Perdu À Cause D'Une Tempête Suite 2

Après réflexion et en ayant feuilleté un livre elle commença à m'expliquer « Tu vois mon chéri, j'ai mesuré une partie de ton anatomie et je t'ai bien observé pendant que je te lavais et t'auscultais. Je crois avoir compris ce qui t'arrive » Les yeux grands ouverts je l'écoutais. « Ta taille et ton poids sont celles d'une personne adulte. J'en conviens. Tu es poilu comme un homme. Mais par contre, tu as de toutes petites testicules et un tout petit sexe – en gros tu as un zizi de petit garçon. JE T'AI déjà dit que les petits GARCONS ne cachaient pas leur sexe ! – ENLEVE TES MAINS » Triste, je baissais la tête et laissais mes mains le long du corps. Mon sexe durcissait.


« ton éjaculation est très faible, tu es parfaitement conscient de la taille de ta petite nouille. Ne pleure pas, en plus tu aimes ça, regarde ton petit zizi est encore tout raide » Je ne pouvais qu'acquiescer des larmes pleins les yeux. « d'autre part tu aimes que l'on joue avec tes fesses, aussi je crois que ton développement sexuel s'est arrêté au stade anal – il faudra que tu l'acceptes. Tu seras plus heureux mon petit chéri. » J'étais abasourdi.


« Au vu de la forme de ton petit morceau, je ne pense pas que ce sera difficile. Par contre mon petit tu as également quelques troubles du genre – Non ne me regarde pas comme ça – Tu jouis comme une fillette et le fait de rentrer tes petits noyaux de cerise donnent une vigueur inouïe à ton petit oiseau » Mes larmes coulaient pendant que mon sexe était tout dur. J'étais complètement perdu.


« Je sais mon petit chéri que c'est dur à accepter. Mais je vais t'aider. Viens colle toi contre moi. Viens dans ma blouse. Laisse couler tes larmes. Oui mon petit garçon. Je vais m'occuper de toi. Pour commencer par enlever tous ces vilains poil » Dans un ultime sursaut de révolte, je reprenais mes esprits. « Ne fait pas l' »


Elle appela alors son chien qui menaçant m'empêchait de sortir de la salle de bain.

J'étais coincé. Douce, elle me raisonna. La mort dans l'âme je dus me résoudre à revenir vers elle. Assise sur une chaise, elle m'attrapa et m'allongea en travers de ses cuisses. « Tout compte fait, je vais plutôt commencer par t'apprendre à m'écouter au doigt et à l'œil ». Et elle m'infligea une fessée dont longtemps je me rappelais. Pourtant je sentais mon sexe se durcir le long de sa cuisse - Impossible à cacher. « Mais c'est que tu aimes ça mon petit chou, regarde dans quel état est ton petit zizi » Quelle honte, complètement aux mains de cette femme extraordinaire, je me laissais mener par mes désirs les plus cachés. « Mon petit chéri, je pense que tu vas un peu souffrir. Pleure si tu veux. Ça ne durera pas loin ». Et elle commença la séance d'épilation qui fut une véritable séance de notamment lorsqu'elle s'attaqua à mes testicules et mon anus.


« Voilà c'est fini. Tu peux sécher tes larmes, mon petit. Monte dans la baignoire que je te rince » Avec de l'eau froide bien entendu prétextant une excuse pour enlever la brûlure. Dans le miroir, je voyais mon reflet. J'étais nu comme un ver. Mon sexe recroquevillé, mes petites testicules toutes serrées et du mercure au chrome partout, j'avais vraiment l'impression d'être revenu à l'age des culottes courtes. « Oh mon petit chéri comme tu es beaucoup plus mignon comme ça avec la peau toute douce et ta zézette toute lisse. Viens je vais maintenant te passer un peu d'huile pour pour apaiser tes douleurs » Et elle m'enduisit d'une huile à l'amande, s'attardant sur mon anus et mon sexe. « Tu vois que tu aimes mon chéri, ta petite nouille s'est encore durcie »


Et pour vérifier qu'il ne restait aucun poil, elle s'approcha très près de mon sexe. Un coup de langue sur mes couilles. J'étais électrique. Je bandais dur. « Ta maman se ferait bien une petite sucette. Mais comme je suis au régime mon petit ange, je ne prendrais qu'un tout petit sucre d'orge seulement. » Plus elle me traitait de petite bite et plus je bandais.
Sa langue s'enroulait autour de mon gland, lancinant à sa base de son bout pointu. Elle descendait maintenant l'arrière de mon pénis, faisait le tour de mes couilles et remontait avec une lenteur presque abominable. « tout compte fait je vais aussi prendre deux petits dragibus avec le petit sucre d'orge » me dit elle souriante et s'amusant de mon anus avec un doigt. Une perle naissait à mon urètre. « Comme c'est mignon cette petite perle sur ton petit gland » et elle me goba entièrement, avalant également mes petites couilles. Mes jambes tremblaient mais elle continua de plus belle, accélérant le rythme de sa succion. « c'est bien ma petite bite, tu recommences à crier comme une fillette, vide tes petites noisettes pour que maman soit contente » D'être dans sa bouche je n'en pouvais plus. Dès qu'elle aspirait mes couilles, j'émettais un petit cri de plus en plus aigu. « Je vais t'aider mon petit chéri. Je vois bien que tes petits réservoirs sont presque vides » Et elle m'enfonça encore une fois un doigt profondément. Jouant de ma prostate, je jouissais en aigu dans sa bouche, m'effondrant. Je ne tombais pas parterre, elle me tenait par le cul. Elle finissait de me sucer. « Tu as un petit goût sucré mon chéri. Dommage qu'il y en ait si peu. En même temps c'est normal. Elles sont si petites ». J'étais ailleurs exténué. « Oh mais qu'il est mignon mon petit ange avec son petit zizi qui se rentre. Bientôt on se saura plus si c'est un garçon ou une fille ». Et elle retira son doigt, se lava les mains et me rinça à l'eau froide bien entendu.


« Bon fini de jouer. Je ne voudrais pas que tu prennes froid. Tes habits sont foutus. Viens mon petit zizi on va aller t'habiller. Il doit me rester des vêtements de mon mari. »


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