Le Sapin De Noël.

En cette fin d’année, mon maître prépare une soirée festive avec quelques ami(e)s. Pour la nourriture, il fait appel à un traiteur, pour le service il a engagé quelques jeunes femmes très sexy et pour le sapin de Noël, il m’a choisi !
« Cet après-midi » me dit-il « je voudrais que tu ailles voir mon couturier . Je voudrais qu’il te fasse une tenue digne de moi pour Noël. Tu seras mon sapin, avec ses boules, ses guirlandes, ses bougies. Je te veux remarquable ce soir là ».
« Ne t’inquiète pas ! Mon couturier ne te touchera pas, il est gay. J’entretiens avec lui des relations très agréables. Tu as rendez-vous à 14 heures ».
À l’heure dite, je me présente devant l’immeuble où travaille le couturier. J’appuie sur l’interphone, une jeune femme me répond. Une employée, sans doute « une petite main » comme on dit dans le jargon. J’entends : « c’est le second étage, la porte palière à gauche ».
Je pousse la porte, monte dans l’escalier en bois en colimaçon. L’hôtel particulier est un vieux bâtiment, certaines marches grincent sous mon passage. J’arrive devant la porte. J’actionne le heurtoir de cuivre. J’entends des pas. Une ravissante jeune femme de grande taille m’ouvre la porte. Elle me propose de me débarrasser de mon manteau. J’hésite mais après tout, je suis chez un couturier. Après le couloir, la jeune femme ouvre une tenture et m’invite à entrer dans une pièce. La salle est vaste, une grande table au centre avec des rouleaux de tissu, dans un angle un mannequin, sur la face donnant sur la rue une psyché, pour se regarder. Alors que mon regard étudie la pièce, j’entends derrière moi des pas. Je me retourne, c’est un homme, le couturier, sur son cou un mètre pour prendre les mensurations. Il me tend la main, je lui serre.
Monsieur Dom m’a demandé de venir vous voir. Ce serait pour un sapin de Noël. « Oui ! » me répond-il, « je suis informé ». « J’ai quelques idées là-dessus. Il veut que ce soit une surprise, je vais prendre vos mesures et avec mon assistante vous choisirez les tissus que vous aimez.

Retirez vos vêtements, il faut que le projet soit moulant ».
Je reconnais là les consignes de mon maître. Le tissu doit mettre les formes en valeur, voire serrer le corps pour libérer les parties très intimes.
Je défais le bouton de ma jupe, puis la laisse tomber sur mes chevilles. J’apparais en slip noir et bas noir. Mon corsage blanc me sert de tunique et s’arrête au-dessus de mon pubis. Ensuite, je le déboutonne puis le retire. Je reste en soutien-gorge à balconnets. Le couturier esquisse un pincement de bouche et son assistante un sourire. Elle me dit : « il faudrait retirer le slip et le soutien gorge, ainsi que les bas. N’ayez crainte nous sommes seuls ».
Je m’exécute, me voilà nue, debout. Le couturier approche, il sort de sa poche de veston un petit papier et un crayon. Avec son mètre, il commence par mesurer les hauteurs, de l’épaule à la taille et de la taille au sol. Le ruban froid, se déroule sur ma peau. La sensation n’est pas désagréable. Ensuite il se met derrière moi et je sens sa main sur mon épaule. Il tient le mètre qui glisse le long de mes fesses, il met sa main sur le mètre au niveau de la taille puis demande à son assistante de lire la mesure au contact du sol. Elle lui indique la hauteur, il l’écrit sur son papier. Il vient se mettre devant moi, m’enserre la taille avec ses bras pour passer le mètre, il le serre au niveau de mon nombril. Il lit puis lâche le ruban et note la mesure. Il recommence autour de mes hanches, il m’enserre, sert, mesure et note. Ensuite il demande l’aide de son assistante. Elle prend le mètre, m’enserre et le sert. Le couturier peu satisfait de l’emplacement du ruban, l’ajuste, juste à la pointe de mes seins. Les quelques effleurements ont suffit à les faire pointer. L’assistante me sourit. Le couturier note la dimension de ma taille.
« Avec M. Dom, j’ai fait un croquis » continue-t-il. « Le voilà ! » Je regarde la feuille de dessin qu’il me tend. Au pastel, je vois une silhouette féminine (moi !) vêtue d’un corset de cuir passant sous les seins pour les soutenir.
Il est de couleur sapin du nord, muni d’anneaux, de chainettes.... Le bas de ce corset dégage le pubis et laisse le sexe accessible et visible. Aux jambes des bottines vertes avec une bande de fourrure au niveau du mollet, sur ma tête un bonnet vert avec une petite étoile et une bande de fourrure au niveau du front. Enfin, des gants couvrent le dessus et la paume de la main et remontent jusqu’au coude ou une bande de fourrure les limite.

