Les Couverts

Je préparais la table du salon et je disposais une nappe pour le dîner. J’étais penchée en avant, occupée à lisser les plis de la nappe lorsque mon maître entra. Comme à l’habitude en prévision de la soirée, je m’étais allégée sur le plan vestimentaire. Je portais des bas noirs anti glissants avec de larges motifs floraux à mi-cuisses, un tablier de soubrette et un petit caraco me protégeait les épaules en mettant mes seins en valeur et ma chute de reins.
Bref dans ma position, penchée en avant, ma croupe était très en valeur lorsque mon maître entra. Il avança vers moi et, debout, me bloqua avec ses cuisses contre le chanfrein de la table en bois massif. Il fit mine de me baiser par quelques mouvements de bassin. Le tissu de son pantalon était gonflé et sa turgescence notoire faisait pression sur mon séant. Je tentais de me redresser quand je sentis ses doigts se glisser sur mon clitoris. Il mit son autre main sur mon dos, m’invitant fortement à rester dans cette position. Sa main était puissante, large et chaude. Je décidais de ne pas me redresser. Avec ses doigts, il décrivait des mouvements circulaires sur mon clitoris et il sentit que je mouillais. Lentement, il pénétra l’entrée de mon vagin pour récupérer mon foutre et l’entrainer vers mon anus. Il retira sa main de mon dos puis se mit à m’exciter davantage avec ses deux mains. Il reprit ses mouvements circulaires d’une main et de l’autre récupérait mon nectar qu’il utilisait pour me lubrifier l’anus.
Il aperçut sur la desserte les couverts en argent. J’avais passé un certain temps à les astiquer, et maintenant ils allaient m’astiquer les orifices naturels.
Il commença par se saisir d’un couteau avec un manche à section hexagonale, légèrement aplati. Il me redressa dos contre lui, puis relevant un peu mon tablier de soubrette m’enfonça sans difficulté et délicatement le manche dans le vagin. La fraicheur de l’argent me fit réagir. Mon clitoris très échauffé par les mouvements circulaires s’érigea.

Mon maître le senti et profita de ce moment pour donner une petite tape, sèche. Je ne bougeais pas. Il reprit son travail, et empoigna une cuillère à soupe, puis une seconde. Il les disposa face à face me demanda de me retourner et de me coucher sur la table. Mon dos était sur la nappe, mes pieds légèrement écartés, les jambes fléchies, j’étais en position gynécologique improvisée. Il retira le couteau puis avec plusieurs doigts me pénétra en écartant ma vulve. Lorsqu’il sentit que j’étais « à point », il m’enfonça les cuillères sur une dizaine de centimètres de profondeur, conservant de quoi les manipuler à sa guise. Le passage des cuillères se fit en douceur. Je sentais qu’elles m’écartaient et leur fraicheur ajoutait à cette sensation de glissement. Une fois en position, il reprit le couteau qu’il m’avait retiré du vagin et me l’enfonça d’un coup sec dans l’anus. Bien que préparée, la pression me fit une douleur à laquelle s’ensuivit une grande sensation de bien être.
Au fond de moi, je me disais : « heureusement que les couverts sur la table était de faibles dimensions ». La pénétration était jouissive. Mon maître le savait et c’est la raison pour laquelle il n’avait pas hésité à me pénétrer d’un coup sec.
Enfiché analement par le couteau, il reprit ses investigations en saisissant les manches des cuillères. Écartant et resserrant les cuillères, je sentais les différences de pression sur les parois de mon vagin. Il mit un anneau de serviette entre les manches, pour faire levier. La pression augmentait. J’étais comblée. Ensuite, après avoir retiré le rond de serviette, il décida de faire tourner les cuillères dans mon vagins, les bordures des cuillères me grattaient et à un moment, le grattage s’opéra sur mon point G. Mon changement de respiration informa mon maître de mon ressenti, il continua en insistant sur ce point. Il était soucieux de m’approcher de l’orgasme. Peu à peu, alors que ma citrine coulait hors de mon vagin, la sensation de détente m’envahissait, ma respiration était de plus en plus courte.
Visiblement il prenait plaisir à « me cuisiner ». Il fit même durer le plaisir en interrompant ses rotations et frottement au moment opportun.
Il me dit : tu te lève et tu va en cuisine, là-bas il y a plus de jouets. Je m’exécutais. Avec le couteau dans l’anus et les cuillères dans le vagin, j’avais une curieuse démarche. Il m’observait et souriait. Entre la salle à manger et la cuisine il y avait sis ou sept mètres à parcourir. Il eut le temps de m’observer.
Arrivée dans la cuisine, il m’intima l’ordre de me coucher à plat ventre, poitrine contre la table. Celle-ci plus petite était moins confortable mais je pouvais tenir les angles avec mes mains, m’agripper à souhait. Mes jambes étaient dans le vide. Avec sa main, il frappa l’intérieur de mes cuisses pour me contraindre à les écarter davantage. Il retira les couverts, tout d’abord le couteau, puis les cuillères.
Il les posa sur le plan de travail puis ouvrit un placard. Il cherchait quelques nouveaux jouets. Il trouva une spatule pour tourner la viande dans la poêle. Cette spatule en bois large d’environ 5 centimètres allait lui servir de tapette. Il récupéra un fouet pour monter les blancs en neige, prit un mazagran et une poche à douille qui était vide. Peu importante, il se dirigea vers le placard en sortit une brique de crème pâtissière, l’ouvrit et la remplit. Satisfait des ses emplettes il revint près de la table.
Toujours penchée en avant, il commença par me masser l’entrée de l’anus puis m’administra trois grande fessées. Sa large et puissante main me rappelait quelques corrections reçues pendant mon enfance, mais là le ressenti était différent. Des vibrations à l’intérieur de mon vagin me rappelait que j’étais sexuellement très excitée. Il commença par l’usage de la spatule en m’administrant une quinzaine de coups, répartis sur l’une et l’autre fesse. Je sentais la chaleur monter en moi. Il arrêta et me prit pas les cuisses, me monta les genoux sur la table. Il voulait que je reste dans cette position, telle une autruche, la tête dans le sable, la croupe offerte.

