Entrée En Matière

Je ne peux oublier cette fille de 25 ans, une nana un peu nymphomane qui a des moments où elle oublie le sexe : c’est assez rare. Je l’ai prise en stop il y a une semaine, sans rien savoir sur elle. Dès qu’elle pose son sac sur le siège arrière, je lui demande de mettre sa ceinture, ce qu’elle fait. Nous parcourront une dizaines de kilomètres quand elle commence à s’agiter, elle soulève sa frêle jupe et y passe sa main. Elle fait tout pour que je ne la vois pas. Je ne suis pas tombé de la dernière pluie. Après tout le spectacle a deux avantage, d’abord il est gratuit et en ensuite excitant. Je sens ma bite bander lentement. Je vois sa jupe s’agiter : elle a posé sa main sur son sexe, où je ne sais pas encore. La façon d’agiter sa main est révélatrice, elle se branle le clitoris. Je me tourne vers elle en lui demandant si ce qu’elle se fait est bon. Avec un sourire plein de candeur, elle me réponds que oui.
Je vois un chemin à quelques pas. Je ne demande rien et je m’engage sur ce sentier, fais une centaines de mètres. Elle est toujours sa main sur son clitoris, la tête en arrière. Elle ne s’arrête même pas quand je stoppe le moteur. Je lui parle en disant où nous sommes. Je lui dit ce que j’aimerai lui faire : l’embrasser d’abord, lui caresser les seins, lui enlever ses vêtements et une fois nue, remplacer sa main par la mienne sur son bouton, avant de la baiser.
Ce que je dis doit porter, puisqu’elle me donne sa bouche. Nos langues entament la danse universelle de l’amour à venir. Elle embrasse bien, la salope. Je ne fais pas les choses dans le détail, je lui enlève son t-shirt sous lequel elle est nue. Bonsoir de bonsoir, qu’elle paire de loches ! Ses seins sont presque trop gros pour que j’en prenne un seul dans la main. Par contre, même s’ils dépassent la taille standard, ils sont durs. Je ne sais si c’est à cause de sa masturbation ou si c’est naturel. Je me penche un peu plus et lui lèche les mamelons. Cette façon de faire lui plait terriblement.


Nous sortons de la voiture: elle est pratiquement assise sur le capot encore chaud de la voiture. Je lui enlève sa mini jupe sous laquelle elle est aussi nue qu’en haut. Avant que je puisse lui faire quoi que ce soit, elle s’arrange pour me déshabiller aussi. Mon physique ne l’intéresse que vers mon bas ventre:
- Tu as une belle bite, je me la payerai bien.
- Ta chatte n’est pas mal non plus, j’aimerai y faire un tour.
- Et mon cul, tu as vu mon cul. Je sais m’en servir pas mal, tu sais, aussi.
- Et ta bouche ?
- Elle sert à te donner des baiser et te sucer la bite si tu y jouis dedans.
Je suis tombé sur le bon numéro, pas besoin de perdre un temps fou à lever une fille, celle là ira bien pour ma bite.
Elle est sur les charbons ardents. Je passe ma main entière sur son sexe. Je caresse le tout avec ma paume. De temps en temps un doigt jaillit pour effleurer l’entrée du vagin, puis le clitoris. Je n’insiste pas, alors qu’elle piaffe. Je recommence plusieurs fois la même chose : je sens que toute sa chatte est mouillée. J’ai pitié d’elle je pose un doigt et un seul sur le clitoris en lui demandant quel geste lui plait le mieux. Son bouton est lubrifié au maximum, elle me demande de le prendre à deux doigts de chaque coté. Je ne peux raisonnablement pas la branler, je m’accroupis devant elle qui ouvre ses jambes. Je lèche son clitoris : elle commence une chanson de soupirs très appuyés. Elle jouit sur ma bouche une grande quantité de cyprine. Je continus, je l’aspire, le décalotte et comme une petite bite je le lèche. Elle n’arrête pas de jouir. J’arrête pour lui donner un temps de repos. Elle vient contre moi. Je sens son corps chaud contre le mien. Elle reste tranquille juste un instant très court. J’ai ma queue contre son ventre, comme je bande toujours, elles se baisse :
- Je vais te faire jouir en te suçant.
Elle commence à passer ma queue sur ses seins. Elle forme comme un L avec sa main, pour la placer sous mes couilles et me donne quelques coups de langues.
Elle alterne les léchouilles et des petites pressions avec ses lèvres fermées. Elle me lèche maintenant les testicules, descend sa langue jusqu’à l’anus, Elle prend ma queue dans sa bouche et vas et viens de bas en haut lentement. Je commence à gémir, elle n’arrête pas. Elle se sert de sa main pour que j’ai encore plus de sensations : elle le fais aller de haut en bas sur la hampe, en accompagnant ainsi sa bouche. Elle enfonce ma bite le plus loin possible dans sa bouche. Elle entre un doigt dans mon cul. Quand elle sent que je suis sur le point de jouir elle exerce une pression entre le scrotum et mon anus. Elle arrive ainsi à me toucher un peu la prostate. J’éjacule dans sa bouche : elle ne se relève que quand j’ai fini de jouir. Elle avale tout :
- Ton foutre a bon goût.
Nous nous rhabillons pour reprendre la route.
Je vous raconterai la suite bientôt, j’espère.

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