Collection Anne Ma Muse. Sur Les Monts Du Jura. Le Père Julien (1/2)

Anne, ma muse, m’avait quitté il y a quelque temps déjà, vous pouvez retrouver mon héroïne dans la série de ses aventures en faisant une recherche « Anne ma muse ».
Même les meilleurs couples font des coupures.
Nous avons renoué dans un plaisir commun.

Rappelez-vous, Anne travaillait pour une entreprise de transports dans le Doubs, plus précisément à Besançon où elle habite.
Le temps a passé.
Comme chacun de nous, le moment du repos, de la retraite, après une vie de labeur est venu pour mon amie.

Anne s’est habituée à ce changement même si son principe de vie a peu évolué.
Elle a toujours le même amant, oui, seulement un amant de presque 75 ans qui vit de façon indépendante avec elle, car chacun, de Pierre ou d’elle, a gardé sa maison.
Un moment, Anne a pensé l’épouser, mais chacun d’eux ayant des s, garder les biens de façon séparée était le plus judicieux.
Ainsi, si l’un disparaît, les s toucheront leur héritage sans empiéter sur les biens des autres.

Ce chalet sera le seul bien qu’ils aient à se partager, celui qu’ils avaient acheté en commun.
Un petit chalet dans les monts du Jura, à quelques encablures de leurs résidences respectives.
Il se trouve au bas du mont de la Neige, un endroit très isolé.

Et c’est durant cette retraite qu’Anne s’est retrouvée dans des aventures amoureuses pour sortir de cette routine qui une nouvelle fois la faisait déprimer.
Elle renouait avec la sexualité comme ce fut le cas, il y a quelques années, lorsqu’elle était une jeune mature encore en activité (voir toujours la série de la collection spéciale pour elle, « Anne ma muse »).
Laissons la parole à Anne.

Le chalet est très isolé, pour le ravitaillement, nous devons descendre au centre commercial du Val Thoiry, ce que nous évitons de faire trop souvent.
Heureusement, pour nous ravitailler, à environ, un kilomètre de notre chalet se trouve la ferme de père Lucien et de Jules, son fils.


Nous y trouvons du lait de vache et de brebis ainsi que tous leurs dérivés : fromages artisanaux, beurre de baratte, tourné à la main, aussi des oeufs.
Ce qui est très mauvais pour Pierre et son cholestérol, c’est la crème qu’il adore mettre dans tous ses plats.

Tous les ans, les deux paysans tuent le cochon, ce sera le cas dimanche prochain et nous sommes invités.

J’ai un scrupule à y aller, mais pour me remercier de ce qu’il va suivre, ils veulent que ce soit moi qui coupe la gorge de cet animal !
J’estourbis bien les lapins que je leur achète pour le 15 août les saignant pour récupérer le sang pour faire ma sauce.
Mais de là à trancher la gorge de ce gros animal qui vit en famille dans un enclos, c’est une tout autre histoire.

Le père Lucien, 70 ans, la casquette rivée sur la tête, semble être dans sa ferme 24 heures sur 24, avec son mégot toujours éteint entre ses lèvres.
Son visage est très tanné par le soleil.
Par le col de sa chemise et sur ses bras souvent découverts car simplement revêtus d’une chemise manches relevées, je peux voir qu’il est particulièrement poilu.
Ça déborde de partout.

Ce qui m’a étonné aussi la première fois où il nous est apparu avec Pierre, c’étaient ses grosses bretelles retenant son pantalon par-dessus sa chemise.
Ce jour-là, dans un langage très châtié, il nous a avoué que c’était plus facile pour aller pisser.
Quel personnage !

Il fait un potager avec patates, poireaux, radis, salades, carottes et tous autres légumes comme des navets et des oignons.
Quand nous sommes au chalet, nous faisons des cures de courgettes et d’aubergines, noyées dans des tomates, les plus grosses jamais vues.
Le repas du soir se compose souvent d’une soupe au lard et d’une salade de tomates les lundis, mercredis et samedis.
Mais j’en oublie beaucoup, ainsi les œufs si frais que Pierre adore.
Les œufs coques bien que là encore ce soit un peu mauvais pour son cholestérol.


