L'Inconnue

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Nouvellement affecté à un poste d’instituteur dans une grande ville, j’ai été à la recherche d’un logement pour quitter l’hôtel, un enseignant de mon école m’amena voir une chambre.

J’ai 25 ans, célibataire, parlant le français et l'anglais, assez costaud par le sport que j’ai toujours fait.

Après le cours on a été voir cette chambre, elle est située sur la terrasse d’un immeuble, c’est une femme qui nous reçoit, elle nous amène à la chambre, la chambre doit faire quatre mètres sur quatre, des toilette et douche à côté, meublée d’un lit une table et quelques ustensiles de cuisine. On se met d’accord sur le prix et elle me donne la clef.

J’ai été chercher mes affaires à l’hôtel et je me suis installé dans cette chambre, j’étais content d’avoir un logement non loin de mon école et seul sur la terrasse.

De temps en temps je rencontre des femmes qui étendent le linge tout près de ma chambre, je passe mon chemin, j’étais sûr d’être poursuivi de leur regard, je ne tourne jamais la tête, ce sont des femmes mariées. Il y a 8 appartements et je n’ai jamais rencontré d’hommes, après avoir demandé à l’épicier du coin il m’a dit que les hommes travaillent à la cimenterie et se lèvent tôt et ne reviennent que tard le soir.

C’était un jour de vacances scolaires, je me suis levé tard, j’ai entendu du bruit tout près et j’ai ouvert la porte de ma chambre doucement, il y avait une femme qui étendait son linge, elle ne portait qu’une simple chemise de nuit courte, elle a tourné la tête quand elle m’a vu et elle m’a souri, je lui ai souri, elle s’est excusé pour m’avoir réveillé, je lui ai dit que c’était l’heure de me réveiller. Notre discussion a continué sur des banalités, ensuite elle m’a demandé qui me faisait le ménage, je lui ai répondu que je le faisais moi-même, elle m’a demandé si j’avais du linge à laver je lui dit que non. Et de fil en aiguille elle s’est approché de moi, elle sentait bon, elle a regardé dans ma chambre et elle m’a dit je vais t’arranger la chambre, elle a tellement insisté qu’elle est presque entré de force, et rien qu’à la frôler j’ai eu une érection, elle a fait un tour dans la chambre, ramassé quelques affaires qui traînaient par terre, arrangé le lit qui était encore défait, ouvert une fenêtre pour aérer et rangé les quelques ustensiles qu’il y avait dans la chambre.



- tu n’as pas encore pris ton café ?

- non, pas encore

- moi non plus, attends, je reviens…

Et elle est partie, au bout d’un moment elle est revenue avec un plateau avec du café, des galettes et du miel, on a pris notre petit déjeuner ensemble.

Elle devait avoir 18 ans, n’était ni maquillée, ni parfumée, mais je la trouvais belle, elle est de petite taille, avec un buste moyen, un gros cul, ses cheveux étaient enfouis sous un foulard mis à la hâte laissant échapper quelques mèches rebelles, l’odeur du henné se dégageait d’elle me rappelant l’odeur de ma mère, cela augmenta ma libido.

Elle s’est assise sur le lit et m’a invité à m’asseoir à côté d’elle, j’étais gêné, je ne connaissais même pas son nom, je me suis assis, elle a retroussé sa chemise de nuit jusqu’au dessus des genoux, moi, j’étais encore en pyjama, cela m’a fait de l’effet, j’ai commencé à avoir une érection. Elle a regardé du côté de mon entrejambe et m’a dit :

- il parait que je te fais de l’effet…

- oh oui bien sûr, ça fait des jours que je n’ai pas approché une femme !

- et maintenant que je suis là ………

- eh bien………

Sur ce elle se leva et ferma la fenêtre et ôta sa chemises de nuit et est venue vers moi, je ne savais que faire, j’avais peur de scandale.

- je veux faire ce que j’ai toujours voulu faire…

- quoi ?

- te sucer, mon mari ne m’a jamais laissé le faire…

- et ton mari ?

- il travaille, il est à la cimenterie, il ne rentre que le soir.

- des s ?

- pas encore, on s’est marié il y a deux mois.

Elle se plaça entre mes genoux, me baissa mon pantalon ,sorti mon sexe et le regarda un moment, le prit en main, le soupesa et commença par le lécher, j’étais hors de moi, Oh Que c’est Bon, je n’arrêtai pas de répéter mais doucement, et toute seule elle l’a engouffré dans sa bouche et a commencé une succion, qui, malgré le manque d’expérience de ma partenaire, je trouvais fantastique, j’étais sur le point d’éjaculer, mon orgasme se préparait, je l’ai dit à la femme mais elle n’a pas sorti mon engin de sa bouche, je lui ai envoyé tout le foutre, jet par jet dans sa gorge, elle a tout avalé, Oh qu’il est bon ce lait le matin, c’est un bon petit déjeuner elle me dit et elle rota.


Je ne croyais pas mes yeux, après cela elle s’étendit sur le lit enleva sa culotte, je me suis mis sur elle et je l’ai embrassé, j’ai continué en l’embrassant, je suis arrivé à ses seins, il étaient érigés, je les ai caressé, elle a gémi, j’ai continué mes caresses sur tout son corps jusqu’arrivé à son pubis, il était peu peuplé, d’une couleur châtaigne, j’ai caressé les grosses lèvres de son vagin et j’y ai enfoncé un doigt, elle a gémi, j’ai engagé ma langue et j’ai commencé à lui lécher la foufoune, elle gémissait, je lui ai demandé de gémir doucement ,j’ai attrapé son clitoris entre mes dents et je l’ai mordillé doucement, elle à gémi et a poussé un râle et a cessé de bouger, elle venait d’avoir un orgasme, tout son corps étaient secoué par des spasmes, Oh que c’est Bon elle me dit, je n’ai jamais joui de la sorte, elle m’inonda la bouche de cyprine, son jus coula à flots, je lui ai laissé un temps pour se calmer, entre-temps mon érection a repris, je me suis mis entre ses jambes et j’ai présenté mon zob à sa foufoune et je l’ai engagé jusqu’à la garde, c’était tellement lubrifié, lui faisant lâcher un râle de plaisir et j’ai commencé à la pistonner, pour de bon, nos gémissements étaient continus, on gémissait tout les deux, on dirait des affamés de sexe, elle m’entoura la taille avec ses jambes m’emprisonnant, elle haletait tout en levant ses hanches pour avoir tout mon sexe dans le sien

- vas-y, vas-y je vais jouir, oh oui

- moi aussi je vais jouir

Et on a joui ensemble, je me suis affaissé sur elle, elle a lâché son étreinte et étendu les bras en croix, elle avait les yeux fermés, les traits relâchés comme si elle dormait d’un sommeil profond, elle est restée dix minutes dans cet état jusqu’à ce que je me sois retiré d’elle et quitté le lit. Elle se leva, m’a demandé de regarder dehors s’il y a quelqu’un, et elle est partie.

Je suis resté pensif, me demandant si c’était vrai ce qui s’est passé, effectivement c’était vrai, j’étais encore nu et mon sexe était mouillé.
Mais je ne sais pas encore son nom……… ni de quel appartement elle est venue.........

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