Ma Femme Et Ma Maitresse

Je sais que je n’aurais jamais du faire ça: tromper Anne-Marie avec une autre encore plus chaude. Pourtant si sentimentalement je regrette, sensuellement j’ai encore les souvenirs des orgasmes qu’elle m’a donné. Ma femme est belle, sexy et surtout sensuelle. Quand nous faisons l’amour c’est plus qu’une partie de plaisir. Elle vient souvent me chercher quand je regarde un match à la télé. Si elle porte son peignoir transparent, aves ses seins visibles je sais ce qui va se passer: elle pose sa poitrine sur ma bouche. Je prend le mamelon le plus proche pour le lécher avant de le téter. Elle ouvre totalement son vêtement: je le vois en entier depuis ces blonds cheveux jusqu’à ces orteils. Pour être certaine que je vais l’accompagner au lit, elle sort ma queue, descend mon prépuce, le laisse en bas, à coté de mes couilles. Sa langue vient récupérer la petite goutte que je fais toujours dès que je bande.
Elle me prend dans sa bouche, enroule sa langue autour du gland, me laisse tranquille un tout petit moment pour revenir faire pareil, cette fois en me prenant totalement dans la bouche. Je me détends totalement quand elle fait aller et venir sa tête avec ma bite en elle. Elle se branle en me suçant et jouit quand je lui donne ma semence.
Je me lève, à sa grande joie: je vais la baiser. Je me déshabille déjà en allant à la chambre. Couchée, nous nous libérons des entraves de la bonne conscience: nous allons BAISER.
C’est presque toujours le même rituel: elle est sur le dos, je suis à sa gauche, sur le coté pour l’embrasser rapidement: ma bouche est attirée par sa poitrine. Ce qui m’attire: ses tétons que je suce et lèche. Je garde toujours une main libre pour aller vers son nid. Là, je passe un doigt depuis la bas jusqu’à son bouton de rose. Cette rose je n’ai pas à l’arroser maintenant: elle est déjà bien humide. Je joins deux doigts qui vont et viennent unis lentement d’abord et rapidement vers la fin. Je frôle d’abord puis appuie plus fort.

