Une Chienne Sur Un Toit Brûlant

Ce matin-là, quand mon maître se réveilla, j’étais à genoux à côté de lui sur le lit. Je portais déjà ma laisse, mes entraves aux poignets et aux chevilles, et une paire de talons aiguille noir, qui s’attachent sur le mollet. En le voyant se réveiller, je commençai à lui lécher les couilles et le pénis, comme tous les matins. Nous avions tous les deux pris deux semaines de vacances, et donc, rien ne m’empêchait d’être son esclave, et rien d’autre, en permanence. Cela faisait quatre jours que je n’avais pas mis de vêtements. Et encore, la dernière fois, ça n’avait été qu’un poncho, pour aller faire quelques courses.

Mon maître se réveillait un peu plus sous mes attentions, et bientôt, il m’attrapa par les cheveux et enfonça ma bouche jusqu’à la base de son sexe. J’attendis, la gorge écartée, incapable de respirer. Au bout de quelques secondes, il tira sur un de mes tétons, et le pinça fort en même temps. Mon cri de douleur fut bien sûr étouffé par son gland, ce qui l’excite toujours. Il me pinça de nouveau, puis me lâcha. Je relevai la tête, le souffle court, et très excitée – la douleur dans mes seins me fait un effet radical.

Puis il se leva, sans parler, et claqua des doigts. Je descendis du lit et le suivis à quatre pattes. Il prit ma laisse et me mena au salon. Selon ses instructions, la table était mise pour le petit déjeuner. Il se servit son café pendant que je me glissais sous la table. Quand mon maître s’assit pour manger, je m’avançai et le pris de nouveau dans ma bouche. Il me donna quelques gifles pendant que j’avais son gland dans la gorge, mais ne parut pas faire plus attention à moi que cela.

Après avoir fini son petit déjeuner, mon maître claqua des doigts. C’était mon signal pour arrêter de le sucer. Il se leva, et j’attendis sous la table. Il alla au canapé, et claqua des doigts pour que je le rejoigne. Je m’approchai à quatre pattes, les yeux baissés, la tête penchée. Lorsque j’approchai, il m’indiqua son sexe.

Je repris ma tâche.

—Ma chère Nathalie, je crois que je vais aller au cinéma, aujourd’hui. Ce qui me pose un léger problème. On ne peut pas laisser un animal tout seul dans un appartement. Il pourrait faire des bêtises, et toi, ma petite chienne, autant qu’un autre. Alors je me suis creusé la tête. J’ai cherché un chenil, mais rien trouvé qui te conviendrait. Et tu comprends, il faut bien t’occuper.

Il reprit ma laisse, tira ma tête en arrière et me remmena dans la chambre. Je montai sur le lit quand il me l’ordonna, toujours à quatre pattes. Du tiroir où il garde nos jouets, il tira une sorte de gode court, et un string assez raide, que je n’avais jamais vu. Il se tourna vers moi.

— Donc, je vais te laisser quelque part pendant mon absence. Et pour t’occuper, voici un vibromasseur. Les piles sont neuves, même à plein régime, tu devrais avoir quelques heures devant toi… Retourne-toi et donne-moi ta chatte, putain.

Je me présentai docilement, les genoux écartés, la tête contre les draps. Le gode rentra doucement – maître m’avait refusé la plupart de mes orgasmes, pour que je reste alerte et excitée. Une fois le gode en place, il l’alluma aussitôt, et les vibrations fortes m’envahirent. Je mordis les draps pour ne pas gémir. Ensuite, il attacha le string autour de moi. C’était une sorte de culotte en cuir, bouclée sur les côtés. J’eus une soudaine idée de ce dont il s’agissait, mais mon maître le confirma aussitôt.

Voilà, tu as un vibromasseur dans la chatte, et une ceinture de chasteté par-dessus. Donc, il restera entre tes cuisses tant que je n’aurai pas déverrouillé ta ceinture. La bonne nouvelle, c’est que tu as le cul à l’air.

Comme pour illustrer son propos, il glissa un doigt dans mon anus, qui se referma aussitôt autour. Je mourais d’envie de le sentir en moi. Il retira son doigt en riant.

— Ne t’inquiète pas ma chienne, tu ne le regretteras pas longtemps.

Il farfouilla encore un peu, et sortit un sachet.
Une fois celui-ci glissé dans son sac bandoulière, il alla se doucher, me laissant supporter le vibromasseur sur le lit. Il revint rapidement, s’habilla, prit son sac, un drap de bain et m’attrapa par la laisse.

— Allez, viens ma chienne, on va se promener.

J’étais toujours nue, j’avais le vertige tellement mon ventre réclamait qu’on s’occupe de lui, mais je restai tout de même figée quelques secondes. Il était presque midi, et il allait me faire sortir comme ça ? Puis, comme toujours, je fis confiance à mon maître, pour ne pas me mettre en danger – au contraire, même.

