Kamila Et Lotfi, Episode 5.1
Voix de Lotfi
Le trio que nous formions Kamila, Abdelkrim et moi et qui se transformait en quatuor avec la participation de Ali continua un temps à vivre sa sexualité débridée et assumée. Chacun de nous y trouvait exactement ce quil recherchait: le plaisir sans limite. Ali, qui était devenu, surtout pour Kamila, un membre essentiel du groupe ne vivait pas en permanence avec nous. Il avait des engagements et des responsabilités par ailleurs, quil lui fallait assumer. Entre autres, des responsabilités familiales, qui lui interdisaient de venir sinstaller chez nous, comme lavait fait Abdelkrim. Depuis quil avait fait connaissance avec Kamila et moi, il navait encore jamais passé une seule nuit avec nous. Il se contentait de se mêler, en général en fin daprès-midi après lentraînement, aux ébats enflammés de notre trio et den devenir, petit à petit, lélément moteur. Il était de fait celui qui procurait à chaque membre de notre groupe le maximum de plaisir. Pour Abdelkrim et moi, un plaisir de candauliste et pour Kamila de la jouissance et des orgasmes qui la transportaient vers les plus hautes cimes du plaisir érotique.
Ali, lui aussi y prenait un plaisir non feint ; et il le disait. Mais à la fin des ébats qui pouvaient durer jusquà deux heures daffilée il quittait le groupe et allait vaquer à ses occupations familiales il avait une maman veuve et deux jeunes surs adolescentes, dont il soccupait laissant à chaque fois un vide dans le cur de Kamila, qui sétait très fortement attachée à lui. Elle adorait les moments où elle subissait les assauts furieux de lénorme zob de lhomme ; elle en tirait un plaisir immense, chaque fois renouvelé et jamais démenti. Cela faisait maintenant plus de deux mois quelle était devenue sa maîtresse et ne se rassasiait toujours pas de sa vigueur dans lacte et de la capacité de son manche à toujours rester debout. Il avait toujours envie de baiser. Et elle adorait cela.
Mais ce quelle aimait le plus chez Ali, cétait sa manière de la posséder : tout en puissance ! Au lit, il était le taureau que sa physionomie lourde et ramassée, laissait transparaître. A chaque fois, malgré que depuis, elle connaissait par cur la force de pénétration du manche de son amant, la douleur était toujours présente. On aurait dit que sa chatte et son cul navaient pas été élargis par les dizaines de pénétrations de limmense zob, en forme de sabre recourbé. Elle le ressentait toujours aussi fortement et la brutalité des coups de reins de lhomme, lui faisait toujours aussi mal. Elle adorait cette douleur ! Et elle le criait !
Quand, pour une raison ou une autre problèmes familiaux ou regroupement de léquipe nationale de judo pour des entraînements ou des compétitions Ali ne venait pas, Kamila était dans tous ses états. Elle qui était toujours dhumeur égale devenait nerveuse et irascible. Elle tournait dans lappartement comme un animal en cage. Elle nétait pas à prendre avec des pincettes. Même ma présence et celle de Abdelkrim ne lui apportait pas lapaisement quelle recherchait. Et quand nous nous y prenions à deux pour lapaiser sexuellement et la faire jouir, elle nous consentait un ou même deux orgasmes - dintensité moyenne, il faut bien lavouer - puis reprenait rapidement son humeur de femme insatisfaite. De femme à qui il manquait quelque chose ou quelquun de vraiment indispensable à son équilibre.
AEK et moi nous nous étions bien rendu compte du changement de comportement de Kamila depuis larrivée dAli, mais nous nen étions pas jaloux pour autant. Nous adorions regarder le couple faire lamour et atteindre les plus hautes cimes du plaisir. Que nous participions ou non aux ébats amoureux du couple, nous prenions nous aussi notre pied et étions très contents de voir notre « épouse » si heureuse entre les bras dAli, le taureau. Nous aussi, à limage de Kamila, nous nous morfondions de ses absences plus ou moins longues.
Et quand il revenait, cétait vraiment la fête ! Avec feux dartifice et séances de rattrapage des moments perdus ! Ali se prêtait volontiers à toutes les expériences que Kamila, Abdelkrim et moi voulions lui faire faire pour accroître encore plus lintensité du plaisir que nous vivions. La nouvelle lubie de Kamila sa punition pour son absence ? - était de se faire prendre debout, adossée contre le mur du salon. Elle obligeait Ali à la soulever du sol, à la maintenir à hauteur de son pubis, à la plaquer contre le mur et à la pénétrer debout et en force. Kamila étant lourde et le bonhomme, malgré sa force herculéenne, devait faire des efforts surhumains pour satisfaire sa partenaire, sans faiblir et sans la laisser tomber.
