Mon Cousin Pointeur

Dans ma profonde somnolence j’ai l’impression que quelque chose de doux me caresse la raie des fesses. Instinctivement, alors que je sors lentement des bras de Morphée, je cambre un peu ma chute de reins. La chose continue de me caresser et je trouve ça trop bon au point de remonter encore plus mes genoux vers ma poitrine pour mieux ressentir ces bonnes caresses. A présent, je suis en état de penser. Je reconnais les frottements d’une bite, surement celle de mon cousin Jean-Claude. Il est arrivé hier et comme ses visites se font rares, mes parents l’ont invité à partager le diner avec nous. Les discutions ont duré trop longtemps et quand nous avons constaté l’heure il n’y avait plus de car pour St Germain, ma mère lui a proposé de dormir chez nous. Maintenant, je ne sais pas si c’est notre chaleur mutuelle mais il me semble que la belle et douce petite chose qui me parcourt la raie du cul ne semble pas vraiment en position de repos. Je la sens gonfler par petits à coups. Et moi, comme une salope que je suis, je cambre au max mes fesses pour mieux la sentir. Bien sûr, je fais toujours semblant de dormir mais elle prend une bonne raideur et elle commence à pointer mon trou. Alors mon petit trou commence à bailler comme une carpe et le gland, qui pointe son nez, commence à forcer le passage. Là problème ! C’est qu’à sec cela ne passe pas ma rondelle. Du coup Jean-Claude se retire. Je suis déçus, mais presqu’aussitôt je sens quelque chose d’humide qui tournicote sur ma rondelle. A la fraicheur je comprends qu’il vient de me mouiller l’entrée. Puis le gland se présente à nouveau, lui aussi est tout mouillé. A l’aide de sa main il la met en bonne position et me force le passage. Nom de nom que c’est bon ! Voilà que le passage de la rondelle est fait et je sens sa bite coulisser contre les parois de mon rectum. Mon dieu que c’est bon ! Cette fois ci, n’y tenant plus, je commence à faire des allés et retours sur cette merveilleuse tige qui me lime avec une grande lenteur.

C’est trop bon, Armel quand il me pénètre c’est toujours à grands coups de queue et le début m’est toujours un peu douloureux. Là, au contraire les pénétrations son amples et sa lenteur produit sur moi une envie incontrôlable de plaisir qui monte tout lentement et ma respiration commence à être plus rapide. Une grande chaleur a pris naissance dans mon cul et se propage dans tout le bas du ventre. Mon esprit est tétanisé sur la chose qui n’arrête pas d’aller et venir. Pour la première fois depuis mon réveil Jean-Claude prend la parole.
- Alors, ça te plais ?
- oh, mon dieu que oui.
- Jean-Paul avait donc raison quand il m’a dit que tu devenais un vrai pédé.
- Comment ça ?
- Tu vas bien dans la grande ile avec un type ? Et dans cette ile qu’y fait-on ?... A part y baiser ou être baisé ?
- Je le sais… C’est même là que je me suis fait d’efflorer.
- Houai ? Mais ce n’est pas en se faisant enculer une fois ou deux que l’on a un cul aussi dilaté que le tien. Quand je vais le lui dire, tu auras intérêt à préparer ton arrière train parce qu’avec lui tout trou est bon à boucher, devant comme derrière.
Puis il me prend par les hanche pour mieux maitriser ses entrées et sorties. Je dois avoir l’anus sacrément dilaté car même quand sa pine sort entièrement elle se remet en place sans dér. Merde ! Voilà que même sans me toucher je me mets à bander. Je ne m’en croyais pas capable et mon cul continu à se faire limer de plus en plus fort et plus vite. Le lit se met à grincer. J’ai peur que la chambrée se réveil. Alors je demande à Jean-Claude de taper moins fort malgré le plaisir qui monte crescendo. Ma queue est si gonflée que je me la prends à pleine main pour me masturber. Mais mon cousin m’arrête et c’est lui qui me la caresse. Sa respiration devient sifflante et rapide maintenant il me défonce à fond et moi je sens le plaisir me prendre jusqu’au bout de la queue. Alors que la sienne est devenue dure comme une barre de fer. Je sens mon cœur s’emballer puis monter jusqu’à ma gorge.
Puis le moment de non-retour me prend par le cul et la queue en même temps et, dans un râle de jouissance formidable, je lâche toute ma purée. Je suis immédiatement suivi par Jean-Claude qui me remplit le rectum de son nectar. Je suis si essoufflé que je ne parviens plus à parler.
Je suis comme sur un petit nuage. Jean-Claude me retourne pour que l’on soit face à face et il m’embrasse. Sa langue s’enroule autour de la mienne et de mon côté je fais tout pour lui retourner ce plaisir. A force d’embrassades et de caresses j’ai la queue qui est de nouveau au garde à vous. Alors Jean-Claude descend en me léchant les tétons puis le ventre et il finit par me faire une fellation du tonnerre de dieu. Dans la joie du plaisir satisfait je m’endors dans les bras de Jean-Claude. C’est ma mère qui me réveille alors qu’il est déjà sept heures.
La matinée me parait interminable et quand vient l’heure du repas je n’en fait qu’une bouchée. A une heure et demie je suis prêt pour sortir. Avant que je ne sorte, mon cousin vient me dire au revoir. Il se penche à mon oreille est me dit « par qui vas-tu te faire baiser aujourd’hui ? ». Je lui souris mais ne lui réponds pas. Alors il poursuit « Je te préviens avec Jean-Paul tu y auras droit très bientôt. Alors prépare tes arrières »
- Mais quand tu veux, maintenant tu connais mes goûts. Et je passe le pas de la porte.

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