L'Employée De Maison (3)

Nous regardant chacun notre tour, Valérie se leva, fit le tour de la table basse et s’approcha pour s’asseoir entre nous. Juste avant qu’elle ait fini de s’asseoir, Caroline saisit le bas de l’arrière de son vêtement et c’est donc son fessier qui prit contact avec le cuir du canapé. D’un même geste, nous avons posé une main sur chaque genou de Valérie et avons commencé notre visite. J’optais pour ma part pour sa jambe sur laquelle je m’attardais jusqu'à la cheville et j’observais qu’elle avait des attaches très fines. Caroline, elle, choisit de partir en repérage vers le haut et elle commença des caresses circulaires sur l’intérieur de la cuisse. Je vis alors la cuisse de Valérie se contracter sous les assauts de la main de Caroline et sa bouche s’entrouvrir doucement. Ma Belle bien sûr en profita et ses lèvres vinrent se poser sur celle de Valérie. Celle-ci ne refusa pas le contact, bien au contraire, et je vis sortir de sa bouche sa langue qui commença à jouer avec celle de Caroline. Bientôt, elles soudèrent leurs bouches et visitèrent chacune la bouche de l’autre. C’était un déchainement de succions, de gémissements et de voracité qui les empotait toutes les deux. Apres quelques minutes, l’ouragan se calma et Caroline lui dit alors :
- Eh ben dis donc, ma belle salope, il vaut mieux t’en donner que t’en promettre !
- Caroline, puis je maintenant vous appeler ainsi, je suis à vous deux maintenant et il y a d’ailleurs un bon bout de temps que j’attendais cet instant. Vous avez une bouche si douce que c’est un bonheur de vous embrasser.
- Bien sur Ma Chérie, tu peux désormais nous appeler par nos prénoms et quand on voit où tu en es, je crois que le vouvoiement peut être définitivement abandonné.
En effet, pendant que se déroulait le ballet de leurs langues se jouait, la coquine avait posé sa main sur mon entrejambe tout doucement mais à présent c’est sans retenue qu’elle malaxait l’étoffe en serrant mon sexe très a l’étroit et qui commençait à vouloir prendre l’air.