La position debout, conjuguée au poids de la belle et à la durée de lacte, faisait quau bout de lopération, Ali était sur les rotules. Mais Kamila, elle, était au comble du plaisir. Elle avait exactement tout ce quelle voulait : un énorme sexe qui la pénétrait en force jusquau plus profond delle-même ; son homme qui devait faire de plus en plus defforts pour la satisfaire plier les jambes pour sortir du tunnel et repartir à lintérieur par une poussée accompagnée dun ahanement de bucheron entrain de sattaquer à un arbre centenaire ; une forte douleur à chaque pénétration du sexe qui raclait tout sur son passage ; les bras de lhomme qui la maintenait en suspension en lair, pour pouvoir pilonner sa chatte ; le visage du partenaire sur lequel elle pouvait lire et leffort et le plaisir et, à la fin du parcours, la fatigue; et enfin la jouissance qui arrivait pour tous les deux, énorme et incommensurable. Elle déchargeait à chaque fois une quantité incroyable de cyprine, qui se mélangeait à tout le sperme épais et brulant qui giclait en force et en masse dans son tunnel et qui allait sétaler par terre, après avoir transité par les bourses du bonhomme. Et elle hurlait son bonheur !
- Yemma ! Arrouahi tchoufi bentek ! Taati souwetha le radjel li aandou zeb khchin ! li yenik ha bel wegfia! (Maman viens voir ta fille! Elle offre sa chatte à un homme qui a un gros zob ! Un homme qui la baise debout !) Radjel li yetlaa ha le sma essabaa ! (Un homme qui la transporte au septième ciel !) Choufi bentek ach hal saida ! (Regarde ta fille comme elle est heureuse !)
Kamila, même après avoir joui comme une folle, en appelant très fort sa maman, voulait rester dans la même position, pour quAli puisse repartir à lassaut immédiatement après.
- Hakdha ma teawoudch troh ou tkhelini ! (Comme cela tu ne mabandonneras plus!)
- Bel aaks ! hakdha li nrouh ! Ou koul mara ennikek bel wegfia! (Au contraire! Cest comme cela que je recommencerais! A chaque fois je te tirerais debout!)
AEK et moi pendant ce temps, ne perdions pas une seule once du spectacle. Spectacle tellement érotique et bandant, que tous les deux nous sortions nos manches en érection et nous nous masturbions doucement en nous regardant de temps en temps. Nous nous sourions et puis nous reprenions, chacun de la place où nous nous étions réfugiés, notre séance de voyeurisme. Lun et lautre étions toujours au comble de lexcitation. Voir notre « épouse » se faire tirer comme cela et prendre autant de plaisir, nous procurait une joie indicible. Il métait impossible de me mettre à la place de ma femme pour savoir exactement ce quelle ressentait sous les coups de reins furieux de son amant, mais jétais certain que notre jouissance à Abdelkader et à moi, était aussi intense que la sienne. Et pourtant, nous ne participions presque jamais à leurs ébats.
Parce que même quand ils ont fini de baiser comme des bêtes, ils restaient enlacés comme des amoureux et refusaient de se séparer. Ce nest que quand Ali sen allait, la nuit tombée, pour rejoindre sa famille, que Kamila devenait disponible pour nous. Parfois, elle soffrait à nous. Cétait alors le bonheur à létat pur. Cétait surtout quand elle avait besoin dune double pénétration, quAli ne pouvait pas lui assurer tout seul, quelle se faisait câline avec nous et nous offrait ces moments de pur bonheur.
Mais la plupart du temps Kader (nous lappelions de temps en temps par ce diminutif de Abdelkader) et moi, nous nous contentions du spectacle de notre belle entrain de faire lamour avec Ali. Et cela nous suffisait. Abdelkader se masturbait alors vigoureusement et allait éjaculer sur Kamila, qui navait encore jamais refusé de recevoir son foutre et de sen enduire le haut du corps avec ses mains ; il lui arrivait même de lécher ses doigts pour avaler un peu de sperme, tout en nous regardant avec son air malicieux et coquin. Il marrivait aussi, quand mes bourses étaient vraiment trop pleines, de me masturber vigoureusement et déjaculer sur Kamila en exigeant quant à moi, que cela soit directement dans sa bouche. Et elle acceptait et avalait avec délectation tout ce quelle recevait. Elle savait que jadorais la voir ainsi et elle me faisait ce plaisir. Je crois quelle avait réellement fini par aimer le goût du sperme ; le mien comme celui de ses deux autres hommes.
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Notre vie continua ainsi environs deux mois encore. Et puis tout bascula à partir dune phrase que Kamila prononça plusieurs fois au cours de ses ébats avec Ali. Elle disait nous lavions entendu clairement Kader et moi - quelle voudrait être baisée par plusieurs hommes en même temps. Elle disait quelle voulait voir tous ses trous remplis par de gros zobs et quelle aimerait en même temps voir dautres hommes attendre leur tour pour la niquer. Elle le disait, comme à son habitude en arabe et avec ses mots crus.
- Djibouni aachra erdjal inoukouni ! (Amenez-moi dix hommes pour me niquer !) AAchra zboub ! (Dix zobs !) I aamrouli etqabi ! (Ils me rempliront mes trous !) I redouni qahba ! (Ils me transformeront en pute !) Bghit enweli qahba ! (Je veux devenir une pute !) Redouni qahba ! (Transformez-moi en pute !)
