Rencontre Avec Jean, Le Voisin.

Le vendredi soir suivant, comme j'avais le code d’entrée de la résidence je me pointais devant le hall de Jean. Il était un peu plus de 20h. N’ayant pas le code de son hall et voulant lui faire une surprise je n’attendis pas plus de dix minutes avant que quelqu'un ne sorte. Je fis mine de téléphoner et rentrais...
Je sonnais à sa porte et il fut très surpris de ma visite inattendue, surtout qu’il venait de prendre sa douche et était en peignoir. Il m’invita avec empressement dans le salon. On s’assit pour boire l’apéro. On discuta de tout. Puis je me levais pour prendre des amuses gueules à l’extrémité de la petite table. Mais comme on était serré j’eu a passer devant lui. Et en voulant me rassoir je trébuchais sur ses pieds et atterri sur lui, les fesses sur son bas ventre et je senti son sexe qui était déjà très dur. Et ca, il me l’avait bien caché sous son peignoir !
Il me glissa à l’oreille que je le faisais bander à mort. Il commença à me lécher le cou en remontant de ses mains ma mini jupe sur l’entrée de mes bas pendant que je remuais des fesses sur sa queue.
Il m’attrapa la tête et m’embrassa à pleine bouche. Je remuais des fesses sur son bas ventre, jouant avec sa queue qu’il frottait avec mes fesses. Puis il passa son bras autour de ma taille et m’immobilisa. Il attrapa sa queue et mit son gland contre mon œillet et là je me rendis compte qu’il n’a jamais joué.
Me maintenant bien fermement il entra son gland puis stoppa deux secondes. Il me murmura qu’il allait m’enculer et que je ne devais pas me retenir de hurler si j’aimais ca. Je m’exécutais et quand il m’enfonça chaque centimètre de sa queue m’écartant mon anus, je poussais un énorme gémissement super fort !
Il faisait coulisser tout son membre d’une lenteur extrême jusqu’à ses couilles dans de longs vas et viens. Et je gémissais de longs râles sortant de mon ventre tellement les sensations me faisaient frissonner. Il me garda serré contre son ventre, ne faisant coulisser sa queue que par les mouvements de son bassin.


Mes gémissements venant de plus en plus forts, il augmenta l’allure beaucoup plus rapide. Je me tenais fermement à ses cuisses car ses coups de queue devenaient plus violent, tapant de plein fouet son ventre contre mes fesses.
Apres quelques minutes, il me murmura le désir de finir dans la chambre, ne voulant pas se vider de cette manière. Mais j’étais loin du compte. Il me proposa le quatre pattes que je ne refusais pas.
Je fini d’enlever le reste de mes vêtements pour ne rester qu’en bas et porte jarretelle. Puis il passa son gland contre ma raie et, sans sommation, me l’introduis jusqu'à la garde. Je poussais un cri que je coupais net par une claque que je reçu sur les fesses.
Puis il s’exclama. Qui ta dit de crier ?
Il me la ressortit et me la remit aussi abruptement, je poussai un autre cri et la, une double claque sur chaque fesses.
- qu’est ce que je t’ai dit ? ma chérie, tu es ma femme maintenant et va falloir écouter.
Il avait changé de ton et était devenu un homme dominateur. Il me remit une claque et accéléra l’allure de sa queue dans mes fesses. Il me demanda de cambrer au maximum, mais ce ne fut pas assez alors une série de claques vinrent. Il me demanda de répondre en me faisant finir par : oui mon homme chéri.
Je m’exécutais et le fait de me prendre pour une femme soumise à son homme décupla mon excitation. Il devait l’être tout autant vu les grands coups de rein qu’il mettait, faisant coulisser toute la longueur de son membre entier dans mes fesses.
Il me parla crument, si je prenais mon pied, si j’aimais la bonne grosse queue de son mari dans mon cul. Je lui répondis : oui mon chéri. A un moment je lâchais sans faire exprès, sans doute par le plaisir, oui mon amour. Il me répondit : oui mon amour ? Et bien regarde ce que tu aimes. Et il décupla ses coups de rein. Alors il prit appuis sur mes reins pour se relever, faisant changer l’angle de pénétration.
Ce fut trop pour moi et, ne tenant plus sur mes bras, je m’effondrais la tète dans l’oreiller au moment ou un énorme spasme m’envahit, raidissant mon corps, me faisant râler comme une folle à travers la chambre.

Il s’exclama t’aimes ca ma chérie oh oui je viens…. Et c’est dans de grands coups de rein qu’il envoi tout ses jets de sperme dans mon cul. Anéantis et vidé, on s’allongea l’un à coté de l’autre.
Il me caressa les fesses et le dos et me dit : ma belle petite femme, c’était trop bon. Je vais te faire jouir tous les jours autant qu’il le faudra maintenant.

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