Une Belle Époque Révolue

Mon premier témoignage est motivé par la misère actuelle des lieux de "cul" disponible en rapport à celle de ma jeunesse soit les années 80 / 90. Et oui, j'ai aujourd'hui passé la soixantaine et regrette cette décennie de rêve. A cette époque malgré ma trentaine bien avancé, j'avais eu peu d'aventures sentimentales et une misère sexuelle liée à l'éducation de mon époque où parler de cul en famille était tabou. Donc , c'est ces années là où je me suis décidé à m'aventurer dans les lieux chauds du quartier de Pigalle. Je passe sur arnaque vécue dans un "bar à putes" de l'époque. Passé ce faux-pas j'ai vite découvert l'existence du théâtre pour adultes tout près de la Place Pigalle. Ce théâtre porno (faut le nommer comme tel) fonctionnait sur trois séances nocturnes de 21 h à minuit. Mais la particularité, il était le seul de la demi-douzaine d"établissements de ce type sur Paris, à voir créé fin d'après-midi, un spectacle interactif ayant pour thème "L'EDUCATION ANGLAISE". Le principe, sur scène : un trio 2 femmes (la maîtresse et l'élève), 1 homme (le proviseur). L'idée bien évidemment était que ces 3 personnages passent en revue toutes les combinaisons d'accouplement devant un public de voyeurs et de voyeuses car je me suis vite rendu compte que de nombreux couples et parfois des femmes seules de tous âges étaient des habitués du lieu. La salle contenant une vingtaine de sièges, il n'était pas rare d'être une quinzaine à mater les galipettes sur scène. Le grand intérêt, c'est que très vite, les actrices invitaient le public à participer. Une leçon d'orthographe ou d'histoire, un prétexte disciplinaire était mis à profit pour faire monter sur scène soit une dame, soit un homme qui avait bien sûr fait exprès de mériter une punition. C'est à ce moment là, quand mon courage a été suffisant pour oser faire ces fautes, que j'ai découvert le plaisir malsain de devoir me mettre nu à la vue de vicelard(e)s en tous genres. S'exhiber la queue pendante, ouvrir sa raie culière pour recevoir la badine de la maîtresse devant dix à quinze personnes dont vous ignoriez l'extistence quelles minutes avant.

La maitresse "Branle ta petite nouille" sale cochon. Bien évidemment, les couples présents dans la salle ne restaient pas indifférents à ces petites scènes improvisées et j'ai nombre souvenirs de dérapages exquis auquels j'ai soit assistés soit eu le bonheur de participer. Combien de fois, des mâles que leur compagne avait longuement sucé, excités par le spectacle sur scène ou au pied de la scène, se sont vidés sur mes lèvres et mon visage. Parfois quand c'était une fille du public qui était choisi comme cobaye de la journée, nous avions le plaisir de shows lesbiens très très chauds qui enflammait la gente masculine présente. C'est d'ailleurs dans ce théâtre que j'ai reçu ma première douche dorée en public et découvert ma nature profonde à savoir être humilié et souillée comme la dernière des pute. Voici ma première confession, d'autres vont suivre très prochainement car depuis j'ai poussé ma recherche de dépravation bien plus loin.

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