Histoires De Pieds - Le Train Ii

Le livre commençait à me lasser, et je le reposais dans le sac. Le voyage paraissait durer une éternité, et la femme à mes côtés était plongée dans son magazine.
Mes yeux parcoururent furtivement son corps. Un pull au décolleté prononcé mettait en valeur une poitrine très généreuse, libre de tout soutien-gorge, pouvait-on en déduire des petites bosses qui soulevaient la maille épaisse.
Un jean moulait ses longues jambes, et elle portait des baskets à l'aspect passablement usés.
Alors que mes yeux en étaient là, elle glissa une main pour faire tomber ses baskets. Des pieds nus se tortillaient et, pour les délasser, elle fit passer ses mains le long de la plante, ses doigts entre les orteils. Hypnotisé par ses pieds, je ne m'aperçus que trop tard qu'elle me fixait, riant.
- Ils vous plaisent ?
- Euh, pardon ? Fis-je, rougissant.
- Ils vous plaisent ? répéta t'elle, souriante.
- Excusez-moi, je ne voulais pas...
- Vous les trouvez jolis ?
- Euh.. oui, beaucoup.
- Vous aimez les pieds ?
- Hmm. Oui, c'est vrai, mais je ne voulais pas vous gêner.
- Oh vous ne me dérangez pas ! Je trouve ça plutôt marrant.
S'ensuivit une discussion courtoise à voix basse sur le fétichisme.
L'arrêt à une gare stoppa net la conversation.
Le train repartant, elle fit :
- Vous voulez les sentir ?
Mon cœur tapa fort, très fort.
- Pas ici, c'est un peu risqué.
Elle jeta un regard alentour, puis ajouta :
- Les plus près sont à quelques rangées de nous. Ils ne verront rien.
Sur ces mots, elle croisa ses jambes, un peu à la manière d'un homme.
Sa cheville droite reposait maintenant sur son genou gauche, me laissant admirer un pied chaussant probablement du 38 ou 39.
Sa plante légèrement rosée luisait un peu de sueur.
- Personne ne peut nous voir, allez-y.
Elle disait tout cela en remuant les orteils. Je plongeais alors la tête jusqu'au niveau de son genou, et, sans toucher son pied, en huma l'odeur.


Je remontais le cœur battant.
Elle souriait toujours, mais ses joues s'étaient empourprées. Mon regard tomba sur son pull, et mon érection s'intensifia quand je vis comme elle pointait.
Je pouvais apercevoir l'auréole brune de ses tétons à travers les grosses mailles.
- Un peu exhibitionniste, lui fis-je, désignant sa poitrine.
- Sûrement.
Pour appuyer ses dires, elle fit glisser son pull, et l'appuya un peu pour coincer un téton entre deux mailles.
Du bout du doigt, elle le caressait.
- Sentez-moi encore les pieds, ça m'excite.
Personne ne pouvait nous voir, son téton étant invisible pour quelqu'un n'y prêtant pas attention, et l'attitude de ses pieds n'ayant rien de choquant.
J'avais le nez entre ses orteils quand elle fit :
- Ejaculez-moi dessus.
- Quoi ?
- Ejaculez-moi sur les pieds.
- Mais ..
- Oh, et puis zut !
Elle se pencha alors et m'ouvrit la braguette. Elle prit mon engin dans sa bouche.
Je ne savais pas où me mettre.
Elle me léchouillait maintenant le gland, continuant de me branler.
- Je vais venir !
Elle se redressa alors, et mis ses pieds sur ma bite.
Un flot de sperme jaillit et alla recouvrir ses plantes de pieds, s'infiltrant entre ses orteils.
Elle gémissait, doucement.
Elle passa les trente minutes restantes à se lécher les pieds, me jetant des regards complices qui me firent venir une deuxième fois.

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