Ça vous convient ? me dit-il. Oui c’est ce que M. Dom m’avait évoqué. « Comme c’est vous le sapin, il convient que vous choisissiez les tissus, ils doivent être confortables et excitant visuellement et au contact. J’ai sorti quelques coupons ». Nous nous approchons de la table. Regardez avec mon assistante et faites votre choix, je dois m’absenter un instant.

Il sort. Je reste seule, nue avec son assistante, près de la grande table de coupe. Elle prend un rouleau de cuir vert sombre. Elle me le montre. Je le regarde, elle m’invite à le toucher. J’avance ma main, voyant que je suis hésitante elle me dit : je vais vous le mettre contre votre corps, il faut que vous en sentiez le contact. Elle déroule quelques mètres et présente l’angle de l’extrémité entre mes seins.
« Voyez » me dit elle, « la couleur met bien votre peau en valeur et elle rappelle parfaitement les sapins ». Elle prend le lé du coupon puis avec sa main le rapproche de mon pubis. Je suis rasée de près, mon maître fait souvent le barbier, il aime à ce que je sois lisse. Elle appuie juste au niveau de mon clitoris. J’ai une curieuse sensation. Je sais que je dois servir de sapin, mais je n’ai pas connaissance que je doive servir de jouet intime à l’assistante du couturier. Tout à coup, je réalise, le couturier est gay et son assistante est sans doute homosexuelle également. C’est là une situation agréable. Bien que je sois bi, j’ai peu d’expérience dans ce domaine. Je me laisse faire, elle déplace son point d’appui puis retire le coupon de tissu.