Il me mena sur le palier et appela l’ascenseur. Ferma la porte le temps que la cabine arrive. Puis, une fois dedans, je nous sentis monter. Une fois arrivés, il me mena vers une autre porte – avec un escalier, une autre porte, puis… le toit ! Depuis quelques semaines, il était en réfection, et quelques ouvriers y travaillaient toute la journée. Il me fit sortir et me tira par la laisse, jusqu’au groupe assis.

— Bonjour messieurs ! Vous pourriez me rendre un petit service ?

Le silence était complet. Tout le monde devait me regarder. J’essayai de respecter mon dressage, et malgré quelques tremblements, gardai la tête baissée. Mon maître continua :

— Il faut que je m’absence quelques heures, et je ne peux pas laisser ma chienne toute seule à la maison. J’ai peur qu’elle s’ennuie et qu’elle fasse des bêtises. Alors je me suis dis que vous pourriez vous occuper d’elle.

— Euh, c’est quoi, ça ? demanda un homme près de nous.

— C’est la chienne que je ne peux pas laisser toute seule. Pour qu’elle ne s’ennuie pas, je lui ai mis un vibromasseur, et sa chatte est verrouillée, mais si je vous la laisse avec quelques préservatifs, vous pourriez l’occuper en l’enculant. Ca vous dit ?

L’homme qui avait parlé s’approcha encore et s’agenouilla devant moi, téléphone à la main.

— Mademoiselle ? Mademoiselle, ça va ? Vous êtes d’accord ?

Je fus à la fois surprise et émue qu’il me parle.
Je regardai mon maître, qui eut un mouvement de tête vers l’homme. Je regardai l’ouvrier en face, et répondis ce que je pensais que mon maître voudrait entendre.

— Je suis à lui, je me suis donnée à lui, il fait ce qu’il veut de moi. J’ai choisi d’être traitée comme ça, comme sa chienne, et tout ce qu’il décide me convient. S’il vous plait, gardez-moi avec vous et prenez mon cul.

— C’est bien ma belle, commenta mon maître. Alors n’oublie pas, Nathalie, sois la plus belle putain que tu puisses être avec ces messieurs. Je veux qu’ils se servent de toi à longueur d’après-midi. Tu peux jouir aussi, si tu veux. Alors, messieurs, où voulez-vous que je l’attache ?

Après un moment de silence, ils indiquèrent un endroit à mon maître, à côté d’une table de jardin installée pour le déjeuner. Maître étendit la serviette, pliée en deux, et me fit m’y installer. Puis il souleva un pied de la table, y glissa la boucle de ma laisse. Les ouvriers continuaient de me regarder avec un mélange de méfiance et de stupéfaction.

Maître tira une petite assiette en plastique de son sac, et y posa des préservatifs, avec une petite bouteille de lubrifiant sur la table. Puis, avec une dernière caresse sur mon cul, il prit congé.

— Merci, messieurs. Ca me rend vraiment service. Oh, quand vous l’avez finie, posez juste vos préservatifs sur son dos, ne vous fatiguez pas à les attacher.

Une fois qu’il fut parti, les hommes s’approchèrent. Je comptai cinq paires de pieds. Cinq hommes, libres de prendre mon cul pendant un temps indéterminé. J’avais peur, j’avais honte de ce qui se passait, mais j’étais si excitée par la semaine qui venait de s’écouler et le vibromasseur entre mes cuisses que je voulais surtout que quelqu’un commence. Je savais qu’une fois prise, j’oublierais tout le reste. Je voulais jouir ! Et mon maître m’avait ordonné de me conduire en putain. Je levai la tête, et regardai l’homme devant moi.

— S’il vous plaît, monsieur, prenez-moi.
Ça fait des jours que je n’ai pas joui, j’ai la chatte en feu. Prenez mon cul, s’il vous plaît. Je suis sûre qu’il vous plaira. Prenez-moi.

J’avais dit tout cela sur le ton de la conversation, un peu implorante, et surtout pour bien leur montrer que j’étais partante. L’homme alla à la porte du toit et l’ouvrit. Revint.

— Euh, il est vraiment parti, les mecs. J’ai l’impression que c’est pour de vrai.

— Eh bien, il n’y a qu’une seule façon de le savoir, hein, dit celui qui m’avait parlé. J’espère que c’est vrai. Elle a un beau petit cul.

J’entendis une fermeture Eclair s’ouvrir, un emballage de préservatif se déchirer. J’entendis la bouteille de lubrifiant s’ouvrir. À ce moment, tous les sons me parurent limpides. La circulation dans la rue, à quelques dizaines de mètres en contrebas. Les oiseaux dans les arbres de la cour. Les pieds autour de moi, les hommes qui se dandinaient.

Je sentis une pression contre mon anus, et sentis mon corps s’ouvrir en réaction. Bientôt, il entrait en moi, le gland était passé, puis il s’enfonça jusqu’à la garde. Je lâchai un glapissement de plaisir. Une vraie petite chienne.

