Sexgames 01 - Mini-Jupe Et Chatte Rasée

Voilà quelques jours à peine que nous venions d’emménager dans cette petite maison de campagne. En ce lundi matin, tu étais de la salle de bain, te préparant pour aller travailler. Moi, toujours sous la couette, je jetais de temps à autre un coup d’œil vers le fond du couloir afin de satisfaire mes pulsions de voyeur. Je n’oublierais jamais la tenue que tu portais ce jour là.

C’était une très belle journée d’été qui s’annonçait, très chaude, tout comme toi. Tes cheveux longs attachés mettaient en valeur tes magnifiques yeux verts, ta bouche dont la forme naturelle donnait l’irrésistible envie de l’embrasser.
Ce petit top noir sans manches, collant à tes formes incitait à peloter tes seins dont les tétons pointaient au travers du tissu comme une véritable provocation. Les chaussures à talons que tu avais choisies renforçaient le galbe de tes irrésistibles fesses. Mais le plus excitant était cette mini-jupe verte, rigide, descendant à peine 10 cm en dessous de ton joli petit cul. L’effet chez moi était visible, ma queue était déjà hyper-tendue et déformait la pourtant bien épaisse couette qui la masquait.

Comme chaque matin, tu passas pour me dire au revoir avant d’aller chercher ton bus. A peine arrivée près de moi, ma main se posa sur ta cuisse, remontant directement en dessous de cette jupette afin de peloter ton cul et deviner quelle petite culotte tu portais la dessous. Tu te penchas vers moi et tout en me disant : «à tout à l’heure mon amour» tes lèvres se posèrent sur les miennes alors que ta main parti directement enserrer ma tige en dessous de la couverture, commençant immédiatement à me branler. Tout en me souriant, tu dégageas le tissu masquant mon état pour engouffrer ma bite dans ta bouche tellement chaude. Tes va-et-vient lents et profonds finirent de me sortir de mon demi-sommeil et après quelques instants, tu partis... pour ne pas être en retard, il était temps.

Je passais la journée avec l’image de cette sacrée mini-jupe en tête.

J’attendais ton retour avec impatience. J’imaginais que bien des gens devaient se rincer l’œil en te regardant. Cela m’excitait et me flattait... et me faisais bander aussi.

Enfin 17h00. tu étais rentrée depuis quelques minutes. Toujours aussi désirable, tu avais commencé à consulté le courrier posé sur un meuble, accoudée, les jambes légèrement écartées. N’y tenant plus, je m’approchai de toi. Posant d’abord mes mains sur tes hanches, positionné derrière toi, je couvrais ton cou de baisers doux. Bien vite, je remontai vers tes seins pour les peloter avec passion tandis que ma langue rencontrai la tienne. Je pinçais tes tétons en me plaquant contre toi pour te faire sentir la barre déformant mon jeans, tu ondulais ton corps t’offrant à mes caresses lâchant de légers soupirs excitants. Mes doigts de promenaient maintenant sur ton sexe au travers du fin tissu humide de ton tanga, je dessinais cette fente moulée à la perfection de mon index puis, me mis à genoux pour enlever ce rempart au plaisir. Tu écartas encore plus les jambes, tu semblais avoir deviné mes intentions, oui, j’allais te lécher, j’en avais trop envie.

Je m’assis donc en dessous de cette tentation et parcouru toute la longueur de ton intimité de ma langue, découvrant l’ampleur de ton état d’excitation. bien vite, je titillais ton clito bien dressé appliquant des coups rapides et appuyés pour encore le faire durcir. Ton souffle court laissa vite place à de petits cris, signes d’un orgasme en arrivée. Je m’appliquai à te sucer ce petit bout de bonheur tout en enfournant un doigt dans ta grotte détrempée. Je te fouillais, je te léchais, je te suçais avec attention. Quand je sentis que tes jambes fléchissaient, que tes râles se faisaient plus lourds, j’ajoutais un deuxième doigt au plus profond de ta chatte, accompagnant mes assauts buccaux d’un va et vient de mes doigts pour t’entendre crier ton plaisir et laisser couler ta liqueur abondante sur mes joues.

