Vendeuse Particulière

La nuit tombe sur la ville que je ne connais pas du tout, j’arrive pour ce nouveau travail de vendeuse dans un magasin huppé de prêt à porter féminin. Ma nouvelle patronne me propose un salaire mirobolant. Elle m’a même trouvé un petit logement. Je suis satisfaite, quand elle fait les choses elle les fait bien. Et puis changer de pays me plait beaucoup. Je demande à un agent providentiel la rue où je vais aller. Il s’embrouille un peu avant de me donner les consignes pour aller dans mon nouveau chez moi.
La première chose que je fais, après la visite du deux pièces impeccable est de retrouver d’abord la chambre pour y ouvrir la valise et la douche pour me détendre. J’ouvre le lit, arrange un peu les draps et me déshabille. Une fois nue je vais prendre ma douche. Je m’aperçois que j’ai oublié la serviette de bain dans la valise. Nue toujours, je vais à nouveau dans la chambre. A force de me balader à poil je sens ma boule habituelle dans le bas ventre.
Je comptais me coucher tôt, raté, je suis excitée et je vais me caresser sous l’eau chaude. Le temps que l’eau arrive, j’ai le temps d’aller chercher ma tenue de nuit : un léger slip en tout et pour tout. Il m’arrive souvent de dormir nue si je me masturbe dans le lit. Je passe sous l’eau, me savonne partout pour me décrasser. Je me rince rapidement avant de mettre le jet contre ma chatte. Je jouis rapidement.
Le matin je suis levée très tôt : j’ai oublier de fermer les volets. Tant pis pour moi. Ou tant mieux, je passe une main sous mon slip comme pour vérifier que la moule n’est pas partie. Bien sur je m’excite encore et je recommence à ma branler. Cette fois je me sers de mon gode que j’aime bien : il est tout simple mais suffisant pour le donner des orgasmes comme j’aime.
J’arrive à l’heure au magasin. La patronne m’attend, une trentenaire bien faite, surtout bien habillée. Elle me fait choisir un tailleur très mode qu’elle m’offre : je dois être élégante pour mon boulot.

Je doit travailler à un niveau inférieur, facile d’accès. Elle me montre les lieux : une grande pièce avec en fond un rideau cachant un lit recouvert d’une belle couverture. C’est le lieu d’essayage. Ce que je dois vendre : des jouets féminins intimes. Les clientes sont nombreuses à venir au moins essayer les jouets. J’aurai de tout à vendre : des vibromasseurs, des boules de geisha, des plugs, des fouets, des masques, des développeurs de pénis, etc...
Pour vendre tout ces objets, je suis obligée de donner mon avis sur tous. Ma patronne me dit de rester dans cette pièce qu’elle ferme à clef pour essayer le maximum de jouets. S’il le faut je peux y passer le journée. En cas de besoin je peux l’appeler pour qu’elle m’aide à jouir.
Chic travail ! je suis payée, j’ai l’autorisation de me branler à peu près avec tout le magasin et me faire mettre en cas de besoin. J’espère ne pas être obligée de faire appel à madame, elle est sexy mais je suis attirée par les hommes. Pour être plus à l’aise je me déshabille, prend tout d’abord un plug que je met relativement facilement dans le cul. Il est agréable à supporter. J’y ajoute une paire de boules de geisha qui commencent à faire un peu de bruit rien qu’en les maniant : les billes d’acier à l’intérieur vont me faire jouir sans peine je crois. Je vais m’assoir sur le petit lit ouvre bien mes jambes, me caresse l’intérieur des cuisses pour m’exciter : le plug en fait déjà son affaire, je suis bien trempée. Je met lentement la première boule. L’effet est extraordinaire, d’abord je me met quelque chose dans la chatte et ensuite elle ouvre mon entrée pour la refermer presque aussitôt. J’entre la seconde boule : le même effet. Je me met debout et marche longuement tout autour de ma pièce. Je n’ai pas le temps d’en faire deux tours que je suis obligée de cesser ma marche : je jouis déjà. Au tour des gode ventouses. J’en pose un près du lit, après avoir enlevé le plug. J’appuie un peu pour le faire tenir sur le carrelage.
Je pose d’abord ma chatte dessus : il entre facilement comme si je me faisais mettre une bite. Je vais et viens dessus. Je sens encore le plaisir arriver. Il me semble qu’il est plus fort que les autres. Je me lève pour avoir l’autre impression dans le cul. J’aime me faire mettre par là, j’aime la sodomie. Je jouis encore. Je n’ai que faire du masque et du fouet par contre je ne peux pas essayer seule le double godemiché. J’appelle ma patronne qui répond aussitôt. Elle me voit nue, allongée sur le lit :
- Vous être sacrément bien foutue et sexy.
- On me le dit souvent.
- Vous avez besoin de moi ?
- Oui pour essayer le dernier jouet, le double gode.
- C’est mon préféré. En effet il faut être deux pour apprécier ses bienfaits. Montez un peu sur le lit.
Je me pousse au maximum vers la tête du lit. Elle se déshabille pour, comme moi, être à l’aise pour baiser. Elle s’approche de moi me donne un léger baiser sur la bouche et se couche à son tour, les fesses presque contre les miennes. Elle prend le gode, ouvre ses cuisses, je peux voir toute sa belle chatte. Elle rentre plus de la moitié du gode dans son vagin que je vois s’écarter sous la pression, et le pousse vers mon con pour en mettre le plus possible. Quand je commence à réagir positivement elle le fait aller et venir dans nos ventres. Quel délice de sentir les mouvement qu’elle fait. Je jouis rapidement. Elle le fait un peu plus tardivement.
Quand elle se relève, elle m’embrasse sur la bouche, cette fois sérieusement : sa langue cherche et trouve le passage pour aller chercher ma langue. Nous restons allongées, bien blotties, elle me caresse les seins. Elle me fait un bien fou. Sa bouche quitte la mienne pour descendre jusqu’à ma chatte, sa langue me lèche continuellement. Elle m’excite comme ce n’est pas permis. Quand elle arrive à mon clitoris elle le prend dans sa bouche pour l’aspirer. Jamais quelqu’un ne m’a sucé de cette façon. Je ferme les yeux pour profiter de la caresse.
Je jouis dans sa bouche. Elle m’enjambe pour me donner sa moule. Je n’hésite même pas, à mon tour je suce son bouton. Elle tend un gode vibrant pour que je le lui mette. Je le règle pour la vitesse la plus faible. Ensuite au bout d’un long instant je le fais marcher le plus fort possible. Comme je vois de très près ce que je fais et les réactions de sa vulve, je peux diriger son plaisir. Je la fais jouir plusieurs fois.
Quand je fini, elle est anéantie totalement.
- Merci de m’avoir fait l’amour.
- C’est moi qui doit vous remercier de m’avoir faite jouir.
- Nous nous remercierons encore la prochaine fois.
- Quand vous voudrez.
- Ce soir chez moi. N’oubliez pas de prendre notre amant commun. Pour le reste j’en ai à la maison.
Je suis normalement une hétéro. Je ne refuserai pas de baiser avec ma patronne, pas parce qu’elle est ma boss, mais parce que je me suis régalée entre ses bras. Il me tarde même d’être à ce soir.

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