Un Homme Et Josie

Quand je l’ai vu la première fois, je l’ai trouvé mignon, adorable, je me suis dit qu’il fallait qu’il soit à moi pour la nuit. J’ai pu attirer son attention. Il m’a sourit, je le lui ai rendu. Quand il est venu vers moi, je savais que j’avais gagné : je ne passerai pas la nuit seule. Il m’a invitée à venir boire un verre chez lui ! Il aurait pu se dispenser d’une telle formule, il savait que je savais qu’il n’était pas du tout question de boire quoi que ce soit. Déjà dans la voiture il a voulu m’embrasser. Je l’en ai empêché, conduire et embrasser ne vont pas ensemble. Il n’a pu me donner un court baiser que quand il s’est arrêté près de chez lui. Le vrai baiser a eu lieu dans son séjour, un vrai baiser : nos bouches ouvertes laissent passer nos langues gourmandes. Je le sens bander contre mon ventre. Sa bite me parait un peu grosse sans plus qu’une queue normale. Il m’a déshabillé comme il l’aurait fait avec une poupée, avec plein de respect. Je trouve que ce qu’il me faisait était parfaitement excitant. Il m’entraine vers son lit. Nous étions là pour faire l’amour, pas pour parler cuisine. Je me laisse faire comme il veut. Il m’embrasse encore sur la bouche, s’est mis presque à plat ventre contre moi pour me caresser et sucer les seins. Il me faisait gonfler la poitrine et bander les tétons. Il profite de sa position pour me mettre la main sur le pubis, juste avant de la descendre sur ma fleur. Il la garde toute entière dans sa main. Il me tient chaud. Je mouille tellement j’ai envie de sa bite plus que de sa main dans ma grotte. Il a bien compris mon besoin de pine. Il m’a juste branlée légèrement avant de venir sur moi. Je sens sa queue venir sur le sexe. Il a posé ses lèvres sur ma bouche, et enfoncé sa bite juste là où il fallait. J’écarte bien les jambes pour profiter au maximum de son sexe. J’ai besoin de sa queue pour une nuit simplement. Je ne lui dirai que tout à l’heure vers la fin que je ne couche qu’avec lui que pour combler un manque.


Normalement je ne fais l’amour qu’avec d’autre femme : mon amante, Josie sait qu’aujourd’hui j’ai besoin d’une vrai bite. Il me semble la voir nue, dans notre chambre, se masturber en m’imaginant avec un homme. Elle doit se branler comme une folle en pensant au plaisir que je prends sans elle.
Pour le moment je ne veux penser qu’à moi. Je ne veux même pas qu’il me suce, il me raterai, à coté de ce que me fait la langue de Josie. Par contre je l’accepterai dans mon sexe et mon cul. Peut être dans la bouche, histoire de gouter à son sperme alors que je préfère et de loin la cyprine.
Il entre totalement sa bite. Je prends du plaisir, celui que j’étais venu chercher. Je sens bien que ma chatte est pleine de sa queue, c’est bon. J’en profite pour une fois, c’est meilleur que le gode dont on se sert avec Josie. En plus il sait bien doser ses coups de rein. Il s’arête souvent pour faire durer le plaisir. Quand le sien arrive, il fait ce que je n’aime pas chez le hommes, il accélère au lieu de ralentir, justement pout jouir de la même façon un peu plus tard. Je sens les jets de son sperme dans mon con.
Il sort de moi la pine bien mouillée par ma cyprine. Je vais le sucer, pour récupérer ma mouille, et par la même occasion un peu de sperme. Je me retourne vers son bas ventre, il a encore la bite bandée, elle commence quand même à rétrécir. Je n’ai aucune peine pour la fellation. Il me laisse faire. Sans doute croit-il que je fais tout ça pour son plaisir alors que c’est de la simple gourmandise qui me guide. Je ne le fais pas exprès, je le fais bander encore. Je me met en levrette, il vient sur moi, je me mouille le petit trou en offrant mon cul. Il rentre trop vite, il me fait mal, au début, puis en allant moins vite il fait naitre en moi le début de l’orgasme en finissant par me faire jouir du cul. C’est maintenant, quand il me demande quand nous pourront nous revoir que j’avoue la vérité, il en est vexé de savoir que je préfère les caresses d’une fille aux siennes.

Dès mon retour à la maison, Josie tient à ce que nous baisions. Elle a fait les chose en grand : elle est vêtue d’une blouse totalement transparente sauf à hauteur de sa chatte. Elle est adorable et sexy, je mouille rapidement. Nous allons nous coucher pour une baise comme nous aimons. Pendant que je me déshabille je lui raconte comment j’ai baisé avec le garçon, ce qu’il m’a fait et comment j’ai joui du cul. Je le lui raconte un peu par épisode, je l’embrasse dans le cou et c’est quand je reprends ma respiration que je peu parler. Cette fois je peux parler mieux, elle est entrain de sucer ma chatte pour trouver des traces de sperme. La seule chose qu’elle arrive à faire est de me faire partir vers le 7° ciel. Sa chatte est trop près de moi pour que je la néglige, je passe ma langue sur le clitoris, j’aime le faire. Elle l’a long, ce qui me permet de le prendre en entier dans la bouche. Je n’arête pas là, je passe mes deux bras sur ses fesses pour arriver vers son petit trou. Elle aime quand j’y entre deux ou trois doigts. Je le fais lentement, quand j’arrive à entrer deux phalanges, je commence les allers et venues. Elle les accompagne toujours. Cette fois je trouve que son cul est bien humide : c’est elle qui se l’ai fait il n’y a pas longtemps en s’enculant avec le gode pour jouir par là.
En tout cas, si elle ne trouve aucune trace de sperme elle me fait jouir en léchant partout. Je serre mes cuisses contre sa tête, comme je le fais avec elle quand je jouis.
Je lui demande d’arrêter : je suis fatiguée.
Nous reprendrons notre baise ce soir et cette nuit. Elle m’a promis une surpris pour notre «réconciliation». Je lui demande de qu’elle réconciliation il s’agit ? C’est simple, je l’ai trompé avec une homme, elle est fâchée (ce qui n’est pas visible) et pour me faire pardonner, il faut que je lui offre quelque chose.
Le soir, elle m’offre ce fameux cadeau : il s’agit d’un nouveau gode pour deux femmes qui nous permets de nous baiser ensemble.
Nous l’essayons de suite, elle se couche sur le dos, à moins de 5 centimètres de moi, s’enfile un bon bout de gode avant de me le mettre aussi dans la con. Elle le fait manœuvrer de telle façon que nous jouissons pratiquement ensemble. C’est presque aussi bon qu’une véritable pine. L’avantage est qu’on peut le mettre dans les deux culs ou les deux cons ou mâtiner la chose, un con et un cul. Ce que nous ne nous privons pas d’essayer.
Pour nous le véritable plaisir n’est qu’entre femmes. Les hommes vont bien en cas de forte envie de bite.

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