Elle me dit : « ce cuir est très agréable à porter, il est souple et micro transpirant. Il vous ira parfaitement. Avec le couturier nous avons pensé qu’il fallait l’agrémenter de soie ou de satin. M. Dom a retenu la soie, il nous a dit que son sapin devait faire honneur. Je vais vous le faire sentir ». Elle prend le coupon sur la table. La soierie retenue est de couleur verte, comme le cuir. Elle déroule quelques mètres puis décide de me dr complètement avec. Le contact de la soie est particulièrement sensuel, il stimule mes sens. Elle fait glisser la soie sur mon corps en insistant sur mes seins. Mes tétons sont proéminents. Elle sent cette stimulation, elle passe derrière moi et lascivement déplace la soie sur mes fesses rebondies. Je suis en train de mouiller. Me voilà incapable de me contrôler. Ces effleurements de matières nobles font naître des sensations de désir certaine. J’ai presque hâte d’enfiler le costume fini.
Elle retire la soie puis me montre une bobine de chainettes dorées. Elle déroule quelques mètres et m’enroule avec. Voilà un bondage très agréable, elle ne sert pas mais choisi les points stratégiques du plaisir pour leur passage. De la nuque, deux morceaux pendent de part et d’autre, passent sur la pointe des seins continuent dans le dos puis se croisent pour descendre sur ma croupe et s’insinuer entre mes fesses, elle revient devant moi puis att les chainettes entre mes cuisses, les remonte lentement sur mon clitoris et les tient à hauteur de ma taille. Me voici harnachée, tenue en laisse par une assistante zélée. La tenture de l’entrée de la salle se soulève, le couturier entre. Il me voit ainsi maintenu, il sourit et dit : « un rien vous habille ». Il continue : « avez-vous choisi ? » L’assistante répond affirmativement et je confirme.
« Bon vous pouvez vous rhabiller, je vais me mettre au travail ». Le soir de Noël mon assistante livrera le costume et vous aidera à le mettre.
Il sort de la pièce. Je reste avec l’assistante.
Je la voie concupiscente. Elle a envie de continuer ses jeux sensuels. Je me rhabille. Alors que je suis prête à quitter la pièce, elle m’invite à aller prendre le thé à l’étage au-dessus. Je suis très excitée, j’avais peur que ce moment d’éveil ne s’arrête là. J’ai envie de poursuivre. J’accepte. Elle me dit : « je mets le répondeur, c’est la fin de ma journée ». Sic ! ce n’est que trois heures et demi ! Peut-être est elle à mi temps. Nous sortons et reprenons l’escalier de bois pour atteindre le troisième, sous les combles. Elle me montre le chemin, arrive devant sa porte met la clé et ouvre, puis éclaire l’entrée.
C’est petit mais très agréable. Elle aime les tissus de couleur chaude, les fourrures, dentelles et soierie. Nulle doute, elle a misé sur le sensuel. « Je vais préparer le thé » me dit-elle « Installez-vous ! ». Je pose mes affaires, je m’assois au milieu du divan. Il n’y a pas d’autre fauteuil. Elle sera contrainte de se mettre contre moi. J’ai très envie de continuer.
Quelques minutes plus tard, elle apparaît. Elle s’est allégée. Elle a enfilé un long vêtement, boutonné sur le devant. Sa longue robe en tissu soyeux d’un bleu foncé est à l’image de l’appartement. Elle porte un petit plateau sur lequel, elle a posé une théière qui fume, deux verres à thé, un sucrier et une petite cuillère. Elle s’approche de la petite table, le pose et s’assoit sur le divan où je suis. Elle pose sa main gauche sur ma cuisse droite, je ne me dérobe pas. Sa main est chaude. Avec sa main droite, elle prend la théière et me sert. Puis prend le verre et me le donne. Sa main gauche est toujours sur ma cuisse droite. Je prends le verre de ma main droite et pose ma main gauche sur sa main gauche. Elle semble prête, je lui prends les bout des doigts, je les masse doucement en suçotant le thé dans mon verre. Elle fait de même. Nous n’échangeons ni mots ni regard, nous sommes dans la relation tactile. Je pose mon verre à demi vide. Avec ma main droite, je caresse sa cuisse gauche sur sa robe longue. Elle se laisse faire et continue à boire par petites gorgées. Elle se détend en posant son dos sur le dosseret du divan, je continue. Voyant que son verre est vide, je le prends pour le poser sur la table et au moment où je me redresse elle colle sa bouche contre ma bouche, m’enfonce sa langue et touche la mienne, elle m’allonge sur le divan et passe sa main sous ma jupe. Elle sait que je porte un simple slip. Elle a tôt fait de l’écarter pour venir du bout du doigt butiner mon clitoris. Je me laisse faire et décide de me débarrasser de mon corsage. Elle me trousse puis se ravise, elle fait glisser ma jupe vers mes jambes, je m’en débarrasse par quelques jeux de jambes. Elle continue ses mouvements rotatifs sur mon bouton. Je respire de plus en plus rapidement. J’apprécie ses préliminaires, elle le sait. Elle a eu tout loisir de le découvrir lors des mensurations. J’investis sa robe, je retire un à un les scratch qui sont sous le faux boutonnage, les pans de la