Ca ne rate pas; elle jouit. Pour me remercier, elle prend ma bite à pleine main, fait quelques mouvement de vas et viens pour arrêter
- Baises moi maintenant.
- Et si je te la mettais dans le cul ?
- Tu sais que je n’aime pas que tu m’encules.
- Pour une fois.
Quand nous faisons l’amour c’est toujours le même refrain. Je ne la sodomise jamais: ça lui fait mal.
Alors je me contente de sa gaine. Je la trouve toujours bien mouillée: elle meurt d’envie de ma bite en elle, elle ne reste jamais immobile, elle accompagne toujours mes mouvements. Nous arrivons presque toujours à jouir ensemble.
Quand nous nous séparons je glisse ma langue entre ses jambes pour sucer son bouton. Elle parait étonnée alors que d’avance elle sait que je vais la lécher jusqu’à un orgasme qui est le dernier de la journée. Je l’embrasse sur la bouche avec ma langue pleine de cyprine: elle suce ma langue pour récurer le reste de son jus.
Anne-Marie baise bien, sauf qu’elle refuse obstinément de me donner son cul, ne serait-ce qu’un fois pour savoir ce qu’elle pouvait en tirer comme plaisir.
Nos baises peuvent durer ainsi des années quand un jour j’ai rencontré Nicole, une jeune collègue arrivée par mutation de l’autre grande ville. Elle n’a plus de copains ou copines. De son coté, perdue dans un endroit qu’elle ne connaissait pas je l’ai guidée. Il fallait qu’elle trouve des repères sérieux. Elle attendait aussi de savoir comment et surtout où trouver un homme :
- Je suis seule ici et les soirées sont longues.
- Que voudrais-tu?
- Un homme bien fichu qui baise bien, comme toi en sommes.
Ce n’est pas un appel du pied, c’est du rentre dedans. Je n’ai pas résisté. J’ai téléphoné à Anne-Marie pour lui débiter une baliverne style je suis occupé au travail. Je ne sais pas quand je rentrer.
Nicole a trouvé un petit logement bien agencé. Elle me fait patienter sur un divan et disparait. Je ne sais même pas où elle est ni ce qu’elle fait.
Je commence à avoir des remords quand elle revient toute nue vêtue d’une simple résille noire sur tout son corps. J’en reste étonné de vois ce splendide corps enveloppé dans un vêtement de rien qui ne cache rien et qui met tout en valeur. Je remarque que depuis son pubis jusqu’au milieu des fesses, la résille est ouverte.
Ma bite ne réfléchit pas du tout, je bande comme un âne. Il faut dire qu’il y a de quoi, je peux voir outre son bas ventre, ses seins dont les mamelons sortent par des mailles. Ses seins à peine écrasés sont très durs: il ne sont pas aplatis du tout.
Je ne sais si c’est pour elle ou pour moi, Nicole vadrouille dans la pièce dans cette tenue en jetant sur moi des regards coquins. La suite est pour moi: elle pose ses fesses sur la table, passe ses mains entre ses jambes pour chercher son clitoris. Elle se masturbe en regardant ma braguette. Je comprends bien le message. Je sors ma bite et fait comme elle: je me branle lentement. Nous regardons la main de l’autre qui donne du plaisir à son propriétaire.
Je n’y tiens plus: ma masturbation n’est pas à la hauteur de mon désir. Je veux cette femme: je me lève tranquillement, m’approche et prends sa bouche. Nos langues se caressent: je caresse les seins malgré la résille. C’est moins agréable que sur la peau: ça fait pourtant son effet. Les tétons enflent, comme s’ils bandaient. Elle continue ses propres caresses, prends ma bite pour me faire jouir en me branlant.
Si Anne-Marie branle bien, Nicole le fait aussi bien, sauf que la première ne descends pas assez mon prépuce.
Je me baisse pour tendre ma langue sur son bout de chair qui donne tant de plaisir. Je l’aspire dans la bouche pour le rejeter et recommencer. Elle tend son ventre vers ma bouche pour que j’aille plus vite. Je passe une main derrière elle je trouve le passage pour son cul en passant par la raie des fesses. Je caresse le tour de l’anus sans appuyer dessus. Je sens qu’elle ouvre son cul. Je me contente de toucher simplement en le caressant son trou du cul.
Elle me laisse faire. Je sais au moins qu’avec elle je pourrai faire une sodomie.
Pour la faire jouir autrement le bout de ma langue se dévoue pour aller lécher le clitoris. Quand elle jouit, je la tire vers le divan où elle s’assoit volontiers.
Je suis simplement gêné par cette sacré résille qui m’empêche de la peloter normalement. Et puis zut, je déchire la résille au niveau des seins. Je peux enfin caresser normalement des seins sensibles. Je prends ses tétons dans la bouche: je les lèche encore. Maintenant je pose ma main sur son genou, je monte comme je peux jusqu’à son entrejambe. Là je retombe sur une peau normale. Je revient sur le bouton, le branle pour l’abandonner. Je vais vers sa chatte. J’y mets deux doigts pour la masturber. Elle gémit de plus en plus. Je descends maintenant jusqu’en bas des fesses pour retrouver son petit trou. Cette fois elle l’ouvre bien: je peux lui masturber le cul. J’y mets deux doigts qui vont et viennent.
- Oui, encules moi avec tes doigts, j’aime ça.
- je ne vais pas te laisser tomber. Tu peux jouir comme ça ?
- Bien sur j’aime bien me faire mettre par là.
- Et quand tu es seule ?
- J’ai un double gode.
- Tu te baises et tu t’encules à la fois ?
- Bien sur.
Je la tourne sur le ventre. J’embrasse d’abord son anus, y met un instant la langue et vais pour l’enculer. Elle me fait patienter pour se mouiller l’entrée. Ensuite je peux entrer dans sa boutique arrière. J’y vais doucement, ce qu’elle apprécie. Quand je sens mes couilles taper sur ses fesses, signe que je suis dedans complètement, elle commence à faire les aller et venue. Je sens que sa main vient sur sa moule. Elle se doigte.
Pour ma part je l’oublie un peu: je ne pense qu’à mon plaisir de l’enculer car c’est un véritable plaisir. Son cul est des plus accueillant. J’aime cette sensation d’avoir la pine entièrement entourée de ses membranes. C’est meilleur en ce moment qu’un vagin. Et quel enthousiasme dans cette fille qui prend certainement plus de plaisir que moi.
Quand elle jouit, elle resserre l’entrée de son cul: ça me fait jouir.
Comme je débande, elle me pompe encore la bite, me caresse les couilles et pose un doigt sur mon cul. Bien sur elle me fait bander.
- Maintenant tu peux me baiser.
- Tu aimes l’avoir devant aussi ?
- Bien sur
- Et dans les deux à la fois ?
- Aussi, c’est pour ça que j’ai un double gode. Tu veux que je te montre comment je fais.
- Bien sur.
Elle a vite fait de revenir avec son amant en plastique: comme un long tuyau annelé flexible. Elle se couche, entre un bout qui se termine comme un gland, dans sa chatte, Elle se le met au plus profond. Ensuite, elle plie l’autre bout et le pose sur son cul. Elle l’entre là aussi. Ses deux trous sont bien remplis. Elle finit par prendre le milieu de l’engin pour le faire aller et venir dans les deux endroits à la fois. Je la regarde en bandant encore. Je propose mon aide pour lui caresser le clito. Elle veut bien: c’est la première fois qu’elle se fait du bien devant quelqu’un. Elle profite de mes doigts qui la branlent.
Ceci ce passait il y a 6 mois. Entre temps j’ai acheté à Anne-Marie le même gode en lui expliquant comment s’en servir. Au début refus d’entrer quoique ce soit dans son cul. Par destination un gode est consacré aux plaisirs solitaires féminins. Un soir en entrant je la trouve dans la tenue de baise, avec sa blouse en dentelle. Je comprends qu’elle veut ma bite.
- Tu sais j’ai essayé le gode que tu m’as offert.
- Et alors ?
- Alors je l’ai mis dans la chatte et j’ai jouis comme tu me l’avais dit.
- Tu as bien jouis.
- Oui, presque aussi bien qu’avec ta bite.
- Tant mieux.
- Je ne me suis pas arrêtée là, j’ai voulu essayer avec le cul.
- Et tu as eu mal.
- Oui, au début et après je me suis faite jouir, tu te rends compte j’ai jouis du cul.
- Alors maintenant tu ne refuseras pas quand je voudrai t’enculer
- Non, c’est moi qui te le demande maintenant, j’ai envie de ta bite dans le cul.
- Je te la mets maintenant ?
- Oui.
Elle se tourne en levrette, fait comme avec le gode, en met un bout dans la conduite à bite et me demande de la lui mettre. Elle a pris gout à la sodomie et à la double pénétration. Je ne regrette pas Nicole. Anne-Marie me comble.

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