Hôtesses De L'Air

Dans la compagnie aérienne où je travaille je fais les longs courriers. A l’arrivée nous bénéficions toujours d’une bonne journée de repos et ce n’est pas du luxe, surtout quand on est hôtesse. La plus part du temps les équipages sont formés dans nous demander notre avis. Ainsi nous naviguons souvent sans réellement nous connaitre.
Pour ce vol je suis avec une autre hôtesse que je connais de vue. Elle n’est pas pour me déplaire, même si j’ai une large préférence pour les hommes. Je ne sais pourquoi elle me plait tellement : sans doute son magnétisme. Le hasard fait bien les choses, nous sommes logées dans la même chambre à deux lits. Notre premier soin en entrant est d’essayer les lits. Nous en sommes satisfaite, la plus part du temps à Mexico nous ne trouvons pas souvent le confort attendu.
La salle d’eau contient une douche et des toilettes avec bien sur un lavabo et un bidet. Je vais prendre une bonne douche : je suis sous l’eau, le jet à peine sur mon sexe quand ma collègue entre avec précautions pour faire un petit pipi. Je jette un regard à travers le rideau, elle est en petite tenue, la poitrine à l’air, le slip à hauteur des genoux. Assise les jambes légèrement écartées, je peux voir une bonne partie de sa chatte. Elle me donne envie de la caresser. Je sors rapidement de la douche, encore un peu mouillée et vais m’assoir sur ses cuisses, mes jambes ouvertes vers elle. Elle est tellement étonnée de mon geste qu’elle ne réagit pas. Nous sommes presque nues, je prend son menton pour donner un baiser sur la bouche, elle tourne un peu la tête, ma bouche est à cheval entre sa joue et sa bouche. Je ne tiens pas compte de son refus, je passe ma main sur sa chatte en trouvant rapidement le clitoris encore mouillé d‘urine. Je m’étonne moi-même d’arriver à la masturber alors que normalement je branle les bites.
Elle m’inspire tant que je suis en train de la désirer. Comment la déglacer ? Je m’approche au plus près de ses seins pour que les miens soient contre.

Ce contact est nouveau pour nous deux, nous y trouvons cette forme de plaisir particulier. Mes seins durcissent, je sens ses tétons durcir aussi. Je pose à nouveau ma bouche sur la sienne, cette fois elle répond. Nos langues viennent dans la bouche de l’autre. Ma main continu à la masturber, elle ouvre un peu plus les cuisses pour faciliter ma caresse.
Pour le moment elle ne me fait rien sinon sa langue dans ma bouche, elle semble être passive. Je comprend pourquoi elle reste ainsi, son bas ventre frémit devant ma caresse et elle se crispe au moment de son orgasme.
Cette fois enfin elle réagit, elle ne voudrait plus jouer avec moi. Pourtant nos poitrines collées semblent lui donner encore du plaisir.
Elle me demande de me lever pour qu’elle puisse aller dans son lit. Je veux bien l’accompagner dans la chambre, elle a juste remonté son slip, et encore pas complètement, je peux voir la moitié de la raie des fesses. Je ne sais si elle le fait exprès, en tout cas elle remue pas mal son postérieur.
Je la suis bien sur quand elle s’allonge. Je m’assois à ses cotés, je me penche pour l’embrasser encore, elle refuse le baiser. Tant pis pour elle, j’embrasse ses seins un peu plus gros que les miens, ma langue titille les tétons. Je vais directement sur sa chatte. Je lui fais écarter les jambes, juste ce qu’il faut pour aller chercher son bouton. Je le caresse avec mon index, puis avec un autre doigt réuni au premier. Je la masturbe pas longtemps quand elle se met en arc : seuls sa tête et ses talons touchent le lit. Cette fois je l’embrasse encore et elle me répond.
J’ai envie d’elle, de la faire jouir et qu’elle me le rende. Elle ne dit rien, sinon qu’elle ouvre encore d’avantage ses cuisses. Je suis invitée à aller plus loin. Je n’hésite pas à mettre mes deux doigts à l’intérieur de sa chatte. Elle est sacrément mouillée, surtout là où j’entre. Son vagin est chaud, sans doute comme le mien, si elle mouille, moi aussi je suis trempée. Je la doigte comme me le fait mon chéri.
Je vais et viens dans son sexe. J’arrive à caresser son anus. Elle ne se dérobe pas. Je me sers de l’autre main pour entrer dans son cul, je la sodomise comme j’aimerai qu’elle me le fasse tout à l’heure.
Elle jouit.
Je reviens vers sa bouche. Cette fois elle m’embrasse complètement. Elle commence même à me caresser la poitrine, elle le fait sacrément bien.
Je crois que j’ai gagné, nous allons nous aimer. Je vais entre ses jambes pour y passer ma tête, je peux la sucer comme j’aime qu’on me le fasse. C’est agréable de goûter sa cyprine et de lécher toute sa chatte. Pour elle ce doit être agréable aussi, elle me tient la tête comme pour me diriger. Je fais même l’essai de lécher son anus : elle ne le veut pas, tant pis pour elle ! moi, dans la vie de tout les jours j’aime une langue dans le cul. Je mets ma langue dans sa vulve pour la baiser ainsi. Là, elle commence à remuer en cadence avec ma langue. Je la fouille le plus possible jusqu’à un orgasme qui me semble plus fort que les premiers. J’arrête pour ne pas la submerger de plaisirs.
C’est à mon tour de presque la supplier de me faire du bien. Je suis à ses cotés quand enfin elle me caresse un sein puis va sur ma chatte. J’ouvre bien les cuisses. Elle peut me caresser ce qu’elle veut. Sans doute elle suit mon exemple, enfin c’est ce que je crois, elle est plus dévoyée que moi. Sa cible première est mon cul, elle y entre deux doigts à la fois. Je ne m’y attendais pas puisqu’au début je resserre mes fesses pour ensuite me détendre complètement comme si elle allait m’enculer pour de bon. C’est une cascade de plaisir qui arrive. Je ne peux pas croire que je suis la première et pourtant certaines maladresses le prouve : je suis sa première amante. Elle ne fait que répéter sur moi ce qu’elle aime. Et pourtant juste un moment avant elle refusait que j’entre ma langue dans son cul. Elle me doigte aussi juste au moment où je jouit en lâchant certainement une bonne dose de cyprine.
Elle revient vers moi, nous échangeons baisers sur baisers et caresses sur les seins.