Moi qui aime la nature, c’est super d’être dans le chalet.
C’est pour cela que nous avons acheté, bien sûr, tous ces produits qui sont bio, car Lucien met simplement du fumier de vaches et du crottin de cheval sur son potager.

À ses côtés, il a souvent un gros chien blanc en liberté.
Il est venu nous renifler la première fois que nous l’avons vu et il a dû nous accepter, car à part à cette occasion, depuis il se désintéresse de nous.

Pour monter à notre chalet, point de route, juste un chemin de randonnée.
Nos voitures, c’est dans la cour des Dubois père et fils que nous les garons.
Depuis que nous nous sommes installés dans ce que nous appellerons notre maison secondaire, nous avons vu en tout et pour tout un couple de randonneurs passer à proximité.
Nous leur avons offert de l’eau de notre source qui avait été captée au moment de la construction de la maison par les gens qui nous ont vendu ce havre de paix.

Un dernier point sur cette ferme.
Il y a aussi un poney, il appartient à Jules, à ce que nous avons appris à la boulangerie où je vais une fois par semaine acheter mes miches.
Il paraît que c’est un bel italien qui le lui aurait offert avant de s’éclipser avec Jeanne, sa mère lorsqu’il avait douze ans.
Car un matin ils sont partis dans une voiture de sport rouge, la boulangère a entendu le bruit de son moteur ce jour-là et depuis plus rien.
Depuis père et fils vivent seuls.

Si vous voulez les derniers potins du village, allez voir la boulangère toujours prête à vous les raconter.
Que, dit-elle de nous, mais surtout de moi, quand je quitte sa boutique après ce que j’entends sur Pierre, Paul ou Jacques ?
Je devrais aussi dire, Jeanne, Maryse ou Léontine, toutes semblent avoir la cuisse légère.
La seule fois où Pierre est allé acheter le pain, alors qu’il avait rendez-vous chez le médecin et à la pharmacie pour renouveler son ordonnance pour quatre mois, elle lui a fait du rentre dedans.

Elle était à deux doigts de l’emmener dans son arrière-boutique !
Son boulanger de mari vendant tous les mardis sur un étal au marché du village pour les touristes, elle aussi semble avoir la cuisse légère.

Je parlais du poney, même s’il commence à être vieux, moi j’adore monter depuis ma prime enfance.
C’est lui que je suis venue voir ce matin, lui apportant les pelures de légumes avant de faire une balade équestre.
L’Italien l’avait acheté à un cirque pour impressionner la mère et pouvoir mieux la baiser.
Ce qu’il ignorait, c’est que certaines races de poneys grandissaient et c’est sans problème que je peux le chevaucher.
C’est un grand poney, un petit cheval.

Dès que nous avions emménagé dans le chalet, je suis devenue cliente de la ferme, Pierre, lui, me laisse cette charge concernant les provisions.
Je fais le chemin tous les jours pour aller chercher du lait frais.
J’en profite aussi pour récupérer le courrier, la boîte aux lettres étant à côté de celle des fermiers.

C’est le cas ce matin, mardi jour de marché, je peux en profiter pour monter un peu mon poney favori.
Pour la circonstance, j’ai revêtu une paire de jeans et une chemise à carreaux noirs et blancs.
Dans ma jeunesse j’avais des bottes de cavalière, maintenant j’ai une simple paire de baskets.
À 500 mètres du retour à la ferme, un déluge s’abat sur moi.
Je fais attention, car dans ces chemins en terre, les sabots du poney sont susceptibles de glisser.
J’arrive sans encombre, mais je suis rincée.
Lucien est devant l’écurie à m’attendre.

• Bouchonne Jeanne et après viens prendre un café pour te réchauffer, je vais en faire couler.

Ainsi apostrophée, deux choses à savoir.
Depuis le premier jour, il me tutoie ainsi que Pierre, il est très convivial.
En parlant à Madeleine, il semblerait que les peu de fois où il les voit, et c’est principalement au bistrot, il ait toujours tutoyé tout le monde.

La deuxième, c’est que Jeanne, c’est le nom de sa femme, mais aussi du poney.
Quand elle s’est barrée avec son bel italien, après avoir offert son animal à son fils, Lucien l’a baptisé Jeanne même si c’était un mâle.
Ce nom lui est resté.

