L'Employée De Maison (4)

Je me réveillais le matin, passablement vaseux, sur le canapé du salon. J’y avais passé la nuit-là et m’étais endormi sans m’en rendre compte. Comme il faisait une bonne température dans la maison, je n’avais pas froid. Je me levais donc, passablement courbaturé après nos galipettes du soir. J’avais le sexe plus qu’au repos, lui aussi avait l’air fatigué. Je me rendis alors dans la cuisine et mis en route le café qui me permettrait d’avoir les yeux en face des trous !
Je pris mon mug et je retourne au salon pour zapper sur la télé. J’entends des pas derrière moi et je vois Valérie qui descend l’escalier vêtue d’une robe de chambre courte blanche avec des motifs asiatiques.
- Bonjour Monsieur, vous avez bien dormi ? Madame est descendue après la douche mais vous dormiez déjà et elle n’a pas osé vous réveiller. Madame sera sans doute tard à se lever car nous avons joué une fois couchées.
Je restais à regarder Valérie maintenant de dos dans la cuisine pour prendre elle aussi son café. Dans le dos, sa robe de chambre était ornée d’un superbe dragon avec une longue queue, ce que mon cerveau tordu traduisit par, Ah si j’avais la même !!! Je restais quand même interloqué par son comportement ce matin. Hier soir, elle voulait nous dire Maitre et Maitresse et se balader toute nue dans la maison et ce matin, on retrouvait l’employée de maison classique et réservée.
Elle me demanda si elle pouvait venir prendre son café au salon, ce à quoi je répondis bien sûr par l’affirmative, et elle vint s’installer en face de moi, sur le fauteuil. Sa robe de chambre baillait au niveau de la poitrine et dévoilait ses seins à un tel point que je voyais ses tétons bandés dans l’échancrure. Le bas de sa robe de chambre avait un peu glissé sur ses cuisses et je constatais que ce matin, la culotte était aux abonnés absents. Par contre, ses grandes lèvres étaient gonflées d’un début d’excitation et luisaient de cyprine. Comme son comportement de ce matin était très différent de celui de la veille, je me lançais et lui demandais :
- Mais Valérie, hier soir tu nous as dit des choses, et ce matin tu es complètement différente ! Tu pourrais m’expliquer ?
- Oui bien sûr Monsieur.

Comme vous vous en êtes rendu compte, j’aime le sexe sous toutes ses formes mais j’ai préféré ce matin reprendre ma place afin de ne pas vous mettre mal à l’aise.
- Bien je verrai ça avec Caroline tout à l’heure, en attendant tu peux vaquer à tes occupations.
- Bien Monsieur, merci Monsieur.
Elle se leva, tirant sur le bas de sa robe de chambre et emporta les mugs à la cuisine. Le téléphone intérieur sonna. C’était Ma Douce qui venait de se réveiller et qui demandait à Valérie de lui monter son petit déjeuner. J’allais au jardin cueillir une rose que mis dans un soliflore et je la posais sur le plateau. Valérie monta le plateau à Caroline.
Je montais pour aller prendre ma douche et en passant j’allais embrasser Ma Belle. Valérie n’était pas là, elle avait dû monter à son étage. J’en profitais bien sur pour caresser ses seins et embrasser ses mamelons, car je sais qu’elle adore ça !
Une fois ma toilette terminée (non je ne m’étais pas branlé), j’allais m’habiller afin d’aller chercher le pain et le journal. A mon retour, Caroline était descendue et s’était installée dans le salon toujours nue. Je me suis assis à côté d’elle ne sachant trop comment aborder le sujet à propos de Valérie mais elle me devança !
- Dis-moi Didier, t’y comprends quelque chose au comportement de Valérie ce matin ? Pour un peu hier soir elle aurait voulu qu’on la domine et ce matin, on a l’employée modèle devant nous !
- Oui je sais, je lui en parlé tout à l’heure quand tu dormais encore et je lui ai dit que je verrais ça avec toi.
- Dans ce cas, je vais voir ça « entre femmes » !
- Ok Mon Cœur, je te laisse faire.
Caroline se leva, toujours aussi nue, et partit retrouver Valérie à la cuisine en fermant la porte derrière elle. Ça m’énervait un peu car je n’arrivais pas à entendre leur conversation. Je partis alors dans mon bureau pour voir quelques dossiers. Sur le coup de midi Ma Chérie m’appela pour me dire que l’apéritif était servi.
J’arrivais donc dans le salon et je m’aperçus que la table était mise et l’entrée était déjà servie. Je demandais donc à Caroline le résultat de sa conversation avec Valérie. Elle me répondit que tout allait bien. Nous avons terminé notre verre prêt à passer à table. Trois couverts étaient dressés (donc un pour Valérie) mais elle n’était pas à table. Je demandais à Caroline ou elle était et elle me répondit qu’elle était remontée pour prendre un comprimé d’Azubromataliteranipogoploff.
J’aidais Caroline à s’installer et m’assis ensuite. Elle me servit ensuite et se servit. Je m’apprêtais alors à manger quand je sentis une main sur ma braguette. Je fis l’innocent qui n’a rien senti et devisais avec Ma Belle. Une douce main, je me doutais bien sûr à qui elle appartenait, extirpa mon sexe de mon boxer et commença une lente masturbation. Le mouvement était ample et tendre. Sur le bout de mon gland, je sentis soudain la langue pointue essayer de s’enfoncer dans mon urètre. C’était tout simplement génial et ma respiration devenait plus difficile et la conversation aussi, bien que je fasse comme si de rien était. Mon regard se posa sur le visage de Caroline qui prenait de belles couleurs et le nez palpitait, sa respiration s’accélérant. Caroline gémissait de plus en plus ouvertement et je ne valais pas mieux. Maintenant, Valérie avec dextérité avait embouché mon membre qu’elle aspirait voracement. Et soudain :
- Oh la salope ! Mon chéri, cette vorace est en train de s’en prendre à mon petit bouton avec 3 doigts dans la vente.
- Je ne suis pas mieux Mon Cœur, je sens que je vais tout lui envoyer dans la bouche à cette nympho !
Je ne pouvais plus me retenir et j’ouvris les vannes ! Plusieurs jets lui remplirent la bouche et je la sentais déglutir. De son coté, Caroline ne gémissait plus mais hurlait sa jouissance à pleins poumons.
- Sors de là-dessous chienne, viens partager la jouissance de mon homme avec moi.
- Oui Maitresse.
Valérie sortit de dessous la table entièrement nue avec pour tout « vêtement » le collier du chien que j’avais eu.
Elle s’approcha de Caroline et leurs lèvres se soudèrent. Elles se partagèrent le sperme dont Valérie avait une bonne partie sur la langue.
- Bon Valérie, à table !
- Je vais m’habiller quand même…
- Non, Maitresse Caroline t’ordonne de rester nue. Qu’en penses-tu Didier ?
- Oui excellente idée.
Pendant le repas, sous le nez de Valérie, Caroline m’expliqua qu’elle n’irait pas au bureau mais commencerait à éduquer cette cochonne vicieuse.
La suite bientôt …

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