Suite D'Une Séance De Pose

J’ai connu Claudette lors d’une séance photo de nue. La professionnel nous avait convoqué pour un après midi, vers 15 heures. Elle attendait déjà quand je suis arrivée: un fille simple grande châtain clair avec des yeux d’un bleu ciel qui m’envoutait. Moi, je suis une nana de 25 ans, délurée, sans plus. Je pose pour gagner ma vie: c’est fort bien payé. Poser nue ne me pose pas de problème: j’ai ma morale assez souple de ce coté là. Je sais bien que certains en me voyant dans des poses indécentes devaient leur procurer des envie de masturbation.
Le photographe nous fait entrer dans son studio, il nous indique ce qu’il cherche: il veux nous filmer l’une et l’autre à part avant de nous faire poser dans des poses plus que suggestives. Nous connaissons que depuis moins d’une heure. Les premières poses sont encore assez softs. Plus les clichés se suivent et plus nous sommes comme deux vrais amantes. Je vois ses seins durcir et ses tétons presque bander. Je sais que je commence à mouiller sérieusement. La dernière photo nous réuni presque bouche à bouche et seins contre seins.
Nous recevons notre cachet avant de partir. Nous allons dans un café pour nous remettre de nos émotions. Claudette me fait part de ses impressions: elle a normalement une sexualité normale, avec des masturbations journalière. Nous sommes pareilles de ce coté là.
Et pourtant cette série et surtout la dernière pose nous a laissé un goût d’inachevé. Sans nous concerter, nous prenons une main de l’autre pour la caresser. Je lui avoue que je suis totalement mouillée et que si elle me le demande je passerai les reste de l’après midi à lui faire l’amour. Elle serra fortement ma main et doucement me dit
- Oui, j’aimerai bien
- Tu as déjà couché avec une fille ?
- Non et toi ?
- Non plus.
- J’ai envie d’essayer avec toi, tu veux bien ?
C’est de ma part une première fois de faire une telle proposition. Il m’arrive pas souvent de faire des avances à un homme.

Mais à une femme ? Je dois devenir totalement folle: et pourtant je suis excitée comme rarement: j’ai envie de la connaitre mieux. Ce n’est pas parce qu’on est nue avec une femme qu’on a ment envie d’elle.
- Tu sais je te veux moi aussi, j’aimerai t’embrasser longuement sur la bouche d’abord pour finir sur tes seins.
- Je veux d’embrasser plus bas que la ceinture, sur son minou.
Ni elle ni moi ne pouvons rester assises dans ce café miteux. Nous sortons prendre un taxi dans lequel nous sommes sages comme des image, sinon que nos mains sont toujours réunies. Je ne sais même pas où nous allons. Claudette a donné son adresse.
Nous sommes enfin seules chez elle. Cette fois nous n’y tenons plus nous nous embrassons. Nos langues ne se gênent pas pour fricoter entre elle. Nos mains commencent le long parcours sur le corps de l’autre. Nous sommes nues comme par enchantement. Nous connaissons le physique de l’autre, par contre nous ne connaissons pas nos intimités.
Nous allons nous assoir, elle dans un fauteuil, moi sur un divan. J’aurais bien aimer l’embraser encore, mais elle voudrait me connaitre intimement. Je n’ai rien contre: elle veux me montrer sa chatte en entier, elle se mets le dos contre le dosser et écarte bien ses jambes. Je vois tous ses secrets: son clitoris ses lèvres mouillées son petit trou. Tout son sexe est luisant de cyprine. Claudette me demande d’en faire autant: j’écarte aussi mes jambes. Je sais que ma chatte est trempée. Ca doit se voir je ne lui cache rien. Je vois son regard détailler mon anatomie. Nous restons un bon moment aussi écartelées. Nous bavardons un peu. Elle me dit qu’elle n’aime pas les hommes trop membrés, qu’elle aime se faire prendre sur le dos, sauf pour la sodomie: il faut qu’elle soit en levrette la bite bien plantée au fond. Elle décrit également ses façon de se masturber et me le montre directement: elle se mouille trois doigts réunis qu’elle passe très rapidement sur son bouton. Plus l’instant fatidique arrive plus sa voix se voile jusqu’à ce qu’elle jouisse en mettant toujours les même doigts dans son vagin.