Je fais donc la toilette à cette bête qui me regarde comme si elle aimait que je le chevauche souvent.
Lorsque je frotte son bas-ventre, il me fait voir que malgré son âge, il est encore vert. Ça a pour effet de me faire rigoler lorsque j’entre dans la cuisine, seule pièce où je suis entrée chaque fois que je viens au ravitaillement.

• Viens te mettre près de la cheminée, j’ai ravivé le feu que nous avons fait hier au soir à la veillée.

Ça aussi je le savais, Lucien est resté vieux jeu avec son fils.
Nulle télé, nul appareil électro-ménager, seulement une vieille radio posée près de l’âtre qu’ils écoutent avant d’aller se coucher dès les infos terminées.
Dans la cheminée, il a mis des bûches qu’ils coupent en hiver quand la ferme est en partie en hivernage.
Ce bois, il leur est facile de le rentrer, au-dessus de chez nous il y a une forêt qui leur appartient.
Ils possèdent un magnifique Comtois qui les aide à descendre le bois.
Ça fait de la compagnie à Jeanne dans l’écurie.
À l’injonction de Lucien je viens vers lui.

• Enlève tes fringues, on va les mettre sur le fil devant la cheminée, elles vont sécher avant que de repartir vers ton chalet, sinon tu vas attr la mort.

Je suis surprise et fais de gros yeux.

• Pourquoi me regardes-tu comme ça, Anne, des gonzesses à poil, j’en ai vu assez à mon âge, une de plus, une de moins qu’est-ce que cela fait.

Ces mots sont dits sans ironie, mais si fermement que j’ouvre ma chemise.
Mes seins apparaissent dans toute leur nudité, dans toute leur splendeur, car ici, à mon chalet, je mange bio et je vis sans la moindre entrave vestimentaire, surtout pas de soutien-gorge.
Mes seins, malgré ma soixantaine largement dépassée, comme je l’ai dit dans les récits antérieurs, se tiennent fermement et j’en suis très fière.
Ils sont en forme de poire, avec des aréoles larges et des tétons plutôt épais.

Je fais tomber mes baskets, je sens déjà les bienfaits du feu sur ma peau malgré que je sois encore éloignée de l’âtre et séparée par un banc de bois artisanal qu’ils ont dû fabriquer. Je peux faire glisser mon jean sans problème au bas des jambes, l’enlever et le lui donner pour qu’il l’étende devant nous.
Je me retrouve en petite culotte, lorsqu’il me dit !

• Putain ma salope, je me doutais qu’ils étaient beaux, mais là c’est une merveille que tu places devant mes yeux.

Il parle de mes seins. Il me dit ces mots qui me touchent, car ils sont dits par cet homme un peu plus jeune que Pierre, même si sa dégaine porte peu à batifoler.
En petite culotte rose, je m’assieds à ses côtés alors qu’il me sert une tasse de café de la cafetière recouverte d’ une vieille chaussette, comme il y en avait chez ma grand-mère.
Ces chaussettes, je me suis toujours posé la question de savoir si elle s’en servait comme filtre après les avoir mises tout l’hiver précédent !
Même question ici, les avaient-ils pour aller débarder leur bois avant qu’elles finissent sur leur cafetière ?
C’est à ce moment que ce brave paysan ajoute !

• Jeanne, ma femme, elle en avait des petits, je me demande encore ce que ce bellâtre italien avait pu lui trouver, on aurait dit des œufs sur le plat.

Je suis à deux doigts de lui dire, qu’elle en avait peut-être un peu assez de ses manières de rustre. C’est du moins ce que Madeleine m’a expliqué la dernière fois que je suis allée faire le ravitaillement en pain. Il semble être perçu comme un homme autoritaire.

• C’est ce que je pensais, ils sont encore bien fermes, merde, on en a dans la main.

Lucien contre toute attente vient de me prendre un sein et le palper comme d’autres en leur temps palpaient le pis des vaches.
Est-ce le feu ou cette main, est-ce le manque de sexe, Pierre ayant des problèmes de prostate, je sens que ma chatte qui mouille...

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