Pendant ce temps-là, la main de Caroline n’était pas restée inactive et avait continué son ascension vers la fourche de ses cuisses et c’est seulement d’un doigt, de la pointe de son ongle rouge sang qu’elle traçait des cercles sur l’intérieur de la cuisse jusqu'à atteindre le bas du sous vêtement. En regardant Valérie dans les yeux, elle continua de son ongle à remonter et à agacer la fente que l’on devinait gonflée sous le tissu. Plusieurs fois, elle refit le même geste, tant et si bien, que le rouge aux joues, Valérie commença à gémir. Satisfaite de son résultat, Caroline se saisit de chaque côté du vêtement avec les pouces et le fit descendre très doucement. Il nous apparut alors une superbe petite chatte entièrement épilée qui ne demandait qu’à miauler. Caroline, continua le même jeu mais cette fois-ci à même le sillon luisant. Valérie se trémoussait de plus en plus et ses gémissements reprirent en intensité cette fois. Connaissant Ma Caroline, qui adorait se lâcher verbalement pendant les moments d’amour, je ne fus pas surpris de l’entendre dire à Valérie :
- Alors, Ma petite pute, tu crois que tu vas t’en tirer ainsi ? Je vais maintenant m’occuper de ton bouton d’amour, peut être même le maltraiter, mais là tu auras une raison de hurler ta jouissance !
- Oh oui, Maitre et Maitresse, faites de moi votre soubrette soumise.
Caroline et moi nous sommes regardés comme deux ronds de flanc. La jolie Valérie semblait avoir des prédispositions à se soumettre. Caroline, d’un soit remonta jusqu’au haut de sa fente et dégagea le clitoris qui était gorgé de sang et pouce et index commencèrent à le triturer, le malaxer, le pincer mais toujours avec tendresse. Oh le traitement ne dura pas très longtemps car dans un hurlement strident, Valérie s’arc bouta et un jet puissant sortit de sa chatte. Je n’avais jamais vu ça ! Elle retomba épuisée sur le canapé avec un sourire qui exprimait bien le plaisir qu’elle venait de prendre.
Pour nous reposer un peu, Caroline me suggéra une bouteille de champagne que j’allais chercher à la cuisine.
Avant de revenir dans le salon, j’entrepris de me dévêtir entièrement. C’est donc avec un sexe complètement déployé et enfin à son aise que j’arrivais dans la pièce. J’avais eu une bonne idée, car pendant mon absence, les deux coquines s’étaient entièrement dévêtues et se caressaient à qui mieux mieux. Caroline, avec un sourire coquin, trouva comme excuse qu’elles avaient trop chaud. Ben voyons !!!
Je restais les admirer dans leur gracieux ballet ou bras, jambes et bouches s’entremêlaient pur découvrir le corps de l’autre. Au bout d’un certain temps, Caroline cessa ses caresses buccales et manuelles e demanda à Valérie :
- Dis donc cochonne, tout à l’heure tu nous as dit Maitre et Maitresse, serait-ce que tu aimes te soumettre ?
- Oui Mad…, pardon, Caroline, vous êtes si gentils avec moi que j’ai envie de me donner entièrement et sans réserve à vous.
- Eh bien dis donc, tu en promets toi ! Pendant le weekend end, nous allons apprendre à nous connaitre plus intimement et lundi nous discuterons de ce que tu souhaites exactement.
- Dès à présent, je vous dirai Maitre et Maitresse et je vous demande l’autorisation d’être nue en permanence dans la maison pour satisfaire mon côté exhib !
- Accordé d’avance lui répondis-je !
- J’ai cru constater que tu es une grosse gourmande Valérie et pour ne pas me faire mentir, viens me dévorer la chatte, je n’en peux plus.
Valérie se leva et s’installa entre les cuisses de Caroline et commença un cunnilingus de folie bien que pratiqué avec toute la douceur voulu. Ma belle couinait sous les assauts de la langue de notre ravissante soubrette et je voyais sur les cuisses de Valérie la cyprine qui s’écoulait. Ce fut trop pour moi et je vins alors me positionner derrière elle et, sans coup férir avec un signe de tète affirmatif de Caroline, je m’enfonçais d’une seule et puissante poussée dans le con qui était plus que lubrifié. J’entendis un « ouch » de surprise, mais sitôt ce moment passé, je la vis se trémousser et ses fesses venir au-devant de la pénétration que je ralentis afin d ne pas gicler trop tôt.
Pendant que je la besognais, Caroline s’était emparée de sa tête et la plaquait sur sa vulve. Connaissant Ma Belle, je compris que l’orgasme était proche et dans un rugissement elle se libera en serrant la tête de Valérie entre ses cuisses. Valérie pendant ce temps se faisait pistonner de plus en plus fort et je la sentais au bord de l’orgasme. Je me mis alors à accélérer la cadence et dans un même hurlement, nous jouîmes ensemble et j’évacuais 3 jets au plus profond de son corps. Il était un peu tard pour les remords mais Valérie dut le comprendre car elle me dit :
- Sans problèmes, je prends la pilule et j’adore sentir le foutre m’envahir.
Toujours à genoux, elle se retourna et engloutit mon membre pour le nettoyer. C’était divin et je sentais remonter dans mon sexe une certaine rigidité. Mais il fallait quand même souffler un peu et je dis à Valérie de nous servir une coupe. Elle officia et nous en tendit une a chacun. Je constate alors qu’elle reste à genoux sans servir. Je lui dis donc que si elle aimait être dirigée, nous n’étions en aucun cas des esclavagistes et que si elle partageait nos plaisirs charnels elle partageait tout le reste aussi et de prendre une coupe et de trinquer avec nous.
Une fois notre verre terminé, Caroline me dit qu’elle empruntait Valérie pour aller prendre une douche. Pas dupe, je voyais déjà ce qui allait se passer… Je les laissais donc partir la main dans la main.
La suite très vite !

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