Ce spectacle m’émoustille tellement que moi aussi je me masturbe sans honte devant elle. J’imagine un voyeur nous regardant en se demandant ce que nous attendons pour nous aimer.
Après cette première jouissance, nous devenons plus sages. Elle vient près de moi sur le divan. Nous nous embrassons encore mais nos mains commencent leur caresses. Nous sommes des femmes et savons exactement ce que l’autre doit vouloir. Je lui caresse un sein: je prend son tétons entre deux doigts: je me garde bien de le pincer. Je veux simplement lui donner le plaisir qui lui est réservé. Elle me caresse aussi un sein qu’elle abandonne vite pour poser sa main sur mon ventre. Elle me tient chaud. J’ai besoin qu’elle aille en bas. Elle descend toujours sa main pour poser deux doigts sur mon bouton. Je ne peux pas décrire ce qu’elle me donne. Elle me branle longtemps s’en arrêter, même si je jouis. Nos lèvres sont toujours jointes et nos langues continuent leur ballet. Enfin nous parlons à nouveau
- Tu me fais bien jouir, j’en avait besoin, tu branle bien. Dis-je d’une voix rauque d’une femme qui a encore envie.
- Je crois savoir me branler aussi je t’en ai fait autant.
- J’ai envie de te caresser le con, moi aussi.
- Oui, caresse moi le con.
Brusquement notre langage s’est changé en vulgaire et pourtant quoi de mal à dire ce qu’on a a dire à son amante du moment.
- Après on se sucera ?
- On se sucera les cons ensemble, j’ai envie de faire un 69: j’aime avec les hommes alors avec toi se serait merveilleux et délicat.
Ma main enfin sur son clitoris: je caresse lentement et superficiellement ce bouton que je sens frémir. Je sens ses contractions d’orgasme: je fais comme elle je recommence jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Assises nous nous faisons face pour nous embrasser. Claudette me renverse, me fait écarter les jambes pour mettre sa tête sur mon sexe. Elle passe sa langue partout: je mouille comme une folle: je ne pensais pas qu’une fille puisse me donner tant de plaisir.
Elle m’enjambe pour me donner sa chatte. Quelle bonne odeur que sa mouille et quelle douceur en elle: j’ai commencé par le clitoris, toujours lui, je l’avale presque en le léchant.
Maintenant c’est donnant donnant entre nous. Tout ce qu’elle me fait, je le lui rends. Arrive le moment que je craignais un peu: elle pose sa langue sur mon anus. Je ressent une vague d’excitation. J’hésite à lui en faire autant. Quand elle rentre une bonne partie de sa langue dans le cul, je lui en fait autant. Nous jouissons pratiquement ensemble. Nous nous relevons pour nous embrasser encore. Je sens le goût de ma chatte sur sa langue et un autre goût, celui de mon cul sans doute. Nous restons immobiles sachant ou craignant la fin de notre baise.
Elle veut la prolonger: elle m’emmène dans sa chambre et sort de sa table de nuit deux godes.
- Tu veux que je te baise avec ?
- Quelle question, bien sur, mets moi là ou je veux.
- Tu préfère devant ou derrière ?
- Si on veut le faire ensemble c’est mieux par devant ?
- Rien n’empêche nous pouvons commencer par devant et nous finir par derrière.
Claudette se couche écarte encore ses jambes me donne le gode et je le lui met au fond du vagin. Elle me fait coucher à ses coté et me baise également. Nous avons synchronisé nos mouvements. La seule chose manquante est un corps sur moi en tout cas.
Nous jouissons encore et maintenant arrive la fin: elle est en levrette, me demande de l’enculer. C’est bien encore une première: sodomiser une fille. J’ai réussi à garder dans ma chatte mon gode. J’ai bien mouillé avec ma langue son anus; je vais m’essayer à la lui mettre profond somme elle aime. J’ai une impression de domination sur elle, d’autant plus qu’elle n’arrête pas de me dire des encore, oui, plus profond et finir par un je jouiis.
Je me suis vu un instant comme étant son amant. Elle est sur le dos à nouveau pour prendre une bonne goulée d’oxygène. Elle vois que j’ai garder dans mon vagin une bonne partie de ce gode.
Elle me fait une propositions que je ne refuse jamais: je vais te faire une double pénétration. Elle me fait mettre en levrette, passe le bout du gode dans mon cul et se met sous moi pour me baiser. Elle anime idéalement les deux pour qu’en un rien de temps je perds moi aussi les pédales: je sais que je dis des oui, oui, encore, plus profond et je jouiiiiis.
Nous suis dans ses bras, elle me câline encore. Un dernier baiser, un grand merci pour cette partie de baise et nous nous séparons,
J’ai le sentiment d’avoir connu un moment rare avec Claudette.
Nous nous rencontrons quelque fois: nous sommes connues pour nos prestations. Il nous arrivent de passer une partie de notre temps à baiser.
Le reste du temps, je fais l’amour avec un homme qui a mes préférences. Je crois qu’elle a un véritable amant

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