Elle disait certainement cela sous leffet des sensations quelle avait sous les coups de boutoir du magnifique zob dAli ! En ces moments-là javais remarqué quelle nétait plus elle-même ; quelle se dédoublait totalement : une partie delle subissait les assauts furieux de son amant ; lautre partie planait dans les airs et jouissait du spectacle. Cétait certainement cette partie qui fantasmait ainsi et sexprimait de la sorte. Kamila-bis voulait se regarder entrain de subir les assauts dune dizaine damants et démultiplier dautant le plaisir quelle était entrain de prendre avec Ali.
Longtemps, nous navions pas accordé dimportance à ces dérapages verbaux de notre compagne. Ni Kader, ni Ali, ni même moi, ne nous étions arrêtés sur cela. Nous oublions les phrases dès la fin des ébats qui étaient à leur origine. Mais inconsciemment, lidée faisait son chemin dans ma tête. En fait, ce fut sur moi que cette idée de voir ma femme baisée en même temps par une dizaine de garçons, fit le plus deffets. Une quinzaine de jours après avoir entendu ma femme formuler ce vu sous leffet du plaisir quelle prenait avec Ali, je men ouvrais à Kader pour savoir ce quil en pensait.
- Que penses-tu de lidée que Kamila soit baisée en gang bang ? Tu as entendu comme moi, le nombre de fois quelle nous la demandé ! Tu crois quelle est vraiment sérieuse ? Jai un peu honte de te le dire, mais lidée me titille vraiment ! Et toi ?
- Moi aussi !
- Tu crois quon peut organiser ça ?
- Sans aucun problème, avec mes amis, les judokas du club ! Tu crois vraiment quelle acceptera ? Et quAli marchera ?
- Nous leur demanderons quand le moment sera propice. Ça te plairait vraiment ?
- Je crois que oui ! Si Kamila accepte, bien entendu ! Il ne faut pas que cela soit contre son gré ! Tu crois quelle appréciera vraiment dêtre jetée en pâture à un groupe de jeunes hommes affamés de sexe, qui la transformeront en objet de satisfaction de leur luxure ? En chienne ?
- Je ne sais pas, mais jai vraiment envie de voir ça ! Je ne suis pas normal, nest-ce pas ?
- Nous ne sommes pas normaux tous les deux ! Parce que moi-aussi jai vraiment envie dassister à ce spectacle ! Et je suis certain que jen prendrais énormément de plaisir !
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Voix de Kamila
Quand, le lendemain matin, AEK vint me susurrer à loreille la « bonne nouvelle », je tombais littéralement des nues.
- Jai six magnifiques garçons pour toi ! Tous des sportifs de haut niveau, beaux et forts ! Et probablement super bien membrés !
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- Tu as toujours voulu te faire tirer par plusieurs hommes en même temps. Tu nas pas arrêté de le hurler depuis près dun mois, pendant que tu baisais avec Ali. Et bien jai ce quil te faut : six jeunes hommes bien virils des judokas qui font partie de mon club - qui te transporteront encore plus loin dans le plaisir, que ce que tu as connu jusquici avec nous. Ne me dis pas que ce nétait pas sérieux. Que ce nétait quune manière pour toi dexprimer le plaisir que tu prenais avec Ali.
- Je ne disais pas cela sérieusement. Dailleurs, je ne me rappelle même pas avoir émis un pareil désir. Les paroles ont certainement dépassé ma pensée. Je me vois mal livrée, comme un vulgaire objet, à une bande de mecs qui feront de moi ce quils voudront.
- Cest pourtant bien ce que tu disais et jai fait le nécessaire pour que cela advienne dès demain. Je ne peux plus revenir sur ma parole. Il me serait impossible de retourner mentraîner au club, si je ne tenais pas parole.
- Mais tu es fou ! Je refuse ! Je ne suis pas une pute ! Et même si je létais, je naurais pas accepté ! Et puis que penserait Lotfi ! Et Ali !
- Cest Lotfi qui, le premier, a eu lidée. Et Ali ne sera pas là demain. Il sera absent pour toute la semaine. Il part à létranger pour une compétition. Cest une occasion en or pour toi de vivre une expérience très différente de ce que tu as vécu jusquici. Cela ne tengage que pour cette fois-ci. Fais-le pour Lotfi et moi. Depuis une quinzaine de jours, nous ne rêvons que de ça. Ne nous déçois pas.
Pour être vraiment franche, je ne sais pas aujourdhui encore ce qui mavait poussée à tenter cette expérience, qui ne faisait aucunement partie de mes fantasmes sexuels. Javais bien sûr, au cours de mes ébats avec Ali, émis ce désir de me faire tirer par plusieurs hommes en même temps, mais ce nétait pour moi quune manière daccroître lintensité de lexcitation et du plaisir que je prenais, en ces moments là, sous les coups de reins de mon amant. Les phrases que je prononçais ne servaient en fait quà cela: elles avaient un pouvoir aphrodisiaque énorme et jadorais cela. Mais voila que mes « maris » avaient pris ces mots au pied de la lettre et voulaient quils se concrétisent. Ils avaient même fait le nécessaire pour que lexpérience ait lieu le lendemain, en labsence dAli, qui aurait probablement été réticent pour une telle expérience.