robe s’écarte, elle est nue. Je suis aux anges, elles fait monter ma libido. Je caresse son clitoris mais je souhaite rapidement voir si elle mouille. Mon index s’insinue entre ses grandes lèvres, elle s’écarte un peu pour me laisser entrer, j’entre et je cherche ce petit morceau de territoire de plaisir. Nous sommes toutes les deux allongées sur le côté, face à face, l’une et l’autre explorant d’une main la géographie intime de l’autre. Alors qu’elle pénètre l’entrée de mon vagin avec son doigt, je trouve le point que je cherche. Sur l’avant, à quelques centimètres de l’entrée. Il est différent du reste de la paroi, un peu plus rugueux un peu plus dur aussi, sensiblement rebondi. Je commence à pianoter dessus. Elle apprécie. Elle continue à me fouiller. Elle enfonce maintenant trois doigts dans mon corps. Je mouille, elle m’embrasse les seins, puis se met à me téter. Tout d’abord, ce sont des petites morsures, comme pour faire sortir le tétons, puis des petits coups de langues circulaires puis des aspirations. Je continue à lui masser le point G. Sa respiration se raccourcit, elle m’aspire littéralement. Mon téton reste collé à sa langue. Elle constate que je ne suis pas encore au point. Elle retire ma main de son sexe et pivote. Face à mon visage, j’ai son pubis, ses jambes écartées. Elle approche sa bouche de mon clitoris et se met à m’aspirer. Ce cunnilingus très particulier « aspirant » fait monter la pression en moi. Je reprends mes investigations dans son sexe. Je veux qu’elle jouisse avant moi. Elle veut que ce soit moi qui craque la première. Je décide de lui enfoncer quatre doigts, et de jouer à les écarter et à le resserrer en rythme, elle m’aspire et me lèche en rythme. Lorsque j’accélère, elle accélère et quand je ralentis elle ralentis. Nous sommes sur la même longueur d’onde : l’onde du plaisir. Je sens ses doigts glisser lentement vers ma rosette en étalant au passage ma citrine. Elle s’immisce lentement vers mon anus, je me resserre dans une premier temps. Puis, elle insiste. Elle retourne vers le vagin, le pénètre récupère du lubrifiant naturel et se dirige à nouveau vers ma rosette. Et là d’un index volontaire, elle me pénètre d’un coup. Je lâche un ah ! de surprise auquel succèdent de petits cris de plaisir. Elle arrête de me sucer et me dis : « je savais que tu étais anale » Je lui réponds : comment ? M. Dom m’a parlé de toi, j’étais sa soumise avant qu’il ne me confie à son ami couturier. Il est gay mais aime avoir une soumise à sa disposition, c’est bien vis-à-vis de ses clients hétérosexuels. M. Dom m’a appris ce que je sais, il ne m’a jamais utilisé comme sapin de Noël, mais je connais bien ses travers, et son attirance pour les femmes annales. Tu en es une. Je ne peux démentir, elle continue à me pénétrer en rythme avec des doigts. Je sens que je lâche prise. Je veux qu’elle craque. Alors j’astique son point G et, sa respiration, tout comme la mienne, devient de plus en plus courte et saccadée. Elle me fait le coup de grâce en m’enfonçant des doigts simultanément dans le vagin et l’anus, satisfaite de m’avoir prise, elle se laisser aller à la jouissance. Ma main est trempée. Les spasmes parcourent son corps. Le mien est également ébranlé par cette double pénétration. Elle poursuit me laisse sans répit, je jouis, alors elle retire sa main de mon anus et me donne une grande fessée. Elle me dit : « tu l’as méritée, tu en a mis du temps à m’obéir ». Je comprends qu’elle s’est mise en position de dominatrice. Elle s’allonge derrière moi. Nous restons un moment allongées l’une contre l’autre dans la position de la cuillère. Sa main droite est sur mon pubis, elle me tient. Je me repose, elle aussi. L’étreinte a été forte. Je suis sur un petit nuage, je sens ma citrine qui coule hors de moi, je suis trempée. J’ai presque honte. Elle me tend un mouchoir en papier. Je m’essuie. Elle se lève, va vers la salle d’eau et m’appelle. « Viens te laver ! Il y a une douche ». Je me lève et arrive. Le coin toilette sert également de WC. Sur l’étagère j’aperçois un kit pour les lavements. C’est réellement une coquine. Elle voit que je le regarde et me dis, si tu veux, la prochaine fois, on tirera au sort laquelle de nous deux sera l’infirmière. Je porte un regard émerveillé. Il y aura un eprohaine fois ! Elle me répond par un autre regard. Je me lave, retourne près du divan et me rhabille, elle me suit. Elle a enfilé un peignoir. Elle me raccompagne jusque dans le couloir. On se quitte, elle me dit : « à la semaine prochaine, mon sapin de Noël », je lui réponds « à bientôt ». Je descends l’escalier encore toute torride de ce qui m’est arrivé. Dehors il fait presque noir, nous sommes en décembre, les journées sont courtes. Il fait froid. Je rentre chez M. Dom. Il m’attend. « Tu en as mis du temps ! » me dit-il avec un sourire narquois. Je souris et je réponds : « ce sera un beau sapin de Noël ».

Prochainement la soirée de Noël

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