Je sentais qu’il allait changer d’ustensile. Il prit le fouet pour monter les blancs en neige me l’enfonça dans le vagin. Diamétralement plus large que les cuillères, il me remplit rapidement. Les fils de fer donnait une curieuse sensation de frottement et d’absence de frottement. Mon maître décida de l’agiter, un peu comme si mon vagin était un saladier. Il commença doucement puis accélérait de plus en plus, me sentant prête à jouir, il arrêta net. En effet, mon maître aimait à faire durer le plaisir, il ne voulait surtout pas que je trouve immédiatement la jouissance. Pour lui le plaisir était lié à l’attente et il savait très bien en utiliser. Il arrêta ses mouvement. Avec des doigts il commença à me masser la rosette annale. À chaque tour, il pénétrait d’un demi centimètre supplémentaire. Il ne tarda pas a enfoncer une phalange puis deux phalanges. Après l’index, il me pénétra avec le majeur et ajouta l’annulaire. Trois de ses doigts m’écartaient. Je sentis sa langue sur ma fesse gauche, il s’était décidé à me lécher. Je pensais que l’anulingus n’était pas loin, je me trompais.
La sonnette retentit à la porte. Il me dit : « Reste comme ça ! Je reviens ». Le fouet à fil dans mon vagin je ne pouvais pas me mettre sur le ventre j’étais contrainte d’attendre en position « d’autruche ». J’entendis la porte s’ouvrir, des salutations, c’était l’ami d’enfance qu’il attendait. Je rêvais qu’il l’installe dans le petit salon puis qu’il vienne me libérer. Il n’en fut rien. Apparemment très complice avec son ami d’enfance, il l’amena dans la cuisine. Quelle ne fut pas sa surprise de me voir sur la table, la croupe offerte, la poignée du fouet sortant du vagin. Il lui dit : « je m’amusais avec ma soumise, veux-tu te joindre à nous ? ». Après une hésitation son ami acquiesça. Apparemment ce n’étais pas la première fois qu’il découvrait une telle situation. Il s’empara de la poche à douille, remplie de crème pâtissière. Veux-tu que je la prépare pour le dîner ? Sic ! Je ne savais pas que j’allais servir d’amuse gueule en apéritif.

Non attends un peu, je termine. Il me donna une bonne fessée, puis me retira le fouet du vagin et me demanda de me mettre sur le dos en position gynéco. Elle est prête ! Lui dit-il. Avec la poche à douille, il commença a répandre la crème sur mes seins, le tablier gênant sa poursuite vers mon sexe, mon maître le défit et le retira, j’étais nue. Les jambes avec mes bas et le haut de mes épaules couvertes. Il étalait la crème en faisant des lettres, puis arrivant sur mon pubis, il écarta mes lèvres de ses doigts et entreprit de me remplir l’entrée du vagin. Rapidement, je sentis la crème monter dans mon vagin sous la pression qu’il exerçait sur la poche.
Une fois la poche à douille vidée, mon maître et son ami se mirent à me lécher les seins d’abord, chacun le leur, puis le ventre, mon maître lécha mon nombril. Je compris que mon sexe serait réservé à son ami. Un morceau de choix, sans doute ? Son ami était très expert. Il léchait par petit coups vigoureux circulaires, arrivé au clitoris après l’avoir dégagé de sa crème, il commença des aspirations avec sa bouche. Mon clitoris gonflait je ne pouvais retenir mes petits cris de plaisir, ma respiration était haletante. Il continua vers mon vagin, d’où coulait la crème pâtissière et la citrine mélangée. Je vis mon maître retirer son pantalon. Elle est prête ? Oui répondit-il. Il me prit à la brassée, me plaquant contre son torse il m’enficha sur son sexe redressé. Son ami avait retiré son pantalon. Il s’approcha de mes fesses. Mon maître qui me tenait contre lui descendit ses mains et me les écarta, son ami me pénétra d’un coup sec. J’étais en sandwich, entre eux, l’un et l’autre coordonnait leurs mouvements de bassin afin que je ne trouve aucun répit, je ne tardais pas à jouir. Ils éjaculèrent.
Mon maître en me posant sur la table me donna une fessée sur la cuisse droite, en me disant : « range-toi et prépare le dîner, je suis très en appétit » Ah ! n’oublie pas, mon ami, c’est comme si c’était moi, donc tu reste dans ta tenue de soubrette et tu es à son service, me suis-je bien fais comprendre ». Je répondis d’un petit oui, encore toute ébahie de ce début de soirée. Ils se rhabillèrent et allèrent au petit salon, soit disant pour causer « affaire ».

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