Jétais décidée à refuser net. Mais au lieu de cela, je navais rien dit. Et qui ne dit rien consent, disait ladage ! Et bien, AEK avait pris mon silence pour un accord. Et il alla immédiatement lannoncer à Lotfi. La joie quils affichèrent tous les deux, avait fini par me convaincre. Je passais le reste de la journée à penser à la chose et à me mettre en situation. Au réveil le lendemain, jétais psychologiquement prête à me transformer en objet sexuel offert en pâture à une bande de jeunes affamés, qui allaient faire de moi absolument tout ce quils voudront. Et en fait, cela ne me posait plus aucun problème moral.
Je nespérais même pas en tirer du plaisir. Je me disais que le plaisir érotique ne pouvait pas provenir de telles pratiques. Je ne voyais pas par quel phénomène, je pouvais être heureuse, offerte à plusieurs hommes en même temps ; des hommes qui auront sur moi absolument tous les droits, sans que je naie rien à dire. Javais bien entendu vu, à travers de vidéos pornographiques, des séances de gang bangs et je savais de quoi il en retournait. Cela ne mavait jamais vraiment emballée. Et malgré cela javais accepté de vivre lexpérience ! Je me consolais en me disant que je ne ferais cela que pour faire plaisir à mes deux « époux ».
Ce fut, le cur un peu serré, que vers dix sept heures, nous arrivâmes, AEK, Lotfi et moi devant le club de judo. Nous entrâmes moi, essayant de ne rien montrer de mes appréhensions dans la salle dentraînement où se trouvaient six jeunes hommes en kimonos blancs, qui étaient entrain de séchauffer. Ce fut tout dabord la forte odeur de fauve qui régnait dans la salle qui me frappa. Un mélange dodeur de sueur, de respiration et de pieds. Et ce fut cette odeur qui annihila toutes mes inhibitions et me mit en situation psychologique favorable pour affronter les six bonshommes qui avaient arrêté leur échauffement pour me regarder. Ils mobservaient de la même manière quun animal prédateur épiait sa proie, avant de lattaquer.
En respirant la forte odeur de fauve qui régnait dans la salle, je me rappelais que Ali et AEK, quand ils revenaient à la maison après lentraînement, avaient toujours sur eux le parfum du gel douche ou du savon quils avaient utilisés pour se laver. Ils navaient plus aucune trace des efforts physiques quils avaient fournis pendant lentraînement. Je navais encore jamais réfléchi à ce quils pouvaient dégager comme odeur, sils ne sétaient pas douchés. Et bien maintenant, je le savais : une odeur de fauve ! Et cette odeur avait eu immédiatement sur moi un énorme effet aphrodisiaque. Javais tout de suite ressenti comme un fourmillement au niveau de mon bas-ventre et ma chatte sétait même mise à mouiller.
Plus rien ne comptait plus que cette envie de faire lamour. Je regardais plus attentivement les jeunes hommes qui étaient en face de moi. Ils étaient six, tous différents les uns des autres. Et parmi eux, il y avait même un noir ! Mon fantasme érotique suprême ! Une espèce de brute épaisse, aussi haut que large, la tête complètement rasée ; les yeux de feu, presque rouges ; la bouche énorme avec des lèvres épaisses, qui souvraient sur une superbe dentition dune blancheur immaculée. Il était aussi noir quun africain dun pays subsaharien. Mais ce nen était pas un ; il était originaire du grand sud algérien et sa couleur débène devait sexpliquer par une absence totale de métissage dans ses gènes. Cétait très rare dans le pays, où les mélanges étaient la règle. Il narrêtait pas de sourire de toutes ses dents, tout en me dévisageant de manière effrontée, avec ses yeux de feu, se demandant certainement à quelle sauce, ou dans quelle position, il allait me consommer. Et ce regard, et toutes les promesses de stupre que jy lisais, mavaient immédiatement transporté dans un monde de désir charnel de plus en plus intense. Je ne voyais que mon black - tous les autres nexistaient plus - et inconsciemment, je le dévorais déjà du regard. Je le voulais ! Jétais sûre quil avait un immense pilon ! Et je voulais son immense pilon ! Je voulais gouter à sa force de pénétration ! Immédiatement !
Je jetais un regard rapide - beaucoup moins intéressé - sur le reste des jeunes hommes. Ils étaient eux aussi impressionnants - tout de même moins que mon black ! : tous grands taille minimale, un mètre quatre-vingt et vigoureux. Quatre dentre eux étaient très bruns et basanés. Quant au cinquième, cétait un énorme rouquin dont la morphologie me rappelait cette de Ali. Sauf que, contrairement à ce dernier, le rouquin était beau ! Tous les six étaient entrain de jauger ce cadeau qui leur tombait du ciel et imaginaient tous le plaisir quils allaient prendre en me possédant. Dévidence, ils appréciaient ma beauté et les appâts que je présentais. Ils ne sattendaient certainement pas à un tel cadeau.
Jétais vêtue dun jogging dété en coton léger et à manches courtes qui mettait en valeur toutes les formes de mon corps. Et des formes, jen avais à revendre !
