Première Expérience En Extérieur...

Je m'appelle Michèle. J'avais 37 ans à l'époque, il y a dix ans... Cheveux châtains mi-longs, yeux bleus, 1m65 pour 67Kgs : physique agréable de par mes séances quotidiennes de fitness. J'apprécie me promener seule la nuit et cela me permet de faire parfois d'agréables rencontres. Maquillée juste ce qu'il faut, je ne m'habille qu'avec des jupes courtes qui laissent voir mes jolies jambes gainées de bas nylon. Chaussée d'escarpins, le son de mes pas résonnant sur le trottoir cadence le balancement de mon cul. J'aime sentir le vent s'engouffrer sous ma jupe et venir caresser mes fesses que seul mon string protège. Ce soir-là, il était vingt-trois heures trente et je marchais déjà depuis une bonne petite heure quand, ayant mal aux pieds, je décidais de me reposer sous un abri-bus. Situé sur un parking derrière une église, il avait l'avantage d'être à l'écart de biens des passages. Assise sur mon banc, je m'étais déchaussée et j'avais entrepris de me masser les pieds. Absorbée par ma corvée, je ne l'ai pas vu arrivé et je ne me suis aperçue de sa présence que lorsqu'il était assis à côté de moi. C'était un homme d'une quarantaine d'année, je pense, bien habillé, bien physiquement. Je ne peux pas en dire plus car dans la pénombre et sans mes lunettes... Toujours est-il qu'il me dit qu'il me suit depuis de longues minutes et qu'il ne savait pas comment faire pour m'aborder. Le fait de mettre arrêtée là, lui a facilité les choses. Sans échanger aucunes autres banalités, il prend mes pieds, les posent sur ses cuisses et commence à me les frictionner. Dans le mouvement, ma jupe déjà courte remonte encore un peu et il peux distinguer la lisière de mes bas. Un peu intriguée mais pas effrayée, je le laisse faire. Il me complimente sur mon habillement et mon physique, et d'un coup, déjà ses mains remontent le long de mes jambes. Je ne sais pas si je dois le laisser faire mais les choses vont tellement vite que ses mains sont dès-lors disparues sous ma jupe et je les sens s'aventurer entre mes cuisses.

Je me ressaisie un peu et j'enlève mes jambes de ces cuisses pour me rasseoir correctement. Il s'excuse de sa précipitation mais ajoute que la vue qu'il vient d'avoir ne la pas laissé indifférent. Et comme pour prouver sa bonne foi, il prend ma main et la pose sur sa braguette. Son pantalon est de fine étoffe et je peux sentir la dureté de son sexe au travers d'autant qu'il ne porte pas de sous-vêtement. Je décide alors de caresser cette queue qui me parait des plus correctes. Mes caresses lui font de l'effet et il entreprend donc de me peloter les seins. Je me dégage de cette position et me lève pour venir me placer face à lui. M'accroupissant, je déboutonne son pantalon et en extirpe sa bite que je m'empresse de prendre en bouche. Déjà gonflée d'excitation par ma branlette, je lui pompe le dard avec une telle vigueur qu'il a tôt fait d'éjaculer. En vrai gourmande qui apprécie les bonnes choses, je ne perds pas une seule goutte de sa chaude semence et je le bois entièrement. Je me relève, rajuste ma tenue et ramasse mon sac pour partir quand il me prend par la taille et me présente face à la banquette. Il me propose de monter dessus en me tenant droite sur mes genoux et en lui présentant mon dos. Ses mains retournent sous ma jupe, effleurent mes cuisses, s'attardent sur mes jarretelles et écartent la ficelle de mon string. Avec deux doigts, il entreprend de me masser mon petit trou froncé. Sa langue remplace bientôt son annulaire qui s'était enfoncé dans mon anus sans que je ne laisse rien paraître de ma stupeur. Il me lèche fort en n'hésitant pas à introduire de la salive dans mon cul. Je devine la suite et je suis prête à l'accepter. Le seul problème serait si quelqu'un venait à passer. Mais tout à l'air si calme et vu l'heure avancée de la nuit... Et j'ai envie qu'il me sodomise, ici, sur ce banc, sous cet abri-bus. Néanmoins, fouillant dans mon sac à mains, je lui tends un préservatif qu'il me demande de lui mettre. Ainsi préparés, on reprend chacun notre position.
Il pose son gland sur ma rosette et pousse lentement pour entrer progressivement en moi. Il contrôle parfaitement sa progression et est attentif à mes moindres réactions. S'arrêtant lorsque je grimace afin de me laisser m'habi à sa queue qui plus grosse que je ne l'avais estimée, me déchire. Puis reprenant sa pénétration afin de me la mettre au plus profond de mon cul. Ce n'est que lorsque ses couilles butent contre mes fesses qu'il entreprend alors un va et vient des plus lancinant. Voyant que je ne me plait plus, je n'en suis quand même pas à ma première sodomie, il me lime de toute la longueur de sa queue et ses mains n'arrêtent pas de peloter tout les endroits de ma personne. Tout cela a pour effet de déclencher chez moi un orgasme anal assez violent agrémenté de cris jouissifs stridents. Alors, il me fait m'allonger sur le banc, sur le dos, se place entre mes deux jambes, les relèvent sur ses épaules, et entreprend de m'enculer une deuxième fois. Les mains agrippées à mes hanches, il accélère le rythme. J'ai le cul en feu mais je ne veux pas échapper à son étreinte. Sentant venir sa jouissance, il rejette ma jupe au dessus de ma taille, dégage ma queue de mon string et commence à me masturber tout en continuant de me mettre sa queue bien calée au fond de mon cul. Le résultat ne se fait pas attendre. Il jouit, en jets saccadés, au plus profond de mes entrailles tandis que je nous asperge de mon foutre. Il me dira n'avoir deviné que sous l'abri-bus que j'étais un homme à mes mains un peu forte et à la pointure de mes pieds par rapport à ma taille. A ce moment, il voulait savoir jusqu'où j'irai sans penser que j'irai jusqu'au bout. Il n'a pas été déçu et moi non plus. Je lui ai expliqué que j'aimais me travestir depuis très longtemps et surtout m'habiller sexy, et que je n'hésitais à braver les dangers que peuvent représenter mes sorties nocturnes que je multiplie sans cesse et qui m'ont déjà donné quelques frayeurs car elles ne se déroulent pas toujours de cette façon.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!