Découverte De La Sodomie

Bisexuel avéré, je n'avais jusqu'à ce jour, que sucé quelques belles et moins belles queues. Cela fait déjà 4 ans que je fréquente les milieux gay pour assouvir mes envies de fellation et toujours pas décidé à sauter le pas de la sodomie. Un jour, dans mon sauna préféré, je me retrouve dans le jakkuzi à côté d'un beau gosse la trentaine largement entamée, mais très bien foutu. Le gay typique, mais pas une « folle » plutôt beau mâle, le corps bien entretenu, les cheveux brun coupés très courts et surtout de très beaux yeux bleu.
Cela fait bien dix minutes que nous trempons l'un à côté de l'autre quand deux mecs viennent nous rejoindre dans le bain bouillonnant. Mon beau voisin se décale un peu pour leur faire un peu de place et s'assoie tout prés de moi tellement prés que je sens sa cuisse contre la mienne. Je sent une cuisse ferme et musclée et le poil ras en pleine repousse. Le contact est électrisant et nous restons ainsi bien cinq minutes sans qu'il ne se passe rien, sauf que moi je bandais de le sentir si proche et je rêvais qu'il me branle sous l'eau. Un autre garçon vient profiter du lieu et pour laisser encore un peu de place il se lève et m'enjambe pour passer de l'autre côté. Le spectacle fut grandiose. Je vois une belle queue en semi-érection et décalottée me passer sous le nez et pour couronner le tout, il en profite pour me frôler le gland du bout des doigts en se rasseyant le tout souligné d'un large sourire. Je sens sa cuisse qui revient au contact de la mienne. Là j'ose et je commence à lui caresser le dessus de la cuisse, ses muscles sont saillants et très fermes. Il en profite pour ouvrir un peu plus les jambes et je plonge ma main vers son chibre. Le contact de sa queue, son gland bien décalotté, je commence à le branler sous l'eau, il en fait de même avec ma queue. Les bouillons cachent nos caresses et nos voisins ne se doutent de rien, du moins je le suppose. D'un coup il stoppe ma main et se retourne vers moi pour me rouler un patin d'enfer.

Il vient me chevaucher s'assoie sur moi et me dévore la bouche. Nos queues se mêlent sous l'eau. Je sens une main qui vient branler nos bittes. Notre voisin tente sa chance et nous le laissons faire un petit moment, mais il beaucoup trop maladroit et nous le repoussons.
Nous décidons de nous isoler et sortons de l'eau. Nous attrapons nos serviettes et nous voilà la bitte tendue a nous sécher prestement et nous nous dirigeons vers une backroom. La porte à peine refermée je me jette sur sa queue et l'engloutis d'un coup. Je le pompe goulument, son gland d'un rose profond rentre et sort de ma bouche dans un bruit de succion, je lui lèche la hampe, les bourses. Il pose son pied sur mon dos pour mieux se cambrer et me laisser libre accès à sa rosette. L'invitation et trop bonne pour que je me refuse une inquisition du bout de la langue. Nous sommes tout les deux en osmose. Je reprend sa queue en bouche pour le pomper de nouveau et il appui sur ma tête pour donner le rythme. Bientôt un doigt me caresse l'anus, je suis pris de panique car je n'ai jamais pratiqué la sodomie et je ne me sens pas prêt, peut-être que mon pétale de rose lui a laissé penser le contraire. Mon œillet se contracte. « Tu ne veux pas? » me demande-t-il. « Je sais j'ai jamais fait! ». « Tu veux essayer? ». Je ne peux lui répondre, pris entre deux sensations : l'excitation de vouloir essayer et la peur d'avoir mal.
« Écoute, me dit-il, tu te mets en position de levrette, je me mets derrière toi et c'est toi qui viens t'empaler sur moi! ». Tout se bouscule dans ma tête et sans même y réfléchir je me met à quatre pattes le cul bien tendu. Mon regard ne quitte pas cette queue, elle me fait envie et peur en même temps. Il prend un bonne rasade de gel au distributeur et commence à me masser le cul, tout doucement d abord puis il pénètre un doigt. Je suis tétanisé par la peur et l'excitation, je le laisse me masser doucement et tendrement. Je me décontracte un peu. Pour me décontracter un peu je branle sa bitte que j'imagine déjà dans mon cul.
Jaugeant, certainement que je suis prêt, il prend un préservatif. Ça y est cette fois-ci je ne peux plus reculer, je vais me faire enculer. La queue gainée de latex je le vois l'enduire de gel, je retiens mon souffle, il vient se placer derrière moi et pose son gland contre ma rosette, ses mains se plaquent sur mes hanches, il commence un doux va et vient sans forcer, de mon côté je vais à l'encontre de sa queue craignant le moment de la pénétration. Cette tête violacée appuie, insiste, force même quelques fois, mais toujours dans la douceur. D'un coup son gland pénètre, mon initiateur s'arrête et me demande si tout va bien? D'un hochement de la tête, je lui fais comprendre que tout va bien.
« Maintenant c'est toi qui va venir vers moi à ton rythme et comme tu le sens! ». Je commence doucement à appuyer mon cul sur sa bite, m'arrêtant régulièrement par palier, je sens cette colonne me pourfendre mais à la moitié, je m'arrête très vite cela devient douloureux. Je me contente de faire des va et viens sur la moitié de sa queue, du moins je le croyais car je lui demande de me pénétrer un peu plus car je n'ai plus de douleur et là il me dit « Mais ça fait un moment chéri que je te bourre à fond ». C'est une drôle de sensation car je suis très excité mais je ne bande pas. Je me laisse aller à cette pénétration douce et sensuelle jusqu'à ce que je ressente ses soubresauts et son long râle. Enfin un mec vient de me déflorer. Une fois retirée, j'ai l'impression que mon cul reste ouvert, c'est une drôle de sensation. Nous restons là à discuter , il me demande mes impressions et elle sont très positives finalement. Il m'avoua que mon p'tit cul l'avait excité et moi telle une petite salope je viens frotter mon cul sur sa bite en riant. « Fait gaffe je pourrais recommencer » me dit-il. Je lui répond « Chiche! », « Maintenant que le passage est fait! », et je joint le geste à la parole en m'appuyant sur le rebord de la banquette et lui tendant le cul. Il vient frotter sa queue sur mon sillon et je sens cette colonne de chair reprendre vigueur.
Il me remet du gel et s'enfile une capote et vient poser son gland contre mon cul. Là avec moins de ménagement qu'au début il enfourne sa pinne d'un seul trait. Je le prend sans sourciller et sans aucune douleur. Il agrippe mes hanches et sans modération, il me laboure les reins. Excité par la situation ma queue tendue vient battre contre mon ventre à chaque coup de boutoir . C'est ainsi que je me suit fait baiser pendant un bon quart d'heure avant qu'il ne vienne décharger sur mon dos. Première expérience réussi et ce fut le début d'une longue série qui dure depuis maintenant sept ans, avec à chaque fois avec autant de bonheur sinon plus!!! Il paraît que mon cul est bandant (sourire). Mon bel amant s'appelait Patrice et je lui dédis ce récit.

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