Vengeance D'Une Ex À Une Ex (Suite 3)

Petite piqûre de rappel :
Meg et Amélie sont deux de mes ex de 18 et 20 ans respectivement, l’une brune, jolie, l’air in ; l’autre blonde aux yeux bleus, magnifique.
Amélie est coincée pendant 24h auprès d’un jeune homme peu ragoûtant qui a le droit de profiter d’elle comme il le souhaite afin que Meg voit une ancienne dette envers lui remboursées.

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Après cette courte conversation téléphonique entre Antoine et un inconnu, qui n’était sûrement pas seul à en juger par la personne qu’il devait amener, Amélie se sentit très mal…
En effet, elle avait peur d’avoir avalé quelque chose vu l’importance que ces pâtes bolognaise (qu’elle avait encore tartinées sur le visage) avaient eu dans cette discussion.

-Allez, viens avec moi toi…

Sursautant par l’ordre de son geôlier qui venait de la tirer de ses réflexions, Amélie obtempéra rapidement.
Elle le suivit dans les escaliers puis dans la chambre qui était encore fraîche du fait de l’ouverture des fenêtres durant toute la matinée.
Antoine la fit se coucher sur le lit et pour la r un peu plus, lui demanda d’attacher elle même ses pieds et une de ses mains, tandis qu’il attacherait la dernière.
Amélie tremblait tellement de peur de ce qui lui arriverait qu’elle avait énormément de mal à bien attacher les 3 paires de menottes aux barreaux du lit et ses membres ce qui lui valut une claque retentissante.
Enfin, honteuse, apeurée, la joue brûlante, elle tendit sa main avec réticence pour qu’il lui attache.

-A toute… lui fit Antoine en s’en allant sans lui jeter un regard.

Durant un bon moment, elle resta dans le lit, attachée, tremblant à la fois de peur et de froid.
Au fur et à mesure que le temps passait, elle ressentait une sensation étrange.
Un chatouillis chaleureux dans la région du bas-ventre.



Lorsqu’elle entendit la porte d’entrée s’ouvrir, elle était littéralement trempée et avait l’esprit ailleurs.
Les bruits de pas dans les escaliers faisaient penser à beaucoup de personnes mais peut être son esprit amplifiait-il ses craintes. Ils n’étaient que 3 : Antoine, Meg contre toute attente, et un jeune homme brun, plutôt beau mais d’apparence sévère.

-Alors là chapeau, tu nous l’as bien préparée la cochonne. complimenta Meg.

-Elle ne sait pas ce qu’il lui arrive, je pensais que ça serait plus drôle si tu lui expliquais, dit Antoine avec un sourire perfide.

-Pas bête. Alors ma petite Amélie, tes pâtes bolo contenaient un produit aphrodisiaque puissant pour femme, d’ailleurs, je vois que ça fait effet. Passe moi le colis !

Du colis qu’Antoine lui tendait, elle sortit un gode vibrant à télécommande et un rosebud (petit œuf en métal que l’on introduit généralement dans l’anus).
Elle humidifia le rosebud avec les sécrétions plus qu’abondantes de l’impuissante et lui inséra tout doucement dans son petit trou.

-AIEEEEEEEE arrête, ça fait mal !!!!!
PLOP (bruit de disparition de l’objet =D)
Wouaouh ! cria-t-elle de jouissance et de douleur mêlées.

-Et attend t’as pas tout vu : on va s’amuser un peu et tu as vu, t’as du public, ça te fait pas plaisir ?

Le rouge monta au joues d’Amélie lorsqu’elle s’aperçut qu’elle se donnait vraiment en spectacle et qu’elle était condamnée à subir les volontés de Meg devant un inconnus qui profitait bien de la vue et de la situation.
D’un coup, elle se sentit déchirée : Meg lui avait rentré le gode en entier, qui était d’une taille considérable, dans sa fente trempée.
Elle était remplie des deux côtés et cela lui procurait une sensation insupportable de bien être et d’excitation (sans doute l’aphrodisiaque).

-A toi l’honneur.

Amélie tourna la tête pour voir que Meg s’adressait au nouveau venu et lui tendait la télécommande pour qu’il s’amuse un peu lui aussi.

Il actionna les commandes, augmentant tout doucement la puissance des vibrations qui commencèrent presque imperceptibles puis s’intensifiaient, faisaient vibrer l’objet métallique dans l’anus d’Amélie, puis devenaient de plus en plus forte jusqu’à la faire crier.

A cet instant, Meg retira rapidement la télécommande des mains de jeune homme.

-Attends, on va pas la laisser s’en tirer comme ça, faut pas la faire jouir tout de suite la belle, susurra-t-elle avec une voix mielleuse et un sourire carnassier.

Amélie gémit car elle savait ce que cela impliquait.
Plusieurs fois, Meg poussait la machine jusqu’à ce que l’infortunée soit au bord de la jouissance (ce qui arrivait vite avec deux objets la remplissant et l’aphrodisiaque).

-Arrête ! Fais moi jouir, je ferai n’importe quoi mais laisse moi venir !

-Ah n’importe quoi hein ? Antoine, l’appareil photo s’il te plait.

Pendant que l’intéressé allait chercher ce qui lui avait été demandé, Meg s’assit à son bureau pour écrire un petit texte sur un morceau de papier qu’elle tendit devant Amélie pour qu’elle le lise.

-Apprends le bien, tu vas devoir le réciter devant l’appareil si tu veux que je te fasse jouir. Sinon, tu vas rester toute la nuit comme ça et on se relayera pour te r OK ?

-Oui, tout ce que tu veux… soupira-t-elle en désespoir.

Une fois le texte appris, l’appareil en marche, la mémoire et la batterie vérifiée, la scène pouvait commencer.

-Je, Amélie C…, déclare avoir fait tout ce que me demandait Meg B… de mon plein gré et me déclare sa propriété jusqu’à ce qu’elle me rejette ou annule cette déclaration.

-C’est dans la boite ! Merci ma belle, sur ces paroles, Meg embrassa Amélie qui pleurait doucement après ce qu’elle venait de faire pour faire cesser sa .

Ils s’assirent tous, puis Meg enclencha le bouton pour pousser le gode à son maximum et le laissa ainsi de longues minutes.

Amélie jouit plusieurs fois en hurlant, se tortillant dans ses liens, pleurant, riant, perdant presque connaissance tellement certains étaient forts. Jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et que Meg arrête finalement l’engin, le lui retire et la libère de ses liens.

-Va aux toilettes te retirer ce que t’as dans le cul, on t’attendra dans le salon, tu as une heure pour te laver, prendre soin de toi et te remettre.

Amélie s’en fut, honteuse des regards portés sur elle après ses jouissances publiques, sa déclaration qui la forçait dorénavant à obéir encore plus et plus longtemps et en toute légalité…
Après avoir pris une bonne douche chaude et s’être coiffée, séchée, détendue, elle retourna au salon où on l’attendait comme prévu. La lueur dans leurs yeux et le sourire sur leur lèvres n’avait rien de rassurant et présageait encore une aventure déplaisante…

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Merci à mes fans ou aux arrivants de m’avoir lu, j’espère que vous prenez toujours plaisir à découvrir mes fantasmes comme ils viennent.
Au moins 2 autres épisodes sont en préparation.
Si vous trouvez que je me ramollis et que ça devient moins bien, faites m’en part ainsi que de vos suggestions, j’améliorerai dans la mesure du possible ;)

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