- Je vous présente K. Vous voyez que je ne vous avais pas menti en vous assurant que jallais vous amener une vraie beauté. Je te présente de gauche à droite : Rabah, Mohammed, Krimo, Redhouane. Le rouquin cest Lyes ! Le grand noir cest Menouar ! Il nous vient de Béchar. Il na que vingt deux ans et une immense carrière de champion poids lourd lattend. Choffou essela ! (Matez un peu la marchandise !)
Tout en parlant, il sétait placé derrière moi et dun seul coup, il fit passer le haut de mon jogging par-dessus ma tête. Je restais ainsi torse nu avec mes seins en forme dobus de canon de gros calibre, pointés vers lavant. Je savais que jétais belle si josais, je dirais même magnifique et leffet que ma demi-nudité fit sur les six hommes était à la hauteur des attentes de Kader. Ils avaient tous les yeux qui voulaient sortir de leurs orbites, tant ce quils voyaient les excitaient. Jétais sûre quils commençaient à bander comme des cochons; mais leurs kimonos cachaient leur entrejambes et je ne pouvais encore rien voir.
AEK ne sarrêta pas là. Dun geste brusque, il descendit le pantalon de mon jogging sur mes chevilles et présenta ainsi tout le bas de mon corps nu - je ne portais pas de petite culotte - à ses amis. Un silence de mort se fit dans la salle. Chacun des six hommes étaient plongé dans son observation éhontée du corps de la splendide femme qui leur tombait du ciel. Menouar bavait littéralement en regardant mon mont de vénus rond et brillant, sans aucune trace de poil et, en dessous, mes grandes lèvres longues et ourlées qui, me semblait-il - tant jen ressentais lhumidité - luisaient de mouille. Les autres bonshommes étaient dans le même état dexcitation. Mais moi je ne voyais que mon magnifique black. Je le voulais ! Je voulais que les autres - tous les autres - disparussent et nous laissassent seuls, Menouar et moi.
- Nehou houwayedjkoum ou weriw lha kifach khadmine ! (Enlevez vos tenues et montrez-lui comment vous êtes faits !) weriw lha wach aandkoum bin redjlin ! (Montrez-lui ce que vous avez entre les jambes !) weriw lha wach i stena ha ! (Montrez-lui ce qui lattend !)
Après une brève hésitation, chacun des garçons enleva le haut de son kimono et resta un moment torse nu, hésitant à aller plus loin. AEK dût insister pour quils, Menouar le premier, enlèvent le pantalon et le slip ou le boxer quils portaient. Moi, je ne surveillais que mon black. Jattendais en tremblant ce qui allait apparaître sous son boxer. Et merveille des merveilles, ce qui apparut était dune splendeur absolue ! Une superbe queue, longue, grosse, lisse et brillante, surmontée dun immense gland, large et pointu ! Une queue vraiment belle, et bien entretenue ! Il ny avait pas la moindre trace de poils, aussi bien sur son pubis que sur les couilles, grosses et contractées qui paraissaient aussi dures que de la pierre. Il ny avait pas non plus de poils sur toute la hampe; ni même une de ces grosses veines qui enlaidissaient souvent les zobs les plus puissants. Je me fis la réflexion que ce zob là devait avoir la force de pénétration dun marteau piqueur ! Un marteau piqueur qui allait creuser en moi et memmener au sommet des plus hautes montagnes du plaisir.
Javais du mal à retenir ma main qui voulait se tendre et aller à la rencontre de cette énorme queue. Elle était encore trop loin de moi. AEK qui était resté derrière moi et me tenait par la taille, me souleva de terre et me posa sur le tatami à une cinquantaine de centimètres de Menouar. Il me susurrait à loreille :
- Aadjbek el kahlouch ! Aandou zeb kbir ki taa lahmar ! Aadjbek zebou ! (Il te plait, le black ! Il a un zob aussi grand que celui dun âne ! Son zob te plait !) Bghitou yedkhoul fik ! Bghitou ye gaarek ! (Tu veux quil te pénètre ! Tu veux quil te transperce !)
- Bghiiiiiiiiitttttt ! Goul lou i nik ni ! (Je veeeuuuux ! Dis-lui de me niquer !) I nik ni houa ! Ghir houa ! (quil me nique lui ! Rien que lui !) Loukhrin i chouffou bark ! (Les autres devront se contenter de regarder !) I nikou ni ki houwa yeayia ! (Ils me baiseront quand lui sera fatigué !) Arouah, nik ni bel wegfia ! (Viens, baise-moi debout !)
Je venais de madresser directement à mon black, en lui ordonnant de me tirer en position debout. Je voulais sentir de suite toute la force de son manche. Je voulais quil me prenne brutalement et quil me fasse mal. Il était grand, fort et puissant. Je voulais quil me soulève de terre et quil me maintienne très haut, tout en pilonnant ma chatte. Je voulais que son manche me pénètre au plus profond et quil atteigne ma gorge ! Quil ressorte par la bouche ! Je délirais littéralement en attendant quil se positionne devant moi et quil soccupe de ma chatte. Il sapprocha à quelques centimètres, mit ses immenses paluches sur ma taille et me souleva aussi facilement que si jétais un fétu de paille.
- Helli redjleik ! (Ecarte tes jambes !)