Certes, j’avais conscience qu’un parfait inconnu me prenait le cul, pas parce que je l’avais séduit, mais parce qu’on m’avait prêté à lui pour sa distraction. Je savais que je n’étais pas là pour mon plaisir, mais pour celui des autres. Mais c’est exactement ce que je désire. J’avais honte de ma nudité, de tout ce qui me signalait comme une chienne, une esclave, une putain, j’avais honte qu’on me promène en laisse, de passer de main en main sans avoir mon mot à dire. Mais toute cette honte ne me fit jouir que plus fort quand l’homme dit aux autres :

— Eh, c’est vrai, elle a un truc dans la moule. Je le sens vibrer. Ha, c’est une machine à branler, cette meuf.

Oui, c’était ça. J’étais là pour qu’ils se branlent avec mon cul, dans mon cul, plutôt que dans leur main. L’homme dut sentir mon cul se resserrer autour de son sexe, et je suis sûre d’avoir gémi très fort.

— La vache… Je crois que tu viens de la faire jouir juste en la prenant. Ça va, mademoiselle ?

— Mmmh mhhh…, parvins-je à répondre. Oui, ça…. Ah !

Je me mordis les lèvres. L’homme commençait à aller et à venir entre mes fesses, et ça me rendait folle.

Comme on le leur avait demandé, ils se servirent de moi. Ils jouissaient vite, et un homme en remplaçait un autre. Après avoir joui, ils se retiraient, et posaient leur capote sur mes reins. Je sentis leur sperme couler dans le creux de mes reins, puis sur mes flancs. L’odeur de leur semence mêlée ajouta encore à mon sentiment d’être un sextoy pour hommes.

Quand ils m’eurent pris chacun leur tour, le premier dit qu’ils feraient bien de se remettre au travail, ce qu’ils firent. J’attendis là, à quatre pattes, le soleil séchant leur sperme sur ma peau. Le vibromasseur continuait de m’affoler le vagin. Je sentis un autre orgasme s’abattre quand l’un des hommes lança à ses collègues :

— Eh, va falloir faire une pause pour s’occuper d’elle. Regarde-là !

— On verra plus tard, avec le café. On a des trucs à faire, c’est plus important.

Ils continuèrent de travailler, et aucun ne remarqua que cette remarque sur ma futilité – j’étais la pause café, point – m’avait fait jouir.

Mais ils se servirent à nouveau de moi. Deux fois. Trois fois, même, pour certains. Les autres trouvèrent cela très drôle, et leur demandèrent pendant qu’ils m’utilisaient depuis combien de temps ils n’avaient pas touché une fille.

— Eh, elle se plaint pas, alors pourquoi je m’abstiendrais ?

Et il avait raison. Pendant la deuxième « tournée », comme ils dirent, j’avais crié si fort que ma voix s’était cassée. J’étais enrouée de gémir et de jouir, et mes râles sortaient comme des aboiements, quand je jouissais vraiment fort. Le vibro bourdonnait depuis si longtemps dans ma chatte que je ne savais plus s’il était agréable ou douloureux, mais les coups de boutoir qu’on me donnait ne me laissaient aucun doute. Pour la première fois, je me faisais enculer à la chaîne, et je pleurais devant la force de mes orgasmes. Mes premières larmes avaient douché l’ambiance, et le premier homme était venu me parler, paniqué.

— Madame, vous voulez qu’on arrête ? Ca ne va pas ? On est désolés, on pensait que…
Je l’avais interrompu sans cesser de pleurer.
— Non, non, ça va, n’arrêtez pas, s’il vous plaît, continuez, pitié prenez-moi encore, faites-moi…

Le reste s’était perdu quand le sexe, qui s’était retiré précipitamment en me voyant pleurer, m’avait à nouveau pénétrée, d’un seul coup. Depuis, je sentais les larmes couler sur mon visage, et jusque dans ma bouche.

Quelques minutes, sans doute, après que le dernier avait fini de se vider dans mon cul, la porte du toit s’ouvrit. Mes bras avaient cédé, j’avais la tête par terre, le cul en l’air, prise de convulsions, suite au dernier orgasme. J’avais commencé à jouir bien avant qu’il finisse, mais cela ne l’avait pas du tout ralenti. Au contraire, il avait commenté mes orgasmes, s’en était moqué, et avait continué de me pilonner jusqu’à jouir. Je n’avais pas entendu la porte s’ouvrir, mais quand des chaussures s’arrêtèrent devant mon nez, je reconnus la voix de mon maître. Il demanda aux cinq hommes si j’avais été satisfaisante. Puis il fit les préservatifs sur mon dos, et dit avec un sourire dans la voix :

— On dirait, oui. C’est bien, Nathalie. Bonne chienne. Maintenant, remercie ces messieurs de s’être occupé de toi, et on rentre.

Je croassais quelques mots, les remerciant de m’avoir bien rempli le cul, ou quelque autre formule du même registre – je sais que mon maître aime que je parle de moi comme ça, et cette humiliation bénigne me crispe toujours le clitoris. Je le sentis tirer sur ma laisse. Mes mouvements pour le suivre me firent couler une partie du sperme sur les flancs et les fesses. Quand il eut fermé la porte et que nous fûmes devant l’ascenseur, mon maître dit :

— Je suis très content de toi, ma chienne. Tu es très obéissante. Ca t’a plu, d’être leur cul pendant une journée ?

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