L'Ouvreuse Et La Baise

Nous nous connaissons comme ça, elle en ouvreuse de cinéma et moi en client. Nous nous voyons souvent, j’ai une abonnement dans cette méga salle où passe à la fois une bonne vingtaine de films. Au bout de plusieurs mois, à force de nous voir brièvement, nous commençons à bavarder. D’abord de son boulot pas toujours marrant, puis de ses loisirs et de sa vie en général.
Un soir, je sors de la dernière séance vers une heure du matin, elle est encore là, prête à rentrer chez elle. Je ne sais pourquoi, le destin sans doute fait que je l’attend par courtoisie.
Nous partons d’un pas de promenade, elle ne parle plus de ses ennuis, elle parle d’elle seulement, divorcée, sans , seule à 25 ans, c’est dur pour elle, l’emploi qu’elle occupe lui permet de gagner quelques sous. En passant devant un restaurant réputé, encore ouvert à cette heure, je l’invite. Il y a peu de monde, à cause de l’heure. Elle accepte avec un air triste, elle se souvient d’avant quand elle venait sans soucis dans ce même restaurant. Elle a presque les larmes aux yeux. Je lui prend la main pour la consoler, elle lève ses yeux embués. Je souris maintenant, à son tour elle me sourire je dirai tristement. Les plats commandés arrivent et nous soupons lentement. Je lui raconte des histoires « plaisantes » qui la font sourire. Enfin elle est décoincée.
Elle me dit que le plus dur est d’être seule. Elle a bien des fois de courtes aventures avec des hommes de son quartier, pas de quoi faire un roman.
En somme je comprends qu’il lui manque surtout un amant sur, un homme qui la rassure à la fois sur la plan matériel et sexuel.
- Vous aimeriez ne pas être seule quand vous êtes chez vous ?
- C’est vrai.
- Le sexe vous manque ?
En rougissant et baissant la tête elle avoue:
- Souvent.
- Et que faites vous ?
- Je ne peux pas vous le dire.
- Si allez-y sans crainte, je ne le répéterai pas.
- Je n’ose pas le dire.