Il mordonna cela dune voix douce, mais sans appel. Jécartais mes jambes pour les placer de part et dautre de sa taille. Il me tenait par en dessous des fesses pour me garder à la bonne hauteur. La hauteur qui permettait à son manche de se placer à lentrée de ma chatte. Javais le visage au même niveau que le sien. Il en profita pour membrasser goulument sur la bouche. Ses lèvres étaient de véritables ventouses. Il aspira littéralement les miennes, tout en cherchant à faire pénétrer sa langue à lintérieur de ma bouche. Je laissais faire et en profitait pour gouter à sa salive. Elle était délicieusement sucrée ! Le baiser quil mappliqua dura une éternité !
Tout en membrassant goulument, il tortillait des hanches pour pouvoir positionner son membre entre mes grandes lèvres. Il mit un peu de temps pour trouver la bonne position. Il ne pouvait pas saider dune de ses mains pour guider son manche. Elles étaient toutes les deux occupées à me tenir dans la position dans laquelle jétais. Je ne pouvais pas non plus laider, mes mains étant elles-mêmes occupées à maccrocher à son cou pour tenir la position. Jétais en attente quil me pénètre ! Mais pas impatiente ! Je profitais intensément de la merveilleuse sensation du membre en même temps très dur et très doux qui frottait contre mes grandes lèvres, cherchant louverture qui lui permettrait de pénétrer à lintérieur de mon nid. Cétait divin ! Peut-être aussi bon que la pénétration qui allait fatalement advenir ! Je coulais littéralement sur le manche qui frétillait dimpatience de se retrouver dans sa maison !
Je jubilais ! Car même si le manche narrivait pas encore à trouver louverture, le frottement quil produisait en cherchant, me transportait déjà de plaisir. Il frottait contre mon clitoris et provoquait en moi de divines décharges électriques. Cétait si bon de sentir toute la force et la vigueur du monstre ! Je voulais en même temps quil trouve louverture pour pénétrer à lintérieur de mon trou, qui lui aussi piaffait dimpatience de le recevoir et quil continue comme cela à frotter lextérieur de ma chatte et à titiller mon clito. Je gémissais doucement. Jhésitais encore à me lâcher complètement ; je ne savais pas pourquoi, mais il restait en moi comme un brin de retenue. Javais peur dêtre considérée par mon black comme une pute ! Alors que je me comportais comme une vraie pute ! Comprenne qui voudra !
Et puis limmense gland finit par trouver le chemin de mon vagin. Il y pénétra dun seul coup, à la suite dune forte poussée qui me déchira presque la vulve et me fit un mal de chien. Je navais pas souvenir davoir jamais eu aussi mal au cours dune pénétration ! Même les coups de boutoir dAli, les premières fois quil me tira par devant et même par derrière avec son manche à la forme si particulière, navaient pas été aussi douloureux. Je poussais un cri dorfraie et ne put mempêcher de protester :
- Aiiieeeeeeeeee ! Kassartli hatchouni ! (Tu mas détruit la vulve !) Blaaqel ! (Doucement !)
- Kessartlek hatchounek! Ou mazal nzid enkessar halek! (Je tai détruit la vulve ! Et je continuerai de te la casser!) Zebi i heb i kessar ! i heb el hatchoun ! (Mon zob adore détruire ! Il adore la chatte !) Kifach ethassih ? (Comment tu le sens ?)
- Amar li sawti ! En heb ki yamar li souwa ! Enmout ala zboub kima en taek ! Zid nik ni hakdha! Zid wedjani! Enheb ki tewdjani ! (Il me remplit toute la chatte! Jadore quand il me remplit la chatte ! Je suis prête à mourir pour des zobs comme le tien ! Continue à me niquer comme ça ! Continue à me faire mal ! Jadore quand tu me fais mal !)
Et Menouar continuait imperturbablement à pilonner ma chatte avec de plus en plus de force. Il continuait de me porter à bout de bras et ne semblait absolument pas sentir mon poids. Ses hanches étaient insérées entre mes cuisses et il me maintenait à la bonne hauteur par les fesses. Il rugissait à chacun de ses coups de boutoir et sa gorge produisait comme un sifflement, quand il revenait à lentrée de ma vulve. Je sentais sa respiration, chaude et humide, sur mon cou ; et javais dans le nez lodeur forte de sa sueur. Contrairement à tout ce que javais entendu et lu sur lodeur désagréable des peaux noires, celle de mon amant avait sur moi un effet aphrodisiaque très fort. Conjuguée aux frottements de son énorme sexe sur la paroi de mon vagin et à la force qui se dégageait de tout le corps de mon homme, lodeur de sa transpiration ajoutait une très forte dose de désir et de plaisir.
Mes gémissements timides de tout à lheure se transformaient en hurlements de plaisir. Jétais heureuse et je voulais que tout le monde alentour le sût. Et comme à mon habitude dans ces cas là, je me mettais à débiter des phrases de plus en plus cochonnes et des mots de plus en plus crus. Ils titillaient un peu plus ma libido et je voyais quils avaient le même impact sur mon amant.