Depuis le début nous n’avons pas dit un seul mot, même pour dire que nous jouissions.
J’ai envie de sa langue. Je ne veux rien lui demander, j’agis simplement. Je me tourne complètement, elle écarte ses jambes comme j’écarte les miennes en posant mon bas ventre sur sa bouche.
Nous faisons un 69 idéal, le premier pour nous deux avec une femme. Que sa mouille est agréable sur ma langue. Que son cul accepte bien mes doigts. Qu’elle sait bien mes lécher partout où j’aime.
Nous ne résistons guère à notre étreinte. Nous jouissons pratiquement ensemble pour nous endormir comme nous sommes.
Ce n’est qu’au petit matin qu’elle se réveille. Je sens à nouveau sa langue sur toute ma chatte. Elle me réveille, je lui rends la pareille. Nous jouissons pour la première fois de la journée.
Nous nous couvrons d’un drap pour commander le petit déjeuner. Le serveur nous regarde d’un air envieux, il a compris que nous nous sommes fait l’amour. Nous supposons qu’il doit bien bander en s’imaginant nous voir baisant.
Enfin nous nous parlons:
- C’était drôlement bon, tu m’as surprise.
- Et toi, tu ne voulais pas au début.
- Je ne savais pas que ce serait si bon.
- Tu ne voulais pas de ma langue dans ton cul.
- Je ne sais pas pourquoi.
- Tu la veux maintenant ?
- Oui, encules moi avec ta langue.
- Attends un peu que nous soyons bien excitées.
- Je suis excitée, encules moi.
Finalement elle m’a excitée de parler de ça, elle se met bien sur le dos, écarte ses cuisses, ses fesses et commence à se caresser le clito. Je vais sur elle, la bouche tendue vers son bas ventre, je regarde ses doigts qui la branle et j’arrive sur son anus. Je lèche un peu avant de former avec ma langue un tube bien dur. J’entre très facilement dans son cul. Je la sodomise légèrement, pendant qu’elle continue à se masturber.
Nous ne faisons que nous aimer le restant de la journée, au lieu de sortir visiter un peu la ville que pour ma part je ne connais pas du tout.

Le choix entre devenir une touriste et rester l’amante d’une autre femme est vite fait.
Tout y passe, enfin ce que nous connaissons, il doit bien exister d’autres positions que nous ignorons totalement. Tant pis, nous avons bien jouit, presque aussi bien qu’avec un homme.
Nous ne savons même pas si nous naviguerons ensemble. Si cela arrive, nous baiserons encore ensemble. Nous nous garderons bien d’en parler à nos amis respectifs.

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