, jupe et bustier, très mince, des
petits seins soutenues par la lingerie. Elle semble partit dans une trance orgasmique, ayant
remplacé la main de son mari, par la sienne, et frottant violemment son sexe pour se faire jouir.
Alice, me glisse à l'oreille, qu'elle est très belle et que je devrais y aller. Nous nous embrassons
tendrement, et le jeu de nos regards me confirme la sincérité de ses propos.
Je me lève vers la
femme, Alice se replonge dans on ouvrage arrachant de la bouche de sabrina, un gémissement rauque et
étouffé.

"Voici cécile, elle semble avoir besoin qu'on lui fasse l'amour"
"Bonjour cécile"

Cécile ne réponds pas. L'homme m'invite à me rapprocher. Le spectacle est suréaliste, et maintient
un semblant d'érection de ma part.

"J'ai jouis il y a quelques minutes, je ne sais pas si je pourrais..."
"Ne la sous-estimez pas, bon sang..."

Des gens de la haute, plongés dans la luxure. J'approche de Cécile, qui ouvre la bouche sans ouvrir
les yeux. Son mari m'invite à y plonger mon sexe d'un geste de la main. Je m'exécute. cécile se
concentre alors à la redonner de la vigueur, pendant que son mari, travaille à la faire jouir de ses
mains. Rapidement, je retrouve mon érection.

"Viens la baiser, elle n'attends que ça! ..... Prends lui son cul, ou sa chatte.. fais comme tu
veux!"

Des mots crus qui tranchent avec le genre de ce monsieur bon chic bon genre. Un eptit pot de
préservatifs sur la table, je m'équipe, et plonge en elle. Elle ne réagit pas, elle est trempée,
complètement dilatée. Quelques va et vient, et je commence à ressentir son plaisir. La banquette
sera dur à ravoir avec toute la cyprine qu'elle a évacué! Vexé par son manque de réaction, je me
mets à la pilonner, mais son mari me rappelle à l'ordre, elle n'arrive pas à le sucer correctement,
balloté dans tous les sens par mes coups de reins.

"retournes toi salope, il va te prendre le cul!"

On ne me demande pas mon avis, elle se mets à 4 pattes, sans lacher son homme, elle le suce, une
vraie furie. Lui semble impassible, plus excité à l'idée de me voir enculer sa femme. Je pointe mon
sexe devant sa rondelle.. je la mouille de cyprine, et je la pénètre.ça glisse tout seul. Je n'ai
me^me jamais vu alice aussi mouillée. je me retourne vers elle, pour voir ou elle en est: Elles ont
inversé les rôles, ma femme se contorsionne sous les caresses bucales de son amante, et laisse
échapper des petits cris. Elle est belle quand elle jouit.

J'entame le va et vient entre les fesses de cécile. Elle est plus réactive ici, je suis probablement
le premier à y passer. Je la lime fort, elle geint, gémit, couine sous mes assauts. ça semble
exciter son mari qui jouit dans sa bouche. Cécile n'avale pas, à moitié absente, le sperme coule de
sa bouche, elle baisse la tête..

"permettez que je vous emprunte votre verre"

Sans attendre la réponse, il se saisit de celui ci, et du menton de sa bien aimé, le relève en
arrière et fait couler le champagne. Cécile se mets à alors à rire, un rire nerveux, suivit des
spasmes caractéristiques d'un orgasme violent, elle se raidit, j'accélère le mouvement, provoquant
en cascade des réactions de ma partenaire. Elle me supplit d'arrêter. je me retire, elle sort
rapidement de la pièce.

"Il lui faut toujours une douche dans ces cas là. Mais je peux vous certifier que vous avez été à la
hauteur de nos espérances."

Alice de son côté à la tête dans les coussins. Sabrina la quitte, Alice ne la regarde même pas
partir, pas un mot. Elle tend la main vers moi. Nous reprenons notre souffle.

"La soirée n'est pas terminé"

Nous trinquons avec notre inconnu, j'embrasse ma femme. Un peu de repos bien mérité. Elle caresse
mon sexe qui n'a pas eu le droit de rejouir.

"je t'aime"

A suivre...

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