- Nik qahbtek ! (Baise ta pute !) Nik kelbtek ! (Baise ta chienne!) Kessarel ha souwet ha! (Détruit-lui sa vulve !) Goul-li enhab hatchounek ! (Dis-moi : jadore ta chatte !) Enheb zebek ! Enmout aala zebek ! Zebek kbir ! Zebek skhoun ! Zebek mlih ! Zebek ! Zebek ! (Jaime ton zob ! Jadore ton zob ! Ton zob est si grand ! Ton zob est chaud ! Ton zob est si bon ! Ton zob ! Ton zob !)
Menouar continuait à me tirer comme cela, en force. Il ne disait rien, mais semblait vraiment adorer mon délire verbal, conséquence dun immense plaisir. Il continuait de rugir et de siffler, avec une intensité de plus en plus forte. Je ne pouvais voir son visage qui rayonnait de plaisir. Il était aux anges de pouvoir baiser ainsi une femme qui aimait autant le sexe. Je me disais quil nallait pas tarder à fatiguer de me porter ainsi et en même temps de dépenser autant dénergie pour me tirer. Je me disais aussi quà cette allure, il nallait pas tarder à avoir un orgasme très fort et à mabandonner.
Je ne voulais pas quil mabandonne ! Je voulais quil reste comme cela en moi toute la vie ! Je ne voulais pas quil jouisse ! Du moins pas encore ! Je voulais que son magnifique zob reste en érection ! Quil continue de me remplir le vagin ! Quil ne ramollisse jamais ! Javais moi-même envie de jouir, mais je me retenais. Je ne voulais pas que cela sarrête. Et je le lui dis :
- Ma tahbesch ! (Ne tarrête pas !) Ma tferaghch ! (Néjacule pas !) Esstena ! (Attends !) Egouad fiya ! (Reste en moi !)
- Enhas rahi djaya ! (Je sens que je vais jouir !) Ma tkhafich enzid ennikek ! (Ne crains rien je vais encore te baiser !) Ma nahbesch hata ki ittih el lil ! (Je narrêterai que quand il fera nuit !)
Tout en parlant, je le sentis qui se crispait et, au bout dun tout petit moment, son rugissement sintensifia et se transforma en un hurlement de plaisir. Il éjacula en moi une première fois une quantité incroyable de sperme, qui retomba presque immédiatement sur le tatami. Il éjacula encore trois fois de suite et arrêta son cri. Il releva sa tête qui, reposait tout ce temps là sur mon épaule droite, pour me regarder. Il vit que jétais vraiment déçue quil sarrête de me tirer.
- Goultlek ma tkhafich ! Mazalni mwegeff ! Mazalni ennikek ! Ma nehbesch hata ittih el lil ! (Je tavais dit de ne pas avoir peur ! Je bande toujours ! Je vais encore te niquer ! Je narrêterai pas de te niquer jusquà ce que la nuit tombe !)
Jétais rassurée ! Et de fait, je sentais que le manche de Menouar était toujours en forme, malgré le fort orgasme quil venait davoir. Il navait pas ramolli ! Il avait recommencé son uvre de destruction dans ma chatte ! Et je me remis immédiatement à gémir et crier mon plaisir de le voir encore en si bonne forme. Je me disais que comme cela, je navais même pas à me retenir de jouir. Puisque mon amant narrêtera pas de me tirer, même après plusieurs orgasmes. Je laissais donc un premier orgasme dévaler en moi. Je jouis très fort et très bruyamment, en suppliant Menouar de ne pas arrêter de me pilonner comme cela, en force et de plus en plus vite. Je déchargeai longuement et faillit même mévanouir, tant le plaisir était intense.
Mon homme ralentit fortement le rythme de ses coups de reins, pour me permettre de reprendre mon souffle. Il se contentait de bouger doucement ses hanches pour que je continue de sentir la présence de la bête en moi. Je commençais à reprendre petit à petit mes esprits et ma respiration redevenait à peu près normale. Ce fut à ce moment que je sentis quil se passait quelque chose de bizarre derrière moi. Je sentis deux mains puissantes semparer de mes fesses et les palper. Je me retournais pour voir ce qui se passait. Je vis, debout derrière moi, bandant comme un âne, Lyes le rouquin, qui soccupait de mes fesses, pendant que Menouar continuait daller et venir doucement dans mon vagin. Je sentis un énorme doigt sinsérer dans la raie et aller tâter mon anus. Mon excitation qui était entrain de renaître sous les coups de reins de mon black, atteignit très vite son paroxysme, au contact de lénorme doigt sur mon illet. Mon imagination y alla immédiatement de son scénario : une double pénétration debout ! Je navais encore jamais vécu cela; pour dire vrai, je navais même pas pensé auparavant à une telle position. Et maintenant je la voulais !
Je me préparais mentalement à cette nouvelle expérience. Je me mis en état dattente délicieuse. Jattendais, tout en continuant à apprécier les va-et-vient tranquilles de Menouar dans mon vagin, de sentir larrivée du gros zob du rouquin dans mon cul. Il avait lui aussi un beau manche ; moins imposant que celui du black, mais avec de bonnes dimensions. Et puis comme Lyes ressemblait beaucoup à Ali, je me disais quil devait être aussi brutal dans ses pénétrations. Je mattendais donc à vivre un superbe moment, avec mes deux trous occupés par de beaux manches, durs et brutaux. Deux manches qui allaient me faire encore très mal et mapporteront beaucoup de plaisir et de bonheur.