Comme si de rien n’était, je remis ta petite culotte en place et après un tendre baiser, parti dans le salon, toujours la queue raide, terriblement raide.
Car en attendant ton retour, je t’avais préparé une petite surprise, ma queue, mes bourses étaient totalement rasées et il faut avouer que j’étais véritablement en feu en découvrant de nouvelles sensations.
Nous passâmes la soirée normalement, profitant de cet instant à deux. Tu savais que ta tenue me rendait dingue et n’hésitais pas lorsque l’occasion se présentait à exhiber tes trésors, prenant le temps, sourire en coin de booster ma libido en croisant, décroisant les jambes, te penchant dès que tu pouvais en prenant soin de mesurer tout l’effet que tu me faisais.

Il fallut attendre 23h00 pour nous retrouver au lit.

Ne portant que ton tanga, tu me regardais les yeux pétillants. Je pris ta main, la guidais vers ce manche impatient, surprise d’abord, le petit «hmmm» qui suivit accompagna un passage en revue, fort détaillé, des zones sensibles. J’enlevais mon boxer.

«Ca donne envie» me lanças-tu en te penchant pour immédiatement me sucer sans ménagement. Dieu que c’était bon, sensations décuplées par le rasage, tes mains sur mes bourses, ces bruits de succion... à la limite de l’irrésistible... non, c’était irrésistible, il ne fallut pas 3 minutes avant que je hurle : «je jouis». Tu me branlas fort, enfournant ta langue dans ma bouche et laissant éclater mon orgasme décuplé par le feu du rasoir et cette image de mini-jupe trainant encore dans ma tête.
Intriguée sur les sensations, vu la force de ma jouissance, tu me posas quelques questions pendant que je reprenais mes esprits et proposa d’aller à la salle de bains pour que je puisse te raser... oui, tu avais envie d’y goûter.

Quelques minutes plus tard, tu étais lisse. La vue de ta moule glabre redonna de la vigueur à ma bite, qu’est-ce que ça m’excitait ! Comme une pulsion, je plongeais ma tête entre tes jambes et entrepris de te brouter à nouveau. Je pense qu’au niveau sensations, tu aimais beaucoup, en tout cas, la vitesse à laquelle ta chatte est devenue fontaine ne laissait pas de doute sur la question.
Un doigt, puis deux te défonçaient maintenant. Mais tu me stoppas, me pris par la main et m’entraîna vers le lit. Tu te mis sur le dos, et me dit : «occupes-toi de mes seins». En un quart de seconde, j’attrapai à pleine mains tes deux globes gonflés et je suçais avidement ces tétons dardés. Tour à tour, je les aspirai fortement. Tu te tortillais dans tous les sens, tes râles avaient déjà fait place à des petits cris secs si bandants. Alors que, n’en pouvant plus, j’allais planter ma tige en toi, tu crias : «oui, je jouis !» Tu te cambras durant de longues secondes avant de retomber véritablement terrassée de plaisir.
Je ne te laissai pas récupérer et enfuis ma queue au plus profond de cette chatte dégoulinante en posant tes pieds sur mes épaules. Immédiatement, tu te remis à pousser de petits râles au rythme de mes coups de butoir. Je n’en pouvais plus, ma bite enserrée par les contractions de ta moule me surexcitait, je te défonçais véritablement.
Je larguais tout mon plaisir au moment même ou tu jouissais encore...

Quelle journée inoubliable !

Dans les jours qui suivirent, nous profitions dès que possible de ses nouvelles sensations procurées par le rasage. Nous commandions aussi notre premier vibromasseur, titillé par la découverte d’un catalogue de vente par correspondance. Notre choix s’était porté sur un modèle simple, d’une vingtaine de centimètres de long et d’une épaisseur de 3 cm. Sa couleur était noire, il n’y avait pas trop de choix à l’époque.

Nous attendions le colis mais avions de quoi nous occuper...

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