- Je peux le dire à votre place ?
- Oui, si vous savez ce que je fais.
- Non seulement je le sais, en plus je vais vous dire sans fard ce que vous faites : vous êtes nue dans votre lit, vous écartez les jambes et vous vous caressez jusqu’à jouir. J’ai raison, non ?
Toujours rougissante elle approuve de la tête. Au moins je sais qu’elle est sensuelle. J’ai envie de tenter ma chance, après tous elle est jeune, a une belle poitrine et de belles fesses, pour le reste je ne peux rien dire avec cette mode qu’on les femme de porter des pantalons.
Je me demande comment faire pour l’avoir dans mon lit. Cette question elle a du se la poser aussi. C’est elle qui fait les premiers pas :
- Je crois que vous êtes célibataire vous aussi.
- Oui, par choix.
- Pourquoi vous avez peur des femmes ?
- De vous non.
- Si je vous invite chez moi vous viendriez ?
- Pourquoi pas.
- Alors je vous invite à passer la nuit avec moi.
Quelle bonne idée, passer une nuit avec elle, il y a quelque temps que je n’ai pas baisé, je pourrai sans doute coucher avec elle, je l’espère.
Après avoir payé, nous partons, elle habite à deux pas, un vieil appartement propre comme un sou neuf. Elle me fait entrer dans un séjour assez grand, avec un divan.
- Je ne vous offre pas de boisson, nous venons juste de sortir d’en prendre, alors je vous demande de vous assoir, s’il vous plait.
Il me plait justement, elle vient contre moi et sans avertissement elle se jette sur moi les lèvres en avant pour les poser sur ma bouche. Sa langue n’attend pas longtemps pour entrer dans ma bouche. Que je sois damné si je dis que je n’ai pas aimé ce baiser. Ses bras entourent mon cou. J’en profite pour aller à la recherche de sa poitrine. Elle se laisse faire, avance encore près de moi et pose sa main sur ma bite qui justement commence à bander. Elle me masse lentement, sans appuyer. Je ne sais si elle a eu énormément d’amants, en tout cas elle connait les gestes qui sauvent.
Je ne peux lui toucher ses seins, mise comme elle est. Par contre j’ai ses genoux, juste à coté. Je commence à en caresser un. Je déclenche le cataclysme ! Elle ouvre ses jambes, prend ma main la monte jusqu’à sa chatte. Je ne peux la caresser qu’à travers son pantalon. Elle se soulève pour tout enlever, elle est nue depuis la ceinture jusqu’aux pieds. Enfin je vois ses jambes galbées à souhait. Je peux maintenant aller caresser sa moule. Je prend son clitoris entre deux doigts que je fais aller et venir. Sa langue accélère ses caresses. J’accélère mes doigts et quand je la sens jouir, sa langue entre toute dans ma bouche.
Je la laisse à son orgasme pour que je change d’endroit. Je suis maintenant dans son puits à plaisir, j’y met toujours trois doigts. Je caresse l’intérieur de son vagin et je finis par une très longue caresse sur son point G.
Elle oublie et ma bouche et ma bite. Elle n’a qu’un seul soucis en tête : jouir. Je peux me lever tout en la caressant. Je m’accroupis devant cet autel qu’est son sexe. Je vais y sacrifier pour Eros ma langue sur la féminité. Je sens d’abord son odeur de femme : une odeur grisante de sexe et de cyprine. Quand je sors ma langue je suis tout près de son clitoris. C’est pour lui que ma langue lèche. Pour moi, le summum d’une femme reste cet organe. Je peux le lécher, l’aspirer, le rejeter, le sucer. Surtout je peux faire jouir n’importe qu’elle femme avec lui. En amour c’est mon meilleur ami.
Elle profite de ma présence sur sa moule pour enlever le reste de ses vêtements. Elle se caresse les seins pendant toute la durée de mon léchage de clitoris. Je change d’endroit. Elle m’attendait dans sa fournaise, je vais sur son anus. Je le lèche lentement, trop lentement ? Je ne sais pas, elle me demande de ne pas en rester là. Je ne me fais pas d’avantage prier. Je roule le bout de ma langue pour la lui entrer dans le cul. Elle se crispe de temps en temps, comme si elle allait jouir, alors que c’est simplement pour sentir ma langue.
Elle la sent d’autant mieux que je vais et viens dans ses entrailles.
Quand elle se cabre je comprend qu’elle vient de jouir d’une façon différente.
- Salop, tu m’as faire jouir du cul ! c’est ma première fois par là. Que c’est bon.
Mets moi ta bite après. Je n’attends pas pour la mettre cul contre mon ventre. Son trou est encore mouillé. Je pose ma bite dessus. Je sais qu’il est élargi, j’en profite pour entrer ma pine : je sens les muscles de son anus céder lentement sous la pression. Elle ne dit rien pour l’instant. J’arrive finalement facilement à la lui mettre à fonds, c’est excitant de sentir ses couilles contre ses fesses. Ce qui est bon surtout est de la sentir se crisper pour jouir : je suis pratiquement obligé d’arrêter les mouvement de ma bite quand elle jouit. Je reprends l’instant après. Avant ma jouissance je sors de son cul :
- Donne moi ta queue, je la veux dans la bouche.
- Tu es dégueulasse, tu veux me sucer alors que je sorts de ton cul.
- Tu es bien un homme, tu ne comprends pas qu’une femme aime sucer après ça justement.
Heureusement pour elle je n’ai pas encore jouis. Elle me fait lever, prend ma bite dans sa bouche et me lèche comme si ma bite était un plat de choix. Elle me nettoie toute ma queue. Sa langue a commencé par lécher le gland avant de s’enrouler autour et que ses lèvres remplacent celles de son mangeur de sperme. Le résultat est le même : elle me fait jouir. Je l’en averti pourtant avant, elle se fout comme d’une guigne de ce que je dit : elle prend mes giclées de sperme en pleine bouche. Elle finit de nettoyer avant de m’embrasser.
Elle sait que je débande, alors que je voudrai la lui mettre dans le con. Elle me reprend dans la bouche, me taille encore une pipe qui n’agit qu’en retard. Ce qui me fit bander est de voir comment elle se branle quand elle est isolée. Elle pose sa main droite sur la moule et l’autre entre les fesses. Elle commence par entrer celle qui est dans ses fesses dans son cul : trois doigts, s’il vous plait.
Ensuite elle se caresse le clito.
Je bande comme un âne. Maintenant, après s’être faite jouir, elle s’allonge sur la dos. Me fait monter sur elle, passe ses jambes autour de ma taille, les talons croisés. Je peux facilement accéder à son con béant. Ma pine va au fond de son trou. Je la ressorts plusieurs fois. Je sens la douceur intérieur de ses chairs.
Elle secoue sa tête dans tous les sens en disant des bêtises :
- Oui, baise moi, encore, ne t’arrêtes pas, encore, oui, oui, encore, plus profond. Ne quittes pas mon con. Remplis le moi à déborder. Baise moi encore, plus fort, vas y défonce moi la matrice ……….je……….je………….Je …………….JOUIS.
Je suis comme elle, je jouis en plusieurs jets puissants et mon sperme arrive non pas à la remplir, mais à la satisfaire.
Depuis cette dernière séance, nous baisons souvent. Nous améliorons nos techniques, surtout les siennes qui se résumaient finalement à peu de chose.

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