Je sentis le doigt qui pénétrait dans mon cul pour en tester la lubrification. Il le ressortit aussitôt. Moins dune seconde plus tard, ce furent trois doigts remplis de salive qui vinrent tenter de lubrifier lentrée de mon cul. Lyes refit lopération trois fois de suite, jusquà ce quil juge que mon anus était assez mouillé pour permettre à son manche de pénétrer sans trop deffort. Et immédiatement après je sentis la douceur dun gland sur mon illet, suivie dune forte poussée qui fit pénétrer tout le zob à lintérieur de mon cul. Il ne me fit pas très mal, mais je le sentis bien. Il resta un moment au fond de mon boyau, pendant que Menouar continuait daller et venir tranquillement dans ma chatte.
Et puis, Lyes se mit lui aussi à aller et venir dans mon cul, dabord au même rythme que Menouar ; puis de plus en plus vite, obligeant mon autre partenaire à accélérer pour se mettre au diapason du rouquin. Quelle sensation que ces deux magnifiques zobs qui allaient et venaient verticalement dans mes deux trous, qui se croisaient et se frottaient lun à lautre, et qui me procuraient une sensation nouvelle de plaisir, que les doubles pénétrations « classiques » que javais vécues auparavant ne mavaient pas procurée ! Cétait en même temps la même chose mes deux trous remplis et les deux membres qui se frottaient lun à lautre à travers les parois du rectum et du vagin et très différent. La différence venait de la station debout des deux hommes, dont les va-et-vient étaient verticaux, de ma position à moi - tenue à bout de bras sous les fesses par Menouar - et de la force de pénétration des deux zobs que ces positions permettaient.
Je ne savais pas ce que ressentaient mes deux hommes certainement beaucoup de plaisir, si je devais en juger aux gémissements de plus en plus rauques quils poussaient, aux moments où leurs deux manches se frottaient lun à lautre mais moi jétais emportée par une énorme vague de plaisir qui me faisait hurler avec toujours les mêmes mots crus - tout le bonheur que je vivais, jusquau moment où après un nombre incalculable de va-et-vient et de croisements des deux sexes je ne pus retenir lénorme orgasme qui sempara de moi et me fit décharger, avec autant dintensité et de force que la première fois, des litres de cyprine qui remplirent les couilles de Menouar, avant de sétaler sur le tatami.
Lyes, le premier éjacula plusieurs fois directement dans mon cul un liquide visqueux épais et brulant, qui ressortit en totalité pour aller rejoindre mon jus sur le tapis. Malgré la forte jouissance quil venait davoir, le manche de Lyes avait gardé la forme. Il ne voulait pas quitter les lieux ; il était resté planté dans mon anus, attendant certainement que Menouar jouisse à son tour, pour recommencer à me pilonner le cul, ou, peut-être pour prendre la place du black dans ma chatte.
Menouar, continua imperturbablement à aller et venir dans ma chatte, sans monter la moindre trace de fatigue de ses muscles ou de son membre. A ce jeu, ce fut Lyes qui se fatigua le premier. Après avoir joui une deuxième fois dans mon cul, il se retira, laissant en moi une désagréable impression de vide, rapidement rempli par un autre membre du groupe qui vint prendre la place du rouquin. Je ne savais pas qui cétait dailleurs cela navait pas dimportance mais jéprouvais les mêmes sensations que tout à lheure avec Lyes. Le nouveau zob fit le même chemin que lancien et au bout de cinq à dix minutes, je le sentis qui se vida à lintérieur de mon boyau. Tout le sperme ressortit et alla agrandir la mare qui était entrain de se former sous moi, sur le tatami.
Mon black quant à lui continuait imperturbablement à aller et venir parfois vite, parfois plus doucement pour retenir la jouissance quil sentait arriver dans mon vagin. Il sy prenait maintenant avec plus de douceur quau début. Il semblait plus serein et moins affamé. Il avait recommencé à membrasser sur tout le visage et le cou ; et sur la bouche. Jaimais beaucoup la sensation que me procurait son énorme bouche - avec ses immenses lèvres - qui se comportait telle une ventouse et me procurait une douce sensation de chaleur qui contrastait avec la fureur de ses coups de reins de tantôt dans ma chatte. « Un peu de douceur dans un monde de brutes » disait la pub ! Et bien cest exactement cela que je ressentais ! Mais moi jaimais autant la douceur de la bouche que la brutalité de son zob ! De tous les zobs qui soccupaient de mes trous !
A un moment, je me disais que Menouar devait être mort de fatigue, à force de me porter ainsi à bout de bras depuis le début. Je profitais de la sortie de mon anus du deuxième homme pour demander à black de me déposer sur le tatami pour quil puisse se reposer. Il refusa tout net ! Comme un à qui on venait de demander de prêter son jouet à un autre !
- La ! La ! Negouaad hakda fi souwtek ! Ma enkhili hech le wahad akhor ! (Non ! Non! Je vais rester comme cela dans ta chatte! Je ne vais pas la laisser à quelquun dautre !) Entai ! (Elle mappartient !)
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