L'Employée De Maison (1)

Bonjour, c’est moi Didier à nouveau. Je vous ai raconté dans « TRAIN DE NUIT » le début de ma relation avec Caroline, qui de secrétaire de direction, devint ma compagne. Nous avons su concilier travail et plaisir en organisant notre vie.
Désormais, Caroline ne travaillait que 3 jours par semaine. Je lui avais dit de trouver une employée de maison à temps complet pour nous permettre de vivre notre vie de couple au mieux. Elle s’attela donc à cette tâche et passa une petite annonce. Plusieurs personnes répondirent à notre demande et le soir elle me faisait un compte rendu des visites de la journée. Systématiquement, elle prenait une ou plusieurs photos de la postulante.
Un soir, elle me présenta la photo d’une jeunette de 22 ans, brune, bien proportionnée, répondant au prénom de Valérie qui lui avait fait bonne impression. Je lui conseillais donc de la faire venir le samedi en fin de matinée pour que nous la recevions ensemble…
Le jour dit et à l’heure convenue, nous la recevons. Elle est vêtue d’une petite robe à bretelles, visiblement sans soutien-gorge car on devine sous le tissu ses mamelons pointer. Nous reparlons des conditions de travail : à savoir qu’elle aura 3 heures de libre l’après-midi et une journée de repos en plus de son dimanche. Je lui précise en outre qu’hormis ces heures, elle devra être totalement disponible. Je la vois rougir suite à cette phrase et Caroline me donne un léger coup de genou ; elle aussi a vu la réaction de l’intéressée.
Elle accepte donc le poste et peut commencer dès lundi. Après avoir rempli tous les papiers, elle nous annonce qu’elle s’installera dès le dimanche après-midi afin d’être opérationnelle à partir de lundi matin.
Nous sachant seuls jusqu’au dimanche début d’après-midi, Caroline et moi en avons profité pour faire de nombreuses galipettes et de fellations en sodomies nous sommes éclatés. Caroline adorait me sucer et recevoir mon éjaculation dans la bouche sans en perdre une goutte.

Pour ma part, j’adorais pénétrer son petit trou face à la glace de l’armoire de notre chambre et voir son visage se crisper lorsque je commençais à la défoncer. Un petit rictus de douleur apparaissait lors de la pénétration de mon gland et ensuite un sourire de plénitude se lisait sur son visage au fur et à mesure de mon intromission. Elle adorait surtout que je jouisse en elle et sentir mon sperme chaud emplir ses intestins. Afin de ne pas en perdre une goutte, elle me prenait aussitôt en bouche afin de recueillir tout le reste de ma jouissance et donner à mon dard la toilette nécessaire.
Comme prévu, Valérie débarqua donc le dimanche après-midi et s’installa dans la chambre prévue à cet effet au second étage. Nous l’avions informé au préalable qu’elle pourrait se vêtir librement pour tous les jours mais que lorsque nous recevions du monde à diner, elle porterait la tenue constituée d’une jupe (au-dessus du genou), d’un chemisier blanc et d’un tablier de même couleur. Grace à la conception de la maison, elle était indépendante dans son second étage. Le dimanche soir, nous avions prévu, pour détendre l’atmosphère, d’organiser un petit repas vers 19 heures. Elle arriva donc fraiche et pimpante à l’heure dite. Elle avait revêtue une jupe et un chemisier mais elle semblait allergique à toutes formes de soutien-gorge. Légèrement maquillée, elle était beaucoup plus décontractée que lors de sa visite du samedi. Nous avons donc convenu que la journée du lundi se passerait en compagnie de Caroline qui lui indiquerait tout ce qu’elle devait savoir sur les rangements de la maison.
Le lundi matin, après avoir « joué » avec Caroline, je partis à mon travail, seul, et ne rentrais que vers 18 heures. Je demandais à Caroline comment s’était passée cette première journée.
- Plutôt bien. Elle comprend vite et pose les questions utiles au bon fonctionnement de la maison. Par contre, ce qui ne sera pas pour déplaire à Mon Chéri, elle semble un peu coquine.
- Que veux-tu dire ?
- Eh bien, j’ai constaté que d’une part, elle ne portait pas plus de culotte que de soutien-gorge et que d’autre part, elle avait une tendance à me frôler pour un rien.

- Peut-être a-t-elle remarqué que toi aussi tu avais laissé ta culotte au vestiaire, comme d’habitude, ce dont je ne me plains pas.
- Oui je sais bien mais justement là est le problème, car elle m’excitait avec son petit jeu. Tant et si bien que je me suis mise à mouiller comme une petite cochonne et ça coulait le long de ma cuisse. Et j’ai vite remarqué son regard insistant sur mes jambes.
Je lui répondis que nous verrions quelle attitude adopter au fil du temps. Valérie nous servit l’apéritif et retourna à la cuisine finir de préparer le diner. Sa petite croupe ondulait sous sa jupe et je commençais à me sentir à l’étroit dans mon pantalon. Caroline éclata alors de rire et me dis que visiblement je n’étais pas non plus insensible à ses charmes. Apres le diner, notre nouvelle employée de maison se retira dans son étage et pour notre part, nous ne nous sommes pas attardés car je devais partir de bonne heure pour 48 heures voir un nouveau client.

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