Sublimement Soumise 3 : Elea Découvre Que Ses Geoliers Sont Décidément Très Créatifs...

Après avoir avisé l'avancement de mes progrès, mon homme s'approche de moi et m'embrasse langoureusement en me murmurant à l'oreille " je suis fier de toi". Je sens sa main descendre et me titiller le clitoris. Mais la caresse, qui me rend brulante instantanément, ne dure pas sa main remonte ensuite vers mes seins, les soupèse, me pince les bouts jusqu'à m'arracher un gémissement...

" on en a pas fini avec elle " intervient Yves à ce moment là. Josh le regarde avec un petit sourire en coin, et s'écarte de moi malgré mon regard désespéré en lui disant " elle est à vous ".

Christophe, le grand au regard froid rajoute alors : " pas le tout d'être dilatée ma jolie, mais il faut que tu apprennes à être conforme aux attente de ton maitre : tu dois pouvoir t'ouvrir s'il souhaite te prendre le cul, mais tu dois aussi savoir te serrer autour de sa queue s'il a envie d'éprouver plus de sensations... Voyons de quoi tu es capable de ce coté là ".

Ils me ramènent sur la table mais sans m'entraver, et enfin m'enlève mes monstrueux objets. Une traction sur la laisse m'invite à me relever, ce que je fais avec soulagement et bien plus facilement sans les godes. Christophe me plaque ensuite un peu plus loin, debout contre l'un des murs ou se trouve des attaches qui lui permettent de rapidement me lier les poignets bien écartés. Je suis écartelée entre deux points d'attache, les bras à l'horizontale, et avec un petit rire, il tend mes liens au maximum. Puis il me fixe une barre d'écartement autour des chevilles, écartement maximal aussi.

Je suis quasi en croix... Alors commence un petit jeu diabolique : il m'insère un plug plutôt fin dans le vagin, et y suspend un léger poids. Inutile de dire que mouillée comme je suis et dilatée par mes précédentes intromissions, ce dernier ne tient pas...

" serres-toi sinon gare à toi " dit Christophe d'un ton menaçant, en levant sa badine.
Je sais qu'il ne plaisante pas, et je tente désespérément de retenir le fichu objet qui glisse de moi.


Au moment ou il tombe au sol... Clac ! La badine s'abat inexorablement sur mes flancs 5 fois, m'arrachant des cris de douleur incontrôlables...Il y va de bon cœur.

" Petite chienne, tu vas travailler oui ? "

" oui Maitre... " ... J'arrive à peine à articuler. Il me renfonce le plug. Qui glisse de nouveau. 10 coups cette fois. Je termine la série en hurlant, les larmes aux yeux. Mes hanches sont zébrées de marques rosées.
il recommence. Je ferme les yeux et me concentre de toutes mes forces...Ca tient. Un petit rire et je sens mon tortionnaire s'approcher et me caresser le clitoris. Il me le fait rouler entre ses doigts, m'arrachant des gémissements de bête. Mais je sais que ce n'est pas pour mon plaisir : c'est juste une petite manœuvre sadique pour me faire mouiller et déclencher la chute de l'objet. Je ne cède pas, contractant mes muscles vaginaux au maximum.

Christophe arrête alors sa diabolique caresse et me rajoute du poids. Je sens de nouveau le plug glisser... Il tombe.

"Décidément, quelle idiote " fait-il satisfait de sa manœuvre. Tu es bonne pour 20 coups ". Qu'il me distribue en rafale. J'ai le souffle coupé, mais écartelée comme je le suis, je ne peux rien éviter, je ne peux que hurler.

" allez petite chienne, recommence ".
Il ramasse de nouveau le plug, et me le remet. Les coups ont du me sécher, car cette fois-ci j'arrive à tenir. Il me regarde et me dis " je reviens tout à l'heure, gare à toi s'il est retombé ".

Je ne pense qu'à ça...J'ignore combien de temps dure mon supplice, mais je finis avec soulagement par voir revenir, non pas Christophe qui me terrorise vraiment par sa brutalité, mais Denis, l'homme de main. Celui-ci est accompagné d'une soumise, qu'il mène en laisse et qui le suit respectueusement, les yeux au sol. Elle a les mains liées derrière le dos.

Il me délivre du plug, mais pas de mes liens.
" a genoux et caresse-la " ordonne t'il à la soumise, une jolie blonde d'environ 25 ans.

Celle-ci s'exécute. Je sens sa bouche se poser sur mon sexe, sa langue s'immiscer autour de mon clitoris qui ne tarde pas à gonfler sous ses caresses, étrangement douces, après tous les sévices que j'ai subi ce matin...Elle me lèche avec application, descends vers mon vagin, arrive à y rentrer un bout de langue... Je gémis de plus en plus fort. Elle revient sur mon clitoris, me l'aspire, joue avec entre ses dents et sa langue, je me tords de plaisir, les sensations deviennent de plus en plus intenses. J'ai les yeux fermés de bonheur, quand soudain je sens une main se poser sur mes seins : une main d'homme. Denis me caresse la poitrine, me titille les bouts, déjà durcis par le plaisir... Et brutalement une douleur fulgurante : il vient de me poser une pince et je crie de surprise. La deuxième me prend moins au dépourvu mais la douleur se mélange au plaisir, se liant en une confusion des sens totalement perverse. La soumise accélère ses caresses, Denis qui sent monter mon plaisir m'att à la gorge et me plaque énergiquement au mur en m'ordonnant " va y maintenant chienne " et je jouis avec brutalité, parcourue par une onde sauvage qui se répercute dans tout mon corps, amplifiée par la sensation opposée de ses mains brutales posées sur moi, de la douceur de la langue de la soumise, et de la douleur des pinces accrochées à mes tétons rendus hyper-sensibles par l'excitation.
A bout de souffle, je tombe au bout de mes liens, épuisée par toutes ces sollicitations.

La soumise se relève et Denis l'accroche négligemment un peu plus loin, comme un chien au piquet. Puis il me retire mes pinces, m'occasionnant une dernière fulgurante douleur lorsque le sang recommence à circuler.

" C'est bien, maintenant que tu as le vagin resserré, tu es prête pour la suite ".

Ca ne s'arrêtera jamais ? Je suis là depuis moins de 24 heures et je l'ignore encore mais le pire est à venir...

En attendant, je prends la direction d'une cage d'environ un mètre cube, ou Denis m'enferme négligemment avant de venir me glisser une assiette de nourriture.
Il me dit au passage " t'as intérêt à manger, l'après-midi va être longue ".

Je réussi à voir sa montre : elle indique 14 heures... Que vont-ils encore me faire subir jusqu'à demain soir ?!

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